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Le Leica D-Lux 6 est un appareil photo numérique compact de type expert, commercialisé en novembre 2012. Doté d'un capteur CMOS de taille 1/1.7" et d'une résolution de 10.1 MP, il offre une définition d'image maximum de 3648x2736 pixels.

Caractéristiques Techniques Principales

  • Capteur: CMOS 1/1.7" (7.44x5.58 mm), 10.1 MP
  • Objectif: Zoom optique 4.5x intégré, 24-90 mm (équivalent)
  • Écran: LiveView 3 pouces
  • Vidéo: 1920x1080 pixels à 60 fps
  • Stabilisation: Optique
  • Poids: 298 g
  • Dimensions: 68 x 111 x 46 mm
  • Connectivité: USB 2.0, HDMI
  • Stockage: SD, SDHC, SDXC

Ergonomie et Simplicité

L'ergonomie et la simplicité des menus du Leica D-Lux 6 représentent une véritable amélioration par rapport au D-Lux 7 et au LX100 de Panasonic, dont le principal reproche était la complexité d'utilisation.

Viseur et Écran

Le viseur électronique OLED et l'écran du D-Lux 6 sont très agréables à utiliser.

Qualité d'Image

La qualité d'image est fantastique pour un si petit appareil. Bien que le grain apparaisse rapidement, certains le trouvent assez esthétique.

L'objectif zoom 24-75 mm (équivalent 24x36) offre une ouverture maximale de f/1.7 à 24 mm et de f/2.8 à 75 mm. Cette optique lumineuse compense le capteur 4/3, moins lumineux qu'un APS-C ou un 24x36. Les tests indiquent une qualité optimale à f/4 et f/5.6, avec des aberrations chromatiques minimes et un vignettage absent.

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Sensibilité ISO

Le bruit de sensibilité se fait ressentir à partir de 1600 ISO. 3200 ISO est la limite acceptable pour les plus exigeants, et 6400 ISO pour un usage de dépannage. Cependant, ce capteur reste meilleur que ceux des téléphones portables et même que celui équipant les compacts Sony RX100.

Autofocus

L'autofocus est véloce et surclasse celui du Ricoh GRIII, se rapprochant de celui du Q3.

Le Leica D-Lux (Type 109), lancé en novembre 2014, est basé sur l'appareil photo compact Panasonic DMC-LX100 et présente des caractéristiques et performances similaires. Il renferme un grand capteur 12,7 Mpixels (au format 4/3, diagonale de 22 mm). L’objectif zoom est un 3,1× (focales 24-75 mm). Lumineux, il s’ouvre à F1,7 en grand angle et F2,8 à la focale maxi. L’appareil est doté d’un écran fixe (non orientable) et d’un viseur électronique.

Comparaison avec d'autres modèles

Leica D-Lux 8 vs Leica Q3: Bien que les deux boîtiers se ressemblent, ils ne sont pas identiques en termes de spécificités techniques et de résultats. Le D-Lux 8 possède un capteur 4/3 tandis que le Q3 a un capteur 24x36. Le D-Lux 8 est un compact à optique fixe et zoom numérique, tandis que le Q3 est un compact à optique variable (zoom optique).

Leica D-Lux 8 vs Panasonic LX100: Le Leica D-Lux est, ni plus ni moins, qu'un Panasonic Lumix LX100 rebadgé. La fiche technique est donc identique : capteur BSI CMOS 4/3" de 12,8 Mpx, zoom 24-75 mm f/1,7-2,8 avec véritable bague de diaphragme et molette de vitesse, vidéo 4K, Wi-Fi, NFC, etc.

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Avis d'utilisateurs

  • "Après un passage par le X2 ( très décevant) je me suis malgré tout laissé attiré par la pastille rouge . Que du bonheur , une réactivité au top , c'est l'appareil parfait , pour la photo de rue . De nombreux réglages expert , faciles pour pour....les experts . Une excellente qualité d'image ."
  • "J'ai troqué l'intégralité de mon matériel Nikon contre ce Leica et je ne suis pas déçu. Il est extrêmement réactif. Je retrouve l'équivalent du zoom que j'utilisais le plus souvent chez Nikon, mais en plus lumineux. La qualité d'image est exceptionnelle et bluffante. En fait, je ne trouve pas mieux pour remplacer un reflex."

