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Il y a des moments dans la vie où on aimerait pouvoir réagir vite face à un danger. Et soyons honnêtes, on n’est pas tous des héros de film d’action… Pourtant, rester en sécurité n’a jamais été aussi simple grâce à des outils comme le Guardian Angel III. Le Guardian Angel III est une réponse moderne aux besoins de protection personnelle : compact, intuitif, non létal et prêt à l’emploi. Ce n’est ni une arme, ni un gadget.

Ce dispositif non létal est parfait pour ceux qui veulent se sentir en sécurité sans porter une arme classique. Il est classé comme une arme de catégorie D selon la législation française. Bon à savoir : en cas d’utilisation, il est important de pouvoir prouver que votre réaction était proportionnée et nécessaire.

Le Guardian Angel III tient parfaitement dans une main et est conçu pour agir vite et bien. Grâce à son design ergonomique et à sa technologie de propulsion pyrotechnique, il offre une solution de défense immédiate, simple à utiliser même sous stress. Son fonctionnement repose sur une propulsion pyrotechnique ultra rapide qui projette un puissant spray incapacitant jusqu’à 4 mètres. Le Guardian Angel III séduit par son efficacité et sa simplicité. Mais comme tout équipement, il a aussi ses limites.

En tant qu’armurier spécialisé dans la défense personnelle, nous recommandons le Guardian Angel III aux utilisateurs recherchant un équipement non létal, simple et légal. Attention cependant : même si ce n’est pas une arme au sens strict, il doit être utilisé avec sérieux. Sa puissance n’est pas anodine, et une mauvaise manipulation pourrait provoquer une gêne involontaire.

Le Guardian Angel III convient à toutes les personnes souhaitant se protéger de manière légale, rapide et discrète. Il est une excellente solution de défense personnelle, mais selon votre usage ou vos préférences, d'autres équipements peuvent mieux correspondre à vos attentes. Par exemple, il existe le pistolet lacrymogène à 4 coups avec viseur laser, offrant une puissance accrue avec un design plus massif, ou encore le pistolet au look réaliste qui tire du gaz poivré OC.

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Vous hésitez entre le Guardian Angel III et un modèle comme le JPX4, le JPX6 ou le PDP Walther ? Si vous cherchez un produit simple et efficace sans entretien ni cartouches à recharger, le Guardian Angel reste l’un des meilleurs choix.

Questions Fréquentes sur le Guardian Angel III

Voici les réponses aux questions que vous nous posez souvent :

  • Est-ce légal ? Oui, il est classé en catégorie D. Il est autorisé à l'achat pour les personnes majeures, mais son port est interdit sauf en cas de légitime défense.
  • Quelle est sa portée ? Sa portée maximale est de 4 mètres.
  • Est-ce réutilisable ? Non, c’est un dispositif mono-usage. Une fois déclenché, il doit être remplacé.
  • Est-ce dangereux ? Non. Il provoque une forte irritation des yeux, du nez et de la gorge, ce qui neutralise temporairement sans blesser.

Armes d’alarme : Nouvelle classification

Fin 2023, nous avions évoqué un possible durcissement avec notre article « Les armes d’alarme dans le viseur ». Malheureusement le remède qui est présenté risque d’être pire que le mal, en particulier par un effet de substitution.

Les armes d’alarmes sont classées normalement en catégorie C 12° à compter du 1er juillet 2024. Il faut un certificat médical pour les acquérir. Si l’acquisition et la mise en possession nécessitent l’inscription dans le SIA, celles déjà détenues ne sont pas à déclarer. Pas de règle de stockage particulière.

A noter que l’absence d’un des trois premiers critères conduira à reclasser l’arme en C1° ou C3° voire B. Quand à l’absence du système d’alimentation, il établira qu’il ne s’agit pas d’une arme, mais d’un objet non classé. Surtout la difficulté à qualifier la notion « d’aisément transformé » risque de susciter de la jurisprudence et surtout des ennuis à moult possesseurs de bonne foi d’armes d’alarme ou de signalisation anciennes.

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Du temps des « anciennes » règlementations, c’était la notion d’utilisation « outillage courant » employé dans le paragraphe 5 de la 4ème catégorie de l’article 2 du décret n°95-589 du 6 mai 1995. Par contre les système d’alimentation de toutes armes de catégorie C (donc y compris les C12) sont désormais classés uniquement en C10 [R311-2 III alinéa10).

Ne nécessite pas la présentation d’un titre (Art R312-54) mais simplement d’un certificat médical de moins d’un mois (Art R312-53). A noter que dans la note aux armuriers citée plus bas (Le côté officiel), il est indiqué : L’acquéreur relevant de la catégorie « détenteur sans titre » n’a pas à produire le certificat médical au moment de l’achat.

