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Le médiéviste Alain PARBEAU nous fait partager toute une vie de recherches et de connaissances sur le début de l’arme à feu. Certaines dates sont imprécises et signalées « Vers …… ». Alain a participé à un petit film sur l’origine des armes à feu, et il a utilisé le décor du château de Saint Alban sur Limagnole. Quand la poudre commence à parler !

Les Débuts Explosifs de la Poudre Noire

Au VIIème siècle, on utilisait le feu grégeois, un mélange visqueux de poix, naphte, soufre, etc. (on ne connait pas sa composition exacte) qui, enflammé, était projeté chaud et liquide sur l’ennemi, ses bateaux et ses constructions. Étant plus léger que l’eau, il flotte au-dessus, et ne peut être éteint par elle. Il est comparable au « Napalm », mélange gélifié d’essence de pétrole et de palmitate d’aluminium, très employé par les américains pendant la guerre du Vietnam (1955 à 1975).

Au VIIIème siècle après Jésus christ, il y a eu l'invention de la poudre noire par les chinois (et peut-être aussi les Indiens). Il s’agit d’un mélange de Salpêtre (nitrate de potassium), soufre, et charbon de bois. Le salpêtre joue le rôle de comburant, apportant de l’oxygène et activant la vitesse de combustion du charbon de bois et du soufre. Ce mélange, lorsqu’il est de qualité et comprimé dans un canon, brûle à la vitesse d’environ 300 à 600 mètres par seconde (suivant sa granulométrie), ce qui constitue une explosion de type « déflagration » (vitesse d’inflammation inférieure au km/seconde).

Vers 1150 - 1200, utilisation de la poudre noire par les arabes (qui l’ont empruntée aux chinois via le moyen orient). Sous la forme de canon rudimentaire à main le « Madfaa » qui propulse une flèche trapue à courte distance. Vers 1280 redécouverte de la poudre en Europe et création de pots de fer à « traire garrot ». Ce type de canon primitif, propulse une grosse flèche appelée « Garrot ». Il cherche par ce fait à concurrencer l’espringale, sorte de grosse arbalète sur roues.

En Août 1324, apparait une des premières utilisations en France d’une bombarde pour l’attaque de la ville de la Réole (Gironde). Celle-ci est montée sur un fût en bois, et posée à même le sol. Son pointage rudimentaire, se fait à l’aide de cales de bois glissées sous le fût. Tir à la Bombardelle Doc. Bombardelle à culasse mobile : calibre 15 cm, boulet de 3 à 4 kg en pierre puis en fonte de fer, lancé à 200 mètres. La balistique de ce type d’arme est faible, mais son effet psychologique est important. En effet le bruit rappelle le tonnerre de source divine, et l’odeur de soufre, le diable !

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Les grenades feront leur apparition en Europe vers 1467. Ce sont le plus souvent des petites « gourdes » de terre cuite remplies de poudre et aussi de petites pierres dures, et équipées d’une courte mèche à allumer, qui sont lancées à la main sur des soldats ou dans les bâtiments.

Évolution de l'Armement: De la Hacquebute à l'Arquebuse

Vers 1370, l’hacquebute (primitive) : Littéralement « canon à croc » du germanique « hakenbüchse », destinée à tirer en crochetant un mur ou une palissade avec son croc de fer situé en dessous de l’arme pour que le mur encaisse le recul à la place du tireur. Elle comporte un long fût de bois (ou parfois de fer), à l’avant duquel est fixé un canon de fer de courte dimension (20 à 25 cm). Son calibre fait généralement de 18 à 28 mm. Une balle ronde en plomb, de 18 mm de diamètre part à la vitesse de 130 mètres par seconde, avec une charge de 4 grammes (7 grammes au moyen âge) de poudre noire.

Allumage au boutefeu à mèche ou par un ringard chauffé au rouge. (Une planche de pin de 3 cm d’épaisseur est traversée à 15 mètres). Vers 1380, Elle deviendra une arme plus efficace lorsqu’on lui adjoindra une culasse mobile (boite à feu) permettant un chargement plus rapide, et la charge à la place du boulet d’une centaine de balles de plomb, la « plommée », en guise de projectiles. Tir avec une hacquebute primitive appuyée sur une fourche de portage appelée « Fourchine ou fourquine ».