Leica D-Lux 8 : Analyse et Avis Comparatif

Lancé en mai 2024, le Leica D-Lux 8 est la dernière itération du compact expert à capteur 4/3’’ du constructeur germanique. Il reprend bon nombre de caractéristiques de son prédécesseur - à l’instar de son capteur de 17 Mpx et son zoom eq. 24-75 mm.

Comparaison Leica D-Lux 8 et Leica Q3

Pour autant, la différence de philosophie rend ces deux boîtiers difficiles à comparer. D’une part, Le D-Lux 8 a l’avantage de posséder un zoom optique, là où le Q3 offre une focale fixe que l’on peut coupler à un crop numérique. Mais ce dernier dispose d’un capteur plein format, 2x plus grand que celui du D-Lux 8 !

Caractéristiques Techniques du Leica D-Lux 8

Côté technique, le Leica D-Lux 8 reprend bon nombre d’éléments de son prédécesseur, le D-Lux 7 et celui-ci était déjà un Panasonic LX100 II au design (très) légèrement revu. Dès lors, la fiche technique du D-Lux 8 est celle d’un boîtier datant de… 2018.

Rafale : obt. central mécanique : 2 i/s avec suivi AE/AF (RAW 12 bits), 7 i/s sans sans suivi AE/AF (RAW 10 bits) ; obt. objectif : Leica Vario-Summilux 10.9-34 mm f/1,7-2,8 ASPH (eq.

Design et Ergonomie

Leica livre ici un boîtier d’une remarquable sobriété. L’appareil, conçu en magnésium avec revêtement en simili cuir, offre une vraie impression de qualité. En termes de design, le Leica D-Lux 8 ressemble à la fois à son prédécesseur le D-Lux 7… et au Q3. Très sobre, l’appareil s’avère très agréable en main grâce aux bords arrondis. Un petit repose-pouce offre une préhension rassurante.

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Le boîtier s’avère plutôt compact. Sa largeur de 13 cm est identique à celle du Q3, mais il est un peu moins haut (6,9 cm vs 8 cm). En revanche, son poids de 397 g reste largement inférieur à celui de son aîné (743 g). Lorsqu’il est éteint, l’appareil se glisse facilement dans une poche de veste. Une impression qui s’estompe dès que l’on allume, tant le déploiement du zoom est prononcé. De 6,2 cm de profondeur (viseur compris), on passe à 9,7 cm.

Par ailleurs, Leica n’a pas cherché à faire beaucoup évoluer son boîtier. Ainsi, le D-Lux 8 ne profite pas d’un écran LCD orientable. La visée à bout de bras ou en contre-plongée n’est pas forcément évidente. D’autant que la luminosité de la dalle TFT de 3 pouces (1,2 Mpts) n’est pas extraordinaire.

Le D-Lux 8 intègre un viseur électronique, placé en haut à gauche. Certes, il n’est ni très grand, ni très défini (2,36 Mpts, 0,74x, dégagement oculaire 20 mm, rafraîchissement 60 Hz) mais on observe ici une des seules évolutions ergonomiques par rapport au D-Lux 7. En effet, le viseur profite à présent d’une dalle OLED, gagnant ainsi nettement en qualité d’affichage.

Le boîtier offre, par ailleurs, une bonne ergonomie. Mêlant sobriété et efficacité, le D-Lux 8 fait mouche. Croix directionnelle (entourée des boutons Play et Menu), roue crantée dédiée à la compensation d’exposition, levier du zoom… tous tombent parfaitement sous le doigt. Sur l’objectif, une bague permet de régler l’ouverture manuellement. Une position Auto est aussi disponible.

Malgré sa taille réduite, l’appareil inclut 4 commandes personnalisables. La roue crantée tout à droite est surmontée par un bouton, que nous avons attribué au réglage des ISO. Nous avons aussi configurés les deux boutons au-dessus de l’écran au style d’image et au mode de déclenchement. Seul reproche : le bouton d’allumage/extinction est trop discret.

Au final, le Leica D-Lux 8 est un boîtier bien pensé et agréable à utiliser au quotidien.

