Le penalty est une phase de jeu décisive, offrant une opportunité en or de trouver le chemin des filets. Synonyme de tension à son paroxysme, le penalty est l’une de ces phases de jeu qui décuplent les émotions. Au fil des décennies, de nombreux joueurs ont brillé dans l’exercice.
Son intronisation remonte à l’année 1891. Comme souvent avec le ballon rond, il trouve ses origines en Angleterre, où il fut mis en place afin d’endiguer les fautes grossières à proximité du but (tacles assassins, ballons repoussés volontairement de la main). Depuis, il est devenu incontournable, et une arme redoutable dans l’arsenal d’une multitude de grands noms. Les manières de le tirer se sont développées au fil des années.
Le champ d'action des gardiens sur pénalty se réduit. Via un communiqué, la Fédération allemande de football a annoncé que les arbitres devaient désormais punir plus sévèrement les portiers qui ne respecteraient pas la règle 14 des lois en Bundesliga et en 2. Bundesliga.
«Le gardien de but doit rester sur la ligne de but entre les poteaux de but faisant face au tireur sans toucher un poteau de but, la barre transversale ou le filet de but jusqu'à ce que le ballon ait été botté.
«Le gardien de but doit avoir au moins une partie d'un pied sur, au-dessus ou derrière la ligne de but lorsque le penalty est tiré » indique cette dernière, réduisant à néant la plage de tolérance qui existait jusqu'alors. Dans ce cas précis, la consultation de la VAR est demandée aux arbitres, comme c'est déjà le cas au niveau international.
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Quels sont les meilleurs tireurs de penalties de l’histoire ? Le penalty est un exercice qui peut paraître facile, mais il requiert d’avoir un mental solide et de ne pas succomber à la pression. Certains joueurs ont toujours su rester calme et transformer la plupart de leurs penalties, surtout dans les moments importants.
Dans notre classement, on retrouve surtout des joueurs des deux dernières décennies. Cela est dû au fait que les statistiques sur les penalties ne sont comptabilisés seulement depuis une vingtaine d’années.
Avec plus d’un tiers d’échecs la saison dernière, le Real Madrid cherche son tireur numéro un. Le n°10 du Real Madrid affiche 50 penalties marqués pour 13 ratés dans sa carrière, soit un taux de réussite de 79,3 %. Mais ses loupés à Anfield ou San Mamés, et son choix de ne pas tirer face à l’Atlético en Ligue des champions, ont semé le doute. À la différence de l’ère Benzema ou Ramos, le Real n’a plus de tireur indiscutable, et la rotation imposée par Ancelotti a parfois tourné au chaos.
La saison dernière, 85 buts ont été marqués sur pénalty en Ligue 1 McDonald’s avec un taux de réussite de 81%, un chiffre en légère hausse par rapport à la saison dernière (79,7%). Sur l’ensemble de l’exercice 2023/24, 10,3% des buts ont été inscrits sur cette phase de jeu spécifique, preuve de son importance, avec des spécialistes du genre clairement identifiés.
La question que tout le monde se pose désormais : quels vont être les tireurs numéro 1 pour les clubs de Ligue 1 McDonald’s cette saison ? Au Montpellier Hérault SC, on voit mal comment Téji Savanier pourrait perdre ce rôle. A l’OL, Alexandre Lacazette devrait avoir vite l’opportunité de se rapprocher de la barre des 30 pénaltys transformés en Ligue 1 McDonald’s. Au LOSC, c’est Jonathan David qui est bien installé dans le fauteuil de numéro 1.
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Avec le départ de Pierre-Emerick Aubameyang, l’OM a perdu son tireur cet été. Mason Greenwood prendra-t-il la relève ? Quant au HAC, il peut compter sur un Abdoulaye Touré déjà bien rôdé avec ses 2 pénaltys transformés cette saison.
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