Les armureries en France ont une longue histoire qui remonte à plusieurs siècles. Initialement, les armuriers étaient des artisans spécialisés dans la fabrication d’armures pour les chevaliers et les soldats.
Jean Artarit est de retour dans sa ville natale avec un livre qui va toucher les Fontenaisiens sensibles à l'Histoire. Il relate les familles, les lieux, les histoires de coeur, les alliances, les trahisons, les horreurs, les résistances... Bref, la vie de contemporains de Robespierre avec force de détails... comme s'il les avait connus.
Comment Fontenay a-t-elle vécu de 1789 à 1794 ? Jean Artarit le raconte dans son dernier ouvrage. Jean Artarit, a fouillé les archives de la Vendée et de la Défense, pour disséquer la vie des gens pendant ces cinq années qui ont marqué la France et la Vendée pour toujours. Et « particulièrement la vie des femmes ».
En liant l'intime à la grande Histoire, il dépoussière la Révolution et surtout grâce à « la position exemplaire de Fontenay », estime l'historien Alain Girard, qui a préfacé le livre. Dans la capitale du Poitou qui comptait 7 000 habitants, on a guillotiné 250 personnes place Viète, face à la chapelle. Les deux cimetières datent de cette période.
Ainsi, il raconte que le seigneur de Grimouärd a, depuis sa prison, écrit « une lettre au comité révolutionnaire de Fontenay-le-Comte. Qui sont ces personnes ? Jean Artarit le dévoile dans son dernier livre : Fontenay-le-Comte sous la Révolution. Et le seigneur de Grimouärd ? « Il va finir par sortir, comme tout le monde. »
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Quant au comité révolutionnaire de Fontenay, Jean Artarit le décrit comme « un groupe de modérés » (à part l'aubergiste). C'était un groupe de Sans-culotte, des artisans commerçants : armurier, cafetier, boulanger, poêlier, charpentier. Les raisons de cette « résistance », avancées par Jean Artarit, se trouvent dans leur attachement à leur ville vouée à être détruite.
« Une ville dont tout le monde tombe amoureux », estime l'écrivain, une ville fréquentée par des beaux esprits et une certaine élite. « Il y avait, à cette époque, douze médecins à Fontenay.
Aujourd’hui, il existe environ 15 000 armureries en France. Elles se trouvent dans toutes les régions du pays et peuvent être grandes ou petites, indépendantes ou liées à des chaînes nationales.
Alain Douillet est armurier à Kerledorz. Son métier devient rare. Ils ne sont qu'un petit millier en France. Les écoles ne sont pas nombreuses. Trois en Europe : à Saint-Étienne, le berceau de l'armurerie en France, à Liège en Belgique, ou à Ferlach en Autriche.
« À Saint-Étienne, ils sortent une vingtaine d'armuriers par an, explique Alain Douillet. Mais ensuite, il va en rester la moitié à exercer. Il n'y a pas d'énormes débouchés. » Il note que « la chasse est en récession ». Le nombre des chasseurs diminue et c'est une population vieillissante. « En revanche, le tir sportif progresse.
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Les élèves ayant obtenu leur diplôme ont fabriqué une arme de « A » à « Z ». « Mais l'artisanat devient confidentiel. » La fabrication est essentiellement industrielle - à Saint-Étienne justement.
Le métier d'armurier consiste désormais à régler, réparer ou restaurer des fusils, carabines, pistolets et autres revolvers. Alain Douillet est également expert. La profession est très réglementée. « Désormais, il faut être agréé par la préfecture. »
Une armurerie « n'a pas le droit de vendre une arme à quelqu'un qui n'a pas son permis de chasse ou n'est pas licencié à la Fédération française de tir », explique-t-il. Par contre, il peut vendre des armes à usage militaire. Il a créé son entreprise en 1971, à Pontivy dans la rue Nationale.
Aujourd'hui, la société fait travailler une dizaine de personnes au total (avec des magasins à Vannes et Lorient tenus par ses deux fils). L'installation à Pluméliau, sur un terrain de 40 ha, a apporté un plus aux tireurs : stand de 200 m, ball-trap, parcours de chasse, sanglier courant, etc.
Si vous cherchez à trouver un bon armurier, il est important de bien faire vos recherches. Vous pouvez demander des recommandations à des amis ou à des membres de votre famille qui utilisent des armes à feu à Bordeaux, ou consulter des forums en ligne dédiés à ce sujet. Il est également possible de rechercher des avis en ligne sur les armureries à Bordeaux.
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Il existe plusieurs raisons pour lesquelles il peut être avantageux d’aller chez un armurier à Bordeaux. Tout d’abord, les armuriers sont des experts en matière d’armes à feu et peuvent vous aider à choisir le bon équipement pour vos besoins. Enfin, les armuriers peuvent également offrir des services tels que des réparations et des personnalisations, ce qui peut être très utile pour les propriétaires d’armes de chasse.
Si vous souhaitez vous adresser à d’autres armureries de Bordeaux et connaître les leurs nombres, les avis etc. Si vous ne trouvez pas d’armureries à Bordeaux où si elle ne répond pas à votre besoin, n’hésitez pas à nous contacter.
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