La FNAC, un nom emblématique dans le paysage culturel français, a une histoire riche et complexe, marquée par l'innovation, la diversification et les transformations économiques. Fondée en 1954 par André Essel et Max Théret, deux anciens militants d’extrême-gauche, la Fédération Nationale d’Achat des Cadres (FNAC) avait initialement pour vocation de proposer aux cadres des réductions sur une variété de produits.
Dans un premier temps, André Essel et Max Théret fondent la fédération nationale d’achat des cadres, dans l’intention de vendre des matériels variés, avec des rabais de 7 à 25 %, à travers cinquante magasins agréés. Ils consacrent au matériel photo une pièce de leur siège social avant d’ouvrir un premier magasin à Paris, en 1957.
Avec le développement de la consommation, la vente des produits bruns (téléviseurs, électrophones, magnétophones) constitue, avec les laboratoires d’essais, la base du succès de la FNAC. L'enseigne a su anticiper et accompagner l'essor de la société de consommation, en proposant des produits de qualité à des prix attractifs.
Elle deviendra, dans les années 70, le premier libraire de France avec des remises de 20 %, interdites en 1981 par la loi sur le prix unique des livres. La FNAC ne s'est pas contentée de vendre des produits culturels. Elle s'est également investie dans la médiation culturelle, en organisant des événements, des rencontres et des débats, contribuant ainsi à démocratiser l'accès à la culture.
Les stratégies de diversification : photo, disque, bateau, électroménager et billetterie de spectacles. L'ouverture des grands magasins parisiens et du capital de la société. Le recrutement de diplômés et de militants. Le développement d'un bastion syndical dans la grande distribution. Le départ des fondateurs dans un contexte social mouvementé.
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L'ouvrage étudie également la trajectoire professionnelle des générations d’employés, entrés à la FNAC pendant ou après des études supérieures. Au fil des décennies, la FNAC a été confrontée à de nombreux défis : l'évolution des modes de consommation, la concurrence de la grande distribution, l'essor du numérique. Pour y faire face, l'entreprise a dû se réinventer, en misant sur l'innovation, la diversification et la fidélisation de sa clientèle.
Rachats et transformations de la FNAC (1985-2009). L'épisode GMF : projet ambitieux et crise financière. La filialisation de la FNAC dès 1990 : différenciation des salariés et éclatement des statuts. La centrale d'achats et la Direction Produit : rationalisation de l'activité et déqualification des postes de vente. Les transformations de la FNAC et leurs effets sur l'action collective : du progrès social à la défense de l'emploi. Le rachat de la FNAC par François Pinault en 1994 : un aboutissement pour le groupe Pinault-Printemps-Redoute.
Qui travaille à la FNAC ? Les caractéristiques du personnel et des emplois. Le recrutement des employés : du « militant » au « bon vendeur » en passant par le « passionné ». La FNAC et ses employés : les pratiques de management au service d'une stratégie d'entreprise. La FNAC : une entreprise comme les autres dans le secteur de la distribution.
La deuxième génération d'employés : des jeunes diplômés dans les emplois précaires. L'Élite des jobs étudiants. Le deuxième « âge » de l'emploi à la FNAC : départ de la FNAC, départ des études. L'emploi précaire « de profession » : contraintes et conditions de l'enracinement professionnel à la FNAC. Le déclassement et l'emploi précaire pour une catégorie des nouveaux groupes dominés. Les générations d'employés de la FNAC : du déclassement temporaire au déclassement généralisé, durable et contraint.
SUD FNAC : vers un renouvellement des générations syndicales ? Le réseau Stop Précarité : être déçu du syndicalisme des grandes organisations tout en y appartenant. L'action syndicale des surdiplômés au sein des structures autonomes.
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