Ce n’est un secret pour personne, la France est une nation qui voue un amour particulier à l’art et à ses artistes. Depuis l’aube de l’humanité, l’hexagone a été le berceau d’artistes emblématiques, laissant une véritable empreinte artistique reconnue dans le monde entier. De nos jours, l’art a évolué et s’est digitalisé au fil du temps. Une fois encore, la France est au rendez-vous et chaque génération apporte son lot d’artistes français reconnus à l’échelle internationale.
Si l’influence des artistes français dans l’histoire n’est plus à prouver, sachez que les nouvelles générations ne sont pas en reste. L’influence des artistes français de la nouvelle génération s’étend à des domaines très variés d’après Yohan Blanc cofondateur de l’Institut Artline, spécialisé dans les cursus digitaux dans l’art et le design. La nouvelle vague française s’est aussi bien illustrée dans le street art, que dans l’animation 3D et il n’est pas rare que des grands studios étrangers fassent appel aux services d’artistes français.
Nous pouvons par exemple être fiers de la branche française du Studio Ghibli (d’origine japonaise) qui a joué un rôle crucial dans le développement d’œuvres incontournables comme Princesse Mononoke sorti en 1997. Le studio Xilam, quant à lui, est à l’origine du dessin animé Oggy et les cafards, diffusé dans le monde entier.
Rien que dans le monde des jeux vidéos, la France est la source d’un nombre incalculable de franchises mondiales. Même le géant Samsung a fait appel à l’artiste français Miguel Chevalier en 2014, pour une collaboration qui a donné naissance à l’œuvre baptisée “origin of the curve”.
Le futur semble plus que jamais s’orienter vers les arts digitaux et le design avec la popularisation de la réalité virtuelle et réalité augmentée. De nombreux français travaillent déjà sur des projets novateurs et déjà très attendus comme le jeu vidéo Unrecord, développé par le studio français Drama. Des entreprises françaises, comme Archos, continuent de proposer de nouvelles innovations à la pointe de la technologie actuelle.
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Pendant une journée entière, Fabien Giraud & Raphaël Siboni ont organisé, scénarisé et orchestré un rassemblement de joueurs d’airsoft dans une des salles du Palais de Tokyo. Il s’agissait de confronter les joueurs à une partie infinie et bouclée sur elle-même, dont les paramètres et les règles étaient continuellement mouvants. Le friendly fire, notion à la base du projet des artistes, est un terme militaire qui désigne le fait de tirer, accidentellement ou non, sur une personne de son propre camp. Cette confusion propre au friendly fire paralyse le soldat joueur, en un état de confusion et de doute constant.
Le projet consiste à transposer à l’échelle collective du conflit l’état mental individuel du soldat, incapable de discerner le camp ennemi du camp ami, toujours sur le point de commettre un friendly fire ou d’en être la victime. Fabien Giraud et Raphael Siboni vivent et travaillent à Paris. Leur collaboration a débuté en 2007 à l’ENSAD et au Fresnoy. D'un questionnement initial sur les communautés contemporaines et les modes d'individuation qui les travaillent, leur démarche s'ouvre progressivement à une redéfinition systématique de la notion même d'expérience artistique.
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