Le ball-trap ou tir aux pigeons attire du monde du côté du cap à l'Aigle où se situe le stand de tir. C'est un rendez-vous bien ancré dans les habitudes des passionnés de ball-trap.
Cette activité demande de la précision, de l'adresse, de la concentration et de bonnes conditions météorologiques. Pour devenir un bon tireur, il faut donc pratiquer encore et encore, surtout que le pigeon d'argile vole à plus de 120 km/h.
Il n'y a pas de vent sur la rade. On est à 90 mètres au dessus de la mer. Il faut donc adapter le tir aux conditions météorologiques.
Sous un beau soleil tant attendu, vendredi 21 juin dernier avait lieu la quatrième édition de la Journée Olympique et Paralympique pour tous à L'Aigle (Orne). La Ville de L’Aigle (Orne) a intégré le dispositif Terre de Jeux en 2021. Depuis, le service des sports de la Ville s’est mobilisé pour organiser tous les ans une édition de la Journée Olympique et Paralympique.
La Fédération française du sport adapté (fédération multisport au service des personnes en situation de handicap mental et/ou psychique) proposait un stand de tir à la carabine laser et de sarbacane. D’autres valeurs sont mises en avant comme l’action pour l’environnement et le climat avec la participation de le Smirtom, et du Syndicat de la Risle ou encore l’installation de toilettes sèches.
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Pour organiser une telle journée, l’aide des bénévoles et des services municipaux est nécessaire. « Un évènement qui mobilise tous les services ».
En réaction à l’agression militaire de la Russie contre l’Ukraine, la France a lancé, sous court préavis, la mission AIGLE en Roumanie, confirmant son statut d’allié fiable, crédible et solidaire au sein de l’Alliance. Elle est composée d’un Multinational Battlegroup dont la France est nation-cadre, d’un système de défense sol-air MAMBA, d’un détachement du génie et d’un Elément de soutien national (ESN).
Le bataillon dispose de capacités fiables, coordonnées par un élément préfigurateur d'un état-major de Brigade interarmes (BFCE). La mission AIGLE comporte également un Centre de management de la défense dans la 3e dimension (CMD 3D) ainsi qu'un escadron de chars Leclerc.
En réaction à l’agression militaire de la Russie contre l’Ukraine, la France a organisé, sous court préavis, le déploiement de la mission AIGLE en Roumanie, confirmant son statut d’allié fiable, crédible et solidaire au sein de l’Alliance. Elle est composée d’un Collective Defense Battle Group (CDBG) dont la France est nation-cadre, d’un détachement Air MAMBA et d’un élément de soutien national. Le CDBG dispose de capacités fiables, coordonnées par un élément préfigurateur d'un état-major de brigade interarmes (BFCE). La mission AIGLE comporte également un centre de management de la défense dans la 3e dimension ainsi qu'un escadron de chars Leclerc.
Cet exercice de manœuvre de tir a permis aux troupes françaises de travailler leurs savoir-faire tactique et technique en intégrant les éléments alliés au cœur du dispositif. Ces mouvements permettent de tester le niveau d’interopérabilité entre les unités, d’identifier les points forts et les axes de travail pour perfectionner le dispositif interalliés présent en Roumanie.
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Durant trois jours, 78 tireurs issu des forces armées des Etats de l’OTAN ont ainsi comparés leurs procédures de changements de positions de tir et de rechargements tactiques.
L’exercice a débuté par une reconnaissance de la zone et la mise en place des éléments nécessaires à la conduite. La manœuvre de tir réel a consisté dans un premier temps en une phase d’infiltration par les sections d’infanterie, portugaises, roumaines et françaises. Elles étaient en charge de renseigner l’escadron sur la situation ennemie.
Après plusieurs échanges radio, un contact est annoncé, permettant au commandant d’unité de l’escadron de donner l’ordre d’enclencher le tir. L’ennemi a réalisé une attaque en force.
Appuyé par un groupe mortier de la compagnie d’infanterie, le peloton a procédé à un premier coup d’arrêt par un tir au commandement. L’objectif est verrouillé par les chefs de chars, avant tir des quatre canons visant à détruire l’adversaire.
Ce vendredi 18 avril 2025, la société saumuroise de tir aux armes rayées (SSTAR) a dévoilé les travaux réalisés durant de longs mois dans ses locaux.
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La société saumuroise de tir aux armes rayées (SSTAR) n’a pas chômé. En plus de truster les podiums départementaux, régionaux et même parfois, nationaux, le club saumurois (Maine-et-Loire) a œuvré en interne grâce à de nombreux bénévoles.
L’objectif ? Durant plusieurs mois, tout le monde a mis la main à la pâte et dès l’entrée, le logo du club a fièrement été apposé au sol sur des dalles en PVC qui s’emboîtent. Ça claque.
Saumur, vendredi 18 avril 2025. Olivier Guignard, président (à gauche) et Yannick Brandy, vice-président, sont heureux de ce nouvel élan pour la SSTAR.
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