L'armoire à fusils est une solution idéale pour ranger et sécuriser vos armes. Voici les détails d'une armoire à fusils typique et les étapes pour fabriquer un râtelier sur mesure. De nombreux passionnés d'armes à feu et de collectionneurs cherchent des solutions pour ranger et exposer leurs fusils de manière sécurisée et esthétique. La fabrication de supports en bois est une option populaire, permettant de personnaliser l'aménagement tout en ajoutant une touche artisanale. Cet article vous guide à travers les différentes étapes de création de tels supports, en s'appuyant sur des exemples concrets et des conseils pratiques.
Votre armoire à fusils EHC/FT de chez Technomax a une structure en acier monobloc de 3 mm avec découpe laser et une porte de 5 mm d'épaisseur. Ses cinq pênes tournants anti-siage sont en acier nickelé de 22 mm d'épaisseur. Votre coffre est fini avec un tapis à la base ainsi que 4 trous de fixation au dos et à la base.
La serrure de sécurité à 6 gorges s'ouvre avec une clé à double panneton (2 clés fournies) qui reste prisonnière lorsque la serrure est ouverte. L'armoire dispose de protection au manganèse à l'endroit de la serrure, des pênes horizontaux et la partie haute verticale.
L'armoire à fusils est recouverte en bois teinté noyer.
Avant de commencer, faites un plan (généralement au brouillon) afin de calpiner au mieux vos pièces afin d'économiser sur le nombre d'achat de planches. Il faut faire en sorte de coter au maximum.
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Tracez sur les planches au crayon carbone les découpes. Pour la ressemblance des encoches, utilisez un patron afin d'avoir tout le temps la même forme.
Soyez précis et régulier, car le medium est tendre et peut partir facilement en sucette. En cas de petit loupé, il est possible de le rattraper facilement au ponçage. Pour la découpe des encoches, ne pas oublier de laisser un peu de matière entre elles, sinon les répliques ne tiendront pas longtemps.
Mesurez bien et placez les éléments. Pré-percez pour TOUTES les vis, sinon vous aurez à coup sûr un éclat. Utilisez une bonne visseuse avec des bons embouts afin de ne pas émousser les têtes de vis. Pensez bien à mettre le limiteur de couple sur la bonne graduation.
Il faut pré-percer sur toutes les planches de l'assemblage. Suivant le plan et le montage de ce râtelier, il faut impérativement commencer par monter la traverse centrale. Du fait de ses dimensions, nous n'avons aucune obligation de le placer au centre. Montez ensuite le fond. Ce fond est plus large (=60cm) contrairement à la traverse centrale (50cm). Montez maintenant le chapeau, ainsi que les supports pour accrocher au mur, toujours le même profilé de même dimensions (60*10 cm). Le premier sera pour moi fixer en bas du râtelier, le second derrière la traverse centrale, afin de bien consolider la structure. (Ceci est la modification notée sur le plan par une flèche rouge.)
Il faut fixer cela au mur. Avant cela, percez les trous pour la mise en place des tirefonds (diam 6mm) et adaptez les percements sur le mur suivant vos cotes. Une fois cela effectué, n'oubliez pas de mettre les chevilles adaptées à votre mur toujours en 6mm. Accrochez et vissez à fond les tirefonds.
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Vous pouvez le peindre (attention le medium absorbe beaucoup de peinture!), ou le laisser brut. C'est assez sympa.
Et voilà un râtelier classement horizontal pour 6 à 7 répliques, et pour 20€ seulement!
Le porte-armes VEVOR assure la sécurité et l'élégance de vos armes. Il est doté d'un métal solide et d'un rembourrage doux pour bien maintenir les carabines et les fusils de chasse et garantir qu'ils restent en parfait état.
Une description de supports qui ont été réalisés en bois pour un Mosin Nagant de militarisation.
Pour les bases, une bûche de bois assez dur et très veiné à été utilisée et du bois de rosier pour les crochets.
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Les étapes de fabrication sont les suivantes:
Et enfin la récompense fusil en place, un Mosin Nagant de fabrication soviétique de 1941, démilitarisé.
Une fois le schéma de principe réalisé, c'est la recherche du bois adapté au projet qui prend du temps: un bois que l'on puisse "teinter/vernir", pas trop onéreux, pas trop dur à travailler, pas trop "lourd" pour que le râtelier puisse être facilement déplacé tout en étant "stable" bien entendu. L'épicéa a été choisi.
Le schéma est jeté à "main levée" sur une feuille de papier, sous l'impulsion d'une idée : quelque chose qui fasse un peu fin XIXème / début XXème au plus.
Ensuite, c'est le "calcul" des dimensions convenables au projet: un truc pas trop encombrant....ça passait par un "gabarit" pour se faire une meilleur idée du projet.
L'idée de prendre une C50....comme dimension de base, les cercles étant étalonnés,facile de "voir" ce que ça donnait. Il a été décidé de rester sur les 50 cm de la C50, pour garder un minimum "d'élégance", et que cela ne fasse pas trop "tassé".
Après, cela a été la "découpe" dans les panneaux de bois trouvés: du 60 x 120 cm. Pour la "colonne" centrale, un pied de table, et un pied de lit ont été utilisés pour la partie supérieure de la "colonne". Le sommet devait être garni d'une "boule" en laiton, comme celle que l'on trouve à l'extrémité de certaines barres à rideaux.
Il était souhaité un râtelier "mobile", donc il a été prévu de l'équiper de 3 "roulettes" sous la "base".
La fixation de la "boule" argentée a été résolue en utilisant le culot d'une douille de calibre 12: il a suffi de visser le culot sur l'extrémité du "mat central" (le "pied de lit", en l’occurrence) par le trou d'évent de l'amorce, puis de positionner la partie femelle de la "boule" dans la partie "mâle" ainsi crée, et de serre la petite vis latérale.
Il reste donc à attaquer le plus "dur", à savoir les finitions: vernissage, ponçage, vernissage, ponçage, vernissage, ponçage, et le "reste"...
Ce matin petit tour dans l'atelier garage pour voir si il y a assez de Chêne pour un nouveau projet : un râtelier pour ranger verticalement les 6 armes longues.
Un grand tiroir, façade en chêne et serrure encastré a été trouvé. Les 2 clefs ficelées dessus, suite à une bonne récup chez les voisins.
Il est prévu de sécuriser les armes avec un câble serti à chaque extrémité, passant dans les pontets ou leviers de sous-garde.
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