La section de tir de Valdahon a été créée en 1990 au sein du club sportif et artistique de la garnison de Valdahon (CSAGV), comme le précise la responsable Nadège Faivre.
Une section de tir qui, pour autant, n’est pas spécialement réservée aux militaires, même si les locaux occupés appartiennent à l’Armée, tout en étant extérieurs au camp. Mais la section est bel et bien ouverte aux civils.
« Nous comptons aujourd’hui une cinquantaine d’adhérents âgés de 8 ans, le minimum pour nous rejoindre au sein de notre école de tir, à plus de 70 ans ». Tous pratiquent le tir sportif à la carabine ou au pistolet à plomb, à 10 mètres.
Ils peuvent le faire en loisir ou opter pour la compétition qui se déroule au niveau départemental, régional voire national. Il faut aussi bien entendu faire preuve de précision.
Un exercice auquel vont de prêter environ 150 membres d’associations et entreprises des Portes du Haut-Doubs d’ici au 10 juin dans la cadre d’un challenge amical.
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« Par équipe de trois, ils viennent tirer en fin de journée durant une semaine et à l’issue nous établissons des classements individuels et par équipe hommes, femmes et mixtes ».
Les lourds camions camouflés entrent dans le Centre de formation initiale des militaires du rang (CFIM) du Valdahon, dans le Doubs.
Quarante engagés volontaires aux cheveux fraîchement rasés en débarquent. Pour eux, l'armée commence ici. Leur arrivée passe presque inaperçue dans cette usine à soldats qui tourne à plein régime.
La plupart d'entre eux se destinent au 16e bataillon de chasseurs à pied. Onze officiers et sous-officiers de cette unité, reconnaissables à leur béret noir, ont pour tâche de transformer ces « civils en uniforme » en soldats.
Un jeune homme de 21 ans s'est donné la mort à Valdahon, au centre de tir du 13e régiment du génie, alors qu'il participait, avec le Centre de formation initiale des militaires du rang (CFIM) 7 BB à un exercice de tirs.
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Le jeune homme était engagé avec le CFIM 7BB, depuis moins de 3 semaines. Il effectuait un exercice au centre de tir du 13e régiment du génie de Valdahon (Haut-Doubs) quand il s'est suicidé.
Le jeune homme s'est donné la mort en retournant son fusil d'assaut "Famas" contre lui, comme nous l'a confirmé le 13e régiment du génie. Une cellule d’aide psychologique a été mise en place pour soutenir les témoins de ce drame.
Selon le service communication, le militaire n'appartenait pas aux forces du régiment de Valdahon. "Les CFIM sont chargés d'assurer la formation générale initiale (FGI) d'une durée de 12 semaines de l'ensemble des engagés volontaires initiaux de l'armée de Terre", précise le site de l'armée de terre.
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