Les fusils anglais ont joué un rôle crucial pendant la Seconde Guerre mondiale, équipant les forces militaires britanniques et contribuant de manière significative à l'effort de guerre.
Le Fusil Lee-Enfield SMLE Mark III est l’arme principale des forces militaires britanniques. Utilisées dans les reconstitutions historiques, les films, les séries, ainsi que par les collectionneurs. Les reproductions d’armes Denix, fabriquées à partir de matériaux de haute qualité.
Le Fusil Lee-Enfield SMLE Mark III Denix peut être utilisé pour vos reconstitutions historiques. Ce fusil, fabriqué par la célèbre société espagnole Denix, est fabriqué avec des matériaux de première qualité tels que le bois et le zamak, ce qui garantit sa durabilité et sa résistance. D'une longueur de 113 cm, cette réplique est une reproduction fidèle du fusil Lee-Enfield SMLE utilisé par le Royaume-Uni pendant la Seconde Guerre mondiale.
Son design soigné et détaillé vous permettra de vivre une expérience unique en l'affichant dans votre collection ou en l'utilisant comme élément de décoration dans votre maison.
Les Lee Enfield, du MK I au N°5/L42, ont servi l’armée britannique et ses nombreux dominions, de 1895 à 1957. Un vieux et bon serviteur de la monarchie. Celui de ce jour est un bon et classique MK III « étoile » (à ne pas confondre avec le très rare MKIII SANS étoile que Maître Flingus vous présenté ici avec encore son rare volley sight et son cut-offS), version apparue en 1915 par simplification du MKIII sans étoile, apparu lui-même en 1907.
Lire aussi: Recommandations concernant les fusils turcs
L’étoile c’était justement pour le distinguer de son prédécesseur sans étoile de 1907 qui est le même mais avec encore son volley sight (un dispositif de tir lointain en volée descendante) et son cut-off (un dispositif permettant de le transformer en arme en coup par coup pour économiser les munitions).
Le Lee Enfield MKIII est le fusil à verrou le plus rapide de son époque. Et on les y entrainait ! On appelait même ça la « mad minute » (“minute de folie”) dans l’armée britannique d’avant 1914. Le record du monde - toujours à battre à ce jour - pour un tir avec un fusil à verrou est en effet détenu par le Lee Enfield et un instructeur de tir britannique - le sergent instructeur Snoxall - qui, en 1914, mit 38 coups dans une cible de 300 mm de large (12 pouces) à 270 m (300 yards) en une minute avec son MKIII.
Les britanniques ont toujours été d’excellents tireurs. Des flèches d’Azincourt aux plaines de Flandre en passant par les sinistres batailles d’Espagne et de Waterloo sous Napoléon, tous les adversaires des britanniques se sont plus à reconnaitre leur qualité de tireurs de précision. En plus, l’arme fonctionne dans un très bon calibre de guerre et de chasse (les deux activés ne sont jamais très loin l’une de l’autre) - le 303 British.
Notre MK III est donc une arme d’avant guerre de 14, faite pour former d’excellents tireurs dans une toute petite armée professionnelle (officiers sans fusil compris) et pas tous fantassins. C’est une excellente arme de tir, très moderne comparée aux concurrents allemands et français car elle est courte. Une autre nouveauté pour l’époque.
Les anglais avaient appris à se méfier de l’encombrement des armes longues aux colonies (où ils avaient eu pas mal de combats urbains en fait notamment en Asie) et dans la guerre d’Afrique du Sud qui supposait des déplacements fréquents et longs dans une guerre d’embuscades - ils adoptèrent donc une arme remarquablement compacte. Cela fit scandale en Grande-Bretagne.
Lire aussi: Fusil Darne Calibre 12 : Détails Techniques
Clubs de tir, vétérans et armuriers s’inquiétèrent du fait qu’une ligne de mire plus courte et un recul nécessairement accru entrainerait une précision moindre pour les armées de sa Majesté. Toujours l’obsession britannique de la précision. L’opinion de l’état-major sur le praticité d’une arme plus courte prévalue.
Les exemplaires de MKIII (*) datés de la seconde guerre mondiale sont bien moins courants que ceux de 14-18, la production des années 20/30 ayant été assez faible comparée aux années de guerre. Si son successeur véritable, le Lee Enfield No 4 Mk I (on avait changé les dénominations entretemps) a été mis à l’étude dès la fin des années 30, il n’est officiellement adopté qu’à la mi-1941 mais en masse, remplaçant largement le MKIII (*) car plus simple à produire.
