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Le tir est une discipline appréciée durant les Jeux Olympiques, et il est l'un des sports historiques des Jeux. En effet, il figurait au programme des premiers Jeux olympiques modernes, à Athènes en 1896. Depuis, il a toujours été au programme olympique, sauf lors des Jeux olympiques de Saint-Louis en 1904 et ceux d'Amsterdam en 1928. La discipline a beaucoup évolué au fil du temps.

Épreuves de Tir aux Jeux Olympiques

À Paris, on aura droit aux épreuves :

  • de pistolet à air comprimé à 10 mètres (hommes, femmes et mixte)
  • de pistolet tir rapide à 25 mètres (hommes et femmes)
  • de carabine à air comprimé à 10 mètres (hommes, femmes et mixte)
  • de carabine 3 positions à 50 mètres (hommes et femmes)
  • de fusil à chasse fosse olympique (homme et femmes)
  • de fusil à chasse skeet olympique (hommes, femmes et mixte)

Aux 12 épreuves individuelles viennent s’ajouter 3 épreuves par équipes mixtes (Pistolet 10m, Carabine 10m et Skeet Olympique).

Quotas de Participation

Pour les douze épreuves individuelles présentes aux Jeux, 300 quotas sont distribués lors des championnats du monde, des championnats continentaux et des tournois de qualification européens et olympiques. Il y aura donc 25 quotas à acquérir dans chaque épreuve individuelle.

À ce jour, certains athlètes ont déjà obtenu un quota de participation aux Jeux pour leur pays. Ceux qui ne l’ont pas encore obtenu continuent bien entendu à participer aux événements qualificatifs. Notre pays a également la possibilité de gagner des quotas sur certaines compétitions internationales durant la période de qualification. Le premier quota ainsi gagné efface et remplace le quota « pays hôte » correspondant tandis que le second s’y ajoute.

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Les quotas obtenus par nos tireurs ne sont pas nominatifs. Cela signifie qu’un athlète qui a obtenu un quota olympique ne sera pas nécessairement sélectionné. À la fin de la période de qualification, pour chacun de ses quotas, la Fédération Française de Tir sélectionne quel sera l’athlète qui représentera la France aux Jeux dans l’épreuve concernée. Cette proposition est ensuite soumise à la validation de la Commission Consultative des Sélections Olympique (CCSO) du Comité National Olympique et Sportif Français (CNOSF).

Légendes du Tir Olympique

Le Letton Afanasijs Kuzmins - qui a aussi représenté l'URSS - est l'une des légendes du tir. Il a disputé à 9 éditions des Jeux olympiques entre 1976 et 2012. Il a remporté 2 médailles, 1 en or et 1 en argent. Le Slovène Rajmond Debevec, lui, a pris part à 8 éditions des Jeux olympiques entre 1984 et 2012.

Domination et Répartition des Médailles

Les États-Unis dominent largement le tir aux Jeux olympiques depuis 1896. En effet, ils ont remporté 116 médailles dont 57 en or (31 en argent et 28 en bronze). L'Union soviétique a aussi récolté beaucoup de médailles par le passé (49 médailles dont 17 en or). L'Italie (43 médailles dont 16 en or), la Suède (57 médailles dont 15 en or) ou encore la Grande-Bretagne (47 médailles dont 13 en or) ne sont pas en reste.

Tableau des Médailles en Tir aux Jeux Olympiques

Pays Or Argent Bronze Total
États-Unis 57 31 28 116
Union Soviétique 17 17 15 49
Italie 16 13 14 43
Suède 15 24 18 57
Grande-Bretagne 13 15 19 47

Vocabulaire du Tir

  • La balle, ou l'ogive: est le projectile utilisé. Il est généralement en plomb.
  • L'impact: est le trou effectué par la projection dans la cible.

Dans les épreuves au fusil de chasse, les tireurs doivent atteindre des plateaux projetés en l'air.

Paris 2024 : Le Tir en Pleine Lumière

Le tir se déroulera du 27 juillet au 5 août au Centre national de tir de Châteauroux (Indre). Les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 vont rassembler des athlètes de tous les pays ! C'est parti pour les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 et pour les épreuves de tir sportif, du 27 juillet au 5 août et 30 août au 5 septembre !

