Oris est une Maison suisse fondée en 1904 à Hölstein. Depuis 1925, elle se spécialise dans les montres de luxe. Au fil des ans, Oris a toujours innové et visé l’excellence, en alliant savoir-faire ancestral et nouvelles technologies. En 1968, elle se voit d’ailleurs décerner un certificat de chronomètre pour son calibre Oris 652. Aujourd’hui, la manufacture jouit d’une réputation internationale, tant sur la qualité que sur la précision de ses garde-temps mécaniques conçus pour durer.
Après avoir franchi un immense cap il y a deux ans avec la sortie du Calibre 400, son premier mouvement automatique maison, Oris développe intelligemment sa gamme. Plutôt que de mettre la charrue avant les boeufs en utilisant son précieux mouvement à tout-va, elle l’emboîte tranquillement là où c’est le plus pertinent, ne reniant ainsi pas ses origines. Et c’est tant mieux.
Néophyte ou non, il y a peut-être un truc qui ne t’a pas échappé: l’engouement pour les montre de plongée. Et si comme moi, tu t’es arrêté au snorkling, tu te demandes peut-être l’intérêt d’avoir une plongeuse au quotidien.
Et bien, tout comme donner l’heure, ce n’est pas là que réside la passion. Je vois les amateurs de toquantes comme des geeks portés sur un subtile mélange de design, de technicité et d’histoire. Ce que proposent généralement les montres plus sport. Et c’est justement là que la Divers Sixty Five d’Oris vient habilement se placer.
Son histoire déjà. Comme son nom l’indique, c’est en 1965 que la maison horlogère signe sa première montre de plongée avec un boitier étanche à 100m. Aujourd’hui, la gamme Sixty Five est une ligne heritage qui rend donc hommage aux prémices de l’aventure Oris dans l’univers de la montre de sport. C’est aussi ce qui rapproche ces modèles de notre approche stylistique: piocher dans le passé pour créer des pièces actuelles.
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En plus, ces montres ont quelque chose pour elles: leur design fait office de signature. Elles ne ressemblent à aucune autre plongeuse du marché. Quand on met une somme d’argent conséquente dans un objet, qu’il se distingue avec sa propre identité, ce n’est pas accessoire.
Parler de singularité est la bonne transition pour introduire cette Cotton Candy.
C’était l’une des actualités à ne pas rater des Geneva Watch Days 2022, une Oris Divers 65 enfin équipée du Calibre 400 qui, au-delà d’être produit en interne, offre des performances exceptionnelles : 120 heures de réserve de marche, plus précis qu’un chronomètre avec une déviation quotidienne de -3/+5 secondes, un système de glissière remplaçant le roulement à billes du rotor, une forte résistance aux champs magnétiques, sans oublier une garantie et un intervalle d’entretien de 10 ans.
Même si cette Sixty-Five ne réinvente pas la roue, son nouveau look lui va encore mieux. Pourquoi ? Car sa lunette de plongeuse a été évincée au profit d’une graduation sur 12 heures, améliorant ainsi la lecture de l’heure et permettant également l’indication temporaire d’un second fuseau horaire. Pratique pour garder un oeil sur vos clients étrangers histoire de ne pas rater vos conférences Zoom.
Bien évidemment, Oris n’a pas fait les choses à moitié, cette lunette est bien bidirectionnelle. En sachant que cette montre de plongée “souffrait” d’une étanchéité limitée à 10 ATM, cette lunette lui attribue une vocation bien plus urbaine qui lui va comme un gant. Si vous aimez plonger pour de vrai, l’Aquis prend tout son sens au sein du catalogue Oris.
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En sachant que le diamètre choisi est de 40mm, une question se pose : quel est l’impact sur l’épaisseur de cette Divers 65 ? En sachant que le Sellita SW200-1 mesure 4,6mm de hauteur, et que le Calibre 400 n’en fait que 4,75mm, la réponse est : quasiment aucun. C’est donc une montre tout aussi équilibrée qui voit le jour, laissant apparaître ce mouvement parfaitement épuré et moderne qui n’est pas sans flatter l’oeil.
Un choix ultra-logique à un prix frisant l’insolence : 3,100€ sur bracelet cuir et 3,300€ sur acier. Oris décline à date cette Divers-Sixty Five 12H Cal.
Si tu me lis depuis quelques années, il est difficile de te cacher que le rose et moi vivons une belle histoire. C’est une couleur que j’adore porter et pourtant, je n’aurais pas imaginé un jour avoir une montre avec un cadran rose au poignet. Du moins, une montre qui ne soit pas « fantaisie ».
Puis arrive le printemps, je comptais emprunter quelques montres pour mes shoots de la saison estivale. J’en discute avec une proche, lui montre ma sélection et surprise, elle me dit: mais pourquoi tu n’en prends pas une en bronze, celle à cadran rose. Je ne dis rien mais l’idée me reste en tête.
Quelque jours plus tard, je file à la boutique rue d’Argout pour récupérer les prêts, et j’avais demandé la cotton candy rose. Quand la conseillère la sort de la vitrine et me la règle au poignet, il se passe un truc. Genre coup de foudre, tu sais façon film américain. Si ça ne me parle pas trop avec les être humains, ça marche déjà plus avec la mode. Là, j’avais ce truc devant cette montre.
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J’ai su à cet instant précis que c’était LA montre. Oris a poussé les curseurs jusqu’à l’écrin pour sa collection Cotton Candy Il y a cette audace chez Oris qui me parle et je trouve qu’elle a réussi à trouver le juste milieu entre coté flashy et raffinement. En plus, moi qui n’aime pas les grosses garde-temps, une 38mm est idéale. J’avais là ma montre streetwear pétante mais pas bling-bling.
