Entre nous, peindre un mur en parpaing extérieur est sans doute l’un des travaux les plus ingrats qui soient. Entre la préparation interminable, le choix des produits et la technique, c’est le meilleur moyen de s’en dégoûter à vie. Mais aussi de se retrouver avec un résultat à la fois moche, peu durable et impossible à entretenir. Sauf qu’on l’a fait pour vous. Et qu’on vous livre toutes nos astuces pour un résultat impeccable, durable, et facile à entretenir.
Le parpaing - ou bloc béton pour ceux qui aiment jouer les experts - c’est 80% de pierre (un mélange de gravier et de sable), 7% de ciment, le reste en eau. Bref, pas vraiment une recette de gâteau, mais plutôt l’ingrédient basique du mur extérieur à la française ! Les dimensions standards ? 20 x 25 x 50 cm pour les plus courants (sinon, c’est 10 ou 15 cm d’épaisseur si tu veux chipoter). Ce machin-là a deux super-pouvoirs : il résiste aux bourrasques et au feu... Mais côté look ? C'est aussi avenant qu’un lundi matin pluvieux. Le parpaing est solide, économique, mais côté déco...
Disons-le franchement (encore) : laisser ses murs en mode "brut industriel qui pique les yeux", c'est l’assurance tout risque du mal-être visuel.
Anecdote véridique : j’ai vu une voisine repeindre son vieux mur décrépi en bleu canard. Cinq jours après, elle recevait sa famille « venue admirer le jardin ». Spoiler : tout le monde mattais le mur !
Entre nous, la météo c’est souvent l’excuse parfaite pour procrastiner (« Ah mince il bruine ! »).
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Disons-le franchement, choisir sa peinture façade, c’est comme hésiter entre trois playlists pour une soirée : tu sais que si tu te gourres, l’ambiance va tourner au vinaigre. La peinture de façade, c’est le patron du chantier extérieur. Pourquoi ? Parce qu’elle est littéralement conçue pour prendre cher toute l’année : résistance aux UV, à la flotte, au gel et aux variations de température qui fileraient la migraine à une girouette. On parle ici d’une peinture qui ne claque pas au bout de deux hivers et qui garde ses couleurs sans virer au pastel délavé façon tee-shirt oublié au soleil.
Peinture acrylique, microporeuse, silicate... Entre nous, chaque fabricant balance son « meilleur produit » mais tout ne se vaut pas. Ce que tu dois comprendre : sur un mur en parpaing jamais peint ou légèrement humide, privilégie une microporeuse ou une acrylique haut de gamme.
Un mur en parpaing nu, c’est tout sauf lisse... Oublie le sempiternel « blanc éclat hôpital ». Le nuancier RAL (oui oui, celui avec plus de 200 couleurs !) te donne carte blanche pour réveiller ton mur.
Anecdote maison : j’ai vu un type peindre son muret en « vert menthe RAL ». On lui a volé son code couleur pendant une fête quartier tellement tout le monde voulait copier.
Disons-le franchement : utiliser une peinture intérieure dehors parce qu’il restait un fond dans un pot… c’est niveau amateur éclairé qui cherche volontairement la galère. Les risques ? Certaines peintures bourrées de solvants volatils (COV) très fins sèchent trop vite ou s’évaporent avant même d’adhérer correctement ; résultat ?
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Peindre sans préparer, c’est comme tartiner un vieux toast moisi avec du foie gras - aucun respect pour le produit et un résultat douteux assuré. La préparation, c’est vraiment 80% de la bataille.
Nettoyer un mur en parpaings, c’est pas juste passer un chiffon vite fait.
Un mur en parpaing non traité, c’est rarement aussi nickel que sur catalogue. Bref, c’est le moment « soin intense » pour ton mur fatigué.
Un ponçage rapide (papier abrasif grain moyen) sur les zones rebouchées suffit généralement. Ensuite ? On dépoussière avec une grosse brosse… voire même l’aspirateur si t’es vraiment du genre maniaque (rare chez les bricoleurs bordéliques mais bon). Un mur propre = adhérence garantie = rendu net.
Application au rouleau à poils longs (ou pistolet si t’as envie d’épater), passes croisées. Respecte bien le temps de séchage avant toute mise en couleur.
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🛑 Oublier nettoyage + sous-couche = carnage assuré.
Peindre des parpaings extérieurs sans le bon matériel, c’est comme faire du vélo sans selle : ça fait mal et c’est moche. Pour ce genre de taff un peu brutal, oublie les mini-rouleaux d’artiste.
Sérieux, sur grande surface c’est quatre fois plus rapide et la couvrance est top. Mais il faut prévoir deux fois plus de bâchage (ça gicle partout) et nettoyer l’engin ensuite (une purge).
Couvre TOUT - si t’oublies un coin, ce sera là que ton mur commencera à se barrer dans six mois.
Entre nous, peindre "vite fait" sur du parpaing c’est le meilleur moyen d’avoir un mur zébré façon camouflage raté. Faut pas croire : "une couche dans un sens" = résultat miteux garanti.
La seule méthode qui marche vraiment sur ce support irrégulier ?
