Marque de montres de luxe dont le siège est situé à Genève en Suisse, Vacheron Constantin a été créée en 1755 par Jean-Marc Vacheron. Elle est la marque horlogère la plus ancienne au monde et est à ce jour considérée comme l'une des manufactures d'horlogerie les plus prestigieuses. Dès le début de l'entreprise, les innovations s'enchaînent avec, entre autres, la création de la première complication horlogère et des premiers cadrans moteur tournés.
En 1810, Jacques-Barthélémy Vacheron succède à son père au poste de direction et est à l'origine des premières exportations vers l'Italie et la France. Afin de pouvoir gérer au mieux cette extension du marché, il s'associe à François Constantin en 1819. C'est alors que l'entreprise, jusque-là dénommée Vacheron, devient Vacheron Constantin. Cette même année, Constantin envoie une lettre de Turin à Vacheron où figurait une phrase aujourd'hui devenue devise de la marque : "Faire mieux si possible, ce qui est toujours possible."
François Constantin est, en effet, chargé de parcourir le monde et d'étendre son activité commerciale, tâche qu'il accomplit avec brio. Il fera notamment de l'Amérique du Nord le marché principal de la marque. Constantin et Vacheron meurent à quelques années d'intervalle, en 1854 pour le premier et en 1863 pour le second. L'entreprise est alors gérée par des héritiers successifs. En 1906, forte de sa renommée, l'entreprise ouvre sa première boutique à Genève.
L'année 1839 marque un tournant dans l'aventure de Vacheron Constantin. C'est en effet cette année que Georges-Auguste Leschot rejoint l'entreprise en tant qu'ingénieur de production. Leschot va révolutionner le monde de l'horlogerie en apportant de nouvelles techniques, notamment l'adaptation du pantographe aux besoins de l'industrie horlogère. Grâce à lui, Vacheron Constantin fera figure de précurseur dans l'ère industrielle. Georges-Auguste Leschot devient le premier homme à avoir normalisé des mouvements dans des calibres.
Son travail d'expert est d'ailleurs récompensé, en 1844, par une médaille d'or décernée par la Société des arts de Genève pour son dispositif pantographique innovant. En 1872, Vacheron Constantin participe à son premier concours de précision organisé par l'Observatoire de Genève, et les modèles présentés par la marque obtiennent différentes distinctions.
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1955 est une nouvelle année-clé dans l'histoire de Vacheron Constantin. la marque lance, en effet, l'une des montres les plus plates au monde avec un calibre ne dépassant pas 1,64 mm d'épaisseur. Vacheron Constantin reçoit, en 1972, le diplôme du Prestige de France décerné à Paris pour une montre-bracelet au design totalement novateur. La marque confirme son style prestigieux avec la sortie, en 2003, de la ligne Égérie, entièrement dédiée aux femmes. La collection est composée de modèles raffinés et élégants avec, pour certains, des impressions de diamants.
En 2005, pour fêter ses 250 ans, Vacheron Constantin innove encore en créant la montre-bracelet à double face la plus complexe au monde. Cette dernière propose un assemblage inédit de 16 compilations horlogères et d'indications astronomiques. Vacheron Constantin détient le titre de plus ancienne manufacture horlogère avec une histoire horlogère ininterrompue, bâtie sur 270 ans d’expertise.
Nous sommes en 1972, à la foire horlogère de Bâle. Là, Audemars Piguet dévoile un tout nouveau modèle, la Royal Oak. L’effet est saisissant, avec une proposition complètement inédite : une montre acier, au style moderne, vendue avec tous les codes du luxe, et notamment son prix, équivalent aux modèles en métal précieux. Le design, signé Gérald Genta, est lui aussi innovant : un boîtier fin aux lignes acérées, un bracelet intégré, et une lunette imposante. Le public ne le sait pas encore, mais cette nouveauté vient de créer un style à elle toute seule, le sport-chic, subtil mélange d’élégance et de décontraction. Voyant cela, les autres grandes maisons horlogères vont alors s’empresser de suivre le mouvement.
