Le rôle de sniper en airsoft fait rêver de nombreux joueurs. Se cacher dans l’ombre, observer l’ennemi sans être repéré et réaliser des tirs précis à longue distance, voilà un défi passionnant ! Mais incarner un sniper en airsoft demande plus qu’une simple réplique longue portée. Il faut de la patience, de la technique et un équipement bien choisi.
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, un sniper en airsoft n’est pas là uniquement pour éliminer les adversaires à distance.
Un bon sniper se doit d’avoir une réplique précise et performante. Voici quelques exemples :
Les choix d’une bonnes billes et primordiales quand vous endosser le rôles du sniper ! Pour les tireurs d’élite, des billes plus lourdes (0,30 g à 0,46 g ou plus) sont recommandées. Les billes plus lourdes conservent mieux leur vitesse sur de plus longues distances et sont moins affectées par le vent, ce qui se traduit par une meilleure précision. Ce genre de grammage est parfaitement adapté dans des répliques longues comme les fusils de précisions ou les DMRs et ceux qu’importe leur propulsion (GBBR, Spring, AEG). La puissance et le bloc hop-up de votre réplique de sniper influe également sur le poids des billes que vous devez utiliser.
Devenir un sniper redoutable en airsoft demande du matériel adapté, une excellente maîtrise des techniques de tir et un bon sens stratégique.
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Important : quand on parle de la défense du domicile, on parle d’un acte de défense personnelle à domicile. La défense personnelle à domicile doit répondre aux règles de la légitime défense. Il y a présomption de légitime défense lorsque l’assaillant s’introduit chez sa victime la nuit et qu’il est tué immédiatement, quelles qu’étaient ses intentions (vol, viol, meurtre, etc.).
Lire la presse locale, discuter avec vos voisins et les policiers ou gendarmes que vous croisez est essentiel. Y-a-t-il un terrain attenant à la maison ? est-il arboré ? Y-a-t-il des baies vitrées ?
La zone 3 représente l’espace nuit (les chambres où vous et vos proches dormez). En cas d’intrusion, les pax situées en B2 et B3 devront être rapatriés immédiatement en B1. Certains habitats sont tellement ramassés qu’ils sont indéfendables une fois le point de non-retour franchi.
Il est inutile et dangereux de donner des informations sur vos biens et vos systèmes de sécurité. Isoler mécaniquement la zone 3 de la zone 2 tout en surveillant l’évolution de l’intrusion grâce à des caméras de surveillance. Les grilles de défense sont utilisées dans les ambassades du monde entier. Votre priorité doit être de faire savoir à l’intrus que vous avez averti la police et que vous êtes armé et prêt à vous défendre par la force si nécessaire. Combien de temps au total avant l’arrivée des secours ? 20 minutes ?
Vous avez plus de chance de ressembler à ça qu’à un opérateur du RAID. En ce qui concerne les munitions, mieux vaut privilégier les balles à tête creuse (HP, Hollow Point) pour limiter les ricochets en milieu clos. Je vous encourage à prévoir des casques pour votre conjoint(e) et pour vos enfants. Cet état de détresse plus ou moins visible doit être pris très au sérieux.
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Vous recherchez une activité pour vous divertir, vous occuper avec vos amis ou enfants pendant vos vacances ou week-ends, bienvenue dans le monde du tir loisir. Pour ces activités de plein air, il vous faudra de la place sans risque qu’une personne puisse se trouver ou passer derrière les cibles.
La meilleure façon de commencer le tir à l'arc est de trouver un club ou un champ de tir avec des instructeurs spécialisés et du matériel pour débutants. S'initier à ce sport ne coûte pas cher et les nouveaux archers s'améliorent très rapidement grâce à un entraînement approprié. Comme pour tout sport, il est préférable d'apprendre la bonne technique dès le début ! Il est recommandé de suivre un cours d'initiation - et d'essayer les différents types d'arcs, recourbés, à poulies et traditionnels, ainsi que les disciplines du sport - avec un club ou un centre de tir à l'arc local.