Cette astuce permet à la peinture de rentrer VRAIMENT partout - marre des murs patchwork après trois jours de boulot ?
Disons-le franchement : vouloir forcer sur l’enchaînement des couches sous prétexte « qu’il fait beau aujourd’hui » ? C’est risquer cloques ou craquelures… Les pros attendent généralement entre 3h et 8h selon produit/météo/humidité (lis VRAIMENT l’étiquette du pot).
La deuxième couche ? Ne sois pas radin : mieux vaut faire une retouche générale que regretter ces traînées béton qui transparaissent « après séchage complet ».
Après tout ce travail, ce n’est pas pour voir ton mur perdre son éclat trois saisons plus tard. Ne sous-estime JAMAIS le pouvoir du nettoyage régulier. Un peu d’eau savonneuse, une brosse douce (pas celle en fer façon décapage de plancher !), et zou, tu dégages poussière, toiles d’araignée ou mini-salissures.
Entre nous : attendre que la catastrophe débarque n’a jamais sauvé une façade.
⚡ Inspecter régulièrement ton mur te sauvera des travaux lourds plus tard.
Disons-le franchement : attendre que tout le mur parte en vrille juste parce qu’une micro-zone est abîmée… C’est comme laisser traîner une écharde dans son doigt « en espérant qu’elle sortira toute seule ».
Disons-le franchement : qui aurait parié qu’un vieux mur grisâtre pouvait devenir la star du jardin ou de votre entrée ? Et pourtant…
Si t’es arrivé jusqu’ici sans tourner de l’œil, c’est que tu comptes bien transformer ton parpaing dépressif en un truc (presque) digne d’Instagram.
Entre nous : rien n’empêche de sortir du lot-ose le vert absinthe ou l’anthracite coup-de-poing ! Tant que tu prépares bien ton support et choisis LA bonne peinture, t’as zéro raison pour que ça foire. Qui sait ?
Lorsque l’on parle de peinture airless, il s’agit d’une technique de peinture mise en œuvre à l’aide d’un pistolet qui fonctionne à haute pression et sans air, ce que désigne le terme anglais « airless ». Fonctionne avec une pompe sur le principe de la compression de la peinture et de sa projection à haute pression. Pour tous ceux qui font régulièrement des travaux de peinture, ce type de pistolet est parfaitement adapté. Il représente un certain coût, puisqu’il s’agit de matériel de type professionnel.
La peinture étant pulvérisée à haute pression, vous allez pouvoir couvrir des surfaces très grandes et ce, en utilisant moins de peinture. En résumé, le pistolet à peinture airless convient aux personnes qui peignent souvent ou qui ont des travaux de rénovation importants à faire. De plus, si vous utilisez déjà un pistolet à peinture et que vous recherchez une solution encore plus qualitative, alors peindre à l’airless est tout à fait recommandé pour vous.
N’oubliez pas que cette technologie génère un brouillard, cela veut dire qu’avant de commencer, il est important de bien préparer votre chantier, surtout si vous souhaitez peindre les murs d’une pièce. À la place d’une bâche, vous pouvez aussi avoir recours à de grands cartons solides. Puis lessivez-la.
Même si vous pouvez utiliser n’importe quelle peinture, privilégiez une peinture spéciale airless qui aura d’emblée la bonne consistance. Ce type de peinture est signalé par un pictogramme représentant un pistolet à peinture sur le pot. En cas de doute, n’hésitez pas à demander conseil à un vendeur. Mélangez soigneusement la peinture.
Une fois la peinture prête, versez-la dans votre appareil et procédez aux différents réglages en suivant les consignes du fabricant. Vous allez ensuite pouvoir procéder à un essai avant de vous lancer. Ce peut être sur un carton, par exemple. Par contre, si vous constatez des coulures, cela signifie que la peinture est trop diluée. Et voilà, vous pouvez enfin débuter la mise en peinture.
Débutez en partant d’un angle en haut de la surface et en positionnant la buse du pistolet à une vingtaine de centimètres du support. Le jet doit toujours être perpendiculaire à la surface. Projetez la peinture en effectuant des mouvements de va-et-vient de gauche à droite ou inversement, selon la main avec laquelle vous travaillez, lents et réguliers pour dessiner des bandes de la largeur de votre amplitude de mouvement. Après avoir effectué votre premier passage à l’horizontale, procédez à la seconde passe à la verticale.
Lorsque vous avez terminé, procédez au nettoyage de votre machine. Pour retirer toutes les protections que vous avez mises en place, attendez que la peinture soit sèche.
Les travaux de peinture sont accessibles à tous les bricoleurs. Toutefois, il peut être long et compliqué de peindre une grande surface avec un simple rouleau et un pinceau. Il est aujourd’hui possible de peindre avec différents applicateurs de peinture toujours aussi pratiques les uns comme les autres.
Un pistolet à peinture permet de peindre toutes sortes de surface : mur, plafond, menuiseries, mobiliers, etc. Il est très apprécié pour sa grande praticité. Il permet une application plus rapide et plus homogène de la peinture. Il s’adapte à toutes les peintures ou lasures à condition de respecter les consignes de dilution. Pour être correctement pulvérisée par le système, la peinture doit être un peu plus liquide. Il faudra donc la diluer dans de faibles proportions, généralement de 5% à 10%, puis bien la mélanger avant de remplir le réservoir de votre pistolet à peinture.