En plus ces n° 4 MK I ont été massivement parachutés aux résistances européennes et, en 1er chef, à la Résistance Française et j’en vois donc assez souvent.D’abord les pièces métalliques sont toutes au même numéro (hausse, culasse, chambre, …). Seul l’embouchoir est muet mais néanmoins au modèle. Très peu de traces d’oxydation et assez légères et en embouchoir seulement (j’insiste) ce qui explique sans doute qu’il soit muet notre embouchoir. Pour la hausse, il faut la soulever pour le voir. Je l’ai fait. C’est tout bon au numéro. Pour le reste aucune piqûre - Aucune peu d’orange - Aucune .
L’arme porte bien sur le coté droit, gravés dans le métal au niveau de sa poignée, la Couronne royale au dessus de GR ( pour “George Rex”) - Mais il s’agit cette fois-ci de Georges VI (Roi de 1936 à 1952) et non plus du Georges V de 14-18 (Roi de 1910 à 1936). “et mention “Sht LE III (*)” pour le “short Magazine Lee-Enfield modèle III”. date » 1943 » finement estampée. Pas de mention d’arsenal ce qui est la norme en cette fin de production notamment sur pas mal de N°4 aussi.
Bref un magnifique Enfield MKIII (*), anglais, dans une rare production de la seconde guerre mondiale difficile à trouver - pièce très difficilement « up-gradale » pour son état et pour employer un mauvais jargon roastbeef de circonstances. État quasi muséal en fait !
Lire aussi: Calibre 16: Le Fusil Nemrod
Peu commun Fusil Enfield P14, 5 coups à répétition manuelle en calibre 303 British. Finition d'origine bronzée, belle patine sans oxydation, mécanisme complet et fonctionnel avec toutes pièces d'origine, culasse au numéro différent. canon de 660mm à rayures brillantes miroir sans usure ni tache. Monture en noyer bien réceptionnée sans usure ni accident. Soumis à aucune autorisation.
Le PM STEN fut une des armes le moins raffinées fournies à l'armée Britannique . Dérivé d'un modèle tchèque , cette arme est entrée en service dans l'Armée Britannique en 1937 . Elle fut utilisée pendant la seconde guerre mondiale et servi à armer l'armée Britannique , mais également les mouvements de résistance . les Mark 1 et 2 pour les fantassins , les Mark 3 et 4 pour les parachutistes , plus légers avec un canon plus court .En effet le calibre de 7.7mm du 303 british est une munition redoutable.
La carabine Baker est le fusil de précision de l'armée anglaise, elle fut considérée comme la meilleure arme des guerres napoléoniennes. dans la bataille de Saratoga. La leçon fut bien apprise par les Anglais. Les nombreux voltigeurs de l'armée de Napoléon infligeaient de grosses pertes car peu d'unités équivalentes existaient et étaient en mesure de contre-carrer leur action. sur pieds plusieurs régiments d'infanterie légère équipés de mousquets et deux unités de fusilliers équipées de carabines rayées. abattu par un rifle équipé d'une carabine Baker au combat de Cacabelos). artillerie. anglaise.
D'un poids de 4kg environ et d'une longueur de 1162mm, la carabine Baker est un fusil à canon rayé de 76.2 cm et d'un calibre de 16mm ou 0.625. Il exista plusieurs versions de cette carabine, certaines raccourcies pour les unités de cavalerie. La carabine Baker possède un avantage majeur sur le mousquet classique qui équipe la majorité des troupes : elle tire précisément et deux fois plus loin que le mousquet. canon imprimant une rotation à la balle, celle-ci conserve sa trajectoire ballistique plus longtemps tout en obtenant une vitesse de sortie supérieure. L'inconvénient du Baker est son rechargement : si un soldat recharge et tire avec son mousquet en moins d'une minute, il en n en n'est pas de même pour la carabine. importante que celle du mousquet.
Un bon tireur tire jusqu'à 4 coups avec un mousquet et 2 avec une carabine en une minute. recharger couché. Dans la lignée de l’étude des différents calibres et des carabines qui utilisent ces cartouches, je reviens vers vous avec un article axé sur le calibre .303 British (7.7x56mm R) et le fusil Enfield qui a été en service actif pendant plus d'un siècle en Grande-Bretagne et qui a été adopté par un grand nombre de pays qui avait des liens coloniaux avec elle, dans des régions géographiques, des conflits armés et des climats les plus divers et ce, sans jamais démériter.
Tout à l’origine, le fusil Enfield (Grande-Bretagne) était le P 53, car il a été adopté en 1853 et est resté en service jusqu’en 1867. Une version de sniper avait été faite avait une lunette Malcolm. Celle-ci fut utilisée par la 1ère Section Sharpshooter jusqu' en 1885. Huit ans plus tard, le M1866 .577 " Snider Enfield a été abandonné avec l'adoption du Martini-Henry Rifle. Il a été mis à l'essai en 1869 puis, mis en service en 1871. Le Martin Henry a tiré une nouvelle cartouche sur base de la .577 mais rétrécie au calibre .45 et nommée .577 / 450 Martini Henry.
