Si on vous dit qu’un jeu de tir coloré avec des pistolets qui parlent arrive bientôt, il s’agit assurément de High on Life. Le catalogue des prochains jeux Xbox Game Pass se terminera cette année par un jeu ultra-coloré issu de l’imagination de Justin Roiland (Rick et Morty, Solar Opposites).
High On Life est la définition du loufoque et étire ce qui marche dans Rick and Morty sur toute la durée d’un jeu vidéo (comptez une dizaine d’heures pour le terminer). Dans High On Life, mon pistolet ne ressemble pas à une arme de Call of Duty. Il a des yeux globuleux, une tête plutôt sympathique et le verbe bien placé. Oui, il parle beaucoup, beaucoup trop même. Mais, au fond, ce n’est pas un mauvais bougre.
Avec cette bande de joyeux lurons, j’embarque pour une aventure bariolée. Alors que la Terre est menacée par un groupuscule extraterrestre désirant transformer les humains en drogue, je deviens un chasseur de prime chargé de démanteler, un à un, les pontes de cette mafia galactique. Pas une mince affaire, quand on doit se coltiner un arsenal qui partage constamment ses états d’âme, vociférant à l’envi, parfois sans aucune justification autre que le désir de meubler.
Vous l’aurez compris, High On Life est un jeu vidéo complétement absurde. Dès les premières minutes, on comprend que le ton est volontairement débile. L’introduction empile les gags, souvent limites, à vitesse grand v. Elle s’amuse même des codes du gaming pour briser le quatrième mur : quand on doit choisir la tête de son héros en faisant défiler les choix possibles, notre chère sœur virtuelle confesse qu’elle a peut-être un peu trop abusé sur les substances illicites. Vous tuez maladroitement - ou volontairement ? - un enfant que regrettera à peine sa mère ? Vous entendrez alors que l’on a perdu la certification « tout public ».
Derrière son habillage délirant qui ne laissera personne indifférent, High On Life cache un jeu de tir qui se plaît à mélanger tout ce qui fonctionne. Au-delà de l’exotisme des armes (qui sont des bonhommes, rappelons-le), la manière dont sont agencés les niveaux incite à ruser pour s’en sortir. D’autant que les ennemis ont tendance à arriver par vague, encourageant alors à trouver des couvertures et à utiliser tout l’équipement à disposition. Dans l’approche, le feeling se rapproche volontiers des derniers Doom, en version éméchée, avec quelques pics de difficulté au programme (ne vous laissez pas surprendre).
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High On Life se permet en prime d’accoucher de bonnes sensations de tir, en dépit d’armes loin d’être conventionnelles. Évidemment, les développeurs ont poussé l’imagination très loin en matière de possibilités. Ainsi, on pourra ralentir le temps avec Sweezy, contrôler un ennemi avec Créature ou encore faire valser les ennemis avec Kenny. Pour varier les plaisirs et terrasser les boss liés à des combats hyper longs, il est vivement recommandé de passer d’un compagnon à l’autre. Il faut accepter d’être sadique, surtout quand un adversaire nous montre fièrement ses fesses en guise de provocation (High On Life est vulgaire). Un tir bien placé dans le postérieur, et l’on n’en parle plus.
Apprécier ce FPS coloré, c’est d’abord se coltiner une tonne de dialogues tous plus invraisemblables les uns que les autres. On peut donc décider de détester High On Life et son absurdité assumée. Ou louer une fois encore le talent de Justin Roiland, qui offre ici un terrain de jeu digne d’une cour de récréation pour adultes. Bonne nouvelle : il y a quand même un vrai jeu vidéo derrière, c’est-à-dire pourvu d’un gameplay suffisamment travaillé qui évite que High On Life ne vive que par ses gags potaches.
Oui, High On Life oppose une barrière à l’entrée. Mais, quand elle est franchie, on n’a plus envie de lâcher le jeu, tant on se prend d’affection et d’empathie pour les personnages que l’on croise. Même les plus insupportables, surtout les plus insupportables. Oui, il y a des Bisounours dans High On Life. Le créateur de Rick and Morty ne pouvait pas pondre un jeu vidéo comme les autres. Reposant sur un humour doux amer, High On Life n’est pas à montrer à tous. Cela tombe bien, il n’a pas la prétention d’être universel.
Aujourd’hui, la technologie a évolué et vous immerge directement dans un univers au plus semblant de Call of Duty ou Fortnite. Que ce soit en intérieur ou en extérieur.Le Laser Bump est un jeu de simulation de tir laser durant lequel les joueurs s’affrontent en solo ou en équipe dont le but est de marquer le maximum de points.
Avec le concept Bump, il est possible de s’affronter n’importe où, que ce soit en intérieur et en extérieur, et cela, grâce à notre technologie infrarouge. L’objectif est simple : transformer un espace de vie, en espace de jeu le temps d’un instant.
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On a ainsi vu ces dernières années "Goat Simulator", avec une chèvre semant le chaos dans une petite ville, ou "Untitled Goose Game", et son oie qui joue de sales tours à ses voisins. Les deux ont rapidement dépassé le million d'exemplaires vendus. Et pour eux aussi, tout avait commencé par une simple blague, à l'impact largement amplifiée par les réseaux sociaux.
Pour entrer dans cette simulation de tir grandeur nature, les joueurs reçoivent des équipements lumineux aux couleurs de leurs équipes. Ils sont équipés d’un pistolet avec un pointeur pour viser leurs adversaires. C’est un petit pistolet très léger qui est doté d’une grande maniabilité, le joueur peut ainsi tirer d’une seule main selon la situation dans laquelle il se trouve. Tous les joueurs sont également équipés d’un casque avec des capteurs.
Nos pistolets nous permettent de mettre en place plusieurs rôles :
C’est une activité qui convient pour tous types d'événement et qui est accessible dès l’âge de 6 ans, qui pourra satisfaire petit et grand. Que ce soit un anniversaire d’enfants, un enterrement de vie de célibataires ou même un Team Building directement dans votre entreprise, l’entraide, la coopération stratégique et la bonne humeur sont toujours au rendez-vous !
Le jeu de tir à la première personne est déjà sacré le plus populaire de toute la collection Game Pass, surpassant même le succès de Minecraft, rapporte Kotaku. Un carton plein signé Squanch Games et Justin Roiland, le cocréateur de la cultissime série Rick et Morty.Ce qui fait toute sa saveur, c’est évidemment son univers ultracoloré, cartoonesque et absurde. On y incarne un chasseur de primes intergalactique chargé d’exterminer toute une panoplie d’extraterrestres dans un cosmos déluré.
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Dans High on Life, en revanche, même en avançant, on continue à se faire engueuler au moindre faux pas, même quand on ose rester inactif quelques secondes :« Est-ce que t’es aux toilettes et t’as oublié de faire pause pendant que tu ch*es une pêche dégueu ou quoi ? » s’énerve Kenny, avant de confier s’ennuyer à crever.
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