L'histoire du stand de tir Saint-Michel est riche et diversifiée, marquée par des événements importants et un engagement constant envers ses membres.
La SM Avranches est à l'origine un club omnisports, fondé en 1919 par Louis Leclerc, professeur d'éducation physique à l'Institut Nodre-Dame et constitué de deux sections : athlétisme et préparation militaire.
Une section basket est bientôt créée, ce qui fait de la SM Avranches le premier club de basket de la Manche. Le challenge Jacques-Pigeon oppose les équipes normandes (Avranches, Cherbourg, Flers, Saint-Lô) aux équipes bretonnes (Combourg, Dol-de-Bretagne, Fougères, Rennes, Saint-Malo) en 1950.
Entre 1954 et 1957, sous la conduite de l'entraîneur Robert Duchesnay (1928-2020), le club monte au premier niveau départemental. La section tir sportif est la seule, avec le basket et la gym, à subsister.
La Saint-Michel Avranches est le seul club de tir sportif bas-normand à disposer d'une section handisport.
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En 2007, Hervé Dupichaud se présente au stand de tir, rue Saint-Exupéry, en annonçant : « Je veux faire du tir mais je suis malvoyant. »
Depuis, Hervé Dupichaud a remporté de multiples titres de champion et vice-champion de France de tir à la carabine air comprimé. Il est aussi devenu responsable de la section handisport et des entraînements.
Depuis, une dizaine d'adeptes de la discipline, malvoyants et handicapés moteurs, ont rejoint la section.
Affilié à la Fédération française handisport, le club a reçu le label qualité en mars 2013 par le Comité régional olympique et sportif (Cros) de Basse-Normandie.
Son stand est ouvert à toutes et à tous avec la volonté que valides et handicapés puissent pratiquer et partager ce sport avec un maximum de plaisir, de confort, et de sécurité.
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« Être handisport demande plus d'attention et ça gêne quelquefois les gens. Les valides ont peur du handicap, et les personnes handicapées ont peur des valides.
Pour satisfaire chacun, nous avons donc ouvert un créneau handisport chaque mardi après-midi, mais en revanche le samedi les entraînements sont mixtes, car il faut faire attention à ne pas créer de ghettos.
Comme les valides, les tireurs handisports doivent payer leur licence à la Fédération française de tir (110 €, dont 70 € d'adhésion annuelle au club), mais aussi une licence handisport de 25 € en loisirs, et 53 € en compétition.
Le cambriolage a eu lieu fin décembre dans une propriété de Saint-Michel-Chef-Chef, commune du Pays-de-Retz (Loire-Atlantique). Les voleurs ont emporté quatre fusils et deux pistolets.
Le bourg de Saint-Michel-Chef-Chef, connu pour ses célèbres galettes au beurre, se serait bien passé d’être au cœur d’une nouvelle affaire liée à des armes de guerre. Avec 420 licenciés, son club de tir est un des plus importants du département et accueille notamment beaucoup de collectionneurs de pistolets et fusils anciens.
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A la suite d’une instruction ouverte en octobre 2013, une soixantaine d’armes, manifestement pas toujours déclarées en Préfecture, avaient été saisies en avril 2015.
Cette fois, l’histoire est tout autre. Elle s’est déroulée fin décembre chez un adhérent du club domicilié à Saint-Michel-Chef-Chef. Il découvre un matin que des fusils d’assaut et des pistolets ont disparu de leur rangement.
Le cambriolage aussitôt signalé à la gendarmerie fait l’objet de l’enquête d’usage en commençant par l’environnement de la victime.
Car cette relation de travail a un frère dont le passé judiciaire dessine le portrait du suspect potentiel. En avril 2014, il avait été condamné à 30 mois de prison dont six avec sursis pour le braquage de la bijouterie Les Mégalithes à Saint-Nazaire, en mars 2013. Il n’avait alors que 17 ans.
D’autres investigations ont permis d’établir que la voiture de la mère du suspect est passée par les lieux du cambriolage cette nuit-là. Un faisceau d’indices permettant l’interpellation des deux frères et de la mère.
Ils ont contesté leur implication mais ont été mis en examen puis écroués. Il reste au juge d’instruction à établir la responsabilité de chacun et aussi de tenter de mettre la main sur les armes que perquisitions et auditions n’ont pas permis de retrouver.
Pour Jean-Pierre Rainglet, président du club de tir de Saint-Michel-Chef-Chef, il s’agit bien d’un cambriolage ciblé. Selon lui, le détenteur des armes n’a rien à se reprocher.
"Les armes semi-automatiques font partie de la catégorie B. C’est-à-dire qu’on doit avoir une autorisation préfectorale pour en posséder et qu’elles doivent impérativement être enfermées dans un coffre. Là, c’était le cas...
Saint-Michel-Chef-Chef qui se nommait autrefois Saint-Michel du Chevecier dépendait du Duché de Retz. Puis, Jean de Malestroit, nommé évêque de Nantes en 1419, acheta cette paroisse à Gilles de Retz, le trop fameux "Barbe Bleue".
Un chevecier était autrefois le dignitaire d'un couvent, ou d'une abbaye. Il y en avait plusieurs dans la région. Le Chevecier-Chef résidait au couvent principal, à Saint-Michel. On disait alors : Saint-Michel du Chevecier Chef pour désigner sa résidence.
Par abréviation, ce nom est devenu peu à peu : Saint-Michel de Chef-Chef. Tout celà est antérieur à la Révolution française de 1793. A cette époque, par haine de la noblesse et de la religion, on supprima les mots "saint" et "de", et le pays devint : Michel-Chef-Chef.
Ce n'est qu'à partir de Mai 1841 qu'on retrouve dans les archives municipales le nom actuel : Saint-Michel-Chef-Chef.
Saint-Michel-Chef-Chef, implanté au fond d'une baie, entre le port de Saint-Nazaire et la pointe Saint-Gildas, est composé de deux stations: Saint-Michel et Tharon-Plage.
En premier lieu, le bourg de Saint-Michel, avec son église majestueuse (XIXème siècle) aux vitraux lumineux, domine, à l'est, toute la campagne et le magnifique plan d'eau qu'est le lac des Gâtineaux; et, à l'ouest, à quelques centaines de mètres, une côte variée offre de grandes plages de sable fin et des criques délimitées par des ensembles rocheux se prolongeant en mer pour le plaisir des pêcheurs à pied ou des pêcheurs au carrelet du haut de leurs pêcheries.
En second lieu, Tharon-Plage, la station balnéaire qu'un architecte nantais, M. A Tharon, comme à Saint-Michel, les eaux de baignade sont classées en catégorie A (eau de bonne qualité).
Deux chenaux accessibles à tous délimitent la zone surveillée de la plage de Tharon: l'un au sud, entre la source et le "grand escalier", l'autre au nord, face à la base nautique de la Cormorane.
Ce spot, idéal par vent d'ouest (vent dominant), fonctionne aussi par vent de sud ou même de nord; par vent d'est (de terre), le site est rarement intéressant par vent d'est et particulièrement à déconseiller par vent de nord-est (instable).
Pour les débutants (et même les autres), la marée basse est très intéressante car la mer est plate. Bien qu'il existe un chenal pour les planchistes sur le site de Gohaud, le spot est plutôt prisé par les surfeurs et les amateurs de body-board.
Le spot des Rochelets est le plus connu de la région pour la vague. Saint Brévin l'Océan, juste au nord de Saint-Michel-Chef-Chef. Par SNCF: lignes directes Paris-Pornic et Paris-St-Nazaire - T.G.V.
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