L'histoire des faits divers croise parfois des noms inattendus et des lieux symboliques. Cet article explore un fait divers impliquant une armurerie et le parcours de personnalités marquantes.
Un fait divers survenu à Paris met en lumière un braquage sanglant impliquant un influenceur star, vendeur de montres de luxe. Quatre suspects sont traduits en justice suite à cet événement.
Par ailleurs, un vaste réseau de crack alimentant le tunnel des Halles a été démantelé, soulignant les enjeux de la criminalité urbaine.
Les manifestations du 18 septembre à Marseille ont conduit à l'ouverture d'une enquête après la diffusion d'une vidéo montrant une femme frappée par la police.
Pierre Bodein, surnommé "Pierrot le fou", a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité incompressible en 2007 pour trois meurtres, deux viols et deux enlèvements. Âgé de 71 ans, il demande aujourd'hui la révision de son procès. Il motive sa demande par des éléments nouveaux susceptibles de "faire naître un doute sur sa culpabilité".
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Dominique Bergmann, son avocat, déclare : "Si je n'y croyais pas, je ne le ferais pas. Les éléments dont je dispose me permettent et même m'imposent de faire le nécessaire maintenant. Mon client ne veut pas mourir en prison et il souhaite surtout réhabiliter son nom et celui de sa famille."
À l'été 2004, Jeanne-Marie Kegelin (10 ans), Julie Scharsch (14 ans) et Hedwige Vallée (38 ans) disparaissent en quelques jours. Leurs corps sont retrouvés à Valff, Nothalten et Hindisheim (Bas-Rhin), dénudés et mutilés. Les deux plus jeunes ont été violées.
L'enquête conduit à Pierre Bodein, venant de sortir de prison et déjà connu sous le nom de "Pierrot le fou" suite à une cavale en 1992. Échappé du centre hospitalier spécialisé d'Erstein (Bas-Rhin), il prend deux femmes en otage, séquestre et viole l'une d'elles, braque une banque et une armurerie, force plusieurs barrages de gendarmerie, et tire sur deux policiers.
En 1996, Pierre Bodein est condamné à vingt ans de réclusion pour ces faits, puis libéré conditionnellement en mars 2004. Rejugé en appel devant les assises de Colmar, il est condamné le 2 octobre 2008 à la même peine. Le 21 janvier 2010, son pourvoi en cassation est rejeté par la Cour de cassation, rendant sa condamnation définitive.
En 2014, il saisit la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) sous motif que la réclusion à perpétuité incompressible constitue "un traitement inhumain et dégradant". La CEDH lui donnera finalement tort.
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Thierry Moser, avocat des parents de Julie Scharch en 2007, exprime son indignation face à la volonté de Pierre Bodein de faire réviser son procès : "C'est une haute fantaisie. Il s'imagine qu'il a trouvé un alibi irréfutable, c'est de la fantasmagorie. C'est se moquer du monde. Ça fait perdre du temps à la justice qui a, me semble-t-il, d'autres chats à fouetter et ça ravive les blessures, les souffrances et le désarroi des familles des victimes."
De nombreux événements liés aux armes anciennes et au militaria ont été annulés. Voici une liste non exhaustive :
Et bien d'autres encore, couvrant diverses régions de France.
François Damiens est un acteur connu pour ses caméras cachées et ses rôles dans des comédies telles que Dikkenek (2006), Rien à déclarer (2011) et L’Arnacœur (2010). Il a également conquis le public dans des comédies dramatiques comme La Famille Wolberg (2009) et La famille Bélier (2014), qui lui a valu une nomination au César du meilleur acteur en 2015.
Damiens manie la métaphore et les comparaisons avec une habileté surprenante. Il évoque son expérience dans des films récents comme Le Bonheur des Uns… et Mon Cousin, où il partage l'affiche avec des acteurs de renom comme Vincent Lindon, Florence Foresti et Bérénice Béjo.
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Il décrit son approche du métier : "Le meilleur moyen de se planter est de fabriquer ce qui se vend au lieu de vendre ce que tu as fabriqué."
Damiens parle de sa collaboration avec Jan Kounen et Vincent Lindon dans Mon Cousin, soulignant leurs différences de personnalité et d'approche du travail. Il mentionne l'importance de la communication et du respect mutuel pour surmonter les difficultés initiales.
Il exprime son désir de travailler sur des scénarios riches et informatifs, capables de transmettre des messages à travers la comédie.
Damiens évoque son rêve d'acquérir un voilier pour "prendre le large et mieux revenir". Il exprime son besoin de liberté et d'évasion face à la complexité croissante des lois et des règlements.
Il souligne l'importance de faire ce métier avec parcimonie pour continuer à y trouver du plaisir et éviter de lasser le public.
Damiens se montre humble quant à sa notoriété et à son impact sur le public. Il reconnaît avoir fait rire des milliers de personnes avec ses caméras cachées et se dit conscient de l'importance de distraire et d'offrir une échappatoire aux situations difficiles.
Il souligne sa gratitude envers Axelle Ropert, qui lui a permis de montrer une facette plus dramatique de sa personnalité dans La Famille Wolberg.
Damiens partage des anecdotes sur les réactions du public à ses films et sur sa vie en Belgique, où il se sent moins exposé à la pression médiatique qu'en France.
Il évoque son expérience de tournage en Corse dans une armurerie pour ses caméras cachées, soulignant son goût pour le "petit abus de pouvoir".
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