Le club Tir Olympique Savoisien, basé à Chambéry en Savoie, est une référence dans la pratique du tir sportif. Ce club propose des activités pour tous les âges et tous les niveaux.
Le Tir Olympique Savoisien dispose de deux stands :
Les disciplines pratiquées incluent le tir .22 lr et le tir au plomb. Le prêt de matériel à plomb est possible.
L'ambiance au Tir Olympique Savoisien est réputée pour être super sympa et conviviale. La cotisation, incluant la licence, s'élève à 134€.
Un cycle d'apprentissage est logiquement nécessaire pour commencer, avant d'éventuellement devenir autonome sur les stands 25 et 50m. Initialement, le tir sur le stand 25 et 50m est limité au calibre .22lr, mais l'utilisation d'autres calibres pourrait être envisagée ultérieurement.
Lire aussi: Les performances de la Turquie au tir à l'arc olympique
Un membre du forum témoigne de son initiation au Tir Olympique Savoisien :
« J'ai donc fait mon initiation au TOS de Chambéry et c'est à peu près le jour et la nuit avec le premier club. On m'a pris en charge dès le début. Très sympa, présent, chaleureux, plein de conseils etc.. Je m'y suis senti beaucoup plus à l'aise. Le stand 10m est très correct, chacun a son petit ramène cible manuel, c'est cool. Bref, une bonne séance d'initiation de deux heures. Le tir carabine à plomb semblerait finalement possible sur 25 & 50 m. Il faut néanmoins un peu de temps avant de pouvoir aller plus loin. »
Outre le Tir Olympique Savoisien, d'autres clubs de tir sont présents dans les environs de Chambéry :
Le tir couché se caractérise par la grande stabilité de l’arme par rapport à la cible. Pour exceller dans cette discipline, il est essentiel de maîtriser certains aspects techniques et mentaux.
La position des coudes peut se choisir suivant la règle du 80/20 : 80 % du poids sur le coude gauche et 20 % sur le droit. Votre veste doit comporter une sangle (ou deux) servant à récupérer les plis au niveau de l’épaule droite. Sur le bras gauche, on fixe la bretelle. On conseille de la serrer plutôt sur l’extérieur du bras. Ainsi, sous tension, elle va tirer plus fort sur l’extérieur du bras que sur l’intérieur.
Lire aussi: L'ascension de Yusuf Dikeç
Le tireur couché va devoir donc intégrer sa respiration dans sa séquence de tir. Une fois la carabine épaulée, une inspiration va faire descendre le point visé, une expiration va le faire remonter. Le mouvement peut se faire suivant un axe bien vertical (6 heures-12 heures) ou avec une légère composante latérale (7H-1H ou 5H-11H). Dans le but d’obtenir un haut du corps bien détendu, l’apnée commence après une expiration de relâchement. C’est celle que l’on obtient après avoir inspiré en se relâchant, en laissant les poumons se vider sans effort. Il ne faut pas faire une expiration forcée.
L’entraînement en tir couché comprend une partie foncière pour s’affranchir de ces douleurs. Il faut en général une dizaine de séances en début de saison ou un peu moins si vous êtes un « vieux tireur » de couché. Une fois vous être affranchi de ce genre de contingence, vous pourrez passer à un vrai travail sur votre position.
Il faut savoir s’habituer à enchaîner un grand nombre de dix sans se dire j’ai fait X dix d’affilée. La technique mentale qui consiste à fractionner son match en 60 matchs d’une cartouche fonctionne alors à merveille. Dans le but d’intégrer l’éventualité de la performance, l’entraînement servira aussi à se prouver ses propres capacités. On utilisera dans les derniers entraînements des munitions de compétitions pour pouvoir faire quelques belles « pastilles » sur le dix. Il faut être bien conscient du fait que tirer un dix est une chose normale en position couché.
Lire aussi: France et le tir à l'arc aux JO : un récit de médailles
tags: #tir #olympique #savoisien #histoire
Chargement des visites
