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L'Omega Seamaster Diver 300M incarne l'alliance parfaite entre performance et élégance. Ce garde-temps emblématique, conçu pour les aventuriers des océans, séduit autant par ses prouesses techniques que par son esthétique raffinée.

Un design inspiré des abysses

Le cadran bleu profond, orné d'un motif ondulé, évoque les mouvements de l'océan. La lunette unidirectionnelle en céramique bleue assortie offre une robustesse exceptionnelle et une lisibilité optimale. Les index et aiguilles en rhodium, généreusement enduits de Super-LumiNova, garantissent une visibilité parfaite, même dans les eaux les plus sombres.

Technologie de pointe pour plongeurs exigeants

Étanche jusqu'à 300 mètres, cette Seamaster est équipée d'une valve à hélium automatique, indispensable pour les plongées professionnelles en saturation. Le boîtier en acier inoxydable de 42 mm abrite le calibre Omega Master Chronometer 8800, certifié par le METAS, offrant une précision et une résistance magnétique exceptionnelles.

Confort et durabilité au poignet

Le bracelet en caoutchouc bleu structuré assure un ajustement parfait et une résistance optimale à l'eau de mer et aux UV. Sa boucle déployante en acier inoxydable permet un réglage précis et sécurisé, idéal pour s'adapter aux combinaisons de plongée.

L'héritage d'une icône

Descendante directe des montres de plongée Omega des années 1950, la Seamaster Diver 300M perpétue une tradition d'excellence. Son design emblématique, reconnaissable entre mille, a su évoluer tout en conservant son ADN unique.

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Précision certifiée Master Chronometer

Le mouvement automatique Omega 8800 est certifié Master Chronometer, garantissant une précision de -0/+5 secondes par jour et une résistance aux champs magnétiques jusqu'à 15,000 gauss. Cette prouesse technique assure une fiabilité à toute épreuve, que ce soit dans les profondeurs marines ou au quotidien.

Un compagnon pour toutes les occasions

Bien qu'elle soit conçue pour les défis sous-marins, la Seamaster Diver 300M s'adapte avec élégance à tous les styles de vie. Son design sophistiqué en fait un accessoire de choix pour les tenues décontractées comme pour les occasions plus formelles.

Une montre de légende, un investissement durable

L'Omega Seamaster Diver 300M n'est pas seulement un instrument de précision, c'est aussi un objet de collection prisé. Sa valeur stable et son statut iconique en font un investissement judicieux pour les passionnés d'horlogerie.

Choisir cette Seamaster, c'est opter pour un concentré de technologie, de style et d'histoire. C'est porter au poignet l'héritage d'une marque qui a accompagné les plus grands explorateurs des océans et de l'espace, tout en affirmant un goût sûr pour l'excellence horlogère suisse.

Baselworld 2018 : Un nouveau chapitre pour la Seamaster Diver 300M

Le Baselworld 2018 a été le théâtre de la présentation de la nouvelle collection Seamaster Diver 300M, marquant les 25 ans de ce modèle emblématique. Omega a fait sensation avec plusieurs nouvelles pièces plus impressionnantes les unes que les autres. Pour fêter les 25 ans de cette montre d’exception, Omega nous propose un modèle revisité du tout au tout, en gardant bien évidemment l’esprit, la finesse, et la force de caractère de ce modèle emblématique de la marque.

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Tous ces modèles sont donc présentés en avant-première au Baselworld, et devraient être disponibles chez les distributeurs à partir du mois d’août. Cette nouvelle collection de Seamaster Diver 300M contient un total de 14 nouveaux modèles. Six sont en inox, et huit dans un alliage d’or et d’inox. Pour la nouvelle collection, on nous offre un boîtier de 42 millimètres, sur lequel chaque détail de design a été repensé et revisité, encore une fois en gardant l’esprit général de la montre originale.

Le magnifique cadran, lui aussi en céramique, est disponible en couleur chrome, bleu, ou noir plus classic. Comme vous pouvez le voir sur les photos ci-contre, le dessin de vague propre à la Seamaster qui rappelle l’inspiration marine du modèle est gravé au laser sur la totalité du cadran. Les index du cadran ont eux été surélevés et prennent une allure en trois dimensions intéressante. Vous aurez également remarqué que la fenêtre indiquant la date du jour est désormais placée à 6 heures, et non plus à 3 heures comme c’était le cas sur les modèles plus anciens.

