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Le tir sur cible est une discipline sportive qui consiste à atteindre une cible spécifique avec un projectile, qu'il soit en plomb, en acier ou en papier. Pratiqué à la fois en loisir et en compétition, ce sport attire de nombreux passionnés à travers le monde.

Les origines du tir sur cible

Le tir sur cible trouve ses racines dans les pratiques de chasse et de défense. À l'époque, les archers et les tireurs utilisaient des techniques précises pour atteindre des objectifs, que ce soit pour se nourrir ou se protéger. Au XXe siècle, la popularité du tir sur cible a explosé, notamment avec l'introduction de nouvelles technologies et d'équipements spécialisés. Les compétitions de tir, telles que les Jeux Olympiques, ont permis de formaliser les règles et d'attirer l'attention sur ce sport.

Les disciplines du tir sur cible

Le tir à la carabine est l'une des disciplines les plus populaires. Les tireurs utilisent des carabines de précision pour atteindre des cibles situées à différentes distances. Le tir au pistolet se concentre sur l'utilisation de pistolets pour atteindre des cibles fixes. Cette discipline exige une grande concentration et une maîtrise de la technique. Le tir à l'arc combine habileté et concentration. Les archers visent des cibles à des distances variées, en utilisant différents types d'arcs.

Le matériel et les techniques

Le choix de l'arme est fondamental dans le tir sur cible. Les carabines et les pistolets doivent être choisis en fonction de la discipline pratiquée et de la préférence personnelle. Les munitions varient selon le type d'arme. Pour les carabines, les balles doivent être choisies en fonction de la distance de tir et du type de cible. Les accessoires jouent un rôle crucial dans la pratique du tir. La position de tir est primordiale pour garantir la précision. Les débutants doivent apprendre à adopter une posture stable, que ce soit en position debout, assise ou couchée. La prise de visée consiste à aligner l'œil, la cible et le canon de l'arme. Un bon contrôle de la respiration aide à stabiliser le corps pendant le tir.

Le Cercle de Tir de l’Isle Crémieu Bourgoin Jallieu

Plus d'un demi-siècle d'histoire pour le Cercle de Tir de l’Isle Crémieu Bourgoin Jallieu ! C’est en effet, en 1958 que Georges LEYDIER, se lançait dans l’aventure du ball-trap, qui en était à ses tous débuts, il est donc un des pionniers du ball-trap dans la Région Rhône-Alpes. Au cours de ce demi siècle d’existence, le club de tir sportif a obtenu à peu près tous les titres, à savoir : Champion Départemental, Champion Régional, Champion de France, Champion d’ Europe, Champion du Monde, seul un titre Olympique n’apparaît pas au palmarès.

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Ces résultats sont le fruit d’une politique qui permet à chaque compétiteur d’avoir la possibilité de s’entraîner dans les meilleures conditions possibles. Cela passe, par des installations adéquates, le club est un des rares à les avoir, par des entraînements aidés et personnalisés, le club de tir permet cela au travers de stages et de suivis individuels, et enfin, par des aides matérielles qui sont concrétisées par l’adhésion des compétiteurs au TEAM Compétition du Club. Mais comme dans la plupart des clubs, les compétiteurs ne représentent que 5% des effectifs, et donc un bon nombre d’adhérents conçoivent ce sport comme une détente. Dans le club, les infrastructures et l’ambiance permettent cette coexistence.

Fort de plus de 1 100 membres, le club accueille un grand nombre de tireurs de toute la région, qui viennent chercher ce que les autres clubs n’ont pas forcément. C’est pourquoi, plus de la moitié de l’activité du club est réalisée avec des tireurs rhônalpins qui ne sont pas adhérents. Notre club est ouvert à toutes les personnes qui souhaitent s'initier au tir, dans les disciples de Tir sur cible ou de ball-trap.

Incident au stand de tir de Saint-Chef

Vers 20 heures jeudi soir, quatre hommes encagoulés ont pénétré sur un stand de tir à Saint-Chef (Isère), où ils ont volé environ 75 armes dont une cinquantaine d'armes de poing. Selon le Dauphiné Libéré, le stand de tir du Rondeau accueillait une exposition-vente avec la présentation de plusieurs centaines d’armes civiles et de guerre depuis mercredi. Courant 2012, à six mois d’intervalle, des fusils, des pistolets et des munitions avaient également été subtilisés, selon le journal. Et la semaine dernière, c’est un instructeur de tir qui a été cambriolé.

