Il est difficile de ne pas réprimer un sourire quand on apprend l’existence d’un musée des choses à Berlin. Que peut-on bien trouver dans un musée dédié spécifiquement aux objets ? Des chaises et des Tupperware ? Véritable voyage dans le temps au travers d’objets usuels qui constituent notre environnement, le musée des choses de Berlin nous permet d’appréhender la « culture du quotidien » propre à chaque époque.
De designers connus ou inconnus du grand public, les objets sont présentés thématiquement par période historique, couleur, marque ou fonctionnalité. Le concept s’inspire du Werkbund, un mouvement créé en 1907 par un groupe d’artistes, d’industriels et de politiques dont le but était de contrecarrer l’aliénation de l’homme moderne à travers une réflexion sur l’architecture et notre environnement ainsi qu’une volonté de réformer le design des produits industriels.
Et si on entre dans le musée dubitatif, on en ressort difficilement indifférent car au fil de la visite on retrouve des objets dont on avait oublié l’existence, des souvenirs reviennent : de vieux ustensiles de cuisine utilisés par nos grands-mères, des jouets en bois (qui deviendront ensuite des figurines de personnages télé), des broderies (un coussin à l’effigie d’Hitler avec des fleurs)… Il y a tant de choses que l’on ne sait plus où jeter de l’œil, et le temps passe sans qu’on ne le réalise. Un musée captivant et ludique qui mérite d’être découvert.
Ce musée atypique se situe au Oranienstraße, 25. Le tarif du billet d’entrée est de 6,00€ pour les adultes. Pour les moins de 18 ans, c’est 4,00€.
Quand on prononce le mot « Tupperware » on pense de suite, boites et rangement :)) Alors que Tupperware de maintenant c’est plus que ça ! C’est des accessoires inédits, pratiques et qui nous font gagner du temps ! Dernièrement, j’ai été invitée chez Tupperware en tant qu’ambassadrices avec d’autres blogueuses pour un atelier cuisine à la découverte de quelques uns de leurs produits dont le Turbo Tup qui en 15 secondes, il fait le travail de 288 coups de couteau ! Et et puis il y avait le Speedy Chef. Il est écologique et plus rapide qu’un batteur électrique !
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Si vous voulez gagner le Speedy Chef pour préparer des petites gourmandises, il suffit de me laisser un commentaire en bas de ce billet et de me raconter votre expérience ou celle de votre maman avec « Tupperware ».
La crème anglaise : Dans le Pichet MicroCook ou un bol adapté au micro-ondes, fouettez avec le fouet souple le lait, la Maïzena et la pulpe de gousse de vanille que vous avez coupé en deux et gratté. Laissez reposer 2 min pour que la Maïzena gonfle. Fouettez et chauffez couvert, 6 min à 600 watts en mélangeant à mi-cuisson. Dans le Speedy Chef ou bien un bol avec un fouet, fouettez vivement les jaunes d’oeufs avec le sucre. Le mélange doit blanchir et doubler de volume. Versez directement ce mélange sur le lait très chaud tout en mélangeant. Si votre crème n’est pas assez épaissen refaites-la chauffer 1 ou 2 min à 600 watts.
Blanc en neige : Mettez vos blancs d’oeufs dans le Speedy Chef ou bien un bol avec un fouet. Montez-les en neige bien ferme et finissez avec le sucre. Versez les blancs d’oeufs dans le Pichet MicroCook ou bien un moule en silicone, lissez bien le dessus avec une spatule et faites cuire 1 min à 600 watts. Démoulez sur un papier absorbant et reservez. Servez bien froid la crème anglaise surmontée des blancs cuits. Vous pouvez garnir votre Ile flottante selon vos envie (pépites de chocolat, amandes effilées ou bien des pop-corn caramélisés comme les miens.
Dimanche soir, sur Arte, j’ai vu un remarquable documentaire sur Brownie Wise. Cette femme extraordinaire, simple secrétaire à l’origine, a révolutionné le marketing dans les années 50. C’est elle qui a inventé purement et simplement le principe des ventes à domicile, l’idée de rendre un produit exclusif à ce canal de distribution. Le marketing du rare et du buzz avant l’invention de l’Internet et du PC…
Brownie Wise rencontre au début des années 50, Monsieur Tupper, lui explique que ses petites boîtes sont géniales, qu’elle se fait fort de ne les vendre que par bouche-à-oreille, via des réunions de femmes et qu’il doit abandonner la distribution classique. Tupper dit banco et crée une société de commercialisation rien que pour elle en Floride.
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Brownie Wise libère les femmes, en fait des femmes d’affaires, des ambassadrices de la marque. L’aventure est fantastique ! Le siège en Floride est un Tupperwareland et les séminaires réunissant les vendeuses sont grandioses. Brownie Wise et Tupperware ne font qu’un, elle est sa voix, son étendard. Mais Tupper est toujours le boss et l’unique actionnaire. Les propositions de rachat affluent.