Mais à y regarder de plus près, la 222 n’est pas la première incursion de Vacheron Constantin dans le monde du sport-chic. Car en 1975, deux ans avant la 222, la maison à la croix de Malte dévoile la 2215 Chronomètre Royal. Côté design, les codes sont bien respectés : bracelet intégré, boîtier anguleux et lunette octogonale. Mais la magie n’opère pas. Et la 2215 est un cuisant échec pour Vacheron Constantin, qui doit rapidement proposer quelque chose de plus abouti.
Vacheron Constantin, qui aime cultiver une certaine forme d’originalité, décide de fêter un anniversaire peu commun : le 222ème anniversaire de la marque. Jörg Hysek s’empresse de répondre à la commande et propose ses dessins à Vacheron Constantin. On est loin des histoires rocambolesques de Genta dessinant en une nuit la Royal Oak la veille de la foire de Bâle 1971. Mais le résultat n’en est pas moins saisissant.
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Côté design, la 222 est une montre résolument moderne, et ça se voit ! Son boîtier tonneau présente des angles fins et vifs. Il est construit en une seule pièce, ce qui implique d’emboîter le mouvement par le haut. Ensuite, vient se visser la lunette cannelée, pour garantir une étanchéité de 120 mètres, identique à celle de la Nautilus et la Royal Oak. Une croix de Malte en or est apposée sur le boîtier, à 5h. Le profil est extrêmement fin, avec seulement 7 mm d’épaisseur, ce qui est encore mieux que la Nautilus 3700/1 et la Royal Oak 5402A qui émargent respectivement à 7.6 mm et 7.15 mm. Contrairement à ses deux “grandes sœurs”, les Royal Oak et Nautilus, la 222 ne s’inspire pas de l’univers maritime, mais plutôt de l’architecture. Et le résultat est spectaculaire.
La 222 est animée par le calibre 1120. Mais en réalité, la Royal Oak, la Nautilus et la 222 partagent la même base mécanique : le calibre 920, signé Jaeger-LeCoultre, qui n’a jamais aussi bien porté son surnom de “horloger des horlogers”. Il s’agit d’un mouvement automatique ultra-fin (seulement 3.05 mm d’épaisseur), qui n’a jamais, à proprement parler, été utilisé comme tel par Jaeger-LeCoultre, mais a servi de base à différents mouvements pour Vacheron Constantin (calibres 1120, 1121, 1122), Patek Philippe (calibres 28-255, 28-255C), et Audemars Piguet (calibres 2120, 21251, 2122).
La 222 est produite entre 1977 et 1984. Au cours de cette -courte- carrière, elle est déclinée en trois tailles. La “Jumbo” de 37 mm, réf. 44018, qui accueille le calibre automatique 1121, date sans seconde ; la 34 mm, réf. 46003, qui reçoit le calibre automatique 1124, avec date et seconde centrale ; et enfin la 24 mm, réf 6001 & 60701, avec son mouvement 1009 à quartz, sans date ni seconde. Il y a même eu une version carrée de 3 1mm de côté, réf. 46004.
La 222 est remplacée en 1984 par la 333 Phidias, puis par la Overseas lancée en 1996. Celle-ci devient rapidement le best-seller de la marque, tout en revendiquant sa filiation avec la 222 de 1977. Ainsi, si l’on met de côté la 2215 Chronomètre Royal, la 222 est véritablement l’ancêtre des montres sport-chic de la maison à la croix de Malte.
Presque 40 ans après l’arrêt de la production de la 222, Vacheron Constantin dévoile une réédition fidèle de la jumbo 37 mm de 1977. Inaugurée au Watches & Wonders 2022 (on appréciera le clin d’œil pour l’année choisie), cette version, réf. 4200H, reprend en tout point le dessin de son aïeule. Le boîtier de 37 mm en or jaune 18 carats garde son profil fin, avec seulement 7.95 mm d’épaisseur. La cadran arbore une magnifique couleur champagne, tandis que la croix de Malte, à 5h, est en or blanc. Puis, en janvier 2025, pour les 270 ans de la marque, Vacheron Constantin présente une version acier, avec un cadran bleu mat.