Malgré ses points forts, l’utilisation d’un pistolet à peinture n’est pas toujours une partie de plaisir. Tout d’abord, ce système est salissant et pas toujours très précis, car il n’est pas évident à contrôler. C’est la raison pour laquelle il faut bien protéger les objets environnants avant d’entamer les travaux. Ensuite, le pistolet consomme beaucoup plus de produits que les autres instruments de peinture, et pour avoir un bon rendu, il faut que la surface du support à peindre soit parfaitement lisse. Pour plus de facilité, vous pouvez également confier votre projet à un peintre du bâtiment. Les pistolets à peinture sont destinés à mettre en peinture de grandes surfaces : refaire la peinture d’un appartement, repeindre un salon, … À noter qu’il existe plusieurs technologies de pulvérisation comme Airless ou HVLP qui s’adaptent à vos besoins.
L’utilisation d’un pistolet à peinture permet de pulvériser la peinture au mur ou au plafond sans laisser de trace.
À moins que vous soyez vous-mêmes un peintre professionnel, la meilleure option est la version électrique, car elle est plus simple à mettre en œuvre. En réalisant vos travaux avec un pistolet à peinture électrique à basse ou haute pression, vous obtiendrez un rendu impeccable et des finitions parfaites. En ce qui concerne la pression ou la puissance du jet, il vaut mieux, pour un débutant, la régler au degré le plus bas pour éviter les éventuels accidents et le gaspillage de produits.
Comme avec un rouleau, refaire la peinture de sa maison avec un pistolet à peinture requière de bien s’équiper avant de commencer le chantier. Comme susmentionné, le pistolet à peinture est relativement difficile à utiliser pour les personnes novices. Il est donc important d’apprendre les bonnes pratiques et de les adopter pour que les travaux réalisés soient satisfaisants. On parle ici de prendre le coup de main.
La première étape consiste à préparer la peinture. Étant donné qu’elle va être pulvérisée, sa texture doit être plus liquide que celle qu’on applique avec un rouleau ou un pinceau. En effet, la dilution dépendra du type de pistolet, de la taille de la buse et de la peinture elle-même. Une peinture acrylique ne se dilue pas de la même façon qu’une peinture glycéro par exemple. Une fois préparée, la peinture est intégrée au pistolet.
Comme c’est le cas pour tous travaux de peinture, il est essentiel que le support soit bien propre, lisse et sec pour que les produits puissent bien adhérer dessus et durer dans le temps. La zone et les objets qui se trouvent autour du chantier doivent être protégés avec une bâche de protection que l’on fixe à l’aide d’un adhésif (sol, mobiliers, …).
Avant d’appliquer la peinture, il faut faire un petit essai sur un carton ou un autre objet pour savoir si l’orientation de la buse et le débit de pulvérisation sont adéquats ou non. Ensuite, il faut se placer entre 20 et 25 cm de la paroi du support et commencer à peindre. L’opération doit se faire de haut en bas en réalisant des S verticaux, puis de gauche à droite en réalisant des S horizontaux ; les couches doivent se superposer entre elles. Si la surface à peindre est très importante, l’idéal est de travailler par portion de 1 m2 à chaque fois et il faut que chacune soit bien recouverte de peinture avant de passer à la suivante.
Une fois la peinture appliquée, ou entre deux couches, il va vous falloir nettoyer le système de votre pistolet à peinture. Juste après son usage, le pistolet doit être entièrement nettoyé. Il faut le démonter et nettoyer chacun de ses composants avec de l’eau, du white-spirit ou autre substance permettant d’effacer la peinture utilisée. La même substance (de l’huile de vaseline dans le cas d’un pistolet électrique) est, par la suite, versée dans le pistolet et pulvérisée sur un carton pour nettoyer le conduit de cheminement de la peinture jusqu’à la buse.
Posséder une façade magnifique est l’envie de tous les propriétaires. Cependant, le choix du matériel à utiliser pour réussir cette peinture peut s’avérer difficile. Les professionnels et les amateurs se posent la même question : faut-il préférer un pistolet à peinture ou un rouleau classique ?
Le pistolet à peinture est l’outil idéal si vous recherchez un travail rapide et précis. Avec ce dispositif, vous pouvez appliquer de grandes quantités de peinture en très peu de temps. De plus, grâce à sa proéminence, il est capable de couvrir une large surface. Ce dispositif offre ainsi plus d’options que le rouleau classique et permet d’obtenir une finition uniforme et nette.
La principale contrainte que présente un pistolet à peinture est qu’il nécessite un entretien minutieux et régulier. En effet, étant donné que le système est exposé à un grand nombre de produits chimiques, il doit être nettoyé régulièrement pour éviter tout type de dysfonctionnement. De plus, le pistolet à peinture peut souffrir des retards dans le processus de pulvérisation, ce qui peut ralentir le travail.
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