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Les tirs au but sont souvent le point culminant dramatique d'un match de football, un moment où la chance et la pression se rencontrent. Mais l'histoire des tirs au but est parsemée de moments controversés et de décisions arbitraires qui ont marqué les esprits.

Les Controverses Historiques des Tirs au But

De nombreux exemples illustrent les erreurs d'arbitrage et les situations insolites qui ont émaillé les séances de tirs au but :

  • Youth League 2015-2016 : Le tir d'Alberto Gil, joueur de Valence, est injustement refusé face à Chelsea alors que le ballon avait rebondi sur l'équerre intérieure du but.
  • Finale de la Coupe d’Afrique des nations 2000 : Le but de Victor Ikpeba pour le Nigeria est invalidé malgré le fait que le ballon ait franchi la ligne.
  • OM-Lens, Coupe de la Ligue, 1999 : Éric Roy voit son tir au but, qui rebondit derrière la ligne, refusé par l'arbitre.

Ces incidents soulignent la complexité de l'application des règles et l'impact des décisions arbitrales sur le résultat des matchs.

Quand les Gardiens Dépassent les Limites

Le laxisme entourant la position du gardien de but sur les penaltys a souvent été exploité :

  • Jerzy Dudek (Liverpool, 2005) : Ses bonds extravagants lors de la finale de la Ligue des champions ont déstabilisé les tireurs milanais.
  • Petr Čech (Euro Espoirs 2002) : Le jeune gardien tchèque avançait de plusieurs mètres sur chaque frappe adverse.

Les Tirs au But Insolites

Des situations cocasses et surprenantes se sont également produites :

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  • New York City FC vs Orlando (2020) : Le gardien d'Orlando est exclu pour avoir quitté sa ligne trop tôt, et c'est un défenseur qui arrête le tir au but suivant.
  • Termano (2011) : Un gardien célèbre trop tôt, et le ballon, après avoir heurté la barre, finit par rentrer après plusieurs rebonds.
  • FAR de Rabat (2010) : Un gardien marocain voit le ballon, après une parade, reprendre la direction du but.
  • Kings World Cup (2024) : Un tir dévié par le gardien rebondit contre le plafond, mais est validé.

Le Derby de Madrid: Une Rivalité Historique

Le derby de Madrid, opposant le Real Madrid à l'Atlético de Madrid, est bien plus qu'un simple match de football. C'est une rivalité ancrée dans l'histoire et les divisions socio-économiques de la ville.

Origines du Derby

Le Real Madrid, fondé en 1902, est rapidement devenu le club de l'aristocratie madrilène. L'Atlético de Madrid, créé un an plus tard, s'est présenté comme le symbole de la classe ouvrière.

Depuis leur premier face-à-face en 1906, les deux clubs représentent des valeurs et des identités différentes. Chaque match est une lutte pour la fierté et la domination de la ville.

Choc des Styles: Attaque contre Défense

Le Real Madrid est traditionnellement associé à un style de jeu offensif et spectaculaire, attirant des superstars mondiales. L'Atlético de Madrid, quant à lui, privilégie une approche plus conservatrice et défensive.

Ce contraste de styles ajoute une dimension tactique captivante à leurs rencontres, où chaque équipe tente d'imposer sa vision du jeu.

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Matchs Mémorables

Le derby de Madrid a donné lieu à des matchs qui ont marqué l'histoire du football :

  • Finale de la Ligue des champions 2014 : Le Real Madrid remporte une victoire écrasante (4-1) après prolongation face à un Atlético Madrid résistant.
  • Quarts de finale de la Ligue des champions : L'Atlético de Madrid prend sa revanche en éliminant le Real Madrid aux tirs au but.

Importance Récemment

Avec le Real Madrid et l'Atlético de Madrid au sommet des compétitions nationales et européennes, le derby a acquis une importance mondiale. Le résultat de ces rencontres peut influencer la course au titre en Liga et avoir des répercussions sur les compétitions européennes.

L'attrait mondial du derby se reflète dans la couverture médiatique massive et l'engouement des fans du monde entier.

