L’année 2024 restera gravée dans l’histoire du club de tir sportif du Haut-Jura. Le stand de tir situé quai Jobez, à Morez, a été sélectionné pour accueillir plusieurs équipes nationales dans le cadre de leur préparation aux Jeux Olympiques de Paris 2024.
Le club du Tir Sportif du Haut Jura a accueilli l’équipe de France para-tir pendant l’été. Les athlètes, dont Jean-Louis Michaud, Justine Bève, Pierre Guillaume Sage, Tanguy De La Forest, Kevin Liot, Cédric Fèvre-Chevalier, Gaëlle Edon et Didier Richard, ont profité des installations de Morez et des Marais. Ces champions ont ensuite participé aux Jeux Paralympiques de Châteauroux du 30 août au 5 septembre 2024.
« La moitié de l’équipe connaissait déjà les installations moréziennes, notamment grâce à Franck Badiou qui a travaillé de longues années au Centre national de ski nordique et de moyenne montagne à Prémanon et y réside toujours. L’hébergement était situé au pied de la Dôle, ce qui a créé une ambiance conviviale. Les jeunes du club étaient ravis de côtoyer ces champions.
En juillet, le club a aussi accueilli la carabinière portoricaine Yarimar Mercado Martinez et son entraîneuse Hannah Black, un événement qui a renforcé l’image du Haut-Jura comme pôle de référence dans le tir sportif.
Avec 90 adhérents, dont deux para-tireurs, Jean-Yves Masson et Cécile Cantilzoglou, le club continue de se développer. « Nous souhaitons également développer l’activité arbalète », précise Éric Barbe, preuve de l’ambition de diversifier les disciplines et d’élargir les opportunités pour les membres.
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Le samedi 9 novembre 2024, le club a organisé une compétition amicale Les 10 heures Franco-Suisses ouverte au public, un événement qui a permis de revivre ces moments forts de l’année. Pendant toute la journée, les spectateurs ont eu l’opportunité de voir les tireurs locaux en action, et de partager un instant de convivialité autour de ce sport.
2024 marque ainsi un tournant pour le club de tir sportif du Haut-Jura, avec des projets ambitieux pour l’avenir et un enthousiasme toujours aussi fort.
Ces compétitions ont lieu à la belle saison, à l’échelle locale, entre voisins, à l’échelle régionale ou interrégionale. La fête la plus connue est celle qui se tient à Strasbourg en 1576, pour célébrer le centenaire des Guerres de Bourgogne, mais ce n’est pas la seule : les concurrents alsaciens, rhénans, souabes et suisses se retrouvent au moins une fois par an dans les villes partenaires.
Crossbow and harquebus competitions were at their height in the 15th and 16th centuries, mainly in Germanic countries. These competitions took mainly place during the warm season, locally, in people’s neigbourhoods, and regionally or at a larger scale.
Schießen mit der Armbrust oder mit der Arkebuse (Hakenbüchse). Das war vor einem halbn Jahrtausend der richtige Sport für den rechten Mann. Und natürlich mußte er sich mit anderen messen. Das tat er besonders in den deutschsprachigen Ländern auf dem Schützenfest. Davon gab es wohl nie mehr als im XV. und im XVI. Jahrhundert.
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Warum? Da sind einmal die vielen Schützenvereine. Dann traf es sich gut, daß dieser Sport die Männer für die vielen kriegerischen Auseinandersetzungen unter den freien Reichsstädten und Fürsten fit machte. Die Wettkämpfe veranstaltete man immer in der warmen Jahreszeit. Es gab sie zwischen benachbarten Orten, auf lokaler, auf regionaler und auf überregionaler Ebene. Um die Wette geschossen haben Dutzende von Mannschaften und Hunderte von Teilnehmern. Wichtig waren aber auch die Zuschauer, die ihre Männer anspornten. Das waren nicht selten mehrere Tausend.
