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Fabriqué en Suède sans compromis, le Redring est une idée brillante devenue un produit de classe mondiale. Il intègre trois brevets mondiaux : la mesure spot de la lumière, les fixations sur rail qui absorbent le recul, et le cercle rouge lui-même.
Le cercle donne au tireur une visée parfaite et indique quand il peut ou ne peut pas tirer. Quand la cible est bien positionnée par rapport au cercle, c’est le moment de tirer, d'où plus de résultat, plus de plaisir. Le Redring est exactement ce dont P-O rêvait: faire mouche avec certitude.
Redring est garanti exempt de tout défaut de fabrication et de matière pour une utilisation normale à la chasse et au tir. Cela est valable pendant une durée de cinq (5) ans à compter de la date d’achat. Si une défaillance couverte par la garantie apparaît pendant cette période, Redring réparera ou remplacera votre produit.
Voici un aperçu des caractéristiques techniques du Redring :
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Plusieurs utilisateurs ont partagé leurs expériences avec le Redring :
Parfaitement équilibré, avec une position extrêmement basse sur la bande, Redring vous offre une visée supérieure. Le réticule est conçu pour les fusils à canons superposés et les fusils semi-automatiques. La conception exceptionnelle du Redring est telle qu’il est prêt pour le tir dès son montage sur le fusil. Aucun réglage, aucun calibrage n’est nécessaire.
Une vision exacte de la cible est probablement la condition déterminante. L’image d’acquisition de la cible et l’image du tir sont décisives pour effectuer un tir parfait. Redring aide le tireur à l’acquisition correcte à chaque coup. C’est à partir de ce point que le tireur commence le mouvement de balayage vers la cible. La correction du tir se fait en fonction de la vitesse et de la distance de la cible.
Redring se connecte à votre ordinateur par USB, permettant d’enregistrer votre lunette de visée afin de bénéficier des futures mises à jour du logiciel de la lunette. Vous pouvez également procéder à des réglages sophistiqués.
Le Redring a été inventé par P-O Östergren, renommé auprès des tireurs et chasseurs de toute la Scandinavie et au-delà. P-O a dirigé son école de chasse et de tir pendant plus de 25 ans.
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Le Redring est monté flottant sur la bande du fusil. Cela ne prend que quelques minutes et le viseur est prêt à l’emploi. Aucune adaptation ou modification du fusil n’est requise. Le montage bas de la lunette sur le fusil n’induit aucune modification sensible de l’équilibre de votre arme.
Il y a une vingtaine d’années, les premiers viseurs « points-rouges » faisaient leur apparition sur nos armes de battue et tandis que leur technologie s’améliorait de manière régulière, leur principe de fonctionnement - étonnement efficace mais en réalité simplissime - s’est très rapidement démocratisé.
Les constructions « tubulaire » (de 20 à 40 mm de diamètre en général, semblable à une lunette de visée classique mais cependant bien plus courts) initiées à la fin des années 70 par la société suédoise Aimpoint ont ainsi ouvert la voie à des interprétations plus compactes et légères (dénommées aussi « reflex ») dont le fameux « Docter Sight » allemand - reconnaissable entre tous par son écran « caréné » - est désormais devenu emblématique.
Leur technologie reste pourtant inchangée et ils mettent tous en œuvre une « simple » diode électroluminescente (ou LED) - à l’exception des viseurs dits « holographique » utilisant une diode laser) - afin de projeter un point (ou un « = collimateur ») sur une surface réfléchissante (écran ou face interne de l’objectif) et ne disposent pas d’une lentille grossissante.
Pour rester simple on peut comparer le principe de ces « collimateurs électro-optiques » à celui d’une visée mécanique classique (hausse et guidon) : entre la source du point et son image réfléchie, la distance est réduite au minimum (ligne de mire très courte) mais elle demeure néanmoins suffisante pour permettre d’obtenir une ligne de visée totalement efficace et précise.
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Le diamètre du point est par ailleurs traditionnellement exprimé en MOA (ou minute d’angle), une unité de mesure qui permet d’évaluer à une distance donnée la surface couverte par le point (1 MOA équivaut à environ 1 pouce/2,5 cm à 100 mètres).
Selon les technologies employées, ils peuvent aussi bien fonctionner à partir d’une pile ou d’un capteur d’énergie solaire, que d’une fibre optique enroulée ou encore d’une capsule de Tritium (ou d’une combinaison de ces sources).
L’intérêt d’un tel principe ?
Il est important de préciser que la compensation de la parallaxe à proprement parler est une caractéristique que ne partagent que quelques modèles actuellement sur le marché et qui se traduit par une correspondance quasi parfaite entre le point projeté sur l’objectif ou l’écran (celui que l’on « pose » sur sa cible) et le point d’impact final, et ce, quelle que soit la position du point dans le viseur (c’est-à-dire parfaitement en son centre ou par exemple complètement déporté en sa périphérie).
Leur conception :
Systématiquement plus lourds et encombrants, les « tubulaires » pêchent parfois par une distance à l’œil qui peut parfois se révéler inadaptée en dehors d’un usage prévu par le fabricant : effet « tunnel », champ de vision nettement plus réduit et obligation de les placer à des distances inférieures à celles « reflex » (en particulier avec les plus petits diamètres). A contrario ils sont plus résistants (chocs, intempéries, etc.) et plus performants en cas de forte luminosité.
Les « reflex » sont bien entendu plus légers (autour des 100 g plutôt qu’autour des 200 g, exception faite du « Docter Sight » et de son « minuscule » 25 g) et offrent surtout un champ de vision maximal (d’autant que la distance à l’œil n’est alors plus un réel problème). Ces performances attrayantes sont pourtant à tempérer par deux inconvénients majeurs : même dans les gammes « premiers prix » (fabrications asiatiques) les « reflex » sont presque toujours deux fois plus chers à l’achat que leurs équivalents « tubulaires », enfin peu (ou pas) protégés, leurs écrans peuvent être très sensibles au froid (givre), aux chocs ainsi qu’aux trop fortes luminosités (point impossible à distinguer).