Qualité d'Image et Performances

Sur le terrain, le Leica D-Lux 8 permet-il de capturer de belles images, au quotidien comme en voyage ? Côté capteur, la révolution attendue par certains fans n’aura pas lieu. On dispose donc d’un capteur CMOS 4/3’’ (18 x 13 mm) assez ancien. Les fichiers mesurent 4736 x 3552 pixels. Petite nouveauté : l’appareil abandonne les RAW au format RWL et passe au DNG.

D’une manière générale, les images sont de bonne qualité. La balance des blancs est très juste et la restitution des couleurs soignée. Néanmoins, bon nombre de nos images sont assez sombres - comme si l’image était sous-exposée de -2/3 IL.

De prime abord, le niveau de détails peut paraître élevé. Le 1er vrai problème se situe au niveau de la dynamique du capteur. Les zones claires sont parfois vite brûlées. Le débouchage des ombres permet de récupérer une certaine quantité de détails, mais l’opération génère beaucoup de bruit numérique. Un voile peut d’ailleurs apparaître - quasiment impossible à corriger. Un point d’autant plus complexe que les images sont très souvent sous-exposées, comme indiqué plus haut.

Le capteur n’étant ni rétroéclairé, ni empilé, le rolling shutter et le banding peuvent être assez présents avec l’obturateur électronique. On se consolera avec sa vitesse d’obturation très élevée (1/16 000s, contre 1/4000s max avec l’obturateur central).

Objectif et Zoom

Comme indiqué plus haut, le Leica D-Lux intègre un zoom optique équivalent 24-75 mm. Néanmoins, ce zoom motorisé présente plusieurs limites. D’une part, l’étendue du zoom n’est pas très impressionnante. En voyage, notamment, les longues focales nous ont fait défaut. Par ailleurs, le zooming est particulièrement lent : passer de 10,9 à 34 mm (ou inversement) prend environ 2 secondes.

Mentionnons aussi l’ouverture variable, allant de f/1,7 à f/2,8. Ce zoom lumineux est très pertinent en photo de nuit, puisqu’il évite de devoir monter trop haut dans les ISO (voir plus loin). Mentionnons aussi la position Macro - que l’on active via le commutateur placé sur l’objectif. La distance minimale de MAP passe ainsi à 3 cm (à 10,9 mm) ou à 30 cm (à 34 mm). Les images sont intéressantes, mais on reste assez loin d’un « vrai » objectif macro.

Enfin, les performances de l’optique sont correctes… mais pas éblouissantes. Dans le détail, au grand-angle 10,9 mm, le piqué est bien présent à f/1,7… mais les bords sont un peu mous jusqu’à… f/5,6. À 22,5 mm, le centre de l’image est un peu moins piqué qu’à 10,9 mm au centre de l’image. Les bords accusent un certain retard jusqu’à f/5,6, là aussi. L’objectif se rattrape (un peu) à fond de zoom, le piqué étant très correct au centre à pleine ouverture (f/2,8). En revanche, les bords sont assez mous jusqu’à f/8.

Deux soucis optiques sur une seule photo : la restitution des bords est assez brouillonne et on observe un peu de distorsion en barillet.

Gestion des ISO

Autant le dire tout de suite : la montée en ISO du D-Lux 8 n’est pas exceptionnelle. Ainsi, le bruit numérique devient visible à 1600 ISO, et s’avère plus présent à 3200 ISO. À 6400 ISO, les détails les plus petits sont brouillés. Enfin, à haut ISO, point de salut : le bruit numérique est très marqué à 12 500 ISO et omniprésent à 25 000 ISO.

À noter que les images capturées à cette valeur sont systématiquement sous-exposées par le boîtier.

Enfin, un léger souci se produit à partir de 3200 ISO (voire de 1600 ISO dans certains cas). Les pixels saturent totalement et les éclairages artificiels sont impossibles à rattraper. En outre, si une source de lumière très puissante est présente dans le champ, une traînée lumineuse peut parasiter une partie de l’image.

On rencontre ici l’une des limites des capteurs 4/3’’. Le boîtier offre 5 styles de films (Standard, Vivid, Natural, Monochrome et Monochrome High Contrast). Si les modes couleur ne brillent pas par leur originalité, les modes de noir et blanc sont particulièrement intéressants, avec de superbes contrastes. Hélas, Lightroom Classic ne dispose pas de profil Camera Matching pour ce Leica : impossible de retrouver ce rendu au post-traitement sur les RAW. De ce point de vue, l’emploi des simulations de films de Fujifilm est plus satisfaisant.

