La Société Mixte de Tir de Thaon-les-Vosges a débuté son histoire le 4 mars 1886, sous l’impulsion de M. DIETERLEN Jules, et de M. BANZET P., Sergent fourrier des Zouaves.
Avant la création de la Société de tir, la ville de Thaon possédait déjà un champ de tir qui était en fait un terrain purement militaire où venaient s’entrainer les jeunes du 149e R.I. Le 149e Régiment d'infanterie régional, commandé par le Colonel VIDAL de LAUSUN était constitué de trois bataillons dont deux tinrent garnison dans la ville et dans les forts de ceinture, et un autre qui tint les forts de la Haute Moselle.
Nous retrouvons ce basculement d’une ex ‘’Société de tir militaire’’ (créée le 9 août 1879) vers une ‘’Société mixte de tir’’ (mixte = Militaires et civils) dans une correspondance en date du 7 décembre 1886 entre le Gouverneur d’Epinal et M. Des cotisations annuelles fixées à six francs pour M.M. Des cotisations de M.M. A cette époque, la Société ‘’Pour la France !’’ (C’était son nom) était alors placée sous la Présidence d’honneur de M. M. M. Ces modifications de statuts ‘’… présentés par M.M.
En avance sur son temps donc car ce genre de mutation des sociétés militaires vers les sociétés mixtes ne sera approuvé officiellement que le 3 Décembre 1886 par le Ministre de la Guerre de cette époque, Mr Georges Ernest Jean-Marie BOULANGER.
Ce tout premier champ de tir était situé rue … du champ de tir, face au ‘’village nègre’’. M. CONROUX nous le décrit ainsi dans son livre ‘’Le village Nègre’’, (ce quartier de Thaon où il a passé son enfance et que tout Thaonnais se doit d’avoir lu) : «Il était situé au -delà de la ligne de chemin de fer qui longeait le haut du « village nègre ».
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Naturellement, l’accès y était, au début, interdit. Les risques étaient grands. Il fallait d’abord traverser, à découvert, la double voie ferrée de la ligne principale Nancy-Epinal, avec toutes les difficultés pour grimper sur le ballast, il fallait ensuite longer le bois pour pénétrer dans le « champ de tir » par le haut. Plusieurs d’entre nous s’y essayèrent, plusieurs se firent «piquer » par le chef de gare ou les policiers.
Il était sûr que les « pampoine », « chou l’œil », « bec de poule », et compagnie se faisaient pas mal d’argent, grâce au ramassage des douilles de balles et même d’obus ». Malheureusement, à ce petit jeux d’autres jeunes Thaonnais ne gagneront ni argent ni souvenirs mais y perdront tout simplement la vie : ce fut le cas pour deux jeunes qui firent éclater un obus entre leurs mains en essayant de l’ouvrir.
La troisième personne qui les accompagnait fut, quant à elle, blessée par des éclats de cet obus qui vinrent se planter dans ses cuisses. Elle est née officiellement le 09 Août 1879. Ce concours rassemblait, outre des Thaonnais, un bon tiers de jeunes de Chavelot, Dogneville, Domèvres-sur-Durbion, Girmont, Golbey, Oncourt et Pallegney.
Les trois premières places furent remportées par des Thaonnais : M.M. MALAISE Camille, WALCH et ROCHEL Joseph.
1) =>Pour le 1er stand cité ci-dessus, il est assez aisé de le placer sur une carte. La cave CHARDOT est en effet un établissement qui était fort connu des Thaonnais il y a encore peu de temps.
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2) =>En ce qui concerne le deuxième stand de tir, celui dit de l’abattoir, les indices et témoignages sont plus rares que pour le premier stand.
L’idée d’un vrai stand de tir germe dans les esprits dès l’année 1902. Nous pouvons lire en effet, dans un échange de courrier entre M. le Préfet et M. Rien n’indique si le terrain à l’ordre du jour de cette réunion de conseil est celui que nous allons voir ci-dessous.
En 1889, de nouvelles cibles à 12, 30, 50, 200 et 300 mêtres furent installées. Le stand, lui, existe toujours aujourd’hui, même s’il est à l’abandon. Ci-dessous à gauche, l’intérieur du bâtiment qui a perdu toute trace de sa splendeur passée. Ci-dessous l’arrière du bâtiment avec les cloisons de sécurité pour éviter les tirs accidentels de biais.
Sous ces buttes se trouvent des éléments de sécurité qui sont des copies conformes des ‘’parapets d’infanteries’’ [23] qui servaient aux soldats à se mettre à l’abri en cas de cannonade. C’est dire si leurs efficacités a été testées ! Ils sont constitués, comme nous pouvons le constater sur la photo ci-dessus à droite, d’un parapet de terre, (ici en partie effondré), qui vient protéger une cellule de sécurité maçonnée.
