Le tatouage peut révéler bien des choses sur une personne. Particulière, un symbole représente toujours quelque chose. Le gun symbolise la force mais surtout l’indépendance et l’audace. Il représente la capacité à réagir rapidement face aux dangers, mais aussi à s’émanciper de la peur qu’ils occasionnent en les combattant.
Les personnes adeptes du tatouage et ayant vécu de lourdes épreuves arborent souvent ce tatouage. L’audacieuse est une collection pour une femme déterminée et forte, prête à lutter pour défendre ses idéaux et ses valeurs.
La Tatoueuse Bijoux propose une large gamme de bijoux personnalisables et raffinés, inspirée de l’iconographie du tatouage Old School. Nos bijoux sont réalisés en acier chirurgical pour une tenue irréprochable, puis trempés dans un bain d’or fin ou d’argent.
C’est pourquoi, la marque s’adresse à toutes les indécises du tatouage qui repoussent inlassablement le jour où elles mettront les pieds dans un salon de tatouage, mais aussi à celles, déjà tatouées, qui souhaitent agrémenter leurs tatouages par une symbolique supplémentaire.
Un motif particulier, le tatouage de balle de fusil, peut sembler simple à première vue, mais il recèle une profondeur de signification qui mérite d'être explorée. Le monde des symboles est vaste et complexe, et les tatouages ne font pas exception.
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Pour comprendre la portée symbolique d'un tatouage, il est utile de se tourner vers des civilisations anciennes, riches en iconographie et en significations cachées. L'Égypte ancienne, avec ses dieux, ses amulettes et ses rituels, offre un terrain fertile pour l'interprétation symbolique.
À la lumière de ces symboles anciens, comment pouvons-nous interpréter le tatouage de balle de fusil ? Plusieurs pistes peuvent être explorées:
Depuis le début de la guerre en Ukraine, les tatouages patriotes se multiplient. En Ukraine, où le tatouage est un véritable art, une tradition, depuis le début de la guerre certains motifs et dessins ont plus la côte : les tatouages à la gloire du pays et de ses soldats.
Depuis le début du conflit, les salons de tatouages d'Ukraine croulent sous les demandes de tatouages militaires. Un moyen pour les Ukrainiens et les Ukrainiennes de soutenir leur pays.
Sacha, se promène dans les rues d’Odessa avec le bras et le mollet droit enroulés dans du film plastique. Il faut protéger les deux tatouages que cet étudiant de 18 ans vient de s’offrir il y a quelques minutes à peine, sur l’avant-bras, c’est un fusil d’assaut. "Je me suis fait tatouer cet AK-47 pour me souvenir de mon oncle qui est mort sur le front", raconte-t-il.
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Au mollet il a choisi "un éclair, la foudre, cela reflète notre état d'esprit, cela veut dire que nous sommes des Ukrainiens forts et qu'on va continuer de se battre pour notre pays et le protéger".
Comme Sacha, de nombreux Ukrainiens et Ukrainiennes ont succombé à la mode du tatouage guerrier et parfois anti-russes.
Dans le salon d’Igor, la demande a été forte, surtout au début de la guerre. "Il y a vraiment beaucoup plus de demandes sur le thème militaire. Mais un tatouage c’est pour la vie, alors il faut assumer. "Nos tatoueurs en discutent. On leur demande s'ils sont bien conscients de ce qu'ils demandent... mais bon le client est roi", dit Igor.
Les tatouages indiens symbolisent une certaine forme de force ou de pouvoir surnaturel. Se tatouer un animal sur la peau signifie que tu veux posséder ses qualités. Les raisons pour lesquelles les Amérindiens se faisaient tatouer étaient diverses.
Aujourd’hui, de nombreuses personnes choisissent de s’identifier à leurs tribus grace aux tatouages amérindiens. C’est aussi vrai pour ceux qui ont un héritage amérindien que pour ceux qui admirent simplement leurs coutumes.