Hommage à Jean Rondeau

30 ans après, l'Automobile Club de l'Ouest et l'association "L'épopée Inaltéra-Rondeau" ont décidé de rendre hommage à Jean Rondeau, disparu tragiquement le 27 décembre 1985. Une exposition aura lieu le vendredi 11 juin à Mulsanne avec plusieurs prototypes Rondeau (trois Inaltéra, deux M379, quatre M382 et une M482). Ces autos feront trois tours sur le grand circuit samedi. Pour l'occasion, d'anciens mécaniciens et pilotes feront le voyage jusque dans la Sarthe.

Par ailleurs, un ouvrage de notre confrère Michel Bonté, "Rondeau, une histoire d'hommes", vient de paraître aux Editions Le Mans Racing (29,90 €).

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Marin Poirier : Un résistant fusillé au stand de tir du Bêle à Nantes

Marin Poirier travailla comme cuisinier à Paris avant de partir cinq ans dans la Marine. Il entra aux chemins de fer de l’État en décembre 1925 comme cantonnier. Marié à Eugénie née Fourrage, sans enfant, il demeurait au 61 chemin de la Gaudinière à Nantes. Ancien combattant, il avait adhéré à l’Union des camarades des tranchées en revenant de la guerre du Rif (1925-1926 Maroc) au cours de laquelle il avait été blessé. Militant SFIO, il œuvra dès le début du conflit, au sein du Comité d’entente des anciens combattants, présidé par Léon Jost dont le rôle était d’aider les pouvoirs publics dans l’application des mesures de défense passive et dans l’assistance apportée aux réfugiés et aux mobilisés.

Dès l’été 1940, il entra dans le mouvement Bouvron-Nantes, fondé par Auguste Bouvron, au sein du groupe Paul Bosq-Henri Adam. Il participa à la filière d’évasion des prisonniers qui se mit en place avec Paul Birien, Joseph Blot, Auguste Blouin, Alexandre Fourny (membre du réseau Georges-France31), Georges Granjean, Léon Jost, Marcelle Littoux et Fernand Ridel. Marin Poirier convoyait vers la zone libre via Angoulême (Charente) et La Rochefoucauld où ils étaient pris en charge par un garçon de café. Son activité de garde-barrière au centre de Nantes, lui permettait de surveiller le passage des convois allemands, informations transmises à Henri Adam puis à partir de 1941, à Londres.

Interné à la prison des Rochettes, puis jugé le 15 juillet 1941 par le conseil de guerre allemand, Marin Poirier fut condamné à 4 ans et demi de prison, peine plus lourde que celle de ses camarades. Mais le 16 août, le commandant militaire allemand en France (MBF) annula le jugement et Marin Poirier fut renvoyé devant la juridiction du chef de la circonscription militaire B d’Angers (Maine-et-Loire) qui le 27 août 1941, le condamna à la peine de mort pour intelligence avec l’ennemi. La fuite du chef de l’organisation Auguste Bouvron et les déclarations d’un codétenu auquel il avait dit être « un ennemi acharné des Allemands » semblent avoir alourdi la peine. Son avocat le bâtonnier Guinaudeau et l’interprète de la préfecture le professeur Duméril déposèrent en vain un recours en grâce.

Il a été fusillé 30 août 1941, à 12h15 au stand de tir du Bêle à Nantes et enterré sur place. Il avait refusé de se laisser attaché au poteau et bander les yeux et avait crié « Je suis innocent. Après l’exécution des 48 otages (dont 16 à Nantes) du 22 octobre1941, le Tribunal de guerre autorisa le transport de son corps vers le cimetière de Saint-Julien-de-Concelles. Le 13 novembre 1941, la municipalité nantaise en assura la réinhumation avec celle de quatre autres fusillés.

Reconnu - Mort pour la France -, par décision du 19 février 1945, il fut décoré : chevalier de la Légion d’honneur par décret du 27 juillet 1946 ; Croix de Guerre avec Palme. Premier fusillé de Nantes, Marin Poirier est particulièrement honoré dans sa ville : une stèle avec son buste a été inaugurée le 14 novembre 1948 dans la cité de cheminots du Vieux Doulon qui porte son nom ainsi qu’une plaque dans une salle de réunion aux ateliers SNCF du Grand-Blottereau.

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