En retournant la montre, vous découvrirez un fond de boîtier aux bords ondulés, et une belle vitre saphir qui vous permettra d’admirer l’impressionnant calibre que renferme ce bijou de technologie et de design. Au niveau du calibre, on retrouve le célèbre Master Chronometer Calibre 8800. La valve d’échappement d’hélium, une des parties les plus importantes de la Seamaster Diver, adopte désormais une forme évasée, presque conique.

Seamaster Diver 300M et James Bond : Une collaboration iconique

Mon nom est Bond, James Bond. Tel est le fameux slogan de l’agent spécial du MI6 depuis soixante ans. En septembre dernier la franchise d’Eon Production a fêté l’anniversaire de l’apparition au cinéma du célèbre agent Britannique, et Omega le célèbre à son tour.

C’est en 1962 que James Bond entame son premier bras de fer contre le Spectre, représenté dans cet opus par le Docteur No pourvu d’une superbe Submariner 6538. En 1995 Pierce Brosnan incarne un James Bond qui reprend un service actif en luttant contre Alec Trevelyan dans le rôle du traitre face à « M ». Alec détourne le fameux satellite laser GoldenEye avec l’aide d’un jeune programmeur Russe.

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Pour épauler James dans cette périlleuse mission, « Q » lui attribue une Omega Seamaster 300 dotée d’une fonction laser. La référence choisie par cet inventeur génial n’est autre que la 2541.80, dont Nicolas vous présentait la version automatique plus tardive il y a quelques années dans un deuxième article consacré aux montres de l’agent britannique. Cette montre de 41 mm de diamètre embarque le calibre quartz Omega 1538 dans un boîtier acier. Le cadran bleu à vaguelettes fait écho aux océans qui caractérisent notre planète, le tout mis en valeur par une lunette acier de la même couleur. Pierce Brosnan l’a eu pour partenaire lors des quatre films qu’il a tournés entre 1995 et 2002.

En 2019 Omega nous propose à nouveau une édition limitée pour les cinquante ans de la sortie du film « Au service de sa Majesté ». La nouvelle Seamaster Diver 300 est à nouveau sélectionnée pour représenter la franchise d’Eon Production. Ce nouveau modèle de 42 mm de diamètre adopte un cadran spécifique : un disque date très 007 et une mention « 50 » dans l’index situé à 10h, intégré au Luminova. L’hommage à James est expansif dans ce modèle.

Le retour de la Seamaster Diver 300 au poignet de Bond a été acté par la superbe édition No Time to Die. Daniel Craig en personne fut sollicité par Omega afin de spécifier la montre idéale de l’agent Britannique. Ici le boîtier en titane de 42 mm associé à un bracelet mesh réalisé dans la même matière tranche avec les modèles en acier utilisés auparavant. La date prend congé du cadran noir surplombé d’index en Luminova couleur radium. Le cadran se pare des marques de l’Armée Anglaise avec la présence de la Broad Arrow à 6h.

Afin de célébrer dignement le 60ème Anniversaire de la franchise, Omega reprend la nouvelle Seamaster Diver 300 tout en l’associant à la première version introduite dans GoldenEye sous la référence 2541.80. Le boîtier en acier de 42 mm reprend les cornes « twistées » de la Seamaster Diver 300. Il est identique au modèle de la collection actuelle 210.30.42.20.03.001. Le cadran d’un bleu plus profond que la version de 1995 est constitué d’aluminium verni. Les vagues sont réalisées au laser avec une plus grande finesse que sur le modèle au catalogue. Les index plaqués rhodium sont remplis de Super Luminova blanc.

Les mentions Co-axial et Seamaster sont plus fines et plus discrètes. La date a disparu, James n’en a pas besoin. Les aiguilles squelette sont reconduites avec une différence de couleur de Super Luminova entre l’aiguille des heures et celle des minutes. L’aiguille des secondes de forme Lollipop rappelle la Seamaster 300 Spectre de 2015. L’insert est lui aussi réalisé en aluminium et reprend la typographie de la montre en collection, à l’exception du triangle inversé qui laisse place au nombre 60.

La côté cadran est très réussi, mais qu’en est-il du fond ? Les fans repèreront immédiatement le fameux Canon dans lequel Bond apparait et… à vous de jouer : filez vite dans votre bibliothèque cinéphile pour passer une agréable soirée en compagnie de 007. Le fond est fixé à l’aide de …roulements de tambour…. 007 vis, et présente une animation entrainée par la roue des secondes faisant s’animer James. Belle trouvaille, une animation dite « à effet de moiré », qui rehausse le boîtier de 0,7 mm, encore un 007, pour une hauteur totale de 14,3 mm.