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Kim Ye-ji : Nouvelle Icône du Tir Olympique

Kim Ye-ji, l’athlète sud-coréenne de 31 ans, a captivé le monde entier lors des Jeux Olympiques de Paris 2024. Médaillée d’argent au tir au pistolet à 10 mètres, elle est devenue une véritable star des réseaux sociaux grâce à son charisme et son attitude décontractée. Découvrez pourquoi Kim Ye-ji est la nouvelle icône du tir olympique.

Kim Ye-ji a remporté la médaille d’argent à l’épreuve de tir au pistolet à 10 mètres dames le dimanche 28 juillet 2024 à Châteauroux. Sa performance a été impressionnante, mais c’est surtout son attitude nonchalante et son style unique qui ont conquis les téléspectateurs et les internautes.

Avec ses lunettes de précision, sa casquette à l’envers et ses cheveux plaqués en dessous, Kim Ye-ji a une allure déroutante sur le pas de tir. Son visage impassible et sa main dans la poche ont fasciné les internautes, qui la comparent à des personnages de films d’action. Elon Musk lui-même a tweeté : « Elle devrait être dans un film d’action. Pas besoin de jouer ! »

Les réseaux sociaux se sont enflammés pour Kim Ye-ji. Des tweets et des commentaires soulignent son style et son attitude décontractée. Des artistes ont même créé des œuvres d’art à son effigie, la représentant comme une héroïne de film. Sa popularité ne cesse de croître, et elle est devenue une véritable icône pour les fans de sport et de culture pop. Kim Ye-ji est bien plus qu’une simple athlète. Elle est devenue une icône grâce à son style unique, son attitude décontractée et son charisme.

Kim Ye-ji porte également un petit doudou éléphant dans sa poche, un détail qui a beaucoup attendri les internautes. Kim Ye-ji a exprimé sa joie pour la victoire de sa compatriote et amie Oh Ye Jin, qui a remporté la médaille d’or. Elle a déclaré : « Elle est comme ma plus jeune sœur, et je veux toujours prendre soin d’elle et être là pour elle. Alors, quand elle a gagné la médaille d’or, j’étais encore plus heureuse. » Cette relation touchante a ému ses fans et a renforcé son image positive.

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Kim Ye-ji est considérée comme la grande favorite de l’épreuve de tir au pistolet à 25 mètres, dont les qualifications débutent le vendredi 2 août 2024 à 9 heures. Les fans attendent avec impatience de voir si elle continuera à briller et à captiver le monde avec son charisme unique.

La Pose Nonchalante de Yusuf Dikeç Devient une Marque Déposée

Sa pose nonchalante avait fait le buzz durant les Jeux olympiques. Le tireur olympique turc Yusuf Dikeç a déposé une demande auprès de l’institut turc de la propriété intellectuelle pour protéger l’utilisation commerciale de la pose qui l’a rendu célèbre lors des JO de Paris. Yusuf Dikeç, médaillé d’argent au tir au pistolet à 10 mètres, est devenu une star mondiale après que des images le montrant effectuer ses tirs de manière décontractée, main gauche dans la poche, sans lunettes de protection ni casque, ont fait le tour des télévisions et des réseaux sociaux.

De nombreux athlètes ont copié sa pose après avoir remporté une médaille aux JO, comme la star suédoise de la perche, Armand Duplantis. L’attaquant de Chelsea Nicolas Jackson l’a également imité dimanche en célébrant un but en championnat d’Angleterre.

« Après avoir été informés de nombreuses initiatives de dépôt de marque effectuées à l’insu de Yusuf Dikeç, nous avons soumis une demande il y a environ une semaine […]. D’autres demandes ont ainsi été rejetées », a déclaré cette semaine l’entraîneur de l’athlète, Erdinç Bilgili. De nombreux produits, parmi lesquels des t-shirts, des tasses ou des coques de téléphone portable, reprenant sa pose semblant mêler nonchalance et confiance en soi, ont été mis en vente, a rapporté la chaîne d’information publique turque TRT Haber.

« Certains ont pensé que ma main dans la poche était un signe d’arrogance. Je le fais uniquement pour tenir mon corps plus stable. Il ne faut pas chercher plus loin », avait expliqué le tireur. Ancien officier de la gendarmerie à la retraite depuis un an, Yusuf Dikeç a également expliqué qu’il préférait tirer sans matériel de protection. « Comme je tire les deux yeux ouverts, je ne me sens pas à l’aise avec les lunettes de protection, les casques ou tout autre accessoire.

