L'armurerie d'Iron Man est un ensemble de technologies en constante évolution. Cet article explore en détail les modèles Ultrapower solaires VIII-A et VIII-B, leurs caractéristiques, équipements spéciaux et anecdotes.
Après s’être débarrassé de Spymaster, Stark appliqua à l’armure classique Ultrapower (modèle VIII-A) une révision majeure, engendrant par là même une nouvelle combinaison.
Les capteurs du modèle VIII-B, version I, étaient vraiment sophistiqués, ils permettaient à Iron Man d’isoler un simple battement de cœur parmi des centaines. Ils pouvaient également repérer les missiles en approche. L’ensemble de ces capteurs, une fois combinés, permettaient même d’estimer le poids des objets. La combinaison possédait également un scanner anti-radiation.
La partie visage du casque s’escamotait comme sur les modèles précédents. De même, les protections en plexiglas sur les yeux et la bouche se fermaient automatiquement en cas de besoin. Le système a mal fonctionné sur un point, lors des ouvertures des fermetures étanches, car dû à une manipulation de Hammer.
Cette combinaison bénéficiait de l’énergie solaire pour le vol. Moins puissant mais plus efficace que le pack d’alimentation complet habituel, ce mode conservait néanmoins à la fois l’énergie de l’armure et celle du porteur.
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Débutant dans la parution #118, l’armure classique Ultrapower solaire, modèle VIII-B, version I, était une combinaison dotée de micro-circuits d’une puissance inimaginable. En connectant les circuits d’amplification musculaire sur un modem, Iron Man devenait plus fort, bien au-delà du standard habituel. Il pouvait devenir tellement puissant que - même en vol - il avait la capacité d’attraper et de soulever un héliporteur du SHIELD.
D’autres prouesses techniques permettaient aux supports d’alimentation de se régler afin d’émettre une onde de chaleur électrique pour faire bouillir l’eau autour d’Iron Man. Ces supports pouvaient également être utilisés pour déclencher de grosses impulsions électromagnétiques.
Tony Stark s’est finalement rendu compte que les dysfonctionnements de son armure étaient dus à un sabotage. Plus précisément, Justin Hammer utilisait un scanner hypersonique pour manipuler et contrôler l’armure.
Cette version bénéficiait d’un tout nouveau type de revêtement réfractaire qui ne permettait pas uniquement une défense significative contre les décharges hypersoniques de Hammer mais offrait également une meilleure résistance au rayon incapacitant de l’Homme de Titanium et à d’autres agressions extérieures. La résistance aux décharges laser était limitée et devait être probablement nulle face à une frappe directe du Laser vivant. (L’armure fut finalement détruite par les macro-décharges du Laser vivant.
La construction en métal grillagé polarisé fut améliorée au même titre que l’électronique des systèmes d’armement. La coque externe pouvait facilement résister à des rafales de mitrailleuse en calibre .50. Les unités thermiques réchauffaient ou refroidissaient l’armure, laissant ainsi la combinaison dans un environnement thermo-régulé capable de maintenir Stark dans une situation confortable que ce soit dans le bassin d’un réacteur nucléaire ou au beau milieu du vide glacial de l’espace. Une réserve interne d’oxygène d’une autonomie de six heures peut être utilisée si besoin. De plus, un système de ventilation d’urgence pouvait pomper l’eau à l’intérieur de la combinaison.
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Des capteurs embarqués thermiques (ayant la capacité de suivre une trace grâce à la chaleur du corps), radars, scanners infrarouges (le précurseur de l’imagerie thermique), ainsi que d’autres micro-détecteurs électroniques. Un appareil de télémétrie intégré au casque permet de tracer l’origine d’une radio/télédiffusion. Un micro-scanner spécial dans son gantelet gauche avec écran et panel de contrôle permettait à Iron Man d’élargir ses capacités sensitives.
Capteurs visuels et systèmes de traçage ; scanner sonique et radiocommunications complètes ; rayons X ; les capteurs pouvaient repérer les appareils de visée dirigés et verrouillés sur Iron Man. La combinaison est tapissée de capteurs solaires. A l’instar des autres modèles, les bobines d’induction de l’armure, situées sur la poitrine, peuvent absorber l’électricité depuis n’importe quelle source, rechargeant ainsi les supports d’alimentation. (Et en cas de besoin, ces supports peuvent également être utilisés pour produire une chaleur électrique à l’extérieur de l’armure).