Lorsque vous commencez à tirer à l'arc, vous devez investir dans un équipement de tir à l'arc, un endroit pour vous entraîner et des leçons de tir à l'arc. Tout cela peut paraître cher, mais le tir à l'arc n'a pas besoin d'être cher. Vous pouvez personnaliser votre expérience en fonction de votre budget. Si vous avez un budget limité, le tir à l'arc traditionnel est un moyen rentable et agréable de pratiquer le tir à l'arc. Vous avez besoin d'un minimum d'équipement, dont une partie peut être bricolée, et c'est un bon moyen de lancer des flèches sans vous ruiner.
Les arcs à poulies sont un peu plus chers que l'équipement traditionnel car ils comportent plus d'accessoires. Mais grâce aux progrès de la technologie et de l'ingénierie, les arcs à poulies d'aujourd'hui sont très précis et peu coûteux. Un magasin d'archerie peut vous équiper d'un arc à poulies qui est étonnamment bon marché. Le budget d'un archer débutant doit également inclure les leçons de tir à l'arc et les frais de tir.
Il existe trois types d'arcs différents utilisés pour le tir à l'arc : les arcs à poulies, les arcs recourbés et les arcs longs. Les arcs à poulies et les arcs recourbés sont de loin les plus populaires auprès des tireurs, l'arc à poulies prenant la tête. L'avantage que le système à poulies offre est l'énorme diminution de la force nécessaire pour tirer la corde et la maintenir pendant de longues périodes. Les arcs à poulies utilisent un système de poulies et les branches sont généralement plus rigides, ce qui les rend faciles à tirer. Par rapport aux autres types d'arcs, les arcs à poulies comportent plus de pièces mobiles et donc plus de points de rupture. Cependant, la difficulté de maîtriser d'autres arcs est souvent compensée par la performance d'un arc à poulies. De plus, les accessoires et la personnalisation des arcs à poulies sont plus importants que pour les arcs longs.
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Apprendre à manier les flèches peut prendre un peu de temps et de pratique, mais cela en vaut la peine : le manier n'est pas seulement joli, il est aussi fonctionnel. Si vous avez de l'expérience avec un lance-pierres, vous savez à quel point il peut être une arme de survie précieuse. En général, les lance-pierres sont fabriqués à partir de trois matériaux : le métal, le bois et le plastique. Les deux types d'élastiques que vous verrez dans les frondes modernes sont les élastiques en caoutchouc plats et ronds. Quelle que soit l'utilisation, une prise en main confortable est une caractéristique essentielle de tout lance-pierresUne poignée vous permettra de tirer plus de coups et d'augmenter la précision en réduisant la fatigue de la main et du poignetLorsque vous choisissez le meilleur lance-pierres, recherchez un lance-pierres dont la poignée profilée s'adapte naturellement à votre mainVueUne visée permet d'améliorer la précision de vos prises de vueC'est une caractéristique intéressante pour une personne peu expérimentée, car elle peut réduire le temps que vous devez consacrer à l'amélioration de la précision.
Pour ceux qui ne savent pas exactement ce qu'est une arme à air comprimé, il s'agit soit d'une carabine ou d'un pistolet qui utilise de l'air comprimé pour tirer des plombs de calibre 4,5 mm en général. Les deux types d'armes à air comprimé peuvent avoir l'un des trois moyens de propulsion suivants : un mécanisme à piston à ressort, de l'air comprimé à haute pression ou une cartouche de CO2. Un pistolet ou carabine à air comprimé à piston à ressort est aussi basique qu'il y paraît. Un ressort est rétracté avant chaque tir et lorsqu'il est relâché, il pousse le piston interne vers l'avant, propulsant une charge d'air dans le canon. Un piston à ressort est l'une des méthodes de propulsion les plus courantes et tend à être extrêmement constant et très puissant. Ce qui varie d'un produit à l'autre est le mécanisme d'armement, qui modifie le placement du levier en fonction de l'action du canon, de l'armement latéral ou du sous-levier. Les lunettes et les viseurs permettent d'augmenter la précision, surtout lors du tir à longue distance.
