Cet article explore en détail le sac de tir Walther, tout en offrant des avis et des tests sur divers produits de la marque, notamment des carabines, des pistolets et des accessoires. De plus, nous aborderons la question de la mise à niveau des canons avec des modèles Lothar Walther.
Julien a testé le sac LT 12 de la marque norvégienne Vorn pendant le mois d’octobre. Il a opté pour le plus petit modèle, le LT12, qui peut transporter un volume de 12L. Vous pouvez y intégrer un kit permettant d’emmener de l’eau accessible par une genre de paille que vous attachez à une bretelle. Jusqu’à la, rien de nouveau sous le soleil !
Vous calez votre carabine (même équipée d’une optique !) dans un emplacement spécifique. Cette poche arme est verrouillée par deux clips. Votre carabine est solidement maintenue et protégée. Au niveau de la bretelle gauche vous avez une petite poignée orange.
Saisissez le canon de votre arme dépassant du haut du sac à dos, tirez la poignée, et voilà votre arme dans votre main ! C’est simple et surtout absolument silencieux ! La marque fournit également une chaussette pour couvrir la partie du canon dépassant du sac. Je n’ai pas précisé ce point, l’arme est portée canon vers le haut.
Cet accessoire permet au sac d’être légalement utilisable pour transporter l’arme dans un véhicule. J’ai opté pour le petit modèle de chez Vorn. J’y ai casé tout le matériel nécessaire à mes approches et affûts. Je ne suis pas sur un territoire nécessitant de grands déplacements à pied pour accéder à mes affûts.
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J’ai donc décidé de partir faire une longue approche un matin pour tester le sac. Le système permet de totalement oublier le poids de votre arme. Il est centré dans votre dos et l’arme est fixe, aucun balancement parasite d’une arme portée à l’épaule. Je n’irais pas jusqu’à traquer avec, mais par contre je l’utilise systématiquement pour me rendre au poste de battue !
Le LT 12 dispose d’un système Quick Rifle Release permettant d’accéder à son arme très rapidement. A première vue j’ai classé le système en gadget… Erreur de ma part, c’est très bien réalisé et extrêmement efficace sur le terrain. Il faut juste savoir que pour ranger l’arme il faut enlever le sac, ou après quelques entrainements il est possible de le faire en basculant le sac sur une seule épaule.
J’ai tout de même laissé la bretelle sur mon arme. Le LT12 peut très bien être utilisé en battue. Votre arme est en sécurité en cas de chute sur une chemin boueux ou autre. Vous avez aussi vos deux mains de libre pour vos rattraper si vous glissez ! Les modèles plus volumineux feront le bonheur des chasseurs en montagne.
Mise en place de la lunette Walther PRS 1 - 6 x 24 sur carabine Savage M25 Walking Varminter calibre 222 rem. C'est une lunette d'occasion chinoise cadeau de Noël de mes enfants. C'est est une bonne lunette robuste facile à régler.
Il y a un point rouge qui bave beaucoup, mais il ne m'est pas utile. J'ai réglé la lunette et fait 4 tests de tir sur un C50 à 50 mètres avec appui. Il faut tenir compte qu'il s'agit d'une lunette de battue, pour ce type de lunette la précision ne sera jamais bien extraordinaire.
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Si j'ai fait un retex pour cette lunette, c'est que je trouve que pour une chinoise réputée bas de gamme, elle est très bien. Elle est robuste et lumineuse, par contre les points rouges sur les lunettes chinoises manquent de définition, ils bavent beaucoup.
Elle est d'occasion mes 2 enfants ont payé 50€ chacun, c'est vraiment une bonne affaire pour 100€. Je l'utiliserais probablement ensuite à la chasse. Le retex en précision de tir est fait juste pour le réglage, c'est plus de l'information sur un produit.
Si je dis robuste c'est qu'elle est d'occasion et elle semble avoir beaucoup vécu, mais elle fonctionne toujours à la perfection. Pour 100€ une lunette qui en vaut 350€, il ne faut pas attendre de miracle. Je savais pour le point rouge, j'ai l'habitude des Chinoises, je ne l'ai pas acheté pour ce point rouge, il s'allume d'ailleurs rouge ou vert.
Test de tir sur une C50 à 50 mètres avec des munitions équipées de balles H&N électro cuivrées de 55 grains et poudre Vectan 1,40 gramme de SP7. J'ai aussi modifié mon support pour le sac de tir, il est moins large. Ce rechargement n'est pas très bon dans la Rossi Pomba, il fonctionne pas trop mal avec la Savage M25 Walking Varminter et Lunette Walther PRS 1-6x24.
Je ferais des charges faibles pour ces balles H&N électro cuivrées avec de la poudre Vectan A0A la fin par curiosité j'ai fait 9 tirs de chasse, debout sans appui acquisition rapide de cible avec la lunette Walther PRS 1-6x24, déclenchement du tir au bon moment. Cela fait longtemps que je ne fais plus ce type de tir ce n'est pas très bon.
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Pour ma part avec un pas de rayure de 14 (ce qui est donnée pour cette arme) ; je choisirai des ogives de 50 grains voir 52 grains maximum.
Walther a tendu l’oreille aux attentes exprimées par les tireurs en proposant cette évolution de leur pistolet premium. L’idée de Walther a été d’apporter ses dernières innovations à son Q5 Match Steel Frame mais a aussi redéfinit les masses et l’équilibre de son pistolet. La boite en plastique montée sur charnière propose des formes prédécoupées permettant de positionner efficacement les différents éléments.