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Les 222 réf. 4200H partagent le calibre manufacture 2455/2. Ce mouvement automatique dispose de 27 rubis, oscille à 28.800 alternances par heure, et propose 40 heures de réserve de marche. La masse oscillante en or 18 carats est gravée d’un “222”, qui se trouvait sur le fond plein sur le modèle de 1977, lui-même désormais remplacé par un fond transparent.
Avec deux rééditions très réussies, la 222 prouve qu’elle a encore sa place dans le catalogue de Vacheron Constantin, telle une icône indémodable. Elle reçoit enfin toute l’attention qu’elle mérite, et son retour en grâce n’est qu’une nouvelle étape dans l’extraordinaire destin de cette montre. Et l’on peut faire confiance à Vacheron Constantin pour entretenir le mythe, tout en restant fidèle à sa devise : « Faire mieux si possible, ce qui est toujours possible ».
La quête de précision, l'esprit d'innovation, la vision artistique et le dévouement à la tradition horlogère s'expriment pleinement à travers les mains expertes des maîtres d’art de Vacheron Constantin. La Maison est une réserve inégalée de connaissances et de savoir-faire, qui attire des talents rares mus par la passion. Depuis sa création en 1755, la Maison Vacheron Constantin accorde une grande importance à l’art et à la culture.
Vacheron Constantin s’attache à cultiver le savoir-faire, les techniques et les outils nécessaires pour perpétuer les battements d’un mouvement parfois centenaire, car ils sont porteurs d’une histoire chère à la Maison. Le mouvement est le cœur battant d’une montre. Ses nombreux composants doivent donc être parfaitement formés et assemblés. La quête de l'excellence horlogère est un voyage pour Vacheron Constantin depuis 1755.
Conçu par l’architecte de renom Bernard Tschumi, le bâtiment contemporain en forme de demi-croix de Malte réunit sous un même toit la direction, l’administration et les ateliers. Depuis plus de deux siècles, Vacheron Constantin explore tous les aspects de l’horlogerie, des régulateurs à tourbillon aux affichages astronomiques, des montres à sonnerie à celles à chronographe.
À l’occasion de son bicentenaire, Vacheron Constantin réaffirme sa vocation à créer des montres élégantes et dévoile la montre-bracelet la plus fine, composée de 117 composants et équipée du légendaire calibre 1003 9''' d’une épaisseur de 1,64 mm et qui reste à ce jour l’un des mouvements mécaniques à remontage manuel les plus fins au monde.
Aujourd’hui, revenons sur l’histoire de la montre chronographe Vacheron Constantin Overseas. Les années 70 représentent une période importante dans le monde de la haute horlogerie et de l’horlogerie en général. En effet, c’est en 1969 que la première montre à quartz destinée au grand public est présentée au monde par la marque japonaise Seiko. Dans les années 70 donc, l’heure était à la prise de décisions d’envergure pour les fabricants de montres en tous genres, incluant les fabricants de montres de luxe.
Cette montre grandiose doit son nom au fait que la marque fêtait alors ses 222 ans. Ce garde-temps d’un style complètement nouveau par rapport aux autres modèles de chez Vacheron Constantin fut donc leur façon de célébrer leur anniversaire. Rappelons que Vacheron Constantin est considérée comme étant l’une des plus vieilles maisons de fabrication de montres du monde, avec des débuts remontant à 1755.
Mais avant de nous pencher sur la Overseas, jetons un œil à quelques caractéristiques de la 222, l’origine de toute cette histoire: cette montre d’un genre nouveau fut produite proposant un boîtier au choix de 34 ou 37 millimètres de diamètre en forme de tonneau, forme devenue une des signatures de la marque pour une sélection de modèles depuis son introduction 1912. Ce boîtier était très peu épais, avec une lunette ronde crantée et une minuscule croix de Malte incrustée à cinq heures à même le boîtier, à l’extérieur de la lunette. Sa construction d’une seule pièce était faite pour résister à des plongées jusqu’à 120 mètres de profondeur.