Les données empiriques utiles à l’écriture de cet article ont été collectées en milieu militaire par les sous-lieutenants Loghan Viaud et Clément Serreta, élèves du deuxième bataillon de l’école spéciale militaire de Saint-Cyr. L’amélioration des capacités du combattant au moyen des innovations technologiques suscite de fortes controverses depuis plusieurs années dans les milieux militaires et universitaires. Pour le chef militaire, le développement des technologies au service du combat est une évidence. La technologie militaire démultiplie la puissance [1] et procure une supériorité tactique. Les guerres menées après les attentats du 11 septembre en 2001 à New York ont montré le bond technologique [2] des armées modernes et leur supériorité sur l’adversaire.
Mais, l’invention [technologique] écrit Marc Bloch n’est pas tout. Encore faut-il que la collectivité l’accepte et la propage [4]. Mais la question se pose d’autant plus avec l’apparition de nouvelles technologies telles que les NBIC (nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences de la cognition) dont la convergence ouvre des perspectives inédites de renforcement des capacités humaines dans le domaine physique et intellectuel.
La définition générale retenue pour caractériser le combattant augmenté est celle d’un soldat dont « les capacités sont augmentées, stimulées ou créées dans le but de renforcer son efficacité opérationnelle. Mais comment le combattant peut-il accepter d’augmenter ses capacités à partir de moyens technologiques ayant un effet sur lui ? Pourquoi et à quelles conditions le combattant est-il prêt à intégrer l’innovation par des substances ou des implants pour conduire l’action opérationnelle ?
L’enthousiasme des enquêtés pour ces technologies est à interpréter comme le résultat d’un consentement implicite vis-à-vis d’une technologie et non pas comme l’expression d’une adhésion explicite à l’élargissement d’un usage sans limite de la technologie au nom de la performance sur le terrain [7]. L’article avance l’hypothèse d’un engouement limité des officiers et des élèves-officiers pour l’usage des technologies destinées à augmenter les performances humaines du combattant, en particulier lorsque celles-ci transforment l’identité professionnelle, le statut et les positions au combat.
Une première partie présente la méthode et les modèles utilisés pour définir l’acceptabilité de l’augmentation des performances du combattant et leur acceptation sociale, ainsi que la classification retenue pour ces augmentations. Une deuxième partie examine les principaux résultats de l’enquête empirique en présentant les résultats de 12 questions portant sur des procédés d’augmentation ayant un effet direct sur le combattant et posées aux élèves-officiers et aux cadres des écoles de Saint-Cyr Coëtquidan.
Florence Terrade [8] définit l’acceptabilité sociale à travers la question des usages et de l’utilisabilité des technologies. L’acceptabilité porte sur la représentation subjective de l’usage de la technologie et les dimensions pertinentes à prendre en compte sont l’utilité, l’utilisabilité perçue, les influences sociales et les conditions supposées de déploiement de la technologie [9]. Cette définition est intéressante car elle fait apparaître le soldat sous les traits de l’homo symbolicus préoccupé dans ses actes par des valeurs et des normes distantes d’une rationalité instrumentale.
Le premier modèle, basé sur une approche coût-avantage, conditionne l’acceptabilité des procédures d’amélioration des capacités du combattant aux avantages opérationnels. Ce modèle, matérialiste et utilitariste, met en avant une rationalité instrumentale et réduit le soldat à la figure de l’homo rationalis exclusivement portée par les possibilités technologiques d’amélioration de ses capacités au combat. La technologie est acceptée et utilisée si, et seulement si, elle satisfait un besoin opérationnel [10] ; mais pas dans n’importe quelles conditions, car l’homme reste et restera au cœur de la mêlée [11] comme le souligne l’autre modèle basé sur l’intention individuelle et des dimensions symboliques d’interprétation d’acceptabilité.