Le calibre plaqué rhodié 8806 est dérivé du 8800 et conserve sa réserve de marche de 55 heures, une certification Master Chronometer obtenu par l’utilisation d’un balancier silicium. Cette nouvelle Seamaster très réussie, j’aime ce retour aux sources pour le cadran et l’insert en aluminium. Certes l’animation du fond de boîte est novatrice mais épaissit un peu la montre.

Entre une Tudor Pelagos et une Omega Seamaster Diver 300, plusieurs éléments sont à prendre en considération :

  • La Tudor Pelagos bleue est souvent appréciée pour son titane, son bracelet au top et sa sobriété.
  • L'Omega Seamaster Diver 300 avec le calibre 8800 est reconnue pour son cadran magnifique et ses finitions supérieures.

Certains estiment que la Seamaster Diver 300 est plus polyvalente, tandis que la Pelagos est plus toolwatch et moins tape à l’œil. D'autres notent que la Seamaster 300 a basculé de toolwatch à bijou avec sa céramique brillante, tandis que la Pelagos reste plus discrète en titane.

La valve à hélium est bien intégrée dans le boîtier de la Tudor, tandis qu'elle est visible sur la Seamaster. Le mouvement est visible chez Omega, mettant en valeur un beau mouvement, tandis que Tudor opte pour un fond plein.

La Seamaster 300 V2 est plus discrète et plus petite, tandis que la V3, la 8800, est plus voyante et plus grosse.

Seamaster : une icône de la plongée à travers les décennies

Introduite pour la première fois en 1957, cette montre très vintage est considérée comme la première véritable montre de plongée professionnelle d’Omega et marque un véritable tournant pour la collection Seamaster. Elle comprend un boîtier en acier inoxydable à fond vissé surmonté d’une lunette de compte à rebours. Sous le verre bombé, s’expose un cadran noir mat avec index des heures triangulaires couleur Old Radium, des chiffres arabes blancs à chaque quart d’heure et de larges aiguilles luminescentes. La Seamaster 300 a ensuite été déclinée dans plusieurs versions conservant son style initial.

1970 marque la naissance chez Omega de la Seamaster PloProf, une montre spécialement destinée aux plongeurs professionnels, parée d’un design singulier très reconnaissable avec son boîtier monobloc en acier et sa couronne bloquée à 9h. Étanche à 600 m, ce garde-temps est fabriqué dans le but de répondre à la forte demande à cette époque de montres sous-marines performantes, fiables et techniques, mais aussi résistantes et lisibles. La PloProf est d’ailleurs considérée comme « l’une des montres-bracelets de plongée les plus robustes et les plus navigables jamais fabriquées.

La principale caractéristique de ce garde-temps, outre sa technicité, est son boîtier en acier de forme tambour particulièrement massif avec ses 44 mm de diamètre pour 19 mm d’épaisseur. Toujours niveau design, un beau bleu vif pour le cadran et la lunette graduée, deux compteurs à 6 et 12h, un guichet date à 3h, des aiguilles spatule blanches, une grande aiguille à flèche orange pour les minutes, et de larges index patinés luminescents.

En 1993, Omega présente sa Seamaster Diver 300M, une plongeuse performante dont le design intemporel fait penser à l’iconique Rolex Submariner. Ce modèle des années 90 est en fait la version chronographe de la Seamaster Diver 300M. La version actuelle sortie en 2019 présente un boîtier de 44 mm de diamètre, une valve à helium conique facilitant la prise en main, un compteur à 3 et 9h, ainsi qu’un guichet date à 6h.

Au fil des ans, la marque a produit une grande variété de modèles destinés à sa collection Seamaster. En 1994 lors de la sortie du Film GoldenEye une révolution est née. Entre un nouveau Bond et une franchise relancée, Omega s’inscrit pour la première fois dans un film de 007. La ligne Seamaster depuis les années 1960 se tourne vers la plongée, notamment professionnelle. Ainsi depuis la référence CK 2913 apparue en 1957 au sein de la fameuse trilogie Seamaster - Railmaster - Speedmaster, Omega explore les fonds marins. C’est ainsi que de nombreux plongeurs et notamment de ceux de la Royal Navy (référence 166.024) portaient au poignet ces montres reprenant le boîtier de la Speedmaster Professional avec un cadran lisible.

