Au sein de l'armée de Terre française, le tireur Minimi joue un rôle essentiel au cœur de l'action, au contact des populations locales. Ce soldat, sous statut militaire, combat au sein d’une section en remplissant un rôle précis. Votre spécialité consiste à combattre au sein d’une section en remplissant un rôle précis : tireur armements spécifiques, tireur de précision, tireur de missile, opérateur radio ou encore pilote d’engin blindé.
Votre spécialité consiste à combattre au sein d’une section en remplissant un rôle précis.Au sein de l'armée de Terre française, le tireur Minimi joue un rôle essentiel au cœur de l'action, au contact des populations locales.
S'engager dans l'armée de Terre, c'est rejoindre une communauté soudée où vous développez vos compétences tout en relevant des défis stimulants. Quels que soient vos domaines d’intervention, l'armée de Terre vous offre un cadre dynamique pour vous épanouir tout en servant votre pays. La rémunération en opération extérieure peut être multipliée jusqu'à 2,5. Vous bénéficiez d'une formation solide, d'une rémunération attractive et d'opportunités de carrière diversifiées.
Pour devenir tireur Minimi, certains critères doivent être remplis:
Les équipements de l'armée de Terre varient en fonction des situations et des motifs d'utilisation. Sur le terrain, les armes les plus modernes côtoient les plus anciennes, pourvu qu'elles répondent aux besoins. L'armée de Terre française utilise différentes sortes de véhicules, des chars de combat aux véhicules de transport de troupe, en passant par des hélicoptères de combat.
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Les armes employées ne sont pas les mêmes et les calibres aussi car la distance à atteindre est différente. Les tireurs de précisions utilisent le 7,62 (frf2 ou hk417) et les tireurs d’élite le 12,7 (Helcate). Avec le HK416, l'ensemble du groupe peut atteindre cette distance. Petit à petit, on privilégiera plus les TE qui ont un plus gros calibre et une plus grosse distance.
| Type de Tireur | Arme Principale | Calibre |
|---|---|---|
| Tireur de Précision | FRF2 ou HK417 | 7,62 mm |
| Tireur d'Élite | Hecate II | 12,7 mm |
| Mitrailleuse | FN Minimi | 5,56 × 45 mm ou 7,62 × 51 mm |
L’armée de Terre envisage de remplacer l’ensemble de ses mini-mitrailleuses FN MINIMI par des FN Evolys, via une commande conjointe avec son homologue belge. La FN Evolys, « qui est déjà utilisée par les forces spéciales françaises, sera étendue à tous les régiments de l’armée de Terre. Cette arme de dernière génération doit progressivement remplacer les anciennes Minimi, un modèle également produit par le constructeur belge et qui équipe les armées des deux côtés des Ardennes ».
La FN Evolys est une mitrailleuse de calibre 5,56 × 45 mm ou 7,62 × 51 mm, mise sur le marché par FN Herstal en mai 2021. Moins lourde que la MINIMI [l’écart est de 2,5 kg, ndlr], elle allie la puissance de feu d’une mitrailleuse aux caractéristiques propres à un fusil d’assaut. Elle est dotée d’un rail supérieur monolithique pouvant accueillir plusieurs optiques en ligne, sans avoir à retirer les organes de visées mécaniques. La FN Evolys dispose d’un sélecteur de tir ambidextre permettant au combattant de choisir entre un mode de tir semi-automatique [contre des cibles ponctuelles] et un mode de tir automatique ainsi que d’un amortisseur hydraulique pour réduire l’effort de recul.
Le 21 mai, le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, a signé une lettre d’intention avec son homologue belge, Ludivine Dedonder, en vue d’établir une coopération sur la production de munitions de petit calibre. Ce projet fait suite au partenariat stratégique CaMO [Capacité Motorisée], noué entre l’armée de Terre et la composante terrestre de la Défense belge dans le cadre du programme SCORPION [Synergie du contact renforcée par la polyvalence et l’infovalorisation]. L’objectif de CaMo est d’accroître l’interopérabilité entre les forces françaises et belges grâce à l’acquisition d’équipements similaires, en l’occurrence des véhicules blindés multirôles [VBMR] Griffon, des Engins blindés de reconnaissance et de combat [EBRC] Jaguar, de Camions équipés d’un système d’artillerie [CAESAr] et de Mortiers embarqués pour l’appui au contact [MEPAC].
« Ce nouveau volet doit comprendre la création d’une ligne d’assemblage de munitions en France et l’achat de munitions directement auprès de l’industrie belge. Les industriels travaillent à ce stade sur les questions de financement de l’investissement, le projet devant démarrer dans les prochains mois », a-t-il ensuite été précisé.
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Ce partenariat a une dimension industrielle, puisque des entreprises belges y sont associées. Ce qui a été fait avec CaMo pourrait donc être reproduit pour les munitions de petit calibre… mais aussi pour les armes légères.
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