Comment alors vendre une boîte dont le business et l’âme repose sur une personne ? Les relations entre Tupper et Wise se dégradent. Tupper demande des comptes sur la filiale de Floride et n’apprécie plus le succès de Brownie. Brownie n’est qu’une simple salariée et n’a pas de contrat. Tupper n’a pas besoin d’un CPE et débarque Brownie du jour au lendemain en lui faisant un chèque ridicule.
Brownie Wise tente de relancer une autre affaire de cosmétiques selon le même concept de vente et essaie de débaucher les ambassadrices Tupperware. Tupper se révèle alors homme de communication de crise. Au cours du premier séminaire sans Brownie Wise il prend les devants. Il fait distribuer à toutes les ambassadrices les pubs de la nouvelle société de Brownie et leur explique qu’il comprend, qu’elle sont libres et qu’elles peuvent partir. Pas une ambassadrice ne quitte la salle.
Ce jour-là, la marque Tupperware est plus forte que Brownie Wise. Tupper vendra son affaire 150 000 000 de dollars et achètera une île au large de Cuba. Il est mort au début des années 80. Brownie Wise fermera son affaire de cosmétique au bout d’un an et disparaîtra. Cette histoire pourrait faire un très bon film, ambiance american way of life des années 50.
Le vin détient le pouvoir singulier de traverser le temps, de raconter des histoires et d’éveiller les sens. Pourtant, une fois la bouteille ouverte, ce trésor peut rapidement perdre de sa splendeur si on ne le traite pas avec le soin qu’il mérite. En 2025, une panoplie d’accessoires innovants et traditionnels se dévoile pour accompagner chaque amateur dans la préservation optimale de ses crus. Du tire-bouchon classique aux systèmes sophistiqués de conservation, chaque outil joue un rôle-clé pour restituer la magie du vin à chaque dégustation.
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Ouvrir une bouteille est souvent le prélude d’une expérience sensorielle unique. Le tire-bouchon, fidèle allié des œnophiles, se décline en plusieurs modèles adaptés à tous les styles de bouchons et amateurs de vin. Notamment, le tire-bouchon sommelier et le tire-bouchon bilame séduisent par leur maniabilité et efficacité, avec une préférence marquée pour les marques telles que Laguiole, reconnue pour son design traditionnel et sa robustesse. Plus surprenant, le Coravin bouleverse les règles en offrant la possibilité de servir un verre sans déboucher la bouteille, grâce à un système à aiguille et une injection d’argon qui préserve le reste du nectar intact.
Pour ceux qui aiment conjuguer tradition et modernité, ces accessoires se retrouvent parmi les articles phares sur tirebouchons.fr, une véritable caverne d’Ali Baba pour amateurs avertis.
Avant de porter le verre à ses lèvres, il est primordial d’offrir à son vin une oxygénation adaptée. L’aérateur de vin est devenu l’accessoire incontournable pour magnifier rapidement les arômes, surtout quand le temps manque. Offrant un souffle de vie instantané, il complète élégamment la carafe à décanter, qui, elle, excelle dans les vins rouges nécessitant patience et finesse.
Ces accessoires embellissent la dégustation tout en rendant hommage à l’art de servir, retrouvables sur des boutiques spécialisées telles que atelierduvin.com ou accessoires-vin.fr.
L’adversaire n° 1 du vin après ouverture est sans conteste l’oxygène. Lorsqu’une bouteille est débouchée, son contact avec l’air entraîne l’oxydation, qui altère rapidement les saveurs. Pour contrer ce fléau, plusieurs solutions efficaces existent.
Ces indispensables se trouvent aisément sur des plateformes dignes de confiance comme vacuvin.com ou atelierduvin.com, pour des conservation au top du top.
Une conservation optimale ne s’arrête pas aux accessoires, elle s’étend aussi aux conditions de stockage. Un vin débouché gagne à être entreposé à une température stable autour de 10-12°C, à l’abri de la lumière et en position verticale pour limiter la surface d’oxygène au contact du liquide. Une cave climatisée sera l’idéal, mais un réfrigérateur familial bien géré peut faire le job, même pour les rouges.
Quelques astuces simples prolongent la vie de votre vin :
Pour les vins abîmés, une seconde vie en cuisine ou en vinaigre maison.
Les caves et accessoires de qualité sont mis en avant sur des sites comme cavexpert.com ou encore lacasserolerie.com, gages de sérieux pour amateurs passionnés.
Le vin ne se déguste pas à la légère. Choisir le bon verre et maîtriser la température est tout aussi crucial que le choix du bouchon.
Pour produire moins de déchets au quotidien, on peut investir dans une lunch box, un mug isotherme, une boîte de rangement alimentaire, ou d’autres produits remplaçant avantageusement les gobelets et emballages destinés à la poubelle. Voici les meilleurs modèles, lauréats des comparatifs rigoureux que nous avons menés.
