Après Vannes, Lorient, Saint-Nazaire, Brive-la-Gaillarde et Villefranche-de-Rouergue, «Alcedo», toute jeune enseigne bretonne, spécialisée dans la vente d'articles de chasse et de pêche, arrive à Quimper.
Cette 6e franchise est dirigée par Marc Jeffroy, un Clédérois d'origine, qui a travaillé pendant de nombreuses années dans la grande distribution.
Sur une belle surface de vente de 300m², le magasin propose un grand choix de matériel de chasse et de pêche en rivière et en mer, hors chasse sous-marine.
Ainsi on y trouve armes, munitions, aliments pour chiens, cannes, moulinets, leurres en vrac, vêtements et accessoires des marques Verney-Carron, Browning, Aigle, Tenryu ou Shimano.
La clientèle pourra trouver conseil auprès de Marc Jeffroy et son employé Lionel Taté, tous deux férus de pêche et de chasse.
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«Alcedo», 14, allée du Docteur-Picquenard, zone de l'Hippodrome, Quimper.
Les armureries en France ont une longue histoire qui remonte à plusieurs siècles.
Les armuriers étaient initialement des artisans spécialisés dans la fabrication d’armures pour les chevaliers et les soldats.
Aujourd’hui, il existe environ 15 000 armureries en France.
Elles se trouvent dans toutes les régions du pays et peuvent être grandes ou petites, indépendantes ou liées à des chaînes nationales.
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Si vous cherchez à trouver un bon armurier, il est important de bien faire vos recherches.
Vous pouvez demander des recommandations à des amis ou à des membres de votre famille qui utilisent des armes à feu, ou consulter des forums en ligne dédiés à ce sujet.
Il est également possible de rechercher des avis en ligne sur les armureries.
Il existe plusieurs raisons pour lesquelles il peut être avantageux d’aller chez un armurier.
Tout d’abord, les armuriers sont des experts en matière d’armes à feu et peuvent vous aider à choisir le bon équipement pour vos besoins.
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Enfin, les armuriers peuvent également offrir des services tels que des réparations et des personnalisations, ce qui peut être très utile pour les propriétaires d’armes de chasse.
Pour pouvoir détenir une arme légalement de catégorie B (armes de poing), la réglementation est très stricte. Tout doit être déclaré.
L’acquisition et la détention d’armes de catégorie B sont soumises à une autorisation qui est accordée à des particuliers, sous certaines conditions, pour la pratique du tir sportif ou pour des motifs de sécurité.
Les particuliers voulant détenir une arme de catégorie B à titre sportif sont obligés de passer par l’intermédiaire d’un stand de tir accrédité par la Fédération française de tir.
Ils doivent faire une demande d’obtention de licence (s’ils n’en possèdent pas), qui est obtenue de manière dématérialisée après des tests ardus, des vérifications et une formation de tir de quatre heures.
Après avoir passé trois tirs contrôlés, espacés de deux mois, et constitué un dossier rigoureux, une autorisation de détention d’arme de catégorie B leur est délivrée par la préfecture.
Cette autorisation permet ensuite d’acheter une arme dans une armurerie spécialisée.
Les autorisations de détention d’armes sont soumises à diverses contraintes dont la possession d’un coffre-fort sécurisé dans lequel va être gardée l’arme.
La licence de tir sportif vaut titre de transport pour aller du domicile au stand de tir.
Plus d’un millier d’armes à feu, de poing ou longues, ont été récoltées à Quimper (Finistère) lors de « l’Opération nationale d’abandon simplifié » organisée par le ministère de l’Intérieur, qui se déroulait du 25 novembre au 2 décembre.
L’occasion pour de nombreux particuliers de se mettre en conformité avec la loi, sans risques de poursuites pénales et en s’évitant de nombreuses démarches administratives.
C’est à la pépinière d’entreprises de Creac’h Gwen à Quimper que les particuliers étaient invités à déposer armes et munitions.
Mais d’autres centres avaient été également ouverts dans le département du Finistère, à Landerneau, Châteauneuf-du-Faou et Roscoff, gérés par la police ou la gendarmerie locales.
« Les armes détenues sans autorisation sont principalement des armes de chasse ou issues des Première et Seconde Guerres mondiales.
La plupart de celles détenues illégalement sur le territoire national ont été acquises par héritage, le plus souvent sans connaître le cadre légal de détention de ces armes », expliquent les autorités.
Cette opération de dépôt avait pour objectif de permettre aux détenteurs de bonne foi de se débarrasser des armes ou alors de les conserver légalement.
« Quand j’ai déménagé la maison de mes grands-parents, j’ai découvert au grenier plusieurs armes, dont certaines assez anciennes. Je ne savais pas trop quoi en faire et je les ai gardées, ne sachant qu’il fallait les déclarer. Du coup, j’ai tout déposé aujourd’hui. Je ne vais pas les reprendre car je n’en ai pas l’utilité », reconnaît ainsi un Quimpérois, venu déposer des armes à Creac’h Gwen.
Le bilan de l’opération a été plus que satisfaisant puisque, selon les chiffres de la préfecture du Finistère, 3730 armes ont été collectées dont 2957 longues et 722 de poing.
Pas moins de 449 comptes SIA ont été créés - 273 pour les particuliers non-chasseurs et 176 pour des chasseurs - et 883 armes ont été enregistrées dans ces comptes.
| Type d'arme | Nombre |
|---|---|
| Armes longues | 2957 |
| Armes de poing | 722 |
| Total | 3730 |
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