À 51 ans, Yusuf Dikec doit surtout être salué car il a remporté la médaille d'argent par équipes en pistolet à air comprimé à 10 mètres.

Walter Lapeyre, entraîneur de la pistolière Camille Jedrzejewski : « Yusuf, c'est un mec adorable, une crème. La façon dont on le décrit aujourd'hui sur les réseaux est à l'opposé de ce qu'il est. Complètement. C'est le plus doux des hommes. À chaque fois qu'on le croise en compétition, il nous offre des loukoums, j'en ai plein les placards chez moi. Même dans son tir, on a l'impression qu'il est en lévitation. C'est la force tranquille. »

Lapeyre poursuit : « S'il n'a pas d'équipement, c'est qu'il tire ''naturel'', parce qu'il aime ça, et qu'il est d'un très haut niveau aussi ! Parce qu'il faut un haut niveau pour se le permettre. C'est la philosophie ''on tire comme on est'', très basique avec un pistolet ''steyr'', c'est-à-dire tout ce qu'il y a de plus classique. C'est curieux, parce qu'il s'est qualifié vraiment à l'arrache, il ne devait pas venir et voilà, il est vice-champion olympique !

Le Bras d'Honneur de Wladyslaw Kozakiewicz aux JO de Moscou 1980

Au palais de la Porte-Dorée, à Paris, dans la grande exposition consacrée à l'histoire politique des Jeux Olympiques, il est forcément là, immortalisé par l'objectif du photographe Rich Clarkson. N'a-t-on jamais vu un sportif aussi fier et heureux d'adresser un bras d'honneur ? Au douzième jour des Jeux de Moscou, le 30 juillet 1980, Wladyslaw Kozakiewicz, 26 ans, vient de remporter la médaille d'or du concours de la perche. Le Polonais exulte, colle sa main gauche sur son biceps droit et referme son avant-bras. « Un geste qui en dit long », synthétise la légende de la photo du musée.

Le texte en dessous précise : « Au public hostile, il (Wladyslaw Kozakiewicz) adresse un bras d'honneur qui fera le tour du monde. L'URSS voit dans ce geste une insulte et demande au CIO de retirer sa médaille au champion. Le gouvernement polonais refuse de sanctionner celui qui est élu sportif polonais de l'année. À l'Ouest, cette image symbolise la contestation qui bruisse dans cet État du bloc de l'Est. »

Le bras d'honneur de Kozakiewicz est resté à peu près aussi célèbre, mais il appartient à un registre différent, plus potache et moins travaillé. « Contrairement à ce que beaucoup de gens ont cru, mon geste n'avait rien de politique. C'était purement de la colère. J'ai voulu clouer le bec des 50 000 spectateurs russes qui n'avaient pas arrêté de siffler les perchistes étrangers durant tout le concours », nous expliquera « Kozak » presque vingt ans après son exploit (1).

Ce jour-là, au stade Lénine, le Polonais ne fut pas le seul à répondre aux provocations des chambreurs. « Moi aussi, j'ai fait un bras d'honneur au public, mais il n'a pas eu la même implication historique ! », s'amuse Philippe Houvion, aujourd'hui âgé de 66 ans. Recordman du monde avant le début du concours de Moscou (avec 5,77 m), le perchiste français passe 5,65 m mais s'arrête à 5,70 m. « Une partie du public a rigolé quand j'ai échoué, alors j'ai eu ce mouvement d'humeur », se souvient sans s'excuser celui qui terminera juste au pied du podium (4e).

Contexte Politique et Réactions

Marqués par le boycott d'une cinquantaine de pays, dont les États-Unis, les Jeux de Moscou représentent un enjeu politique considérable pour Leonid Brejnev et les autres dignitaires du Kremlin. « Au concours du javelot, quand les Soviétiques lançaient, les gardiens ouvraient en grand les portes du stade pour provoquer des appels d'air », raconte, mi-amusé, mi-consterné, Philippe Houvion. Un stratagème payant puisque le lanceur local, Dainis Kula, décroche la médaille d'or (avec un jet à 91,20 m) devant son compatriote Alexandre Makarov (89,64 m). À la perche, les sifflets et les moqueries sont moins efficaces. « Ah, c'est vraiment un sale public que nous avons ici ! », s'exclame pourtant Thierry Roland, en direct, sur Antenne 2.