Il y a bien des raisons d’opter pour une lunch box : l’envie de manger plus équilibré, de contrôler son budget ou de faire un petit geste pour la planète. Mais l’offre est si pléthorique que le choix est délicat. Nous avons testé une trentaine de modèles en profondeur : étanchéité, préservation du froid ou du chaud, résistance aux chocs, aux colorations, au passage au micro-ondes, etc. La Pure Box Active de Luminarc nous a particulièrement séduit. Cette lunch box fabriquée en verre dans une usine française est bien conçue et peu coûteuse.
Traitée avec précaution, une gourde peut durer de longues années et éviter la consommation de centaines de gobelets ou de bouteilles en plastique. Nous avons testé 25 modèles auxquels nous avons fait subir une batterie de tests poussés, et nous recommandons la Eco bouteille + de Tupperware pour sa légèreté, sa robustesse, et son bilan carbone raisonnable.
Les mugs permettent de transporter votre thé bien au chaud, de commander un café latte sans avoir recours à un gobelet, ou de maintenir de l’eau au frais. Nous avons testé l’étanchéité et le maintien de la température de 15 modèles différents. C’est un modèle de Zojirushi qui nous paraît le plus recommandable, mais comme beaucoup de mugs, il est fabriqué en métal. Son bilan carbone est donc lourd : il faudra l’utiliser pendant des années pour que son impact écologique devienne positif.
Le sucre, la farine, les pâtes, les lentilles, les noix peuvent s’acheter en vrac dans certaines épiceries ou sur les marchés. Ils gagnent à être stockés dans des contenants empilables en plastique durable, hermétiques, qui favorisent la conservation. Nous avons testé des modèles des marques Oxo, Cambro, Oggi et autres, mais ce sont ceux de Rubbermaid qui nous paraissent les meilleurs.
Adoptée depuis des lustres par les sportifs et les promeneurs, la gourde envahit les espaces de travail, remplaçant les bouteilles et gobelets en plastique jetables. Nous avons passé en revue des dizaines de modèles pour retenir au final 25 gourdes, que nous nous sommes procurées, et auxquelles nous avons fait subir une batterie de tests poussés.
Nous recommandons surtout la Decathlon Quechua MH500 (80 cl) pour ses qualités isolantes et son prix très raisonnable ainsi que la Tupperware Eco bouteille +/ Eco Sport + (75 cl) pour sa légèreté et sa robustesse. Mais nous avons également apprécié quatre autres gourdes qui proposent une alternative intéressante. Nous vous les présentons en détail, afin de vous permettre de choisir en fonction de vos besoins et goûts personnels.
Commercialisée depuis de nombreuses années, l’Eco Bouteille + n’a varié ni dans son design, ni dans ses caractéristiques. Tant mieux car le produit est particulièrement bien pensé. Sa forme autorise une prise en main aisée et le bouchon, qu’il soit à vis ou à clapet, assure une bonne étanchéité, comme nos tests nous l’ont confirmé. C’est d’autant plus remarquable que cette bouteille ne dispose d’aucun joint.
Nous craignions qu’avec le temps, cette étanchéité puisse s’altérer à mesure qu’on manipule le pas de vis ou l’ouverture rapide. Mais l’un des utilisateurs que nous avons rencontrés durant notre enquête nous a indiqué utiliser la sienne depuis quatre ans sans avoir jamais connu le moindre problème de fuite. Tupperware semble d’ailleurs tout aussi confiant, puisque ses bouteilles sont garanties 10 ans.
Lorsqu’il s’agit de conserver les liquides froids, la Quechua MH500 (80 cl) est la meilleure parmi les 11 gourdes isothermes testées. Elle se révèle quasiment aussi efficace pour la préservation des boissons chaudes. Sur ce point, seules les SIGG Hot & Cold (550 ml) et HoneyHolly (500 ml) font légèrement mieux. Des performances qui s’expliquent notamment par sa conception : une double paroi métallique avec vide d’air, et l’ajout d’une fine couche de cuivre à l’intérieur de sa double paroi, limitant le transfert de chaleur par radiation.
La Quechua MH500 est dotée d’un bouchon manipulable d’une main qui peut être verrouillé pour éviter tout risque d’ouverture durant le transport. Le bouchon comprend en outre un filtre qui retient les feuilles de thé ou de menthe, les fruits ou autres aliments à infuser.
| Marque et Modèle | Matériau | Contenance | Caractéristiques |
|---|---|---|---|
| Decathlon Quechua MH500 | Inox | 80 cl | Excellente isolation, prix raisonnable |
| Tupperware Eco bouteille +/ Eco Sport + | Plastique | 75 cl | Légèreté, robustesse |
| Gobi Original | Plastique (Tritan) | 460 ml | Compacte, personnalisable |
| HydraPak bouteille Recon | Plastique recyclé (Tritan Renew) | 1 000 ml | Bouchon "smooth flow" |
| Hydro Flask Wide Mouth | Inox | 946 ml | Large ouverture pour liquides visqueux |
| Zeste - Gourde inox | Inox | 500 ml | Fabriquée en France, compacte |
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