Que l’arme soit trouvée ou provienne d’un héritage, cela implique déclaration via la création d’un compte SIA au titre de l’alinéa 2 du R312-84 et nécessite la présentation d’un certificat médical de moins d’un mois (Art R312-55) sous le même régime que les armes non létales (C3°) et les armes neutralisées (C9°). Et heureusement car sinon il aurait fallu fournir un certificat médical, mais également ouvrir un compte SIA et éventuellement subir l’enquête administrative.

Cette nouvelle catégorie C12° ne constituant pas une arme à feu au sens du CSI, les conditions de stockages prévues par l’article R314-4 ne s’appliquent pas (Voir article.). Ce qui est heureux car cela aurait enlevé tout intérêt à l’’arme à blanc, qui impressionne par son simple bruit, par rapport aux armes classées en C3 (gomme-cogne), voire celles utilisées pour la défense et détenues par les « personnes exposées à un risque sérieux ».

En théorie c’est simple :le port et le transport sont interdits, sauf motif légitime, aussi bien pour les armes (catégorie C) que pour les munitions (catégorie D) (Art L315-1). Par contre les contraintes de transport de l’article R315-4 ne s’imposent pas puisqu’il ne s’agit pas d’arme à feu au sens du CSI.

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Si pour les collectionneurs, tireurs, chasseurs le titre légitime le transport et les motifs sont ceux habituels, Si la carte de collectionneur permet le port durant une reconstitution historique et si le permis de chasse valide le permettrait en théorie en action de chasse (sous réserve qu’une arme d’alarme et de signalisation puisse être considérée comme « destinées à être utilisées en action de chasse ».

Pour les acheteurs courants, les motifs légitime de transport sont assez limités (de/vers un armurier, déménagement). Hors la sanction n’est pas négligeable : jusqu’à 30 000 EUR pour une personne seule et 2ans d’emprisonnement (au delà 75 000 EUR et 5 ans). De plus il y a inscription au FINIADA.

Pour le transport, l’absence de contraintes de transport réglementaire a un effet pervers : parfois la différence entre port et transport d’une arme immédiatement utilisable est ténue et à l’appréciation des Forces de l’ordre puis de la justice. C’est pourquoi nous recommandons d’utiliser les méthodes de transport habituels des armes à feu de catégorie C (verrou de pontet ou fourreau/ valise fermés à clé ou démontage d’un élément ainsi il pourra être démontré qu’il s’agit d’un transport, permettant ainsi d’éviter bien des ennuis (même condamnations, dont inscription FINIADA, que pour l’absence de motif légitime).

Attention, comme pour toute les autres armes de catégorie C, il convient de respecter la procédure prévue par l’article R314-24. Comme les armes d’alarme et de signalisations font désormais parties de la catégorie C, l’inscription au FINIADA rend impossible l’acquisition ou la détention de ces armes.

Toutefois les conditions de cession ou de destruction doivent désormais être celles de la catégorie C (cf. Attention pour les personnes fichées au FINIADA uniquement au titre des L312-3 ou L312-3-1 du CSI (pour lesquelles seules les armes de catégories A à C sont interdites), vous êtes désormais obligés de vous dessaisir de vos armes à blanc ou d’alarme du fait de leur changement de catégorie.

En effet, création d’un compte SIA et donc fichage risquent de rebuter plus d’un candidat à l’achat. Mais surtout ce décret arrive comme un cheveu sur la soupe à une heure où rien n’est prêt pour son application : les numéros RGA des armes d’alarme et de signalisation n’existaient pas. Les armes en stocks chez les importateurs sont entrées en catégorie D, elles ne figurent pas sur leur LPN (Livre de Police Numérique) et la profession n’a pas de consigne claire pour gérer la transition.

Exemple d'arme d'alarme : Pistolet d’alarme Walther copie du PPK. Cal 9mm P.A.K. blanc ou gaz CS, capacité 7 coups.

Répliques d'Airsoft et Législation

Concernant les répliques d'airsoft, la législation est un peu plus complexe. Si ta réplique dépasse deux joules il faut la déclarer en mairie et gendarmerie car elle entre en septième catégorie et est considérée comme une arme, ce qui implique tout un tas de contraintes pour l´utiliser.

Légalement c'est 2 joules... Où as-tu vu ses conneries? HS on généralement les répliques dépassant les 2 joules sont considérées comme des armes de 7ème catégorie, soumise non pas à un enregistrement en mairie ou en préfécture avec tout ce qui s'en suit mais à une obligation de déclaration.

Réponse exact mais la déclaration en mairie et préfecture est obligatoire sachant que cette liste sera transmise en gendarmerie ou police par la suite...Transport obligatoire dans une malette, sac ou sac de transport obligatoire. j´ai cité la faq en post it juste au dessus du topic de mémoire.

