La Société Montoise de Tir (SMT) est un club dynamique avec une longue histoire, où la passion pour le tir se transmet de génération en génération.
Laurent Tourette et son fils Angel sont licenciés à la Société de tir montoise. Laurent Tourette déclare : « Je pratique le tir depuis 2017, c’est devenu une passion car je me suis laissé prendre au jeu », pratiquant le tir au plomb sur 10 m et le tir avec carabine 22LR sur 25 m, au sein de la Société montoise de tir (SMT). Cette année, je démarre le tir aux armes réglementaires (TAR).
Le TAR est un tir d’inspiration militaire pratiqué avec un armement réglementaire non conçu, ni amélioré pour la compétition. C’est donc un véritable plaisir demandant de la concentration, du calme et sans force.
C’est par ce biais qu’Angel Tourette a suivi les traces de son père un an plus tard. « Après une première initiation pour découvrir ce sport, j’ai adhéré au club », ajoute l’adolescent de quinze ans.
Ils sont onze jeunes de 14 ans et moins au sein de l’école de tir de la SMT qu’Angel encadre avec Jean-Bernard Dutour. Angel a aussi obtenu le brevet fédéral jeune encadrant le 1er avril. « Je voulais m’investir dans le club et pour aider Jean-Bernard se retrouvant un peu seul », indique Angel. Son père, Laurent, est devenu également animateur depuis le 31 mai et s’occupe aussi de l’école de tir et de l’encadrement du passage de cibles.
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« Pourtant, au sein de l’école de tir, nous formons les jeunes, car une arme en tant que telle n’est pas dangereuse, c’est l’utilisation qui en fait qui est dangereuse », comlète Stéphane Jousse, président de la SMT.
Père et fils se préparent pour les championnats départementaux, samedi 16 et dimanche 17 décembre, sur le stand de tir des Vallées à Saint-Hilaire-de-Riez. « L’an dernier, j’ai raté de sept points ma qualification pour participer aux régionaux. J’espère cette année réussir. » Angel tire au pistolet à plomb à 10 m et un peu de pistolet à 25 m, « ainsi qu’à la carabine 22LR, depuis l’an dernier.
Quant à Laurent, il a remporté une médaille de bronze aux départementaux l’an dernier au tir avec pistolet à percussion centrale, sur 25 et 50 m.
Le tir comprend de nombreuses disciplines réparties dans douze sections différentes, sur des distances allant de 10 m à 500 m. Malheureusement, nous manquons de pas de tir.
« Notre club compte 115 licenciés, mais nous avons 70 personnes sur la liste d’attente qui aimeraient pratiquer le tir », comlète Stéphane Jousse, président de la SMT.
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La Société Montoise de Tir est ouverte depuis le 1er août 1997 (28 ans). Son siège social est situé à LA DECHAUME, 85160 SAINT-JEAN-DE-MONTS France.
Informations Clés :
C’est en 1901 lors de l’homologation des sociétés sportives que l’on baptisa Etoile Sportive de Mont de Marsan, le patronage Saint Joseph. M. La gymnastique est à l’honneur au début de ce siècle et c’est sous la houlette de M. BABIAN que le Patron remporte les premiers succès. C’est l’Etoile qui est à l’origine de l’union des Landes des Patronages, dont le siège en 1909 se situait 20 rue Armand DULAMON. Le Comité à l’époque a été constitué sous l’impulsion de l’Abbé BORDES.
Les jeunes du Patro donneront aussi des représentations théâtrales, d’où l’idée d’une troupe d’amateurs dirigée par M. Devant une salle bondée, les artistes de l’Etoile ont présenté la comédie » Les tribulations d’un témoin « . Signalons aussi l’inauguration de la chanson de l’Etoile mise en musique spécialement pour le patro montois.
Cette année là on pratique la Gymnastique, la Boxe Française, le Football, l’2thlétisme, la Pelote, le Tir, le Théâtre avec La Clique et la préparation militaire. La troupe de théâtre jouera les représentations suivantes, toutes écrites par l’Abbé BORDES: » Cœur de poilu » puis » Cœur de Lacoste « .
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Ainsi naquit une troupe théâtrale dirigée plus tard par M.Frédéric DE RIVIERE. Chaque année cette troupe se produisait au théâtre municipal puis plus tard au cinéma Etoile. La clique était sous le commandement de M.COSTE et était composée d’une quarantaine d’éléments.
L’Etoile Sportive Montoise (gym ;-3 équipes de foot ;athlétisme; natation ;pelote basque ;préparation militaire). Concernant la gymnastique, il n’y avait pas de salle d’entraînement où l’on pouvait s’entraîner en toute saison. Dans la cour de l’école Saint JOSEPH était installé cinq barres rigides exposées à tout les temps. Il n’était pas question de s’entraîner l’hiver, mais quand il commençait à faire moins froid c’était envisageable.
Les entraînements de Football ont toujours lieu au Baradé et les matchs à l’Argenté. A la suite d’un différend entre les joueurs de l’équipe 1 (FOIX frères, GUCHAN, LABORDE etc.
La section Gymnatique participe a de nombreux concours. L’Etoile Gymnastique n’est pas une Etoile filante, n’empêche qu’elle filera à NICE avec ses gymnastes. L’inauguration de la salle de cinéma, rue Maubec, a lieu cette même année.
L’Abbé CARRAQUIRI, le dévoué directeur de l’Etoile, sentant que la salle devenait trop petite décide de faire une tribune et acquit des fauteuils confortables. Il prit contact avec M.DULHOSTE et il fut décidé de repartir. Alors pour la gym, M.DULHOSTE entreprend de former une section de pupilles et se mit en devoir de contacter tous les anciens gym pour leur demander de remettre ça. Parallèlement, André DULHOSTE prit contact avec Raymond LABORDE un ancien dissident du foot de 1926, passé au Stade Montois, qui revient à l’Etoile avec enthousiasme. C’est à partir de ce moment là que le foot fut reconstitué.
Dans la cour d’honneur où étaient installées les cibles d’entraînements pour le tir à la carabine, on construit un nouveau gymnase qui fut inauguré le 27 Octobre 1953. A partir de ce moment là, le cinéma fut correctement installé et les gymnastes ayant également leur salle n’eurent plus besoin de procéder à ces déménagements hebdomadaires fastidieux. Malheureusement le cinéma fut détruit par un incendie cette année là. Il fut reconstruit grâce a une souscription et au dynamisme de ses dirigeants. A PAU, l’Etoile se classe bien avant toutes les sociétés présentes.
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