Das bekannteste Schützenfest dürfte das sein, das die Straßburger 1576 veranstaltet haben. Anlaß war das Gedenken an den Burgunderkrieg, der genau hundert Jahre vorher zu Ende gegangen war. Aber das war beileibe nicht das einzige. Die Konkurrenten aus dem Elsaß, aus den Ländern am Rhein, aus Schwaben und aus der Schweiz maßen ihr Können mindestens ein mal pro Jahr. Austragungsort war eine ihrer untereinander befreundeten Städte. Jeder Organisator, Stadt wie lokaler Fürst, bot alle seine Möglichkeiten auf, sein Fest noch schöner und noch größer zu machen als der Nachbar.
« L’arquebuse ne porte pas toujours ». En d’autres termes, il ne suffit pas de viser pour toucher la cible qu’on s’est assignée, il faut de l’expérience et de l’entraînement, ainsi que l’équipement idoine. Empruntée aux Adages et proverbes de Solon de Voge, un ami de Ronsard qui s’est arrêté quelque temps à Remiremont, vers 15701, cette métaphore s’applique tout particulièrement à l’Alsace de la Renaissance et se comprend aussi bien au sens propre qu’au sens figuré.
Comme on le sait, le patriotisme impérial qui se développe à partir de l’imprimerie et reste vif malgré les clivages confessionnels n’est pas étranger à la militarisation qui affecte le pays et aux nombreux plans de défense qui le fédèrent. En cas d’alerte, les « états » d’Alsace disposent de milliers d’hommes prêts à barrer la route aux envahisseurs welsches, pendant que leurs compatriotes se fortifient derrière les remparts de leurs villes2.
La tactique a été adoptée peu après 1515 : elle est restée à l’ordre du jour jusqu’à la veille de la Guerre de Trente Ans, mais elle n’a quasiment jamais servi, si ce n’est pour des manœuvres et, paradoxalement, lors de l’intervention lorraine contre les paysans insurgés en mai 1525.
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Ces questions prennent tout leur sens quand on s’intéresse à la genèse des sociétés d’arquebusiers et au succès des concours régionaux ou interrégionaux dont elles sont les protagonistes. Le tir de Strasbourg, célébré par le poème de Fischart (1546-1590) Das Glückhafft Schiff von Zürich (1576) n’est-il pas l’archétype de ces fêtes militaro-sportives indissociables de la Renaissance allemande ?
L’apparition d’armes à feu portatives est chose faite dans le deuxième quart du XVe siècle. Contrairement aux arcs, qui possèdent une cadence plus grande et se prêtent à un tir de saturation, ces armes peuvent être manipulées en visant directement la cible : le carreau d’arbalète ou la balle sont propulsés artificiellement et ne dévient guère de leur trajectoire horizontale. Leur emploi est bien adapté à la défense des places fortes, aux embuscades ou à la chasse.
En rase campagne, en bataille, leur manipulation exige une grande discipline : le chargement se décompose en plusieurs mouvements qui occasionnent des temps morts, à moins de mettre en place un système de roulement, un feu roulant4. Pour autant qu’on puisse le dire, les pays germaniques ont une avance considérable sur les autres nations. Leur excellence guerrière repose sur la combinaison de piquiers et d’arquebusiers.
Ces derniers forment près d’un tiers, ou plus, des effectifs des armées de métier. Ainsi, en 1514, les 494 lansquenets de passage à Dijon se répartissent entre 48 double-paye (doppelsöldner), joueurs d’épée ou hallebardiers expérimentés, 140 hacquebutiers et 306 soldats du rang5.
L’iconographie donne de très nombreux exemples de l’utilisation des armes à feu légères au combat, entre fantassins d’abord, mais aussi, et surtout, contre des cavaliers. L’arquebuse est méprisée par ceux-ci, comme l’était naguère l’arbalète6 ; les blessures qu’elle provoque sont pires que celles des pointes ou des lames, qui entament et déchirent « proprement » les chairs : elles les éclatent et les écrasent, dispersant les esquilles, en augmentant les risques de gangrène.
Le développement de milices bourgeoises ou seigneuriales suit des modalités analogues : les armes à feu sont toujours plus nombreuses, dans des proportions qui n’ont rien à envier aux combattants de métier : dans le premier tiers du XVIe siècle, au moment de la Guerre des Paysans, le ratio est le même7. Il évolue sur le plan qualitatif autant que du point de vue quantitatif, et se rapproche de la moitié, ou la dépasse à la fin de la Renaissance.