La vente, la distribution à titre gratuit à des mineurs ou la mise à leur disposition à titre onéreux ou gratuit des produits visés à l' article 1er du présent décret sont interdites.

L' indication de l' énergie exprimée en joules développée par les produits visés à l' article 1er du présent décret doit figurer à la fois sur le produit, sur son emballage et sur la notice d' emploi obligatoirement jointe.

L' emballage ainsi que la notice d' emploi des produits visés à l' article 1er du présent décret doivent indiquer, en caractères lisibles, visibles et indélébiles, les deux mentions : Distribution interdite aux mineurs et Attention : ne jamais diriger le tir vers une personne.

Si on suit bien le texte, ça parle juste des objets dont l'accès est réglementé pour les mineurs.Nulle part il n'est écrit que l'airsoft, c'est 2 J maxi. Je n'ai jamais vu qu'on enregistrait des armes en mairie Il y a en gros 4 types d'armes :

  • les armes soumises à rien du tout (godemiché, couteau, album de Lorie...)
  • les armes soumises à déclaration (lanceurs de paint, 5è et 7è * catégorie...)
  • les armes soumises à autorisation (préfectorale, les RS 1è et 4è catégorie)
  • les armes interdites (rafale, bombe atomique, grenades...)

Les armes s'enregistrent en préfecture, tout au plus peut-on aller dans un commissariat ou une gendarmerie pour choper le CERFA. Pour en revenir à nos moutons, le décret ne mentionne pas le terme "airsoft". De toute manière, l'activité "airsoft" n'étant légalement définie par rien du tout, on peut appeler "airsoft" le fait de se lancer des mandarines à cloche-pieds.

Toutefois, au dessus de deux joules, les répliques d'armes cessent d'etre des répliques d'armes et deviennent des armes. Ceci dit la loi ne défini pas tout. Ainsi les règles du tennis ne figurent pas dans la Loi. En revanche, les règlements des associations 1901 font preuve de "loi" pour tout adhérent. Comme les lanceurs de paint.

Pour la "question", il existe certains armes (je pense notamment aux lanceurs de paint) dont la législation ne diffère pas de celle des répliques, hormis peut-etre par rapport aux conditions de commercialisation.

Les objets contenus dans cette malette sont des jouets (répliques) de technologie Airsoft. Ils sont destinés à la pratique du Tir Sportif de Vitesse Airsoft (personnes de plus de 18 ans uniquement) et ne sont en aucun cas concernés par la réglementation relative aux catégories des matériels de guerre, armes et munitions.

Les répliques font moins de deux joules! de 2 à 10 joules, ce sont des armes non soumises à déclaration, plus de 10 joules, ce sont des armes soumises à déclarationpoint particulier: les armes (car ce ne sont plus des répliques) de poing automatiques de plus de quatre joules sont des armes de 4° catégorie.

Si le port et le transport des répliques n'est pas réglementé (sinon par le bon sens et hors le cas d'arrêté pris par un préfet dans le cadre de ses pouvoirs de police et de maintien de l'ordre public), celui des armes oui.

Dans tous les cas et si vous me pardonnez l´expression, cessons de couper les cheveux en quatre; on sait bien que quelle que soit la loi personne ne sera jamais accepté en partie en France avec des lanceurs à la puissance démesurée. Donc je résume pour répondre à la question originelle: pour être certain de jouer un peu partout, réplique à 350fps max en full auto, 450fps max en snipe. Et je me répète: renseigne toi surtout auprès de tes camarades de jeu des limitations en usage dans ton coin.

Un lanceur qui n'aura pas l'apparence d'une arme à feu (genre plasma gun rose fluo) avec une énergie de moins de 2J échappera au décret de 1999. Un lanceur entre 2 et 10 Joules ayant l'apparence d'une arme de guerre comme les marqueurs de paintball RAP4 seront classés comme arme de 4ème catégorie.

Les armes sont classé par catégories en fonction de beaucoup de critères de caractéristiques techniques (dimension, longueur totale, puissance, mode de propulsion du projectile etc...)

Il ne faut pas mettre de côté aussi l'aspect "apparence d'une arme de guerre" quand on compare la législation sur les airsoft guns et les marqueurs de paintball.

Un lanceur qui n'aura pas l'apparence d'une arme à feu (genre plasma gun rose fluo) avec une énergie de moins de 2J échappera au décret de 1999. Un lanceur entre 2 et 10 Joules ayant l'apparence d'une arme de guerre comme les marqueurs de paintball RAP4 seront classés comme arme de 4ème catégorie.

Je pense que les autorités compétentes s'en fichent totalement . Si, un lanceur de paintball avec l'apparence d'une arme de guerre est classé en 4ème par le décret suivant qui nous avait bien fait peur à l'époque, car on pensait l'airsoft concerné.

tags: #faux #pistolet #rose #législation #france

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