Et comme la cerise sur un gâteau déjà bien trop tentant, le bronze non traité se patine dans le temps. Franchement quoi demander de plus quand on aime autant le denim et les bijoux en argent. Une matière et un métal qui deviennent plus beaux année après année.
Ces Divers Sixty Five avec le boiter en bronze prennent une patine vraiment superbe avec les ports. Vincent, le responsable France d’Oris en a une au poignet qui m’avait interpellé. Simon, un ami qui nous aide sur nos projets a aussi une Oris en bronze patiné. Beaucoup de signes!
Tu vois, c’est aussi ça qui a fini de me convaincre, pouvoir avoir une montre qui évolue avec moi dans le temps. Petit tips: il suffit de la bichonner au jus de citron pour lui redonner son éclat de sortie d’atelier.
On va le voir ensemble, cette Oris Cotton Candy est beaucoup plus facile à porter qu’elle n’y parait. Et surtout, elle ne se limite pas à un style.
Comme je l’évoquais plus haut, c’est une montre que j’avais choisie pour habiller des tenues de la belle saison. Si tu nous suis depuis quelque temps, impossible que tu l’ai loupée sur le site ou Instagram. C’est simple: je n’ai plus porté qu’elle jusqu’à la fin octobre.
Alors ce n’est pas un scoop, cette Oris cotton candy est incroyablement bien à sa place dans des tenues colorées. Elle respire le soleil et tout ce qui va avec ces moments où le ciel est bleu.
Alors quand le ciel est enfin devenu gris et qu’il a fallu sortir les vêtements plus chauds… bah je m’y étais habitué à cette petite montre en bronze au cadran rose. Et j’avais aucune envie de la mettre au coffre en lui donnant RDV en mai prochain.
Alors j’ai continué à la porter et je me suis vite rendu compte qu’elle donnait tout aussi bien le change à des couleurs et matières plus automnales. En plus, je conseille toujours de pimenter ses looks de la saison froide avec des accessoires de couleur.
Dans ce look, la montre s’intègre parfaitement au milieu des couleurs « terre ». Tel un beau bijou, elle ressort sans non plus faire hors sujet.
De plus, même avec des couleurs plus douces et neutres, la cotton candy tire son épingle du jeu.
Regarde dans cet exemple, on est sur des couleurs très claires avec des matières bien hivernales: cachemire, velours côtelé. La bronze patiné ressort ce qu’il faut de l’ensemble. De toute façon, à partir du moment où cette montre collait avec le denim indigo, les couleurs « terre », les pièces militaires, il était évident que l’hiver ne serait pas la saison de l’hibernation pour elle.
Aujourd’hui une montre est plus que jamais un bijou et aussi sobre que soit ton style ou celui que tu dois porter, sur une montre, ne te bride pas. On ne parle pas d’un achat à quelques dizaines d’euros bien sûr, mais ne rationalise pas tout à 100%. Je pense au contraire que lorsque l’on met une somme à quatre chiffres dans un objet, il doit vraiment nous faire vibrer.
Et si c’est un cadran rose cerné de bronze, il ne faut pas se museler et laisser le kiff prendre le dessus. Si je ne devais garder qu’une montre pour tous les jours, ça serait cette Oris Cotton Candy bien pétante, parce que j’ai le sourire à chaque fois que je la regarde!
Ce qui change principalement dans ce nouveau modèle sorti fin août 2022, c’est l’utilisation pour la première fois dans une « 65 » du « calibre 400 », le mouvement de manufacture Oris. A vrai dire, pour être précis, ce n’est pas la toute première fois qu’une Oris Divers Sixty-Five rencontre un calibre 400, car il y avait notamment eu la Carl Brashear et son calibre 401 récemment, mais c’est la première fois que ce calibre 400 est intégré dans une Divers Sixty-Five qui n’est pas une édition limitée.
Côté style, la montre ne subit pas de grandes modifications, avec un boitier en acier de 40 mm de diamètre et une lunette aluminium bi-directionnelle très lisible graduée sur 12 heures. Elle dispose d’un verre saphir bombé sur les deux faces, et doté d’un traitement antireflet sur la face intérieure. Le fond vissé est en acier inoxydable et il laisse apparaître le mouvement en transparence d’un verre lui aussi en saphir. La couronne oversize est vissée, ce qui donne une étanchéité à 10 bar.
Le bracelet acier est une vraie réussite. Il est sobre et simple, en acier brossé sans fioritures. Son allure de bracelet vintage à rivets apporte beaucoup de charme à la montre. Je vous recommande bien entendu de toujours acheter la montre avec son bracelet acier, même si vous ne le portez pas dessus tout de suite.
La marque annonce sur son site que le cadran est « noir ». Cependant, à l’usage et en comparaison avec la lunette, je le trouve plus gris foncé que noir. C’est un cadran mat finement texturé, comme poudré. Les index appliqués sont cerclés de chrome et dotés, comme les aiguilles, de superluminova BG W9 pour une parfaite lisibilité dans le noir. Le calibre 400 intégré à cette montre permet un affichage heure/minute/seconde et date dans un petit guichet à 6 heures.
Cette nouveauté est affichée à 3.300€ sur bracelet acier et 3.100€ sur bracelet cuir. Epurée et sobre, cette nouveauté est une belle réussite, même si je trouve qu’elle rend bien mieux en vrai qu’en photo.
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