Enfin, lorsque cela est possible, il est préférable de privilégier des modèles intégrant d’origine un montage de type « Weaver » (le « standard » du montage par rail de la marque américaine éponyme) synonyme d’économies non négligeables (poids et coût additionnel du montage notamment).
Simple point ou réticule ? « Jouer la carte de la sécurité » et rester dans les solutions éprouvées en se contentant d’un point unique et invariable (viseurs holographiques mis à part) semble à ce titre plus sage car la plupart des viseurs « chasse » se situent dans la plage des 4, 7 voire parfois 10 MOA et ce n’est en fait pas tant l’espace couvert par le point qui pose problème (un 10 MOA à 50 mètres ne couvre « qu’une » douzaine de centimètres) que la possibilité d’en ajuster finement l’intensité en fonction de la luminosité ambiante - plus le point est « volumineux » plus il est difficile de régler son intensité afin que son scintillement n’occulte pas tout ou partie de la cible à courte distance.
Il est donc primordial que le choix du diamètre du point soit effectué en connaissance de cause (selon les contraintes du mode de chasse envisagé) et que le viseur dispose d’un réglage d’intensité « multi-niveaux » (1 à 7 ou 1 à 11 habituellement), ou mieux encore d’une cellule photosensible (rhéostat automatique, le cas échéant débrayable) qui l’ajuste en permanence et sans aucune manipulation.
En termes d’autonomie, ce qui constituait un véritable problème il y a encore une dizaine d’années, à savoir des actions chasse avortées pour cause de panne de piles, n’est désormais plus qu’un lointain souvenir. Les modèles les plus récents ne fonctionnant qu’à partir de piles se sont en effet considérablement améliorés et nombre d’entre eux proposent une fonction de coupure automatique (au bout de quelques heures) et/ou d’un témoin d’alerte de niveau.
Pour terminer, il faudra être vigilant en ce qui concerne les possibilités de réglage en azimut et en gisement (plages de réglage et valeur du « clic ») car selon les configurations, c’est-à-dire en fonction du montage et/ou du matériel employé, il est parfois tout simplement impossible d’obtenir un résultat optimal.
En fait l’absence de correction de parallaxe n’apparaît comme un réel handicap qu’à partir de distances qui sont situées un peu au-delà de l’usage « normal » qui devrait être fait d’un point rouge - selon le niveau de performances du modèle considéré cela peut débuter à une cinquantaine de mètres comme à partir de 80 mètres - mais en l’absence de tout grossissement, ce phénomène reste relativement limité aux distances les plus courantes, sauf dans le cas de productions réellement médiocres (la survenue d’une erreur de parallaxe est fonction de la qualité de la lentille réfléchissant le point).
Un utilisateur, molosse, a partagé son expérience sur un forum :
"Bonjour, j’ai acheté et j’utilise un système de visée Redring depuis quelques temps et j’aimerai savoir ce qu’en pensent d’autres utilisateurs."
Un autre utilisateur, beretta84, a répondu :
"Pourrais-tu nous décrire ce système de visée, à quoi te sert t-il, pour quel mode de chasse? J’ai lu un article il y a quelques temps sur ce point rouge pour fusils de chasse il me semble qui s’adaptent sur différentes largeur de bande ventilé. Moi, je ne vois pas trop l’utilité sur un fusil de chasse, mais si je ne parle pas du même matériel que toi fais le moi savoir."
Molosse a ensuite expliqué :
"J’ai installé ce viseur qui ressemble un peu a un holosigt, parce que l’armurier (avec un vrai magasin) qui me l’a vendu par internet m’a proposé de l’essayer durant une semaine et de le lui renvoyer si ç’a ne me convenait pas . Au début la hauteur de visée étant légèrement plus élevé ,j’étais un peu déçu ,j’ai donc acheté pour une dizaine d’euros un petit busc en caoutchouc marron que j’ai collé avec du double face sur la crosse de mon browning maxus pour remonter un peu la joue et la le problème a été résolu. Il suffit de mettre le gibier dans le rond et sa tombe ou un peu devant si il est plus loin (je ne vais pas expliquer ici les corrections de tir) ,je n’ai pas la prétention d’être un grand tireur, avant je manquais et je blessais souvent depuis, après une petite période d’adaptation j’en tombe vraiment beaucoup plus qu’avant et quand je plume pour contrôler le tir il a pas mal de plombs ,signe que le gibier est pleine gerbe . le rond rouge représente la gerbe a 20 mètres avec un lisse .mais il suffit de faire les essais avec des cartons et on sais exactement ce que s’a donne avec chaque fusil . Pour moi s’est ,malgré le prix assez élevé une très bonne acquisition."
Un autre utilisateur a ajouté :
"Pour que le montage et le démontage sois beaucoup plus rapide et facile j’ai fait faire par un ami tourneur deux petites vis inox moletées a la place des vis btr et de la clé et pour le rangement et le transport j’utilise l’étui semi-rigide d’un rasoir braun. comme çà le montage et le démontage sont vraiment très rapide et pas besoin d’acheter un étui pour fusil a lunette pour aller a l’agachon."
Caractéristique | Description |
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Type de pile | AAAA 1.5V |
Autonomie | Environ 300 heures |
Poids (sans fixation) | 134 g |
Poids (avec fixations) | 192 g |
Longueur | 134 mm |
Largeur | 44 mm |
Hauteur | 45.7 mm (33.6 mm au-dessus du rail) |
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