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Si vous avez passé des heures à jouer à Duck Hunt sur la NES, vous vous êtes forcément déjà demandé comment fonctionnait le Zapper, ce fameux pistolet développé par Gunpei Yokoi et qui repose sur un système opto-électrique ingénieux. Voici comment il fonctionne.

Fonctionnement du Nintendo Zapper

En réalité, pas de caméra à l'intérieur du Zapper ! Il utilise un procédé assez simple : le pistolet va générer un flash clignotant (un peu comme un stroboscope) dès lors que l'on appuie sur la gâchette. C'est à ce moment qu'une cellule dans la cible va détecter ce changement de lumière. Ainsi, vous vous souvenez peut être qu'au moment du tir, l'écran de votre téléviseur à tube cathodique émettait un flash. C'est normal !

Il existe plusieurs étapes au cours de ce très court laps de temps mais il est impossible de les voir pour nos simples yeux d'humains en raison de la persistance rétinienne. Au moment du tir avec le Zapper, le jeu va afficher pendant une image, un écran blanc suivi d'un écran noir. C'est le fameux flash qu'on peut voir quand on shoot un canard ! Et c'est aussi sur cet écran noir qu'on trouve les cibles qui sont représentées par des carrés blancs.

Ensuite, c'est le Zapper qui va détecter le passage du blanc au noir : si vous pointez vraiment sur une cible, donc sur un carré blanc, le passage n'est pas détecté et donc le jeu considère que vous avez bien touché la cible.

Que se passe-t-il s'il y a plusieurs cibles ?

Avec ce système précédemment expliqué, le fait d'afficher des carrés blancs permet de savoir si la cible en question a été touchée mais pas de savoir laquelle. Le jeu affiche bien toutes les cibles en même temps. Pour savoir laquelle vous avez touché, le jeu va afficher un écran noir avec un seul carré blanc pour chaque cible à la fois.

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Cela veut dire que s'il y a deux cibles affichées, il y aura deux images créées. Si le Zapper détecte du blanc, alors en fonction du nombre d'images écoulées (avec un système PAL, le rafraîchissement se fait à 50 images par seconde, les images durent 20 ms et avec un système SECAM, il se fait à 60 images par seconde et les images durent 16,6 ms), il est alors possible de déterminer quelle cible a été touchée car le Zapper va associer le blanc avec le nombre d'images écoulées.

Mieux qu'un long discours, voici les étapes détaillées en dessin :

Vous comprendrez que ce système a des limites et que la précision n'est pas son point fort ! En plus, on est restreint en terme de nombre d'objets à afficher en même temps. C'est pourquoi on inventera des pistolets avec un branchement à la sortie vidéo de la PlayStation un peu plus tard qui fonctionne sur le même principe mais qui offre une meilleure précision.

Les plus mal intentionnés parmi vous qui ont compris le système du Zapper se diront : "Si le pistolet considère que s'il n'y pas de noir alors on a touché une cible ... Je vais viser l'ampoule de ma lampe." Cela peut fonctionner mais certains systèmes imposent d'avoir une image noire vide avant d'afficher les cibles.

L'histoire du Zapper : des origines à la polémique

Le pistolet de la NES est un des premiers accessoires jamais proposés sur une console. Et devinez quoi : voilà exactement 24 ans jour pour jour que le produit est sorti, au Japon du moins ! En effet, le NES Zapper est entré dans les vies des jeunes joueurs nippons le 18 février 1984. Il est intéressant de noter que le Zapper tel que nous le connaissons n'avait pas cette forme au Japon : au contraire, le Zapper avait au Pays du Soleil Levant la forme d'un revolver, c'est sans doute à cause de ce réalisme saisissant pour une réplique que le modèle qui sortira quelques mois plus tard aux USA puis en Europe sera gris et orange !

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Le Zapper est un gadget plutôt intelligent pour l'époque : il n'était pas encore question de sensor bar pour calculer la position du viseur sur l'écran, mais plutôt d'une utilisation intelligente de la photo-luminescence. Explications : lorsque le joueur presse la détente, l'écran scintille, affichante une image noire suivi de carrés blancs correspondant aux sprites disponibles à l'écran (ce qu'on devait viser, en somme).