À cette date, la possession d’un équipement individuel est encouragée par les autorités, ce qui n’est pas vraiment nouveau, mais s’est fait par à-coups, du fait d’une certaine suspicion. En effet, l’arrivée d’un armement moderne, relativement bon marché9, semble avoir précédé les mesures d’encadrement réglementaires des seigneurs et des villes. À Strasbourg, dès 1461, on interdit de se servir d’arbalètes ou de handbüchsen à l’intérieur de la cité10.
La chasse, notamment au gibier à plumes, est proscrite dans un rayon d’une lieue, comme le rappellent plusieurs ordonnances à partir de 1484, ce qui suggère, incidemment, de fréquentes infractions à la règle11. Ceux qui dénoncent des activités s’inquiètent de leur danger éventuel, mais craignent encore plus les désordres qu’elles sont susceptibles de causer : à une date inconnue, sans doute peu avant 1504, les principaux représentants de l’Obrigkeit de Basse-Alsace, l’évêque, en tant que landgrave, l’unterlandvogt de Haguenau, les comtes de Hanau-Lichtenberg et de Bitche et les sires de Ribeaupierre s’entendent pour interdire la chasse dans leur juridiction de manière à mettre un terme aux « entreprises impertinentes commises par le commun peuple qui s’adonne à présent et continuellement, en délaissant son travail, à la chasse et à l’abattage du gibier ».
On retrouve des dispositions analogues au lendemain de la Guerre des Paysans. Que tirer de ces prescriptions ? Une première remarque, en creux, sur la liberté d’acheter et de posséder une arme : en général, c’est son mauvais usage qui est sanctionné, et non sa possession.
La répression qui suit le soulèvement de 1525 n’a pas d’effet durable dans ce domaine. Le droit de chasse varie selon les lieux, mais la défense contre les animaux nuisibles est licite. Deuxième constat : les arbalètes et les arquebuses sont souvent assimilées à des loisirs, la chasse, les exercices récréatifs. Leur valeur militaire en procède. La période qui nous intéresse voit l’abandon des premières en tant qu’armes de guerre et, corrélativement, leur maintien dans leur registre ludique.
Elles acquièrent peut-être même une dimension supplémentaire en perdant leur rôle originel. Ce sont des armes de luxe, qui restent chères et sont quelquefois des chefs d’œuvre artistiques ou techniques. Si elles disparaissent des arsenaux des villes et des châteaux14, elles restent très présentes dans des inventaires aristocratiques, comme si elles avaient gagné leurs lettres de noblesse15.
L’histoire des sociétés de tir a souvent été célébrée à l’échelle locale, à l’occasion d’une fête ou d’une manifestation, mais elle n’a pas donné lieu à des synthèses régionales. Dans les pays où la tradition s’est maintenue, en Suisse, en Allemagne, en Autriche, il existe des travaux de qualité inspirés par le patriotisme local, ce qui n’est guère le cas en Alsace, si ce n’est par allusion, dans des cas exceptionnels ou avec des ellipses16. Il en va de même dans l’espace bourguignon, où des encouragements princiers avaient contribué à leur naissance, à la fin du XIVe ou au début du XVe siècle.
À Metz, la compagnie d’arbalétriers reçoit ses statuts en 1399 : élection de deux maîtres, serment, cotisation, entraînement régulier le dimanche. Elle organise un concours de tir à l’oiseau le 1er mai, avec des invitations et un vin d’honneur17. À Strasbourg, le règlement des arbalétriers de 1405 renouvelé en 153418 spécifie le rôle de son comité directeur, les Siebner, sous le parrainage d’un des stettmeister de la cité (oberschützenherr) et la présidence d’un membre du Conseil des XV (obersiebnerherr), ce qui suffit à dire l’importance de la chose.
Adopté par ses membres, les « gemein schützen gesellen » dans le dernier tiers du XVe siècle, celui de Mulhouse19 est placé sous la protection de la Vierge et de saint Sébastien20, pour « promouvoir la paix et l’amitié de leur bonne compagnie » et ratifié par le bourgmestre et le conseil de la ville. Il s’articule autour de deux points : le tir proprement dit et l’organisation interne de la société. D’abord, pour éviter la fraude lors des épreuves, on prévoit que seul un juge qui ne fait pas partie des compétiteurs est habilité à marquer les points sur le tableau des résultats. Les tricheurs se voient confisquer leur arme.