Le fusil à verrou a été conçu par l’écossais d’origine James Paris Lee. Lee est finalement passé en Amérique pour se lancer dans une carrière de concepteur d’armes à feu. Les derniers essais de 1887 ont abouti à l'adoption par la Grande-Bretagne du Lee Box, le magasin à 6 cartouches qui alimente la carabine à verrou. La cartouche .303 a été conçue par le Major Rubini, directeur du laboratoire d'armes du gouvernement suisse. En 1892, la Colombie britannique a mis au point une cartouche sans fumée à base de Nitroglycérine au nom de cordite. Le chargement de la .303 a été ensuite augmenté pour pouvoir à tirer un projectile chemisé de 215 grains à 2060fps, et c’est donc à partir de 1892 que les fusils construits pour tirer cette charge, ont été désignés comme étant les « Mark I ».
En 1895, les ingénieurs Enfield sont parvenus à concevoir un canon à rayure plus profonde et à cinq rainures. La première introduction du Lee Enfield sur un théâtre d’opération a été faite lors de la guerre des Boers en Afrique du Sud. Malheureusement, le plus MLE ou Long Tom comme il a été communément connu était extrêmement lourd alors que les deux modèles avaient une précision inférieure par rapport au Mauser 7x57 utilisé par les Afrikaners. D'autres modifications mineures ont également été apportées au cours des années suivantes, celles-ci ont abouti sur la SMLE Mk II (1906), suivie par le Mk III (1907). Le SMLE Mk III tire une balle de 174 grains à 2440fps.
En 1910, malgré les modifications apportées au SMLE, on a lancé l’étude d’un tout nouveau prototype à l'Armory Enfield. Le déclenchement de la première guerre mondiale en 1914 arrête les nouvelles expérimentations et le fusil (renommé « P14 » Pattern 1914 Enfield) a été tout simplement modifié pour tirer la cartouche de calibre .303. À la fin de la première guerre mondiale, de nouvelles modifications à la SMLE Mk III ont abouti à la SMLE Mk III *, mais le système des appellations était devenu une source de confusion et par conséquent, il a été décidé de renommer tous les fusils de SMLE en 1926. Le SMLE Mk III * a été renommé SMLE No.1 Mk III. SMLE n ° 2 était une conversion pour la formation en .22LR et le Rifle No.3 était la nouvelle désignation du P14 .303 British.
En 1939, c’est la seconde guerre mondiale qui éclate. Le SMLE No.1 Mk III ayant fait ses preuves, il ne faisait aucun doute que ce serait l'arme d'infanterie standard pour les batailles à venir. Le SMLE a été fréquemment converti en un .308 pour être utilisé comme un fusil de chasse. Bien que semblable en apparence au n ° 1 Mk III, le nouveau n ° 4 Mk I était un fusil très différent notamment au niveau de son action. Le canon de l'No.4 Mk I était aussi beaucoup plus lourd que le n ° 1 MK III pour augmenter la précision lors de tirs soutenus le faisant monter en température.
Lorsque le Japon a tenté d'augmenter ses territoires en occupant les îles de la jungle du Pacifique Sud, les forces alliées ont dû trouver des armes plus appropriées pour la jungle. Le n ° 4 Mk I, a été jugé trop long et difficile à manier.
Par conséquent, une variante plus courte du Enfield a été créé pour la guerre de jungle. Produit au Fazakerley Arsenal en 1944 en plus petites quantités, la carabine jungle No.5 Mk I avait un canon plus court de 18.5 " et une plaque de couche en caoutchouc. L'armée britannique était mal équipée en fusils de sniper lorsque la seconde guerre mondiale a commencé.
En effet, le P14 rencontrait plutôt mal les besoins des tireurs d’élite et sa production en tant qu’arme de précision restait très modeste par rapport aux nouveaux besoins. Le fusil No.4 a également été configuré pour devenir un fusil de sniper (T) grâce aux fusils les plus précis qui étaient sélectionnés à partir des lignes de production et ayant prouvé qu’ils étaient capables de produire des groupements de moins de 5 pouces à 200 yards. Ces fusils qui avaient passé ce test avec succès étaient marqués "TR". Selon les chiffres officiels, le n ° 4 (T) était disponible à partir dès le 12 février 1942 mais un certain nombre d’Enfield convertis avaient apparemment été délivrés à certaines unités de commandos plus tôt que cela.
La firme Holland & Holland a obtenu un contrat pour convertir 12.100 fusils au No. 4 (T). C’est finalement, 23.187 No. 4 (T) s qui ont été convertis par H & H. La lunette et le fusil étaient marqués. Le Enfield No. Chaque Enfield No. 4 (T), à l'exception de quelques conversions Enfield du début, a été équipé d'un busc en bois qui était attaché à la crosse avec deux vis. Son but était d'améliorer la visée du tireur en lui permettant d’y poser la joue et d’avoir ainsi la tête stable en appui sur la crosse.