Dans le pistolet, on a un capteur, plus exactement une photodiode, capable de déceler la nuance entre deux couleurs fort différentes que sont le noir et le blanc. La NES devait alors définir que le changement détecté (noir puis blanc) par le temps d'affichage de l'image. Cette durée permettait d'ailleurs, si plusieurs cibles étaient proposées à l'écran, de savoir laquelle était actuellement visée ! Ingénieux, non ?

Certes, c'est un peu complexe, mais c'est ce qui a permis à des millions d'enfants dans le monde de jouer à Duck Hunt, Wild Gunman ou encore Gumshoe. Une seconde méthode permettait, avec certes une précision moindre, de proposer plusieurs cibles à l'écran : pendant une fraction de seconde, l'écran est complètement noir, puis passe au blanc.

Invisible à l'oeil nu, ce changement est en fait dû à un balayage de l'écran cathodique par des électrons qui dessinent l'image ligne par ligne. La reproduction de revolver s'explique par la sortie, au Japon, d'un jeu appelé Wild Gunman. Ce jeu sorti initialement en salles d'arcade en 1974 a été adapté pour la Famicom, console sur laquelle le jeu est donc sorti le même jour que le Zapper, le 18 février 1984. Le but du jeu ? Tirer bien sûr, dès que les yeux de l'adversaire clignaient tout en criant "Fire" ! Il fallait avoir des réflexes !

La censure et le redesign du Zapper

Nintendo a toujours eu une histoire assez compliquée avec la violence, et notamment les armes à feu. Notre cher Mario, que l'on ne présente plus puisqu'il fête ses 35 ans, aurait d'ailleurs dû bénéficier d'un flingue dans ses premières apparitions vidéo-ludiques, du moins c'est ce qui était prévu par Nintendo avant diverses modifications. Autant dire que Nintendo et les guns, ça fait deux.

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Si bien que la soif d'innovation et d'originalité de l'entreprise japonaise a pu se retrouver censurée dans d'autres pays, notamment les USA ! Ici, on va revenir sur l'histoire du NES Zapper, un accessoire de Nintendo qui a suscité la polémique aux Etats-Unis, au point tel qu'il a fallu le redesigner uniquement pour l'occasion.

Le Zapper est un accessoire pour Nintendo NES (ou Famicom au Japon) prévu pour jouer à Duck Hunt. On vise sa télé à l'aide du flingue, et l'on tire. A l'origine, le Zapper pour Famicom n'avait pas du tout l'allure qu'on lui prête aujourd'hui. Il s'agissait en réalité d'une réplique de revolver (en version jouet bien entendu) qui pouvait sembler (pour peu que l'on se trouve dans un environnement sombre) comme un vrai flingue.

Autrement dit, on pouvait aisément prendre ce gadget pour une vraie arme à feu. Au Japon, où les armes de ce type sont très peu présentes, ce n'est pas un vrai souci car on ne s'attend pas à trouver un flingue pointé sur soi à chaque coin de rue. En revanche, aux USA, un des pays les plus permissifs en terme de port de pistolets, l'histoire est bien différente.

Pour que le Zapper fasse son arrivée aux USA, il a fallu complètement revoir le design de l'accessoire, de peur que des hordes de gamins se baladent dans la rue avec un flingue factice, qui aurait pu avoir le don de créer une véritable panique aux USA. C'est ainsi qu'une première version grise (avec un gachette orange) bénéficiant d'un design plus futuriste et moins réaliste a été proposée au Japon.

Et par la suite, ce design a évolué pour devenir encore plus surréaliste : du gris, la couleur dominante de l'objet est devenu l'orange, pour bien signaler qu'il ne s'agit là que d'un gadget, et pas d'une potentielle arme à feu. C'est d'ailleurs finalement ce nouveau design qui a été gardé un peu partout dans le monde, abandonnant celui du revolver (qui n'était finalement pas si original, de toute façon).

Comme quoi, parfois, la censure peut pousser à l'inventivité : nul doute que, sans cette restriction, nous ne nous souviendrons probablement pas du Zapper. Mais avec ce nouveau design, il est bel et bien resté dans le mémoires !