À l’intérieur du boîtier, c’est le calibre VC1120 qui était utilisé pour entraîner la montre. Le VC1120 avait beau avoir été conçu dans les années 60, il n’avait pas pris une ride. C’était d’ailleurs le même calibre, développé à l’origine par Jaeger-Lecoultre, qui entraînait la Royal Oak, ainsi que la Nautilus dont on parlait plus haut.
Puis, au milieu des années 80, la production de la 222 fut arrêtée. Elle fut remplacée par la 333, puis par la Phidias. En voyant le succès grandissant de ces modèles de sport, Vacheron Constantin décida de passer à la vitesse supérieure. La première Overseas était étanche jusqu’à 150 mètres de profondeur. Depuis ses débuts, la Overseas se veut contemporaine, dans l’ère du temps, et intimement liée au concept du voyage, d’ou son nom qui signifie “A l’étranger”.
Pendant les années qui suivirent ce premier lancement, des modèles plus discrets furent proposés, avec des boîtiers de 35 millimètres, et même 24 millimètres de diamètre. Et en 1999, une version Chronographe de la Overseas fut présentée au public, et accueillie avec beaucoup d’enthousiasme. Cinq ans plus tard, en 2004, la marque lança une nouvelle version de la Overseas. Son boîtier mesurait 42.5 millimètres de diamètre, et renfermait le calibre VC1126 ou toujours le VC1137 pour la version chronographe.
Le nouveau boîtier, de plus de 42 millimètres, rendait la montre classique à trois aiguilles et sa version chronographe bien plus masculines qu’auparavant. Pour contre-balancer cet effet, Vacheron Constantin proposa une version féminine de la Overseas avec un boîtier de 34 millimètres de diamètre et un cadran disponible en plaqué-argent avec des indices d’heures en or blanc, ou en nacré avec des indices d’heures en diamants.
En 2006, la marque présenta une version “dual-time” de la Overseas. Celle-ci était dotée d’un sous-cadran indiquant l’heure d’un autre fuseau horaire, d’un autre indiquant la date du jour, d’un indicateur de réserve de marche, et d’un indicateur jour/nuit. En 2007, ce fut l’apparition des premières Overseas avec des bracelets en cuir.
En 2016, une nouvelle collection offrait des traits élégants, des formes et des textures modernes, ainsi que plusieurs nouveaux calibres ultra-performants développés en interne par la marque : la série 5000. En 2016 toujours, une autre Overseas vint s’ajouter aux cinq modèles de cette génération: La Overseas Worldtimer.
On l’a vu, Vacheron Constantin a régulièrement fait évoluer la Overseas depuis sa création en 1996. La version Chronographe se démarque du reste de la collection, notamment en raison de la taille de son boîtier, 42.5 millimètres de diamètre et 13.7 millimètres d’épaisseur, sur lequel on trouve d’imposants boutons poussoirs de chronographe. Elle est entraînée par le calibre 5200 qui fait partie des mouvements de la série 5000.
Les montres de chez Vacheron Constantin ne sont que rarement équipées de matériaux luminescents permettant de lire les informations transmises par le garde-temps dans le noir. Cependant, sur un chronographe de sport, cette fonction fait partie des standards de l’industrie. Vous l’aurez remarqué, cette version propose l’indicateur de date à 4:30 sur le cadran comme sur les modèles time-and-date de 2004, et non plus à 12:00 comme c’était le cas sur les premières Overseas Chronographes.
Pour finir, on peut dire que cette version de la Overseas Chronographe s’inscrit parfaitement dans l’évolution de cette montre de légende. Elle respecte l’esprit fort de la 222 vintage et des premiers modèles d’Overseas qui ont conquis la planète, et y ajoute un sentiment de modernité parfaitement dosé. À l’instar de la marque, cette Overseas Chronographe respire la perfection modeste, et l’élégance pure. Elle allie l’excellence technique et la pureté du design. Malgré le fait qu’il s’agisse d’une montre plutôt imposante, elle n’est absolument pas tape à l’oeil. Au contraire, elle sait se faire discrète, tout en restant présente.
