Le football est sans aucun doute l'un des sports les plus populaires et passionnants à travers le monde. Ce jeu captivant oppose deux équipes composées de onze joueurs chacune, tous animés par la volonté de marquer des buts dans le camp adverse. Au-delà d'être un simple sport, le football suscite une véritable ferveur auprès des fans, qui vibrent au rythme des compétitions nationales et internationales.
Les tirs au but sont un moment crucial dans le football, souvent synonyme de tension extrême et de grandes émotions. C'est une épreuve où la pression est à son comble, et où les joueurs doivent faire preuve de sang-froid pour transformer leur tentative en but.
Dépité, Alvaro Morata a laissé entendre qu’il songeait à prendre sa retraite internationale après avoir raté son tir au but en finale de la Ligue des nations remportée par le Portugal face à l’Espagne. Le capitaine espagnol a manqué son tir au but contre le Portugal en finale de la Ligue des nations, dimanche 8 juin, scellant la défaite de l’Espagne (2-2, 5-3 après tirs au but). « Je suis désolé pour mes coéquipiers, mais ça fait partie de la vie. Je remercie le sélectionneur pour ses mots. Le penalty ? Je l’ai mal tiré, j’aurais pu faire mieux, mais je ne peux plus rien y faire. Je pars énervé. J’avais envie de pleurer, même si je n’ai pas pleuré.
Djogo Costa a stoppé le tir au but d’Alvaro Morata. Luis De La Fuente, sélectionneur de l’Espagne, avait défendu son jour prêté à Galatasaray cette saison. « Tous les tireurs étaient d’un excellent niveau, et si Morata a commis une erreur, c’est parce qu’il l’a osée », a-t-il déclaré avant de souligner : « Morata est un champion et un modèle pour nous.
L'Espagne a fini par avoir le dernier mot. Ce dimanche soir, la Roja a battu les Pays-Bas, au terme d'un match complètement fou et de la séance de tirs au but (3-3, 5-4 tab), lors des quarts de finale retour de la Ligue des nations. A l'Estadio de Mestalla de Valence, les Espagnols ont mené trois fois, grâce à un doublé de Mikel Oyarzabal (8e sp, 67e) et un but de Lamine Yamal (103e), mais les Néerlandais sont toujours revenus, par l'intermédiaire de Memphis Depay (54e sp), Ian Maatsen (79e) et Xavi Simons (109e, sp). Finalement, Pedri a délivré les siens, en marquant le dernier tir au but. Les champions d'Europe, tenants du titre de cette Ligue des nations, ont rendez-vous cet été pour le Final 4 qui aura lieu en Allemagne. En demi-finales, l'Espagne affrontera la France, tombeuse de la Croatie.
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Ce n'était que le onzième Espagne - Pays-Bas de l'histoire, mais il restera, très certainement, parmi les plus marquants. Déjà au coude-à-coude au match aller, les deux sélections n'ont cessé de se rendre coup pour coup, dans une rencontre qui a rarement baissé en intensité.
Mikel Oyarzabal a été le premier à s'illustrer, en inscrivant son premier doublé en sélection. D'abord sur penalty, de l'intérieur du pied gauche (8e, 1-0), puis en faisant preuve de sang-froid en reprenant victorieusement, de la tête, une première tentative repoussée par Bart Verbruggen (67e, 2-1). L'attaquant de la Real Sociedad a même été tout proche du triplé, mais son nouveau but avait été refusé pour un hors-jeu (11e).
Les ailiers espagnols n'ont pas été en reste. Si Nico Williams, qui s'est pourtant, encore une fois, bien démené (13e, 61e, 90e+1), n'a finalement pas marqué, Lamine Yamal, plus discret (60e), a su, quant à lui, se montrer décisif, en prolongation, d'une frappe enroulée du gauche après un crochet (103e, 3-2). Robin Le Normand, de son côté, s'est également montré (14e), sans parvenir à participer à la fête. Le défenseur a surtout fait parler de lui lorsqu'il a concédé le penalty transformé ensuite par Memphis Depay, qui a remis une première fois les deux équipes à égalité (54e, 1-1).
Depay, à nouveau dangereux dans la foulée (57e), a vu d'autres partenaires se mettre également en évidence, comme Lutsharel Geertruida (35e), Justin Kluivert (48e) ou bien encore Tijjani Reijnders (74e, 87e). Ian Maatsen, pour sa première sélection, a su profiter d'une erreur de relance adverse, pour ouvrir, déjà, son compteur buts avec les Pays-Bas (79e, 2-2) et, surtout, envoyer les siens en prolongation. Quant à la séance de tirs, c'est Xavi Simons qui a su l'arracher, en inscrivant un second penalty accordé par Clément Turpin (109e, 3-3).