Dans une autre cabine télé du stade Lénine, Christophe Wyrzykowski (2) commente le concours pour la Pologne. Il voit le bras d'honneur de Kozakiewicz, mais n'en mesure pas d'entrée les conséquences. « Dès la fin de la compétition, j'ai emmené "Kozak" au centre international des médias d'Ostankino où toutes les télés du monde possédaient leurs studios. Je me suis assis à côté de lui pour l'interviewer en direct, et en face de nous, il y avait le chef de plateau. Quand j'ai voulu poser une question sur le bras d'honneur, le chef de plateau m'a aussitôt envoyé un mémorable coup de pied sous la table ! J'ai compris que ce geste était devenu tabou. Jusqu'à la fin du régime communiste, il n'a plus jamais été montré chez nous. »

Conséquences et Symbolisme

Le lendemain de l'affront fait à tout un empire, l'ambassadeur d'URSS à Varsovie demande officiellement la disqualification du nouveau champion olympique pour « geste obscène envers le peuple soviétique. » Partagées entre leur fidélité à Moscou et la fierté de pouvoir revendiquer une si prestigieuse médaille d'or, les autorités polonaises plaident le malentendu et un simple « spasme musculaire » (sic) ! Kozakiewicz sauve son titre mais s'embarque pour cinq longues années d'humiliations : « On m'a confisqué plusieurs fois mon passeport, ce qui me privait de meetings à l'étranger et des dollars qui allaient avec. C'était une punition terrible, surtout après l'instauration de l'état de siège. À Gdansk en particulier, la situation devenait intenable avec le couvre-feu après 20 heures, et la recherche d'une nourriture aussi rare que mauvaise. On ne trouvait plus que des patates et du vinaigre ! »

La victoire de Kozakiewicz intervient dans un contexte politique incandescent. Trois semaines à peine après la fin des Jeux de Moscou, le 31 août 1980, un ouvrier des chantiers navals de Gdansk, Lech Walesa, fonde le syndicat Solidarnosc (Solidarité), qui défie le régime communiste. Les moustaches tombantes du leader syndical deviendront encore plus célèbres que celles de Kozakiewicz.

Évolution du Tir aux Jeux Olympiques

1924 : La France accueille les Jeux d’été à Paris et les premiers Jeux d’hiver à Chamonix. 1984 : Des épreuves spécifiquement féminines de tir sont ajoutées au programme de Jeux de Los Angeles. Depuis la création des Jeux, le programme des épreuves de tir n’a cessé d’évoluer. Au début du XXème siècle, il y avait une dizaine d’épreuves très différentes de celles d’aujourd’hui, avec notamment des combinés par équipe. Après son absence en 1928, le tir est réapparu avec seulement deux épreuves, une au pistolet et une à la carabine.

Le tir sportif est ainsi passé de trois épreuves lors des Jeux de 1896 à Athènes à quinze durant ceux de Sydney en 2000. Vous trouverez plus loin la liste des épreuves qui seront disputées à Tokyo en 2021 (J.O. 2020). Les premières tireuses ont fait leur apparition en 1968. L’Union Internationale de tir (UIT) - devenue aujourd’hui l’ISSF - International Shooting Sport Federation - a introduit des épreuves féminines distinctes en 1984. Cependant, certaines épreuves sont restées mixtes, notamment au Plateau. En 1992, la chinoise Shan ZHANG remporte la médaille d’or en Skeet, devant Juan GIHA (PER) et Bruno ROSSETTI (ITA).

1960 : 9ème Jeux Internationaux de Stoke Mandeville considérés comme les premiers Jeux paralympiques. Le tir fait partie des Jeux Paralympiques depuis les Jeux de Toronto en 1976, année où trois épreuves ont eu lieu. En 2021, à Tokyo (J.O.P. 2020), treize épreuves seront pratiquées, neuf en Carabine et quatre au Pistolet. Le dernier ajout est le tir couché SH2 mixte à la Carabine à 50 mètres.