A partir de cette époque les balles rondes en plomb pour armes portatives à canon lisse seront enveloppées dans un petit carré de tissu graissé appelé « Canepin » destiné à les caler. On verra également rapidement vers 1450 apparaitre les « gargousses », ancêtres de la cartouche, doses de poudre préparées à l’avance dans un tissu ou du parchemin et les « apôtres » dont le rôle est identique mais en bois vers 1480. (Les gargousses de poudre resteront en service pour les canons jusqu’au milieu du 19ème siècle. L’allumage se fait à l’aide d’un « boutefeu », baguette à laquelle est fixée une mèche allumée, ou d’un « ringard », tige de fer dont l’extrémité courbée est chauffée au rouge par un brasero.

Le « Pétard », décrit depuis le 13ème siècle dans le « Liber ignium » de Marcus Graecus. Le 15 Août 1443, Louis XI encore dauphin va avec ses troupes libérer la ville de Dieppe tenue et assiégée par les anglais. Il aurait utilisé des pétards, ancêtre de la dynamite pour faire sauter des portes. Cette « bombe », remplie de poudre noire (souvent de 5 à 50 kg), se fixe discrètement en appui contre une porte, une palissade en bois, ou sous une muraille minée par une galerie souterraine étayée. Un soldat met le feu à la mèche courte. En explosant, le pétard pulvérise l’obstacle (porte, palissade ou étais), permettant de s’introduire dans l’enceinte convoitée.

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Portée d’environ 600 mètres (320 toises), ce qui surpasse en distance les plus puissantes machines de guerre à contrepoids de l’époque comme le trébuchet, qui n’excèdent pas 250 mètres. Ce « canon » permet de tirer soit des boulets de fonte de fer, soit de la plommée (mitraille).

L'Arquebuse et ses Innovations

Vers 1460 jusqu’à 1660, l’arquebuse, mot découlant d’hacquebute : C’est une arme à feu, à fût de bois, véritable ancêtre des carabines, mousquets et fusils, que l’on tient sous l’aisselle ou que l’on commence à épauler. La mise à feu est faite par un « serpentin » en fer fixé sur le côté du fût et tenant une mèche.

Vers 1510-15 la platine à « rouet » (peut-être inventée par Léonard de Vinci, ou Johan Kuhfuss) permet un allumage sans mèche, sur le principe d’une roue rainurée (le rouet) entrainée par un ressort, et qui frotte sur une pyrite de fer mordue (tenue) par un « chien » produisant ainsi des étincelles, qui allument la poudre.. Ce mécanisme fiable mais couteux et fragile sera principalement réservé aux arquebuses de chasse, et aux pistolets. L’arquebuse restera le plus souvent à allumage à mèche pour les usages militaires. Son calibre fait environ de 14 à 16 mm, pour une longueur de canon de 60 à 90 centimètres. Il existe aussi des arquebuses à crosse très courbée faites pour prendre appui sur la poitrine du tireur.

Vers 1460 - 1500 une cartouche métallique (adaptée ici à une couleuvrine à main) comportant poudre et balle, sur l’idée des boites à feu « culasses mobiles » de canon de type « veuglaire », pour couleuvrine à main et Arquebuse à chargement par la culasse fut inventée (Germanie). Elle n’eut pas un franc succès, car coûteuse, délicate à fabriquer et présentant sans doute des fuites de gaz au niveau de la culasse, donc des risques de brûlure.

En 1520, l’arquebuse à canon rayé (rainuré) hélicoïdalement : Il semble que le germanique Auguste Kotter, remarquant que les « viretons d’arbalète » (traits aux ailerons inclinés qui partaient en tournant sur eux-mêmes) avaient une plus grande précision que les « traits classiques » comme le « carreau ». Il inventa le « rayage (rainurage) hélicoïdal » de l’intérieur des canons d’arquebuses. Cela apporta une précision nettement plus efficace de l’arme par stabilisation gyroscopique de la balle dans l’espace, et une augmentation de puissance en supprimant les fuites de gaz propulseurs des armes à canon lisse dont la balle était plus petite que l’âme du canon. L’ancêtre de la carabine était né.

