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La quiétude d’un dimanche après-midi printanier a été troublée par une fusillade hier à Villeurbanne.

Une enquête a été ouverte par le parquet de Lyon pour tenter d’établir les circonstances exactes des faits et les motivations de l’auteur.

Le suspect est activement recherché par les forces de police.

Le secteur a été bouclé à la suite de la fusillade pour permettre les premiers relevés de la police scientifique.

Plusieurs douilles ont été retrouvées sur place.

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Villeurbanne est le théâtre de fusillades régulières ces dernières années, notamment à l’opposé de la ville, dans le quartier du Tonkin.

Des tirs qui interviennent souvent sur fond de règlement de comptes dans des affaires de stupéfiants.

Au printemps dernier, plusieurs fusillades avaient éclaté dans d’autres quartiers.

Incidents récents impliquant des armes à feu

La scène a été intégralement filmée par un riverain.

Les faits se sont déroulés «Allée des cèdres», aux alentours de 18h20.

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Un homme a surgi armé d’un fusil à pompe puis a poursuivi la victime sur quelques mètres avant de lui tirer dessus, dans la cuisse gauche.

Le blessé, Chaouki B. 27 ans, a été transporté par les sapeurs-pompiers à l’hôpital avec un pronostic vital engagé.

Sur place, un véhicule a été retrouvé dans lequel se trouvait un fusil à pompe.

La police technique et scientifique a procédé à des prélèvements sur les lieux, afin d’identifier l’auteur du tir.

Le quartier étant connu comme un point de trafic de stupéfiants, il pourrait donc s’agir d’un nouveau règlement de compte lié à la drogue.

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Un homme masqué a vidé le chargeur de son arme de poing sur la façade du bar à chicha le Cosy Hookah dans le quartier de Laurent Bonnevay, selon une information de TF1 confirmée au Figaro par plusieurs sources proches du dossier.

Une vidéo tournée par un témoin et diffusée sur les réseaux sociaux montre le suspect vêtu de noir prendre la fuite à trottinette électrique.

Un homme armé d'une sorte de fusil d'assaut a été photographié en centre-ville de Villeurbanne, dans la métropole de Lyon, ce mercredi 6 novembre.

Une photo partagée sur X fait beaucoup de bruit ce mercredi 6 novembre 2024.

L’image fait vivement réagir sur le réseau social.

Elle a été prise devant la Caisse d’épargne de l’avenue Henri-Barbusse, à Gratte-Ciel, le centre-ville de Villeurbanne.

Il porte l’arme à la crosse marron en bandoulière et semble regarder en direction de la photographe.

Selon nos informations, la photo a été transmise aux services de police et de renseignements.

Une bagarre a éclaté vendredi dernier à Pierre-Benite entre plusieurs individus.

Sept individus, âgés de 19 à 25 ans, et un autre de 33 ans ont été interpellés le 14 octobre dernier à 21h00, sur un parking du chemin des Mûriers à Pierre-Bénite.

Après de nombreuses menaces mutuelles, ils avaient fini par en découdre.

Une affaire qui aurait pu s'arrêter là, mais l'un d'eux est revenu sur place à bord d'un véhicule accompagné de quatre des intéressés.

L'intervention de la police a finalement mis fin à ce qui aurait pu être un drame, puisqu'un fusil à pompe et huit cartouches de calibre 12 mm ont été trouvés dans le véhicule de ces derniers.

Un pistolet automatique à grenaille a aussi été trouvé dans le véhicule de leurs "adversaires".

L'un d'entre eux a été mis hors de cause et laissé libre.

Quatre autres vont faire l'objet d'une convocation devant un officier de police judiciaire le 15 février 2017.

Enfin, trois d'entre eux ont été présentés au parquet ce dimanche.

Interventions policières marquantes

Olivier Di Lullo, ancien policier de l’ex-Brigade anti-criminalité (Bac) de Lyon, participe au traditionnel défilé du 14-juillet à Paris, ce dimanche dès 10 heures.

Aujourd’hui élève pour devenir commissaire du haut de ses 51 ans, Olivier Di Lullo revient sur les interventions qui ont marqué sa vie à Lyon.

Il raconte : « Un gars en Maserati fait un sens interdit.

Il est au feu, remonte sa vitre… et prend Stalingrad à 200 km/h et craque tous les feux rouges.

On fait des recherches et on l’identifie.

» La sûreté départementale le connaît bien.

C’est alors l’un des gros vendeurs de cocaïne à Lyon.

Trois semaines plus tard, Olivier le croise en ville « avec une nana en sortie de boite de nuit ».

Il donne les clés de sa voiture à la femme qui l’accompagne.

Cette fois-ci, il ne va pas fuir à 200 km/h.

« Quand on fait le contrôle, il vide ses poches et je vois que sur le permis de conduire, ce n’est pas sa photo, ni son nom mais celui de son beau-frère.

Quand on a passé le numéro du document, il était volé à Vitrol.

Finalement, il a pris quatre ans ferme.

» Pour l’anecdote, deux ans plus tard, ce même individu « est ‘gaulé’ en Espagne sur une transaction de 2 millions d’euros de cocaïne.

» Il prendra 11 ans de prison ferme de l’autre côté des Pyrénées.

Olivier et ses équipes ont également mis un violeur en série derrière les barreaux et empêché le braquage d’un magasin Casino.

« Les deux braqueurs armés d’un fusil de pompe et d’une arme de poing sont allés braquer un Casino à l’ouverture.

Tout le personnel enfermé dans un local.

Un coup de feu part du côté police.

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