Le Zapper dans la culture populaire

Pour ce nouvel épisode de PasTech, on retourne un peu moins de 40 ans an arrière, au beau milieu des années 80. Dès 1984, Nintendo commercialise au Japon un accessoire atypique : le Famicom Light Gun. Un accessoire dédié à la Famicom (la version japonaise de la NES), reprenant l’aspect d’un revolver. Un pistolet lancé en premier lieu en gris, reprenant les teintes caractéristiques de la NES, mais c’est toutefois sa seconde version (lancée en 1989) qui va marquer les mémoires de millions de joueurs, à savoir le Nintendo Zapper orange.

Comme tout bon possesseur de NES à l’époque, il y a de fortes chances pour que vous ayez eu entre vos mains la cartouche Super Mario Bros / Duck Hunt, et donc cet indispensable Zapper. La console de Nintendo avait d’ailleurs été vendue en bundle avec ledit accessoire, et (très) nombreux sont les jeunes joueurs de l’époque à avoir passé des heures sur ce jeu de tir aux canards, qui proposait également du tir sur des pigeons d’argile.

A l’époque, s’il était possible de brancher le Nintendo Zapper sur le port manette numéro 2, pour profiter d’une navigation dans les menus avec la manette (branchée sur le Port 1), Nintendo avait imaginé une navigation intégralement possible au Zapper. Une fois le mode de jeu sélectionné, on vise l’écran, on shoote, et nous voici plongé dans le jeu. Un Duck Hunt assez simple d’apparence, mais qui, non content de procurer un fun absolu, proposait de chasser un ou deux canards simultanément… sans oublier un mode deux joueurs.

En effet, en reliant une manette sur le port 1 de la NES, un joueur pouvait contrôler les déplacements du canard via la croix directionnelle, tandis que le second joueur devait abattre ce dernier avec son Zapper. Car malgré son côté « jouet », le Nintendo Zapper était typiquement l’accessoire à conserver durant toute la durée de vie de la NES.

Si on se souvient de jeux comme Wild Gunman, Hogan’s Alley ou encore Gumshoe, d’autres jeux ont tenté le pari du double gameplay, comme Operation Wolf, Gotcha ou encore le très apprécié Bayou Billy. Ce dernier proposait des phases de type beat’em up jouables à la manette, et des niveaux jouables avec le Nintendo Zapper.

Dans les années 90, Nintendo donnait naissance à un « successeur » du Zapper, avec le Nintendo Scope (ou Super Scope) pour la Super Nintendo. Toutefois, plus encombrant avec son air de lance-roquettes et fonctionnant avec 6 piles AA, ce pistolet optique ne rencontre pas le même succès que son illustre prédécesseur. Dans les années 90, l’arcade s’invite de nouveau à la maison avec PlayStation notamment, et l’indémodable série Time Crisis et son GunCon, mais auparavant, la Master System avait eu droit elle aussi à son Light Phaser.

Le chien et le canard ont également eu droit à un Amiibo dédié, sans oublier d’apparaitre au casting des jeux Super Smash Bros sur Wii U/3DS et Nintendo Switch. Vous l’aurez compris, si vous avez encore la chance de disposer d’une NES, d’un Zapper et d’une cartouche Duck Hunt (et d’une TV cathodique), (re)laissez-vous tenter par une petite chasse aux canards virtuelle ce dimanche après-midi.

Le Zapper, source d'inspiration et de polémique

Entre les Américains et les armes à feu, c'est une histoire d'amour et de bains de sang qui dure depuis très longtemps. Voilà probablement pourquoi une armurerie (Precision Syndicate LCC) vient de réaliser un Glock 41 aux couleurs du Nintendo Zapper, qui était utilisé pour le jeu Duck Hunt sur NES.

On retrouve, du coup, une arme grise avec une culasse blanche et des inserts en rouge pour les différents boutons (sécurité, verouillage du chargeur...etc) ; un must pour le Nintendo fanboy un peu redneck sur les bords. Après les jouets qui imitent les armes, bienvenue dans l'ère des armes qui imitent les jouets.