Real Madrid - Atlético de Madrid: Un Duel Épique en Ligue des Champions

Encore une fois, l’Atlético a cru tenir son exploit, mais le Real, porté par sa réussite légendaire, l’a crucifié aux tirs au but et file en quarts.

Il y a des scénarios qui se répètent inlassablement, comme une fatalité inscrite dans l’ADN du football européen. L’Atlético de Madrid a livré une bataille dantesque, il a dominé, il a cru tenir son exploit. Mais à la fin, c’est toujours le Real qui triomphe. Après s’être incliné à l’aller (2-1), les hommes de Diego Simeone ont su inverser la tendance avec un but dès la 29ᵉ seconde de jeu signé Connor Gallagher. Une entame rêvée, une intensité folle et un Real Madrid totalement dépassé. Mais quand il s’agit de survivre, la Casa Blanca a ce supplément d’âme, cette once de magie - ou de chance, selon les perspectives - qui lui permet toujours de s’en sortir. Et comme souvent, l’Atlético a fini par maudire son destin.

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Au bout d'un match fermé, le Real Madrid s'est qualifié pour les quarts de finale de la Ligue des champions en éliminant l'Atlético de Madrid aux tirs au but, ce mercredi soir. Mais que cela fut dur pour le club merengue, qui reste sur quatre demi-finales d'affilée en C1. Vainqueurs lors de l'aller (2-1), les hommes de Carlo Ancelotti ont vu leur petite avance (et leur plan de jeu) fondre en l'espace de... 28 secondes, le temps pour le pitbull Connor Gallagher d'initier une action et de la conclure, bien trouvé par un centre de Rodrigo De Paul.Dans une chaude ambiance, les Colchoneros n'ont jamais pu creuser l'écart, l'intenable Alvarez échouant sur Courtois (25e, 47e) ou dans son petit filet (39e). Piégé par la densité de l'Atlético dans l'axe, le Real Madrid n'a rien montré, dans l'intensité ou l'utilisation de sa large possession (62 % en première période). Mais sa défense a tenu le choc jusqu'au bout, Courtois repoussant un tir lointain de Simeone (71e) et Rüdiger s'imposant sur un centre de Correa (92e).Pour son 75e match de Ligue des champions à la tête du Real, un record, Carlo Ancelotti a longtemps subi la loi de Diego Simeone. Mais l'Italien, qui sera privé d'Aurélien Tchouaméni en quarts face à Arsenal pour cause de suspension, est sorti vainqueur de ce duel très tactique lors de la séance de tirs au but fatidique. Tout a basculé quand Julian Alvarez, deuxième tireur de l'Atlético, a réussi son tir mais que le VAR l'a annulé pour un double contact. Llorente (Atlético) et Vazquez (Real Madrid) se sont ensuite ratés avant que Rüdiger ne décroche la qualification pour les tenants du titre.

Lancé par Jude Bellingham, Kylian Mbappé a obtenu un penalty sur un joli enchaînement et une erreur de Clément Lenglet, qui l'a fait tomber. Jamais en réussite face à l'Atlético, Vinicius s'est alors présenté face à Jan Oblak et a expédié son tir très largement au-dessus de la cage colchonera (69e). Ce gros raté, le premier du Real dans un derby depuis celui de Luis Figo face à Burgos il y a 22 ans, a obligé son équipe à disputer la prolongation puis les tirs au but...

Statistiques des Confrontations

Voici un tableau récapitulatif des statistiques des confrontations entre le Real Madrid et l'Atletico Madrid (ces chiffres sont fournis à titre d'exemple et peuvent ne pas être exacts) :

Compétition Real Madrid Nul Atlético Madrid
Liga [Nombre de victoires] [Nombre de nuls] [Nombre de victoires]
Copa del Rey [Nombre de victoires] [Nombre de nuls] [Nombre de victoires]
Ligue des Champions [Nombre de victoires] [Nombre de nuls] [Nombre de victoires]
Autres Compétitions [Nombre de victoires] [Nombre de nuls] [Nombre de victoires]

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