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Vers 1520 Apparition d’une forme très réduite de l’arquebuse à rouet, le pistolet. Le pistolet, arme tenue à la main, est rendu possible grâce à la platine à rouet, qui permet de le porter dans des fontes fixées à l’avant de la selle du cheval, et prêt à faire feu. Cela entrainera la célèbre manœuvre dite « Caracole » des « Reîtres germaniques, soldats mercenaires. Elle consiste à envoyer un rang de cavaliers armés de pistolets à 15 mètres des piquiers ennemis qui leurs barrent le passage, et à décharger leurs armes sur eux.

L'Évolution vers le Mousquet et le Fusil

La platine dite à « Miquelet » inventée vers 1600 en Espagne, dont le mécanisme est extérieur. Initiée par Louvois, ministre d’état, et sur le conseil du maréchal de Vauban, Louis XIV, généralisera par ordonnance la platine à silex à la française (déjà partiellement en service dans l’armée depuis 1660 sur des mousquets allégés dits à fusil), sur les mousquets en allégeant leur poids en 1703. Un « mousquet à fusil » plus court destiné à la cavalerie, mais utilisant généralement la même cartouche au 2/3 de sa charge de poudre que le « fusil » (le reste de poudre de la cartouche est jeté), sera aussi inventé et prendra le nom de « mousqueton ».

1728-40 Généralisation en France de la cartouche de guerre en papier, comportant 10 à 12 grammes de poudre noire (suivant la qualité de la poudre) et une balle de 16,3 mm en général. La balle est plus petite d’environ 1,2 mm que le calibre de 17,5 mm, pour qu’elle rentre facilement lors du rechargement, même si le canon est un peu encrassé par le tir précédent. Il n’y a plus de calepin de tissu graissé avec la cartouche, le papier de celle-ci en faisant office, tassé avec elle lors du rechargement.

1763 Modification définitive de la crosse à l’origine en pied de vache (crosse courbée) du fusil réglementaire français, en la transformant en crosse droite. 1766 Allègement important du poids et renforcement du chien.

Les travaux sur les agents chimiques explosant suite à un choc, réalisés par le chimiste français Bertholet, comme le fulminate de mercure et le muriate de potassium, amenèrent le pasteur écossais Alexandre John Forsyth en 1808 à concevoir la première platine à percussion par chien (sans pierre) dite à « flacon de parfum », n’utilisant pas le silex, mais le fulminate de mercure, sur un fusil de chasse. L’armurier parisien d’origine suisse, Jean Samuel Pauly, (en collaboration avec le français François Prélat inventeur de l’amorce et de la cartouche de ce fusil), présenta en 1812, à l’empereur Napoléon premier, le premier fusil à canon b...

Les Armes du Far West : Un Symbole de Conquête

L’arme ancienne du Far West / Western à poudre noire du 19éme siècle est l’objet qui symbolise le plus la conquête et la construction des Etats-Unis et son esprit aventureux de ces épopées. Ces armes à poudre noire authentiques sont aussi le reflet d’une époque où l’objet, outre son côté utile et technique avait une dimension artistique. On trouvera ainsi des modèles de revolvers de collection ou armes longues carabines finement gravées à la main ou avec l’utilisation de matériaux nobles tels que l’ivoire, la nacre, l’argent quand ce n’était pas de l’or.

Nos armes de collection à poudre noire vous sont présentées dans leur état d’acquisition juste avec une mise en beauté. Ces armes de collection de l'histoire Américaine, avant les années d’après-guerre de Sécession, sont en général à percussion puis postérieurement soit à percussion soit à cartouches métalliques. Chaque arme ancienne mériterait un chapitre si ce n’est un livre entier ce que hélas, nous ne pouvons pas faire ici.