La Société de tir de Châtel sur Moselle a été fondée le 30 avril 1906. En 1923, il est composé de : M. le Lieutenant-Colonel commandant le 43ème régiment Territorial : Président d’honneur. M. LEJEAN : Président. M. LEFRANCOIS : Vice-Président. M. MARCHAND : Secrétaire. M. REMY : Trésorier. Nombres de Sociétaires ; 105. Cibles ; 4 à 280 mètres.
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En France, on dénombre 1675 clubs de tir sportif qui rassemblent plus de 243 000 adhérents. Fin avril 2020, SoftySoft est contacté par un club de tir sportif qui souhaite se mettre en conformité avec la nouvelle réglementation en vigueur.
Les autorités demandent désormais aux clubs de leur fournir une liste nominative des tirs contrôlés de tous leurs adhérents. Cette liste peut prendre la forme d’un registre papier, d'une feuille de présence émargée ou d'une liste informatisée ; la règlementation ne le précise pas. Un premier club, sollicite alors SoftySoft. Ensemble, ils conçoivent en quelques semaines un outil de contrôle simple, fiable et souple. Il sera bientôt rejoint par d'autres stands de tir qui, à leur tour, adopteront cette solution.
Le besoin exprimé par le premier club client de SoftySoft est d'établir la liste de présence des adhérents. Par chance, chaque licencié de la Fédération Française de Tir dispose d'une licence sur laquelle figure un QR-Code qui l'identifie dans leur base de données Internet ITAC.
SoftySoft installe donc une première badgeuse PresenceBox ayant une double-fonction. D'une part, en présentant le QR-Code, elle permet de vérifier que la licence est en cours de validité. D'autre part, elle liste automatiquement le nom du pratiquant, son horaire d'arrivée et permet d'afficher sa photo.
Pour aller plus loin que le suivi de la présence des adhérents, certains clubs souhaitent mettre en place un contrôle de la fréquentation au niveau des différents pas de tir. Pour y répondre, de nouvelles badgeuses sont déployées pour chaque pas de tir.
Dans d'autres clubs, le niveau d'exigence est encore plus élevé et l'ouverture des portes à gâche électrifiée est déclenchée par la validation du QR-Code lors du pointage sur la badgeuse PrésenceBox.
Pour accompagner les exigences de cette discipline extrêmement réglementée et sécurisée, de nouvelles fonctionnalités voient progressivement le jour. Parmi celles-ci, le gérant du club de tir a la possibilité de mettre une observation sur le profil de l'adhérent, par exemple en cas de dégradation du matériel.
Dans certains cas, il peut même bloquer l'accès de l'adhérent au club, même si la licence est toujours valable. De la même manière, un gérant peut choisir d'ouvrir son club à des adhérents d'autres clubs ou, au contraire, à restreindre l'accès au stand de tir à ses seuls adhérents. Au-delà d'un aspect restrictif, ces paramétrages permettent ainsi d'automatiser des procédures déjà existantes.
"Dès lors qu'un établissement sportif a besoin de suivre, voire de sécuriser l'accès à ses infrastructures, la solution déployée dans les clubs de tir est facilement transposable."
La technologie déployée s'appuie sur une badgeuse QR-Code couplée à un logiciel qui peuvent être installés et paramétrés en quelques jours.
Mettre en place cette technologie est extrêmement simple. Il suffit d'installer la badgeuse envoyée par SoftySoft et de la connecter au réseau WiFi ou la brancher directement à un ordinateur si le club n'a pas de WiFi. En parallèle, le gérant reçoit le logiciel qu'il peut alors paramétrer. Il peut également importer automatiquement la liste de ses adhérents à partir d'ITAC. Si nécessaire, SoftySoft propose une assistance à l'installation.
A ce jour, ce sont plus de 50 clubs de tir sportif sur toute la France qui ont adopté la badgeuse PresenceBox et le logiciel HelloPresence. Ils sont unanimes sur la diminution de la charge de travail pour les dirigeants, la simplicité d'utilisation pour les adhérents et la qualité de la relation avec SoftySoft.
Certains d'entre eux nous ont témoigné leur satisfaction...
Bien que n'étant pas soumis à la même réglementation, d'autres disciplines sportives ont des problématiques similaires. "Dès lors qu'un établissement a besoin de suivre, voire sécuriser, l'accès à ses infrastructures, la solution déployée dans les clubs de tir sportif est facilement transposable" explique Mendel Chalençon de SoftySoft.
Vous êtes un club sportif et vous souhaitez être accompagné dans la mise en place de votre système de contrôle d'accès des adhérents. N’hésitez pas à prendre contact avec les équipes SOFTYSOFT.
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