Cela a valu une volée de bois vert au fabricant qui explique qu'il s'agissait là d'une arme custom et non d'un article qui serait produit en masse. Le pistolet autrichien ne semble pas être un exemplaire unique puisque l'on vous a déniché une vidéo ou un redneck déguisé en Mario fait un carton sur des cibles où figurent des canards.

Aux États-Unis, un malfrat a braqué une supérette avec une arme factice. L’homme avait repeint en noir un pistolet Nintendo qui avait été conçu pour le jeu Duck Hunt. Il a réussi à dérober 300 dollars avant d’être finalement arrêté par les forces de l’ordre. C’est un objet emblématique de l’histoire du gaming que les joueurs nostalgiques apprécient tout particulièrement.

Lancé en 1985, le pistolet Nintendo Zapper permet de tirer sur des cibles mouvantes surgissant sur l’écran. Duck Hunt, véritable chasse aux canards vidéoludique, était le premier titre à exploiter le NES Zapper. Après une sortie initiale au Japon en 1984, le jeu iconique a été intégré dans le pack de lancement de la NES.

À l’époque, il s’agissait d’une petite révolution puisque ce type de jeu se cantonnait jusqu’alors exclusivement aux salles d’arcade. Comme le rapporte CNN, un homme mal-intentionné s’est mis en tête de braquer un commerce avec le Zapper. Pour ce faire, il a peint le pistolet en noir afin qu’il ressemble davatange à une vraie arme, les couleurs initiales (orange et gris) lui donnant une silhouette de jouet.

Une fois chose faite, il s’est rendu dans une supérette. Affublé d’une perruque, d’un sweat à capuche et d’un masque, il a braqué le pistolet factice sur l’épicier. Celui-ci n’y a vu que du feu et lui a remis les 300 dollars de la caisse. Il est aussi possible que le commerçant ait eu un doute sur l’authenticité de l’arme mais qu’il n’ait pas voulu prendre de risque inconsidéré.

Alertées, les forces de l’ordre ont rapidement retrouvé la trace du braqueur nommé David Dalesandro. Trois jours plus tard, ils l’ont repéré sur le parking d’un magasin Dollar Général, situé à proximité de la supérette. Il avait toujours le pistolet Nintendo rangé dans son pantalon.

Arrêté et écroué, il sera jugé pour vol à main armée. L’arme factice a évidemment été confisquée puisqu’il s’agit d’une pièce à conviction. Le zapper, ce pistolet mythique de la Nes, a bercé l’enfance de la plupart d’entre nous, couplé au cultissime jeu Duck Hunt.

La version pour Famicom sortie en 1984 était une représentation plutôt réaliste d’un revolver à 6 coups. Notre Zapper Nes doit son aspect de pistolet laser aux Américains, très friands de Science-Fiction. Ce design futuriste était surement plus vendeur sur les terres d’Oncle Sam que la vulgaire reproduction d’un revolver.

Lors de sa sortie en 1985, le zapper reprenait le code couleur de la Nes, à savoir différents tons de gris. Une seconde version présentant le zapper habillé d’orange verra le jour en 1989, suite à la mise en application d’une nouvelle loi fédérale américaine interdisant aux jouets de ressembler à une arme réelle.

Fonctionnement technique simplifié

Le zapper fonctionne grâce à la technologie opto-électronique. Il est donc le digne héritier de plusieurs années de recherche et de fabrication de jouets Nintendo comme les pistolets Kôsenju qui ont fait leur apparition au début des années 1970. Pour vous expliquer le fonctionnement du zapper, je vais simplifier car de 1, je ne suis pas Einstein, et de 2, vous non plus, héhé.

Le zapper est équipé d’une photodiode qui détecte s’il y a ou non de la lumière. Dès qu’on actionne la gâchette du pistolet, un flash se produit à l’écran, du moins, c’est ce que notre œil détecte à vitesse normale. Prenons exemple avec le jeu Hogan’s Alley. Avant de tirer avec votre zapper, voici votre écran (les lettres A, B et C ainsi que le viseur ont été ajoutés afin de faciliter la compréhension). Il y a 3 personnages : 2 gansters en A et en C et 1 bonne mère de famille en B.