Revolvers à Poudre Noire et Cartouches Métalliques : Une Expérience Unique

Les revolvers à poudre noire occupent une place particulière dans l’arsenal des armes à feu. Classés en catégorie D, ils sont accessibles aux personnes majeures sans formalités particulières. Le chargement manuel de ces revolvers fait partie intégrante de l’expérience. On y verse soigneusement la poudre noire avant d’y insérer une balle en plomb. Les calibres les plus répandus pour ces revolvers sont le .36 et le .44. L’entretien de ces armes demande un soin particulier. Après chaque séance de tir, il est primordial de nettoyer méticuleusement le revolver pour éliminer les résidus corrosifs de la poudre noire.

L’avènement des revolvers à cartouches métalliques chargées à poudre noire a marqué un tournant dans l’histoire des armes à feu. Ces modèles, comme les revolvers à broche ou certains en .32 short et .44 Russian, offrent une manipulation plus simple sur le pas de tir. Il convient de noter que les munitions à poudre noire pour armes anciennes étaient auparavant classées en catégorie D. Néanmoins, un projet de reclassement en catégories B ou C selon les cas était en discussion.

Le tir sportif avec ces revolvers historiques offre une expérience unique. Certes, leurs performances sont inférieures à celles des armes modernes, mais leur intérêt historique est inestimable. Pour les collectionneurs et les passionnés d’histoire comme moi, ces armes représentent bien plus que de simples outils de tir. Elles sont des témoins tangibles de l’évolution technologique et sociale de notre société.

Heureusement, le marché de l’occasion offre des opportunités intéressantes pour les débutants ou les tireurs occasionnels comme moi. Pour ceux qui recherchent des modèles neufs, plusieurs fabricants proposent des répliques d’armes historiques de grande qualité.

Choix et Entretien des Revolvers à Poudre Noire

Pour choisir un revolver parmi tout les modèles existants, plusieurs critères sont à considérer. Tout d’abord le calibre, les plus répandus étant le .31, le .36 (environ 9mm) et le .44 (environ 11mm). Les économies au rechargement seront inversement proportionnées au diamètre et à la puissance développée. On choisira également la conception : un revolver à carcasse ouverte, d’un style plus ancien (comme les Colt), s’entretient facilement, le nettoyage étant plus simple. De la longueur du canon dépendra comme souvent la précision, mais il est conseillé d’opter pour un canon court, de 5 pouces ou moins, dans le but de disposer d’une arme plus compacte et légère.

Outre les revolvers classique, une version compacte et dissimulable comme un Remington 1863 sera idéal pour un port discret ou pour de petites mains féminines. Comme la poudre noire est composée de soufre, salpêtre et charbon, il est possible d’en produire soi-même avec peu de moyens, en produisant son charbon et en récupérant soufre et salpêtre, en sac ou à l’état naturel. On peut pousser le raisonnement jusqu’à recycler du plomb pour couler ses propres balles, utiliser des poudres inertes (comme de la semoule) comme bourre et des graisses animales ou végétales pour graisser les chambres, mais les indispensables amorces industrielles demeureront presque impossible à produire et devront êtres stockées en quantité.

Les Cartouches Métalliques : Évolution et Statut Légal

En France, les armes à poudre noire sont généralement classées en catégorie D, ce qui les rend accessibles sous certaines conditions. La vente est autorisée aux personnes majeures, sans besoin de permis de port d’arme. Cela s’applique uniquement aux répliques d’armes conçues avant 1900 (sauf si elles sont modifiées ou modernisées). Dans certains pays européens, la législation est plus stricte.

Au tout début, la mise à feu des armes à poudre noire se faisait par un trou percé dans le fond du canon, une flamme et une mèche. Au XVᵉ siècle, avec l'apparition de l'arquebuse, un nouveau système plus perfectionné est arrivé avec le bassinet contenant de la poudre servant d'amorce placé à côté du trou de mise à feu. En 1470, suite à l'invention de la platine à mèche et avec l'aide de la détente, la mise à feu devint automatique. Au XVIᵉ siècle, la platine à rouet fit son apparition et fut une véritable révolution technique, mais trop coûteuse pour équiper l'armée.