Les supports d’alimentation peuvent également libérer des charges d’électricité négative ou être utilisées comme bombes en les détachant et en réglant le temps pour qu’elles puissent libérer leur masse d’énergie à un moment précis. Bien sûr, en cas de perte d’un de ces supports, la capacité offensive d’Iron Man diminuerait de moitié. Cependant, Stark, très prévoyant, avait conservé le fidèle bon vieux cordon d’alimentation, lui permettant ainsi de se brancher sur n’importe quelle prise de courant en dernier recours.
L’armure solaire classique Ultrapower, version II, était si puissante qu’une fois, Iron Man s’est appuyé sur un building en train de s’écrouler afin de le remettre à sa place sans encombre. La puissance d’Iron Man est marquée par le magnétisme inversé, et l’électronique du Modèle VIII-B possède toujours la capacité d’altérer la polarité de la coque externe, inversant sa charge magnétique, repoussant les objets. Bien sûr, ce que les aimants donnent, ils peuvent également le reprendre. Ces aimants surpuissants ont infligé des dégâts à l’armure, et plus particulièrement en bloquant son système d’alimentation principal.
Tête de Fer a pu également exploiter ses systèmes de manière à ériger des barrières magnétiques, des champs de grande amplitude qui pouvaient dévier de grands objets et/ou les maintenir en place. Les bottes ne sont pas uniquement équipées de jets technologiquement avancés pour le vol mais également de roulettes. Les bottes sont équipées de petits crampons sur les semelles - un peu comme les petites pointes sur les chaussures de golf - afin d’avoir une meilleure assise sur la glace. Tony Stark pouvait utiliser des boot-jets ajustables, les poussant au maximum afin de déblayer d’éventuels débris autour de lui -comme un outil de nettoyage.
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La mousse retardatrice de flamme (stockée dans les revers des bottes et des gants) refroidissait l’extérieur de l’armure au besoin. Elle pouvait également être aspergée vers l’extérieur afin de combattre le feu. Et en augmentant la pression dans les conduits, Iron Man pouvait disperser la mousse sur de plus grandes étendues. Bien que la combinaison fut contrôlée cybernétiquement - un équipement déjà très au point à cette époque - Tony continuait à utiliser un panel de contrôle manuel placé sur le revers de son gant droit. Celui-ci comprenait une horloge digitale, une jauge d’énergie/alimentation, un détecteur de radiations, et divers scanners.
Le système de commande cybernétique plutôt sophistiqué de l’armure solaire classique Ultrapower, version II, pouvait être mis en surcharge à l’aide d’électrochocs importants (d’après le Mauler). Le casque de la version II permettait un contrôle cybernétique de l’armure et était équipé de tous les accessoires standards tels que les protections oculaires polarisantes pour se protéger contre la lumière intense et des lentilles infrarouges télescopiques se rabattant depuis les fentes oculaires, le tout travaillant de concert avec l’ensemble de la gamme de capteurs.
Les amplificateurs du casque permettent à Iron Man d’écouter discrètement des personnes depuis une certaine distance. Ils l’aident également à entendre les gens proches de lui. En réalité, sans alimentation, il est très dur d’entendre (ou même de voir) depuis le casque. La Version II a vu la première apparition de l’unité de navigation Stark, un système coordonné qui reliait les différents systèmes mécaniques de navigation au logiciel comme cela n’avait jamais été réalisé auparavant. L’armure solaire classique, Modèle VIII-B, Version II était révolutionnaire à bien des égards.
Pour la première fois, une découverte capitale dans l’électronique intégré permettait à Stark de donner vie (mais de manière limitée) aux pièces de l’armure individuellement, sans qu’elles ne fassent partie de l’ensemble. La Version II possédait des compartiments spéciaux pour tous les gadgets et autres trucs de Tony. Son épaulette gauche contient un tube en verre de fréon concentré anticalorique. Une minuscule bombe gelante qui peut être actionnée et déclenchée mentalement. On trouve sur son index gauche une mini-perceuse tandis que sur le droit se trouve une mini-scie à disque diamanté.
Bien qu’améliorée, l’armure demeurait toutefois vulnérable à certaines substances hautement corrosives - et plus particulièrement concernant les parties sensibles comme les répulseurs.
Stark modifia sa fidèle mallette afin qu’il puisse l’avoir avec lui partout où il va.
En revêtant l’armure solaire classique Ultrapower, Iron Man était capable de botter les fesses du (soi-disant) Incroyable Hulk - le rétamant littéralement.
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