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Il est important de connaître la signification exacte d’un tatouage indien et de choisir le bon tatoueur. De nombreuses personnes ont choisi par erreur les mauvais symboles et se sont fait tatouer par les mauvaises tribus.
Signe de beauté et de douceur, la femme amérindienne, peut aussi porter une coiffe indienne comme les hommes. Pour les Indiens d’Amérique, le oiseau noir est un symbole de générosité, courage et amitié.
Un tatouage Lakota, peut signifier un tatouage d’une tete des plus grands chefs indiens de tous les temps, Nuage Rouge (Red Cloud), Cheval Fou (Crazy Horse), Taureau Assis (Sittting Bull ). En plus de ça ce sont eux qui ont laissé le plus de témoignages sur leur histoire, leur langue, leur culture et leur religion.
L’hibou chez les Amérindiens est un symbole qui combine la sagesse et la mort. Il permet aussi de lier le monde spirituel et visible. connu comme étant de beaux tatouages ça va vous aider aussi à développer vos capacités intuitives.
Le tipi est le symbole le plus représentatif des Premières nations américaines. Tant de cérémonies, de conseils, de rencontres historiques se sont tenues dans le tipi qu’il s’est imprégné de cette atmosphère légendaire de l’Ouest.
Certains dessins sont devenus mythiques, indissociables du style, de la personnalité, de leurs "propriétaires". À l'instar d'Angelina Jolie, et son dos recouvert d'inscriptions symboliques, ou de la regrettée Amy Winehouse, aux tatouages rock aussi identifiables que sa coiffure. Certains artistes ont même lancé des tendances dans les salons de tattoos.
Invitée d’honneur de la 14e édition du "Rendez-vous - Nuovo cinema francese" à Rome, où elle présentait le vrai-faux biopic comic Bernadette, Catherine Deneuve a laissé apparaître son tatouage tribal, sur son pied gauche. "Le premier [tatouage] date d'il y a longtemps, il est dans le cou, caché par mes cheveux. Sur le pied, c'est plus récent. J'ai toujours aimé ça", partageait l'icône dans une interview accordée au magazine Obsession en 2014.
Les tatouages sont "comme un signe", "une envie d'être différent", pour Catherine Deneuve.
Chignon identifiable entre mille, créoles XXL, regard assombri par un trait d'eyeliner.... et tatouages sur de ses épaules à ses bras dénudés. Un fer-à-cheval pour porte-bonheur, et un "Daddy" pour son père avec qui elle entretenait une complicité fusionnelle, une "pin-up" seins nus, une autre avec un éventail, le mot "Girl", une plume indienne pour symboliser le courage... Ses dessins sur chaque bras ont, pour la plupart, été encrés entre la sortie de son premier album en 2003 et son cultissime Back to Black cinq ans plus tard.
L'un de ses tatouages sur son bras droit, qui représente un oiseau et des notes de musique, est devenu l'emblème de la fondation Amy Winehouse, qui aide des milliers de jeunes qui luttent contre la toxicomanie.
Un pistolet sous l'aisselle, la date d'anniversaire de sa meilleure amie en chiffres romains sur l'épaule, le mot "love" sur un doigt, une étoile dans l'oreille, une tête de mort au niveau d'une cheville... Le corps de l'icône Rihanna est une fresque qui témoigne des tendances des vingt dernières années.
Le plus grand et original tatouage de l'artiste originaire de la Barbade demeure celui d'Isis, de profil, et ses ailes majestueuses déployées sous sa poitrine. Sur son corps, les dessins encrés sont multiples et se répondent, harmonieusement.
Sur le bras gauche de l'actrice et activiste : six coordonnées géographiques, qui correspondent au lieu de naissance de ses enfants. Ces symboliques inscriptions ont remplacé deux tatouages : le nom de l'acteur Billy Bob Thornton, inscrit à l'occasion de son mariage avec ce dernier, en 2000, alors qu'elle avait 25 ans.