Ce deuxième modèle énonce que les normes subjectives et les valeurs déterminent la capacité du soldat à accepter l’outil technologique comme moyen d’amélioration des aptitudes au combat, d’autant plus si son intégrité physique ou psychologique s’en trouve modifiée.
Les résultats empiriques présentés dans cet article s’appuient sur une enquête quantitative par questionnaire réalisée en 2019 auprès d’officiers et d’élèves-officiers en formation initiale aux Écoles de Saint-Cyr Coëtquidan (ESCC). Les questions posées pour cette enquête ont été tout d’abord inspirées de scénarios prospectifs mais réalistes réalisés en 2018 par MM. Gérard de Boisboissel du CREC Saint-Cyr et Cyriaque Naut de l’ENS, à partir des technologies envisagées comme disponibles et approuvées à l’horizon 2025 ainsi que des exigences physiologiques nécessaires en milieu opérationnel. Ces scénarios ont été présentés à des opérationnels militaires, des médecins militaires et des universitaires.
Sept élèves officiers, dont les deux auteurs de cet article, lors d’un projet pédagogique durant l’année académique 2018/2019, en ont déduit douze questions principales, représentatives de possibles expressions de besoins en augmentation du combattant et en les associant à un contexte militaire simple et crédible. Ces questions ont ensuite été validées par le commandement des Écoles de Saint-Cyr Coëtquidan, qui a donné son accord pour la réalisation d’un sondage auprès des élèves-officiers et officiers-élèves de l’école spéciale militaire (ESM) et de l’école militaire interarmes (EMIA).
Les données résultantes proviennent d’un échantillon de 228 officiers et élèves-officiers en formation initiale aux Écoles de Saint-Cyr Coëtquidan. Deux échantillons [14] ont été réunis. Le premier rassemble les élèves-officiers inscrits à l’École spéciale militaire (73%) et des officiers élèves de l’École militaire interarmes (25%) sur le camp de Coëtquidan. L’autre échantillon est composé des cadres militaires des écoles de Saint-Cyr et réunit majoritairement des capitaines (51%).
À l’échelon tactique, et au-delà de l’enjeu du matériel performant, la question de l’augmentation des capacités du combattant est une évidence pour le chef militaire. Les performances tactiques passent par la capacité du soldat à affronter des environnements climatiques hostiles. Dans ce domaine, le soldat utilise des éléments associés à son environnement professionnel comme l’accoutumance et la force morale.
Pour ce qui est de l’avantage que peuvent apporter des équipements portés par l’Homme au niveau tactique, nous trouvons les technologies de protection, de mobilité comme l’exosquelette, de vision nocturne, de détection thermique ou de vision déportée permettant d’augmenter les sens du combattant et le protéger de toute blessure.
Une première catégorisation des augmentations invasives concerne le dépassement des limites physiologiques de l’individu, dont le sommeil est le meilleur exemple, par l’ingestion de substances chimiques capables de favoriser l’augmentation de la masse musculaire, d’améliorer la récupération et de permettre un meilleur métabolisme.
Physio.1 : Dans un contexte opérationnel exigeant, vous devez rester 36h en autonomie complète, sans avoir la possibilité de vous reposer. Pour vous alléger on vous propose de prendre une gélule coupe-faim (mais qui n’apporte pas de nutriments) plutôt que vos rations, ce qui réduit votre charge.
La question Physio.1 correspond ainsi à un possible besoin en opération, celui de prendre une pilule pour ne pas ressentir la faim et ainsi éviter de se surcharger en emportant de lourdes rations pour les déplacements. Environ 40 % des personnes sondées y sont favorables, avec une répartition similaire selon les catégories de personnes (équivalence hommes/femmes, un pourcentage pour les élèves-officiers légèrement supérieur à celui des cadres).
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