Bien entendu, ces règles de courtoisie ont cours dans le local de la société de tir : les blasphèmes sont proscrits, les jurons taxés à hauteur de deux sous au profit de la paroisse Saint-étienne, les insultes personnelles frappées de six deniers d’amende. Les querelles sont soumises à l’arbitrage des responsables ou éventuellement portées devant les autorités de la ville. Si un membre ou un invité fait ses besoins hors des endroits indiqués pour cela (derrière de talus du schiessrain, ou à une certaine distance de la maison21), on lui enlève sa chaussure droite et on la place au milieu de la cible, à moins qu’il ne se rachète en offrant un pot (mass) de vin.
La sociabilité des schützengesellschaften mériterait de longs développements, mais elle est difficile à saisir à travers des archives qui mettent l’accent sur le contrôle administratif des autorités. Ces dernières s’efforcent de les encadrer dans la perspective militaire qui les intéresse. Les arbalétriers et les arquebusiers sont traités de la même manière - à Bâle, en 1466, les sociétés correspondantes reçoivent les mêmes statuts -, mais les premiers, qui se prévalent de leur antériorité, finissent par céder le pas aux seconds. Les incitations officielles dont bénéficient ceux-ci se font toujours plus fortes avec le temps.
Dans les villes les plus peuplées, ces compagnies d’arquebusiers sortent du cadre corporatif dans lequel se fait le service militaire. Les nombreuses montres d’armes strasbourgeoises des Guerres de Bourgogne23 permettent de connaître les « spécialités » des membres des différentes tribus : le décompte reste à faire, mais, selon toute vraisemblance, le panachage est la règle, les armes à feu cohabitant avec les piques, les épées, les hallebardes, et, bien entendu, les arbalètes.
On possède un relevé des 152 tireurs strasbourgeois regroupés sous l’étiquette « am hantbussen rein », à une date inconnue, mais sans doute proche de 150024 : y figurent 21 charpentiers, 15 maçons (dont 6 poêliers), 15 bateliers, 15 cordonniers, 7 tailleurs, 6 maréchaux, 10 pelletiers, 11 tonneliers, 7 tisserands, 4 tanneurs, 4 jardiniers, 8 charrons et 33 membres dont le scribe dit « je ne sais pas avec qui [c’est à dire dans quelle corporation] ils doivent faire leur service » : il y a parmi eux un cartier, Kasper Keiser, un fabricant de tamis, un cordier, deux potiers d’étain, un crieur de vin, un valet de la douane. À l’exception des maraîchers, ils relèvent presque tous des arts mécaniques.
La désignation schuessgesellen am hantbussen rein, - littéralement, « les compagnons tireurs du talus des arquebuses » -, leur attribue un terrain d’exercice schiessrain, bien précis. En effet, la pratique du tir nécessite des infrastructures adaptées, des lieux suffisamment vastes et sécurisés sans être distants.
Logiquement, pour éviter des dégâts collatéraux25, ces lieux sont établis extra muros, à l’instar de ce qui se passe à Metz où, en 1564, les arbalétriers disposent d’un terrain sur la grève de la Moselle, le long du rempart, avec « une maisonnette et un cellier à mettre vin joindant », que l’on définit également comme « place close de vive haye ». Renouvelé en 1605, le bail indique ses dimensions, 260 pieds de long sur 40 de large26. À Colmar, le site retenu se trouve à proximité du Pont de Pierre, à la sortie de la ville en direction de Bâle.
À Strasbourg, comme à Mulhouse, on distingue nettement ce qui concerne les arbalétriers et ce qui relève des armes à feu : les premiers sont établis au Zimmerhof, au-delà de la Porte des Juifs, vers le canal des faux remparts.
La présence de ces activités plus sportives que militaires mériterait une enquête exhaustive : quelles sont ses traces archéologiques - de la microtoponymie du type schützengaben ou rue du tir, au talutage des remblais, ou au mobilier afférent, balles ou carreaux perdus, etc. Les « clubhouses » ont-ils laissé une mémoire, faite d’objets emblématiques, de verres, de coupes ou de médailles ?