En Nouvelle-Zélande, les femmes maories arborent un tatouage traditionnel au menton, appelé le moko kauae, considéré comme étant la manifestation physique de leur véritable identité. Selon la croyance, chaque femme maorie porte en elle un moko près de son cœur ; une fois qu’elle est prête, le tatoueur ne fait que le ramener à la surface.
Le mois dernier, Nanaia Mahuta est devenue la toute première parlementaire à recevoir un moko kauae. Cette femme de 46 ans a marqué l’histoire, non seulement pour avoir revendiqué son identité maorie dans l’arène politique mais également pour avoir contribué à la résurgence de cette tradition.
« Il y a eu un grand nombre d’étapes importantes dans ma vie, et je suis arrivée à un moment où je suis prête à déclarer clairement qui je suis et d’où je viens. Son moko kauae marque l’anniversaire du décès de son père et comprend les motifs traditionnels de sa tribu, Ngāti Maniapoto.
Avec ce tatouage, elle souhaite montrer l’exemple à sa fille de trois ans. « En tant que femme maorie, je veux que ma fille sache que tout est à portée de main, il suffit de savoir attraper », affirme-t-elle. Nanaia Mahuta.
Le premier jour de Nanaia Mahuta au parlement avec son moko kauae a été chargé d’émotion. « Les autres femmes maories étaient très fières, se souvient-elle. Les gens m’ont regardée différemment. C’est un marqueur culturel - il montre très clairement que je représente une certaine façon de penser.
Le tatouage facial et corporel maori est connu sous le nom de Tā moko. Il s’agit d’une forme d’art ancienne qui puise son origine dans l’ouest de la Polynésie. Les motifs complexes sont ciselés dans la peau à l’aide d’un outil appelé « uhi » ; l’encre est ensuite introduite dans les traits incisés.
Tā moko symbolise l’héritage familial et le statut social - le receveur visiterait un monde spirituel où vivent ses ancêtres avant de revenir en tant que nouvelle personne. Pour les femmes maories, comme l’explique l’historien Michael King dans son ouvrage Moko, le moko est un rite de passage, celui de l’enfance à l’âge adulte.
Mais, à partir de 1840, à cause de l’afflux des colons anglais, les Maoris furent expulsés de leurs terres et l’assimilation débuta. Des lois coloniales furent adoptées afin de bannir les tohunga - les experts maoris - et les enfants risquaient le fouet s’ils parlaient le maori à l’école. Dans les années 1970, la tradition du moko s’était éteinte.
Les choses commencèrent à changer dans les années 1980, avec des politiques de revitalisation de la langue et la culture maories. Ces dernières années, cette pratique ancienne a connu un regain de popularité auprès des femmes maories, jeunes comme âgées.
Pip Hartley, 33 ans, tatoueuse spécialiste du Tā moko, fait partie d’une nouvelle génération de Maories qui fait progresser cette forme d’art. À l’âge de 18 ans, elle a commencé à voyager dans des régions isolées du pays afin d’en apprendre plus sur cet art ancien, avant d’ouvrir son salon de tatouage à Auckland, Karanga Ink.
Le processus de réalisation du moko est profondément personnel, explique-t-elle à VICE. « Je préfère dessiner directement sur la personne, car c’est un échange de wairua [d’énergie]. Pour beaucoup de gens, il s’agit d’une expérience transformatrice. À chaque fois qu’ils se regardent dans un miroir, ils se rappellent ce qu’ils ont accompli et savent que leurs tupuna [ancêtres] assurent leurs arrières.
Selon Pip, lorsqu’une femme est prête à recevoir son moko kauae, elle entend une petite voix intérieure. « Elle est appelée à représenter sa culture, à s’y engager et à établir une connexion plus profonde avec ses ancêtres. D’aucuns froncent les sourcils - ils ne comprennent pas - mais je pense que c’est une chose à laquelle ces wahine [femmes] sont préparées. J’ai hâte de recevoir le mien.