Les évolutions techniques des plongées professionnelles imposeront au fil des années à Omega de repenser leur cahier des charges. Les grands noms s’associent aux références des montres Seamaster vintage. Des montres extrêmes verront le jour au début des années 1970. Ainsi la Proplof (référence 160.077) sera d’abord proposée au commandant Cousteau pour équiper les plongeurs du Calypso. Cette montre sera en mesure d’atteindre plus de 600 mètres grâce à sa boîte monobloc étanche a l’hélium.

Omega développera ensuite la fameuse référence 166.0177 sélectionnée par le SHOM et la marine nationale à la fin des années 1970 pour équiper ses plongeurs professionnels. Enfin une autre personnalité à couper le souffle, Jaques Mayol, fera confiance à la Seamaster 120 référence ST396.0900 dessinée par le magicien Gérald Genta.

En 1988 Omega crée la collection Seamaster Professional 200 m animée par des mouvements quartz et automatiques - références ST396.1042 et ST368.1041. En 1993 Omega présente en avant-première mondiale le chronographe Seamaster Professional 300. c’est la première fois qu’un chronographe chronomètre est équipé de poussoirs fonctionnels jusqu’à 300 mètres sous l’eau. Le calibre 1157 dérivé du Valjoux 7750 est emboîté dans une boîte titane ou acier.

Omega dévoile une nouvelle montre à destination des plongeurs professionnels et amateurs. Cette version 3 aiguilles présente de très belles caractéristiques. Omega nous propose un boîtier acier de 42 mm de diamètre d’une épaisseur de 13 mm présentant une belle finition qui alterne les surfaces polies et brossées notamment au niveau des fameuses anses lyres. Cette boîte est réhaussée par une lunette unidirectionnelle avec un insert Alu. On notera aussi la présence d’une valve à l’hélium à 10h qui renforce l’esprit professionnel de la montre.

La valve a l’hélium ne laisse pas indifférent les amateurs, car cet ajout perturbe un peu l’équilibre de la montre. Néanmoins c’est à cela que nous reconnaissons le caractère professionnel de l’objet. En effet les valves à l’hélium sont principalement utilisées lors de plongées en atmosphère contrôlée, telle que les plongées sous cloche. Il est indispensable d’ajouter de l’hélium au mélange d’air que respireront les plongeurs lors de leur séjour dans les profondeurs.

Lors de sa sortie, cette montre est proposée avec un mouvement a quartz, une hérésie me direz-vous ? Eh bien pas du tout, car dans les années 1980 la plupart des manufactures de premier ordre proposent des pièces animées par ces mouvements électroniques. L’utilisation des montres quartz de plongée est monnaie courante chez nos compatriotes Anglais la Royal Navy qui dote ses plongeurs de montres CWC étanches à 300 m avec un mouvement quartz Suisse. Chez nous, c’est notre Marine Nationale qui adopte des Jaques Bianchi a quartz entre autres. Des mouvements précis et moins couteux que leurs homologues mécaniques.

C’est ainsi qu’en 1995 pour la sortie de GoldenEye, Omega rafle la mise à Seiko en devenant la montre de James Bond. James sauvera le monde au bras de ses conquêtes féminines, et accompagné d’une Seamaster 300 divers à quartz. Les ventes décupleront après la sortie du film en 1996. Dans les épisodes qui suivront « Demain ne meurt jamais », « Le monde ne suffit pas » et « Meurs un autre jour », il passera à la version automatique. Le mouvement proposé par Omega n’est autre que le 1120. Il s’agit d’une version retravaillée du calibre ETA 2894-2 qui propose des performances de haut vol car il est certifié chronomètre, possède 44 heures de réserve de marche et des finitions plus abouties, telles que le perlage et les côtes de Genève.

Omega nous proposera en plus de ces deux versions classiques une version Peter Blake, très désirable à mon goût. Ici on change d’ambiance et le grand bleu fait place au noir. La Blake passe au Black. Les caractéristiques sont conservées, la montre est proposée en version quartz ou automatique. Le cadran reprend des éléments historiques déjà observés sur les Seamaster des années 1960 : la police et les index s’inspirent directement des fameuses versions Big Triangle, version qui était aussi proposée à la Royal Navy. Une version titane sera éditée en 1998 avec une lunette en or gris polie. Le luxe s’installe dans le milieu professionnel.

En 1998 pour le cinquantième anniversaire de la Seamaster, Omega édite une montre Seamaster GMT dont le cadran reprend les codes initiés par la version Peter Blake et se pare d’une lunette 24h bicolore. Pour l’anecdote, Omega proposa ses Seamaster en diamètre 36 mm et Lady Diana en offrit une au Prince William.