Les deux équipes ne se sont donc pas lâchées, comme ce fut également le cas lors de la séance de tirs au but. Les deux gardiens ont brillé, se faisant prendre rarement à contre-pied et touchant souvent les ballons. Noa Lang a été le premier à craquer, en trouvant la barre, tandis que Yamal, pourtant auteur d'un magnifique but, n'a pas su confirmer. Quant à Donyell Malen, qui avait eu une énorme occasion juste avant (120e), il a, lui aussi, craqué. Pedri, de son côté, a pris ses responsabilités et fait exploser de bonheur tout un stade. L'Espagne, invaincue depuis plus d'un an, enchaîne un 18e match sans défaite.
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La Roja a mené trois fois au score, ce dimanche à Valence, mais elle a eu besoin de la séance de tirs au but pour venir à bout des Pays-Bas (3-3, 5-4 aux t.a.b.). Les Espagnols pourront donc défendre leur titre lors du Final Four début juin et seront opposés à la France en demi-finales. Malmené au match aller à Rotterdam, où il avait égalisé dans le temps additionnel, le vainqueur de l'édition 2023 de la Ligue des nations a eu besoin de la séance de tirs au but pour venir à bout des Pays-Bas, ce dimanche à Valence (3-3, 5-4 aux t.a.b.), après un match totalement fou. En demi-finales, les champions d'Europe affronteront les Bleus, qui ont également eu besoin des tirs au but pour éliminer la Croatie.
La Roja présentait un onze de départ remanié par rapport à jeudi, avec quatre changements dont deux contraints, Pau Cubarsi étant blessé et Alvaro Morata, souffrant, étant resté sur le banc. Mais l'absence du capitaine n'a pas vraiment été un problème puisque son suppléant, Mikel Oyarzabal, y est allé de son doublé. L'attaquant basque, qui avait marqué le but de la victoire en finale de l'Euro l'été dernier, a d'abord obtenu et transformé un penalty, après un léger contact de Van Hecke (6e) sur lequel Clément Turpin n'a pas hésité. Puis il a profité d'un immense travail de l'inarrêtable Nico Williams pour battre en deux temps un Bart Verbruggen qui a été de loin le meilleur Néerlandais sur le terrain (2-1, 67e).
Le gardien de Brighton avait notamment laissé son équipe dans le match grâce à deux parades de classe face à Williams (13e, 60e). Il a bien fait, car ses partenaires ont ensuite fait le travail pour revenir deux fois au score et arracher une prolongation. D'abord grâce à un penalty obtenu et transformé par Memphis Depay, légèrement accroché par Robin Le Normand (54e). Puis sur une frappe puissante de Ian Maatsen (79e), l'homme qui a été rappelé en urgence il y a deux jours après l'expulsion à l'aller de Jorrel Hato et le forfait de Timber, souffrant. Le latéral avait été bien servi par Xavi Simons, qui venait à peine d'entrer en jeu.
Dans la prolongation, les Oranges n'ont d'abord pas existé, et ils ont dû s'incliner face au talent de Lamine Yamal. Transparent pendant la première heure avant de monter en puissance, le prodige a inscrit un but magnifique, sur un long ballon de Dean Huijsen. Un contrôle sublime, un crochet derrière la jambe d'appui et une frappe enroulée du gauche, Verbruggen ne pouvait rien (3-2, 103e). Et puis l'Espagne s'est à nouveau oubliée et a concédé un second penalty, pour une faute de Simon sur Simons. L'ex du PSG transformait et envoyait tout le monde vers une séance de tirs au but. Lang y envoyait sa tentative sur la barre, Yamal dans les gants de Verbruggen. Simon y allait ensuite de son arrêt devant Malen, avant que Pedri n'envoie la Roja en Allemagne.
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Au-delà d'être un simple sport, le football symbolise l'esprit d'équipe, la camaraderie et la passion partagée entre les joueurs et les supporters. Chaque rencontre est une véritable bataille sur le terrain, où les talents individuels se mêlent aux tactiques élaborées par les entraîneurs.
De la défense solide des arrières à l'audace des attaquants, chaque position dans une équipe de football joue un rôle crucial dans la quête de la victoire. Les joueurs rivalisent d'adresse, de rapidité et de créativité pour surprendre leurs adversaires, tandis que les gardiens de but défendent farouchement leur cage.
En somme, le football est bien plus qu'un simple jeu. C'est une véritable source d'inspiration, un moyen de célébrer l'unité, l'effort collectif et le dépassement de soi. Que vous soyez un joueur passionné, un fervent supporter ou un amateur occasionnel, le football vous offre une expérience unique où l'esprit compétitif et la magie du sport se rencontrent.
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