Jude Hoani, tisserande, a reçu son moko l’année dernière. Il lui a permis de définir qui elle est. « Mon visage peut se fondre dans beaucoup de cultures, dit-elle. Le moko me permet de montrer à quelle communauté j’appartiens dans ce pays. Il m’a fallu 20 ans pour sauter le pas.
Son cousin, Gordon Toi, célèbre tatoueur de tā moko, taquinait Jude, lui disant : « J’ai un siège pour toi à ma table. » Quand le frère aîné de Jude est mort des suites d’une insuffisance rénale, sa décision fut prise. « Nous étions très, très proches. J’ai dit à Gordon que j’étais prête à passer sur sa table.
Jude explique que son tatouage, réalisé en une demi-heure à l’aide d’un pistolet ordinaire, n’a pas été douloureux. « C’était juste désagréable. J’ai mordu dans une orange, et c’était fini. » Le dessin sur son menton est un ruru [hibou] stylisé. Selon la tradition maorie, le ruru est le kaitiaki (le gardien) du menton.
Depuis qu’elle a reçu son moko, Jude se sent plus visible. « Beaucoup d’habitants de ma ville, qui ne m’avaient jamais adressé la parole, ont commencé à me parler. Ils me voient enfin, ils me regardent, regardent mon visage, me regardent dans les yeux.
« Je parlais à une Pākehā [une Néo-Zélandaise blanche], une amie à moi qui a dans les soixante-dix ans, ajoute Jude. Elle me disait qu’elle allait de moins en moins en ville, parce qu’à chaque fois, elle est ignorée. Elle est persuadée que c’est à cause de son âge. Maintenant que j’ai ce moko, cela ne m’arrive plus. Je ne suis plus invisible.
Benita Tahuri, 48 ans, a passé la moitié de sa vie à envisager de se faire un moko. « Au fond, j’ai toujours su que j’en voulais un, et après avoir vécu beaucoup de changements et de défis dans ma vie, j’ai su que c’était la bonne chose à faire », déclare-t-elle. « Pour moi, c’était une question de guérison, de réflexion, d’émancipation et d’identité. Ce n’était pas une pensée consciente - la manifestation physique du moko représente la fin d’un parcours.
« Certains pensent que tout le monde ne peut pas s’en faire un, qu’il faut le mériter, explique Benita. Mais moi, je crois que si vous êtes maorie, c’est votre droit de naissance. Personne ne peut vous empêcher de le faire. C’était quelque chose de normal qui est devenu anormal. Nous avons dû nous battre pour nous réapproprier notre culture, nous ne devrions pas ériger de barrières.
Benita vient des tribus Ngāti Kahungunu et Tūhoe. Elle a grandi dans la petite ville de Wairoa, sur l’Île du nord de la Nouvelle-Zélande. Le pub local avait une règle tacite : les Maoris dans le fond du bar, les Pākehā [les Blancs] à l’avant. Personne ne parlait maori en public.
Elle a emménagé en ville et a envoyé ses enfants dans des écoles maories. Aujourd’hui, ses filles Honey (23 ans) et Anahera (25 ans) ont leur propre moko. « Je voulais que [le moko] soit la normalité pour elles, explique-t-elle. Pour moi, ça a été un long processus. Vous savez, vous ne pouvez pas vous contenter de le cacher, comme si vous aviez un tatouage et que vous pouviez le recouvrir avec votre t-shirt. Vous l’avez pour la vie. C’est un engagement envers vous-même et votre identité.
« Cela signifie : “Voilà qui je suis”. Benita avec ses filles Honey et Anahera.
Lorsque l’aiguille a transpercé la peau de Drina Paratene, elle n’a rien ressenti, mis à part un sentiment de paix. « Je m’étais préparée mentalement, déclare cette femme de 52 ans. Nous avons dit nos karakia [prières] avant de commencer. Je m’attendais à beaucoup de douleur, je n’en ai pas ressenti la moindre.
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