L’année 2006 a vu l’avènement d’une nouvelle génération de la Seamaster 300 : la recette originale est bien présente, mais avec des touches de rouge sur la mention Seamaster. En plus du cadran bleu une version noire est éditée sur les diamètres 36 et 41 mm. Mais la révolution vient surtout de l’intérieur, car Omega intègre son nouveau calibre 2500, qui est l’évolution du 1120 avec l’ajout du système co-axial. Développé par l’horloger Daniels, le co-axial permet une diminution de la friction sur l’ancre et l’échappement et permettrait d’accroitre la précision du calibre. C’est la montre que Daniel Craig choisira dans Casino Royale et qui l’accompagnera jusqu’à la table de jeux où il affrontera le trésorier de Spectre.

La version GMT reprendra du service avec ce nouveau cadran et le calibre 2628, qui reprend les évolutions co-axiales du calibre 2500. C’est une évolution qui attend la Seamaster, en effet le cadran et la lunette se parent de céramique dans des teintes bleu et noire profondes. Les vaguelettes ne sont plus du voyage et laissent place à une teinte unie d’une superbe profondeur. Le calibre reste le fameux 2500 qui fait ses preuves depuis 2006. Cette évolution plus esthétique que technique ne révolutionne pas la montre que nous connaissons. Cette version est ma préférée car son design est plus épuré et la céramique offre des teintes qui varient en fonction de la luminosité.

Je n’ai pas choisi de vous présenter toutes les éditions limitées qui composent le parcours de la Diver 300 mais celle-ci est différente, car elle apporte d’ultimes évolutions qui seront reprises sur la version de 2018. C’est en effet la première fois que la Seamaster se pare d’un cadran blanc et d’une lunette en céramique bicolore bleue et rouge. Cette édition ne ressemble pas aux éditions limitées James-Bond précédentes et propose des caractéristiques bien différentes par rapport au modèle classique. Il y a un fond transparent et un nato de couleur. La boîte reste en acier. Le calibre 2500 est à nouveau employé sous une version nommée calibre 2507 qui se pare d’un rotor en forme de balle, très amusant.

Omega part d’une feuille blanche pour cette nouvelle version. Tout en gardant les codes esthétiques de la Seamaster de 1993, plusieurs évolutions s’opèrent. Ici la montre est repensée dans son intégralité. La conséquence de l’introduction de ce mouvement se répercute immédiatement sur la boîte qui prend un embonpoint conséquent. La boîte prend 1 mm de diamètre et un peu d’épaisseur. Cela se ressent surtout à la prise en main. Les codes évoluent notamment sur la lunette dont le graphisme est plus imposant, et le cadran qui retrouve les vagues introduites dans la première version de 1994. Les couleurs proposées sont nombreuses : blanc, noir, bleu, gris et même vert, du jamais vu sur la collection Diver 300. La valve a l’hélium est conservée.

Robustesse : Omega vs. Rolex

La question de la robustesse entre Omega et Rolex est souvent débattue. Voici quelques points à considérer :

  • En termes de résistance aux chocs et de longévité, il est difficile de départager clairement les deux marques.
  • Certains estiment que la différence se fait plutôt dans le soin apporté à la régulation du mouvement et à sa précision.
  • Rolex a une réputation de robustesse, mais il est difficile de dire si elle est usurpée.

Pour une résistance maximale aux chocs, une montre G-Shock est souvent recommandée. Cependant, pour une montre à aiguilles, Omega et Rolex offrent une bonne robustesse. Les deux marques ont une longue expérience et ne sont pas des novices en la matière.

L'expérience acquise au fil du temps joue également un rôle important. Rolex et Omega ne sont pas des novices en la matière.

En fin de compte, le choix entre Omega et Rolex dépend des préférences personnelles et de l'utilisation prévue de la montre.

Tableau Comparatif : Omega Seamaster Diver 300M vs. Rolex Datejust

Caractéristique Omega Seamaster Diver 300M Rolex Datejust
Mouvement Omega Master Chronometer 8800 Rolex Calibre 3235
Étanchéité 300 mètres 100 mètres
Matériau du boîtier Acier inoxydable Acier inoxydable
Fonctions Heures, minutes, secondes, date, valve à hélium Heures, minutes, secondes, date
Design Cadran ondulé, lunette en céramique Design classique et élégant

tags: #calibre #omega #8800 #avis

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