Admettons que vous visiez le gangster présent en C. Je vous rappelle que le viseur a été ajouté sur l’image pour la compréhension, la Nintendo est incapable d’afficher directement l’endroit où vous visez. Dès que vous pressez la gâchette de votre zapper, une suite d’images va apparaître très furtivement (de l’ordre de quelques millisecondes), de sorte que vous ne constaterez qu’un flash ou un clignotement de l’écran à l’œil nu.

L’écran est tout noir afin d’accentuer les changements d’intensité lumineuse. Sur les images 2 et 3, la photodiode de notre zapper ne captera pas la lumière de l’écran vu que nous visons la cible C qui pour le moment se situe dans la partie noire de l’écran. Sur l’image 4, par contre, la photodiode captera la lumière du rectangle blanc affiché à l’écran puisque vous le ciblez, un signal électrique sera envoyé à la console par le biais du câble du zapper.

Notre vue est incapable de percevoir tous ces changements d’écrans à cause de la persistance rétinienne de nos yeux. Ça va beaucoup trop vite ! On se fait berner ! On pourra toutefois percevoir quelques rectangles blancs si on est attentif.

Compatibilité et jeux

Pour utiliser de façon optimale le zapper, il faut utiliser un écran de télévision cathodique avec une fréquence de 50 ou 60 Hz. Malheureusement, le zapper ne fonctionne pas avec les générations de télé à écran LCD, LED ou plasma. Ces écrans embarquent une tonne d’électronique et de traitement d’image, il en découle un temps de réponse notable entre le moment où on leur demande d’afficher quelque chose et où il s’affiche réellement à l’écran, l’imput lag.

Cette cartouche non officielle propose 3 jeux jouables avec le zapper de la Nintendo. Dans Clown, il faut tirer dans les bouteilles lancées par le clown. Dans Shooter, il faut viser tous les méchants sans toucher les gentilles madames et dans Snake Charmer, il faut tirer sur les serpents qui sortent des paniers. Le jeu se joue au zapper ou à la manette. Il y a également un mode 2 joueurs.

Le but du jeu est de tirer sur tout ce qui pourrait empêcher le bébé héros du jeu de retrouver sa maman. Il faut donc dézinguer les ennemis potentiels (les chats, les oiseaux…), les obstacles, faire tomber les bouteilles de lait posées sur les nuages pour nourrir bébé mais aussi tirer sur certaines cibles pour permettre d’agir sur l’environnement (comme shooter un nuage pour qu’il se transforme en pont de glace au dessus d’un trou, rien que ça !).

C’est une compilation de 4 mini-jeux basés sur la précision et la spontanéité. Dans Balloon Saloon, il vous faudra éclater tous les ballons avant qu’ils n’atteignent le haut de l’écran sous peine de perdre une vie. Dans Flying Saucers, Barker Bill (quelques traits de similitude avec Mario) et sa bunny girl Tricksie lancent des assiettes qu’il vous faut shooter en l’air.

Il faut faire attention de ne pas tirer sur les oiseaux. On peut tirer sur des bonus, les diamants, qui rapportent une vie. Si vous loupez une assiette, Monsieur Bill n’est pas très content et vous le fait bien comprendre. Ouh là la !

Chiller est à la base un jeu sorti en arcade. Il est jouable à la manette ou au zapper. Je trouve la jaquette du jeu splendide, le jeu, bizarrement beaucoup moins… En effet, dans la version arcade (c’est la première que j’ai mattée sur youtube) vous incarnez un tortionnaire sans scrupule, mutilant et assassinant froidement des victimes sans défense.

Le jeu a fait un bide en arcade aux US car aucun propriétaire de salle d’arcade ne voulait acheter un jeu aussi violent. Dans ce jeu développé par Sunsoft (il existe aussi en arcade), il vous faut neutraliser des terroristes sans tuer d’otages (enfin, c’est vite dit, on vous autorise à en buter 5 par erreur, par contre le 6ème, outch !). Il est jouable à 2, mais chacun son tour, donc bof.

tags: #nintendo #zapper #histoire

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