Le style de plusieurs tireurs, aux JO de Paris, ont suscité l'admiration des internautes. Un montage sur le réseau social X qui met en scène des tireurs aux JO de Paris 2024. C'est sans doute cela, la magie des Jeux olympiques. Ces derniers jours, les réseaux sociaux s'emballent pour plusieurs tireurs, habituellement méconnus et sous-médiatisés. La raison de cette soudaine notoriété : le style unique de ces athlètes, qui font le bonheur des réseaux sociaux.

Si son apparence semble incongrue à ce niveau de compétition, cela ne l'a pas empêché de réaliser une excellente performance. Rapidement, de nombreux montages ont fleuri sur les réseaux sociaux. Mentions spéciales à celui où on il devient le tueur à gages d'Hitman ou encore une apparition aux côtés de John Travolta et de Samuel L. Yusuf Dikec n'est pas le seul tireur à avoir conquis les cœurs des internautes. Ses lunettes à l'allure futuristes et sa manière de tirer, digne d'un film, en ont fait l'une des coqueluches des réseaux sociaux.

Un look unique de "femme fatale" pour certains qui lui a aussi permis de briller, puisqu'elle a remporté l'argent dans l'épreuve du pistolet à air comprimé 10 mètres, chez les femmes. Depuis quand le tir est devenu cool ? Un internaute a, lui, carrément réalisé un montage de quatre tireurs, avec la légende : "Je dirai à mes enfants qu'ils étaient les Avengers", en référence à la célèbre équipe de superhéros Marvel.

La tireuse sud-coréenne est engagée vendredi 2 août dans l'épreuve de pistolet 25 m. Doublé sud-coréen chez les Dames au tir au pistolet à 10 mètres. Jin Oh, 19 ans, devance sa compatriote Yeji Kim et bat le record olympique. Doublé coréen au pistolet à 10 mètres. Doublé coréen au pistolet à 10 mètres.

Oh Ye Jin a remporté la médaille d’or pour la République de Corée grâce à son impressionnante performance en finale du pistolet à air comprimé 10 m femmes. La Sud-Coréenne s’est adjugé l’or et le record olympique en finale avec 243,2 points. Au classement final, Oh Ye Jin devance sa compatriote Kim Yeji avec 241,3.

Les Armes Utilisées

La Fédération Internationale de Tir ( U.I.T. Cette fédération, reconnue désormais comme seule interlocutrice du mouvement olympique, s’appelle désormais l’ I.S.S.F.

Les armes anciennes d’origine, ou leurs répliques, utilisent de la « poudre noire » utilisée en Chine depuis 2000 ans, recomposée au VIIe siècle par les arabes et proportionnée au XIIe siècle en Europe.

  • Les fusils à canon lisse ou rayé, civils ou militaires, à silex, à percussion ou à mèche tirent à 50m ou à 100m.
  • Le pistolet standard fut introduit en 1970 par le WSC. C’est une discipline mondiale disputée à 25m au calibre 22.
  • Le pistolet sport crée en 1947, alterne la précision et la vitesse ; 30 coups sont tirés en 6 min.
  • le pistolet 10m , à air comprimé ou CO2 propulsant des plombs, est l’arme d’initiation par excellence.
  • le 300 m.
  • le 300m militaire est ajouté en 1911, en 3 X20.
  • En 1974, un 300m standard est adopté au 3X20.
  • L’admission du calibre 22LR par le WSC le conduit à créer en 1929 une discipline 50m.
  • En 1947, c’est la naissance du Match anglais, soit 30 coups à 50 et 100m en position couchée . En 1958, une compétition séparée est crée pour les femmes.
  • En 1982, le WSC admet ce tir sur 10m. à 20 coups lents et 20 coups rapides, passés à 30 et 30 en 1990, en 5 et 2,5 sec.
  • En 1984, le 10m.
  • En 1996, Jean-Pierre Amat remporte une médaille d’or au 3X40 pour la France. Le Russe Khadjibekov gagnera le 10M, tandis que l’Allemand Christian Klees gagne le 50m.

La Fédération internationale de Tir qui avait crée des disciplines séparées en 1984 a bien vite supprimé cette situation intolérable : pas de femmes en 1996 et une épreuve séparée en 2000. Crée en 1990, cette discipline ne se distingue de la fosse olympique que par le choix des seuls appareils du groupe 3 avec une distance de chute de 55 m.

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