Enfin, il conviendrait de mieux connaître les modalités de l’entraînement et la « vie associative » qui leur est liée. La convivialité est-elle compatible avec les ingérences du pouvoir politique ? à Strasbourg, en 1530, les autorités prescrivent le diamètre des cibles (6 pieds), et définissent la taille des silhouettes de paille qui rappellent leur finalité ; elles prévoient des gratifications pour le ramassage des balles.
Le club sportif, qui brille par son équipement d'exception et ses médailles, invite à venir célébrer son anniversaire à Morbier le samedi 23 août, avec un challenge de tir ouvert. Au troisième étage du 10 quai Jobez, à Morez (Jura), l’équipe du club de tir sportif du Haut-Jura (TSHJ) est en pleins préparatifs : le samedi 23 août, il célèbre son 150e anniversaire, l’occasion d’une journée festive et d’un challenge ouvert.
« C’est pas rien, tout de même, 150 ans, pour un club », se félicite Éric Barbe, le président. 150 ans d’archives ! À l’époque, le pays sort de la guerre de 1871 contre les Prussiens. « On avait dû s’apercevoir qu’on ne tirait pas assez bien, et qu’il fallait mieux former les soldats », raconte M. Barbe. Un diplôme de 1891. L’industrie morézienne tournait bien, il y avait de l’argent », poursuit le président.
Le club reste longtemps proche de l’armée, qui apporte aussi un soutien matériel, comme l’attestent des factures du parc d’Artillerie de Besançon des années 1930. Si aujourd’hui encore, les policiers municipaux viennent s’y entraîner, le club s’est volontairement éloigné de ce côté martial, au profit de l’esprit sportif.
L’utilisation des armes y est progressive, très encadrée, et les nouveaux pratiquants observés de près. « Il faut être patient et respectueux du pas de tir. Ce n’est pas un sport à prendre à la légère, ce n’est pas la fête foraine. »
Côté sportif, justement, c’est un succès pour le club. Le club accède cette année à la 1e division. Il y a de plus en plus de demandes d’adhésions, plus que ce que ne peut en accepter la structure qui tourne uniquement grâce à ses bénévoles. Mais plus que son palmarès, c’est son rayonnement qui fait la fierté du club, notamment ses équipements. Cinq stands de tir au cœur de Morez.
Le club accueille toutes les compétitions régionales, ainsi que les équipes de France jeunes et para-tir qui viennent régulièrement s’entraîner. Pour les JO 2024, il a même fait office de camp de base : « L’équipe paralympique a passé l’été ici pour s’entraîner », confie Éric Barbe.
« Il y avait aussi une carabinière de la délégation de Porto Rico, qui était à Dijon mais qui cherchait un stand pour s’entraîner correctement. On l’a fait venir ici, on lui a trouvé un logement. » Le partage est au cœur du TSHJ, qui a aussi des partenariats avec des clubs suisse et allemand. « On a un outil fabuleux, alors on le met à disposition.
Mélody Bailly-Salins, Anne-Marie et Jean-Claude Foutier, Éric Barbe et Jean-Denis Bobillier préparent la fête.
Événement | Date | Lieu | Participants Notables |
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Préparation aux Jeux Olympiques de Paris | Été 2024 | Morez, Haut-Jura | Équipes nationales, Jean-Louis Michaud, Justine Bève, Yarimar Mercado Martinez |
Jeux Paralympiques de Châteauroux | 30 août - 5 septembre 2024 | Châteauroux | Jean-Louis Michaud, Justine Bève, Pierre Guillaume Sage, Tanguy De La Forest, Kevin Liot, Cédric Fèvre-Chevalier, Gaëlle Edon, Didier Richard |
Les 10 Heures Franco-Suisses | 9 novembre 2024 | Haut-Jura | Tireurs locaux, Public |
150ème Anniversaire du TSHJ | 23 août | Morbier | Mélody Bailly-Salins, Anne-Marie et Jean-Claude Foutier, Éric Barbe, Jean-Denis Bobillier |
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