La lunette de visée a un grossissement de puissance 3x et un champ de vision de 8 inches. Les incréments de réglage sont d’une minute d'angle (MOA), ce qui équivaut à un pouce (25,4mm) par click à 100 yards. Cette lunette était démontable facilement et trouvait sa place dans une boîte de rangement qui elle-même disposait d’une place de rangement dans le coffre de transport que l’on voit, ci-dessous.
Calibre: ……………………………….Longueur du canon : ……………….… 25.2 in.Longueur totale : …………………….. 44.5 in.SGT. No32 MkIII O.S.
Tous ces fusils ex-militaires peuvent encore être trouvés pratiquement à l’état neuf et peuvent être achetés dans les magasins d'armes à feu à des prix bas. La cartouche .303 British (7.7x56mm R - Le « R » pour Rimmed = cerclée) a servi les forces du Commonwealth jusqu'en 1954 avec le Lee-Enfield, et celui-ci a été officiellement remplacé par le fusil FAL belge et d’autres variantes dans le calibre 7,62 OTAN. Une petite quantité de fusils No.4 désigné 2A et 2A1 ont été convertis en 7,62 OTAN de 1964 à 1965. Les différents types de .303 .
Avec des projectiles classiques, le .303 British donne des performances plus ou moins identiques à la .308 Winchester bien qu'il ne soit pas si pénétrant. Il y a encore un certain nombre de charges d'usine disponibles pour les .303 British. Toujours en munition civile ou de chasse, Remington produit deux charges pour le .303, une charge avec une FMJ de 174 de grain avec un relativement pauvre BC de .315 (l'original Mk. 7 projectile BC était de .400) dont la vitesse est annoncée à 2475fps mais avec un 2400fps réaliste et la cartouche de chasse de 180 grains Core-Lokt RNSP à un 2460fps annoncés pour une vitesse réelle autour des 2400fps.
Prvi Partisan a commercialisé deux bonnes cartouches de .303 british de 150 et 180 grains à des prix très économiques. Ces cartouches ne sont pas chères et la 150 grains donne une performance très similaire à la Hornady Interlock.
Pour conclure, je dirai que bien qu’il soit détrôné par les armes tactiques automatiques modernes, le Lee-Enfield était et reste un fusil de combat solide, efficace, polyvalent, résistant à la pluie et à la boue et dont la précision à longue portée intermédiaire est plutôt bonne.
D’ailleurs, on le trouve encore en service actif dans les pays qui manquent de ressources pour l'équipement militaire moderne, et avec son calibre .303, il est toujours bien utilisé pour la chasse dans de nombreux pays de l’ex-empire britannique. Par ailleurs, les pièces et les accessoires des SMLEs et des autres configurations restent assez faciles à trouver et à prix modérés pour faire d’éventuelles réparations.
Même si certains fusils mitrailleurs allemands avaient une architecture un peu semblable, l’armurerie britannique est pratiquement à l’origine du principe « bullpup » qui consiste à reculer le mécanisme en arrière de la détente, jusque dans la crosse.
En effet, dès le tout début des années 1950, divers prototypes ont été produits à Enfield, parfois dans de très petits calibres spécifiques (4,25 mm) avec le fusil EM 2 qui ne sera finalement jamais adopté. Le principal avantage d’une telle disposition est de pouvoir créer une arme compacte tout en montant un canon long qui permet de profiter de toute la puissance des cartouches de très petit calibre. Mais aussi, la distribution des masses rend plus confortable le contrôle du tir en rafales. Parmi les inconvénients, on notera surtout l’utilisation ambidextre impossible sans un minimum de démontage, puisque l’ouverture de la culasse se fait au niveau de la joue du tireur.
Le L85A1 a connu son baptême du feu lors de la Guerre du Golfe (Koweït 1990-1991). Il fut construit de 1985 à 1994 par l’Arsenal royal d’Enfield pour la British Army (à l’exception du Special Air Service). Une partie des défauts du L85A1 ont été éliminés avec l’aide de la firme allemande Heckler & Koch pour devenir le L85A2. Bon nombre des organes les plus importants de l’arme ont été redessinés : polissage des pièces internes afin d’aider au chargement et à l’extraction, changement de la culasse, de l’extracteur, de l’éjecteur, du ressort de recul, du percuteur, du levier d’armement, des chargeurs, du cylindre des gaz, du marteau, du canon (pour la version fusil-mitrailleur)1.
Il en est dérivé un fusil mitrailleur : le L86A1 LSW. De même, il a été extrapolé un fusil de cadet (L98A1) tirant au coup par coup par répétition manuelle pour l’entraînement des jeunes recrues, et une carabine légère (L22A2) munie d’un canon court et d’une poignée antérieure.
tags: #fusil #armee #anglaise #histoire