Fonctionnalités et Options de Prise de Vue

Enfin, les options de prise de vue ne sont pas très nombreuses. Oui, l’intervallomètre et le mode de bracketing d’exposition sont intéressants. Mais le mode de contrôle de la perspective, introduit avec le Q3 et tellement pratique pour l’architecture, est aux abonnés absents. Face à d’autres boîtiers (notamment en Micro 4/3), le nombre de modes paraît encore plus limité.

Point de Pixel Shift, de filtre ND intégré, de mode dédié à l’astrophoto ou à la pose longue à main levée. Enfin, notez que le D-Lux 8 filme en 4K 30p. Un léger crop 1,25x s’applique dans l’image. Le framerate le plus élevé (60 fps) est réservé à la Full HD. Aucun mode de slow motion n’est présent.

Autofocus

D’une manière générale, l’autofocus du D-Lux 8 est assez réactif sur les sujets statiques… et en pleine journée. Pour autant, l’AF a parfois tendance à faire la mise au point à côté du sujet, notamment lorsqu’il est en mouvement. Pour la street photo, on a vu mieux. L’appareil n’a pas réussi à effectuer la mise au point et a déclenché trop tardivement.

Le boîtier dispose d’un mode (assez basique) de détection et de suivi du visage des humains. La détection marche plutôt bien… à condition que la personne occupe une large part dans le cadre, qu’elle ne bouge pas et qu’elle ne porte pas de lunettes.

La photo de nuit est un exercice plus compliqué. Si l’AF arrive plutôt bien à détecter le sujet, le nombre de ratés est assez élevé, car l’appareil a souvent tendance à « pomper ».

Enfin, l’optique Summilux est stabilisée - mais pas le capteur. Le système est efficace… à condition de ne pas avoir bu trop de café.

Performances en Rafale

Le Leica D-Lux 8 n’a pas été spécialement conçu pour la photo de sport ou d’action. Le boîtier s’avère relativement réactif, mais le démarrage prend tout de même 1 seconde. L’accès aux photos stockées sur la carte SD est également assez lent (1s là aussi).

En rafale, le boîtier trahit sa conception assez ancienne. En effet, seule la « rafale » à 2 i/s peut se faire avec suivi AF ! Les modes 7 i/s (obt. central) et 11 i/s (obt. électronique) se font sans suivi, avec la MAP verrouillée sur le point d’origine. Et, dans ce cas-là, les RAW sont capturés en 10 bit (et non en 12 bit).

Enfin, le buffer est extrêmement limité. À 11 i/s, l’appareil s’arrête de capturer au bout de 7 images (!) et se bloque totalement pendant une quinzaine de secondes.

Connectivité et Autonomie

La connectivité du Leica D-Lux 8 est assez minimaliste. L’unique slot pour carte SD (compatible UHS-II) est placé sous le boîtier, à côté de la batterie. Les rares connecteurs sont regroupés sur le côté gauche du boîtier. On dispose d’un port micro HDMI et…. d’un port USB-C. Ce dernier est sans doute l’une des grandes nouveautés du D-Lux 8. Il permet de recharger l’appareil et de transférer ses photos vers un ordinateur.

Le boîtier est compatible Wi-Fi et Bluetooth. L’appairage avec un smartphone est simplissime. La connexion est très stable… à condition de ne pas quitter l’application Leica Fotos.

Enfin, l’appareil emploie la même batterie BP-DC15 que le D-Lux 7. Fabriquée par Panasonic, elle offre une capacité de 1025 mAh. L’autonomie est très correcte. Nous avons réussi à capturer 602 photos au cours de la même journée (sans rafale).

Résumé des Caractéristiques Techniques du Leica D-Lux 8

Caractéristique Détail
Capteur CMOS 4/3’’ (18 x 13 mm), 17 Mpx
Objectif Leica Vario-Summilux 10.9-34 mm f/1,7-2,8 ASPH (eq. 24-75 mm)
Vidéo 4K 30p
Viseur OLED, 2,36 Mpts
Écran LCD 3 pouces, 1,2 Mpts
Connectivité Wi-Fi, Bluetooth, USB-C, micro HDMI
Autonomie Environ 600 photos

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