Dans sa version en acier, la nouvelle Overseas Chronographe est vendue à 30 300 dollars. Si vous préférez l’or, il vous faudra débourser 46 600 dollars.
Pour revenir sur les pas de cette marque prestigieuse, il faut retourner au beau milieu du 18ème siècle, en Suisse. Jean-Marc Vacheron, le fondateur de ce qui deviendra Vacheron Constantin, naît à Genève en 1731. Il est le fils de Jean-Jacques Vacheron, tisserand de profession.
Entre le début de sa carrière en 1755 et la fin de celle-ci en 1785, Jean-Marc Vacheron aura mis au point des montres à complications élaborées et développé les premiers cadrans guillochés. Après plus de 30 ans de travail, il passe le flambeau à son fils de 25 ans, Abraham Vacheron, au pire moment qui soit. En effet, la révolution française de 1789 vient perturber l’économie horlogère suisse, reposant en majorité sur les achats de l’aristocratie française.
En 1810, il cède les rennes à son fils Jacques-Barthélémi. À cause des guerres qui font rage sur le sol européen, le commerce est mis à mal encore une fois. La plupart des relations commerciales qui faisaient la stabilité de Genève sont gelées. Alors que les ateliers d’horlogerie ferment les uns après les autres, Jacques-Barthélémi se sert de ses contacts parisiens afin de conserver de bons rapports commerciaux avec la France.
1819 est une date clé puisqu’elle marque le début de la collaboration entre Vacheron et François constantin, fils de négociant né à Genève et homme d’affaires brillant. Une lettre envoyée depuis Turin par Constantin la même année nous révèle la devise de l’atelier : « Faire mieux si possible, ce qui est toujours possible ». À partir de ce jour, la société est renommée Vacheron Constantin.
Il s’agit de Georges Auguste Leschot, nommé directeur technique. Grâce à ses talents d’inventeur, il met au point en 1841 un instrument qui va révolutionner l’industrie horlogère de l’époque : le pantographe. Cette machine permet de pointer et fraiser les platines de montres d’une manière identique d’une pièce à l’autre, à partir d’une matrice appelée patron. C’est un 1er pas vers l’interchangeabilité des composants des mouvements horlogers.
En 1935, la manufacture crée la montre la plus compliquée du 20ème siècle, offerte au futur roi d’Égypte Farouk 1er. En 1936, c’est Charles Constantin qui devient administrateur de la fabrique mais deux ans plus tard, Vacheron Constantin est intégrée au Groupe Jaeger Lecoultre.
En 2005, Juan-Carlos Torres est président directeur général de V.C, avant de laisser son poste à Louis Ferla en 2017.
Sculpté dans un lingot d’or d’un kilo et serti de 118 diamants totalisant 130 carats, le modèle Kallista (« la plus belle » en grec), est l’une des créations horlogères les plus éblouissantes de tous les temps.
Kallista, montre réalisée en 1978. C’est le modèle le plus cher du monde avec un prix de 11 millions d’euros. Taillée dans l’or puis sertie de diamants, elle a demandé 6000 h de travail.
Ci dessus, le modèle 57260 sortie en 2015 pour les 260 ans de la Manufacture. C’est la montre la plus compliquée au monde avec ses 57 complications. Elle est dotée de deux cadrans. Son épaisseur est de 5.5 centimètres. Une nouvelle prouesse après la sortie en 2005 de la montre Tour de l’île.
Référence | Taille | Calibre | Particularités |
---|---|---|---|
44018 | 37 mm ("Jumbo") | 1121 | Automatique, date sans seconde |
46003 | 34 mm | 1124 | Automatique, date et seconde centrale |
6001 & 60701 | 24 mm | 1009 | Quartz, sans date ni seconde |
46004 | 31 mm (carrée) | N/A | Version carrée |
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