Aujourd'hui, l'utilisation des armes à poudre noire est devenue une passion et ces armes sont encore produites par quelques fabricants. Écologiquement, ce type d'armes est très intéressant, car il ne laisse pas de résidu ni de douille comme sur les armes actuelles.

Le Code de la Sécurité Intérieure définit ainsi les munitions de collection [1] : « Munitions et éléments de munition à poudre noire utilisables dans les armes historiques et de collection ainsi que les munitions des armes du h de la présente catégorie. Jusqu’à présent, il suffisait que la munition remplisse deux conditions pour être considérée comme « de collection » : qu’elle soit utilisable dans des armes d’un modèle antérieur à 1900 et qu’elle soit chargée à poudre noire.

Pour les munitions d’armes de poing, il faudra être titulaire d’une autorisation de catégorie B pour avoir accès à toutes les munitions pour armes pré/1900. Il ne sera pas nécessaire de justifier de posséder une arme dans ce calibre. Il n’y aura pas de quota, et il ne sera pas nécessaire d’avoir une autorisation pour une arme du calibre.

Effectivement, s’ils sont tireurs ou chasseurs, ils auront le droit de les posséder. Sinon la règlementation les autorise à détenir jusqu’à 500 munitions de tous les paragraphes de la catégorie C, sans licence ni permis, mais sans posséder les armes. A noter que la simple carte de collectionneur ne permet pas la détention de munitions actives.A gauche, des munitions refaites récemment ; à droite des munitions d’époque.

Pour les munitions d’armes de poing, ce sera la même logique : il faudra une autorisation de catégorie B pour acquérir les éléments de munitions pour armes de poing pré/1900. Notons que malgré l’utilisation d’étuis de catégorie C, les munitions destinées aux armes de poing seront classées en catégorie B une fois fabriquées.

Rappelons que le rechargement n’est autorisé qu’uniquement dans un cadre privé, pas pour autrui. Avec la nouvelle doctrine à venir, un certain nombre d’armes de poing à cartouches métalliques devraient rejoindre la catégorie D (vente libre).

La directive européenne a introduit depuis 1991 la notion de « motif valable » [3] pour la détention des armes : un tireur ou un chasseur ont un motif valable pour posséder des armes d’armes dans l’exercice de leur sport. Cependant le tireur préfère le revolver à cartouches métallique en raison de la facilité de nettoyage d’une arme poudre noire à carcasse ouverte.

Conseils et Recommandations

Voici quelques conseils et réponses aux questions fréquemment posées :

  • Faut-il un permis pour acheter une arme à poudre noire ? Non.
  • Peut-on transporter une arme à poudre noire dans son véhicule ? Oui, mais uniquement pour un usage légitime : trajet vers un stand de tir, événement de reconstitution, etc.
  • Peut-on tirer dans son jardin avec une arme à poudre noire ? Non recommandé. Le tir à domicile est soumis à des règles strictes.
  • Peut-on chasser avec une arme à poudre noire ? Uniquement avec un permis de chasse valable et selon les espèces autorisées.

Tableau récapitulatif des calibres et modèles de revolvers à poudre noire

Calibre Modèles populaires Avantages Inconvénients
.31 Revolvers de poche Compact et léger Puissance limitée
.36 Colt 1851 Navy, Remington 1858 Navy Polyvalence, bon compromis puissance/précision Moins de puissance que le .44
.44 Colt 1860 Army, Remington 1858 Army Puissance élevée Recul plus important, coût des munitions

En définitive, l’univers des revolvers à poudre noire et à cartouches métalliques est un domaine intéressant qui attire une communauté diverse. Des tireurs sportifs aux collectionneurs en passant par les passionnés d’histoire comme moi, chacun y trouve son compte.

Choisir une arme à poudre noire, c’est faire un pas vers l’histoire, l’artisanat et une pratique du tir pleine de sens.

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