En plus du chargeur dans le pistolet, 2 autres chargeurs sont présents. Une chargette aidant remplir les chargeurs et un drapeau de chambre vide sont également dans la boite. Les outils nécessaires aux réglages de la hausse LPA sont rangés dans un petit sachet. La queue de castor a été considérablement allongée pour permettre de chausser l’arme très confortablement.
La grande particularité de cette carcasse est d’être usinée en acier. Contrairement aux armes modernes qui sont majoritairement en polymère, Walther revient à l’acier pour apporter plus de poids a son Q5 Match SF et notamment un centre de gravité plus bas. Dans la même stratégie, la glissière est également en acier mais a été ajourées par 16 trous d’évent afin d’améliorer les échanges thermiques et le refroidissement du canon mais aussi pour réduire sa masse.
La glissière dispose de serrations sur l’avant et sur l’arrière pour répondre aux préférences des tireurs pour la manipulation de celle-ci. La commande d’arrêtoir de culasse est longue sans pour autant être proéminente. Les organes de visés LPA sont composés d’une hausse réglable en élévation et en dérive et d’un guidon en fibre rouge.
La visée s’obtiendra par l’alignement de la fibre rouge dans le cran de mire. Mais mieux que cela, le Q5 Match SF est optic ready. Le canon du Q5 Match est d’une longueur de 5 pouces ou 12.7cm avec des rayures polygonales pour assurer une longévité et un entretien maximisé. Il reprend le standard de la marque en offrant une chambre étagée.
Le poids de départ annoncé par la marque est de 2.5Kg. Mais plus important que cela, Walther à énormément travaillé sur ce départ pour nous offrir une course de queue de détente fluide et sans grattement de seulement 7mm tombant sur un mur franc qui casse de façon nette. Le reset est lui aussi très court avec seulement 2mm pour réarmer la détente et pouvoir faire feu à nouveau.
Ce système, associé à la gestion du recul, doit permettre de réaliser des coups multiples (doublettes ou triplettes) sereinement et en conservant une grande précision. Les chargeurs sont au nombre de 3 et d’une capacité de 15 coups. Leur corps est en métal et laisse apercevoir sur la face arrière les nombre de munitions graillées.
La planchette est rouge ce qui simplifiera considérablement le contrôle de chargeur vide. Après avoir préparer ma cible C50 et l’avoir envoyée à 10m, je commence à remplir mes chargeurs. Tout de suite, je note que le lâché est excellent. L’arme bouge très peu et revient vite en ligne.
La prise de visée est vraiment facile et efficace car le cran de mire laisse juste apercevoir la fibre qu’il suffit de superposer au 10. Je renvoie ma cible à 25m pour tenter de faire une jolie cible par-dessus mes 5 premiers impacts. Il m’arrive pour mes essais de faire plusieurs cibles afin de me laisser un peu de temps pour apprivoiser l’arme en test et obtenir une cible que je juge représentative de ses capacités.
Comment ne pas être bluffé par le Walther Q5 Match Steel Frame quand celui me permet de faire une telle cible sur mes 10 premiers coups tirés.
Cette deuxième version de la Reign est entièrement ambidextre et surtout elle est proposée en 19,9 joules, donc en vente libre aux personnes majeures. Un kit permettant de la passer en 60 joules si vous disposez plus tard d’une licence de tir ou d’un permis de chasse ! Umarex a également travaillé sur la canonnerie de l’arme.
Le rail de montage optique est un peu haut et augmente les corrections en fonction des distances de tirs. La première version de cette carabine Reign de Walther vous avez été présentée sur notre site NaturaBuy il y a trois ans. Cette arme à air pré comprimé donc dite PCP pour Pre-Charged Pneumatic possède une ligne vraiment étonnante.
On aime ou pas mais elle ne laisse pas indifférent ! Elle est équipée d’une technologie dite Bullpup, c’est-à-dire que le canon vient très loin en arrière, jusque dans la crosse, ce qui offre une arme compacte et donc très maniable sans sacrifier la longueur du canon, ici de 50 cm et donc risquer d’abaisser la précision.
La première version de la Reign avait été un succès commercial, l’arme est très précise et agréable à manipuler. Elle est réalisée dans un polymère noir très résistant et très bien moulé. Elle comporte un trou de pouce et offre ainsi une préhension parfaite, à droite comme à gauche. C’est en effet un modèle ambidextre.
La poignée est assez droite, comme un pistolet et offre un confort de tir excellent pour attraper la queue de détente. Un renflement de part et d’autre vient se loger dans la paume de la main et offre une bonne ergonomie. Le trou de pouce est surdimensionné. La plaque de couche est épaisse, en matière rigide, très alvéolée en surface. Il n’y a pas de recul avec l’air pré comprimé donc un sabot souple ne sert à rien !
Le devant est assez court et trapu ! Il abrite la bouteille pressurisée. Certains fabricants font le choix d’un tube plus long avec le manomètre très souvent installé au bout de ce cylindre. Umarex joue sur le côté compact, ce qui offre une prise en main très bonne sur ce devant renflé ! Un petit rail Picatinny à quatre slots est fixé sous le devant à son extrémité.
Côté droit 12 trous laissent apparaître les têtes de vis Torx. Il suffit de les ôter pour séparer les deux coques de la crosse et accéder au mécanisme interne. Notre arme de test est chambrée en calibre 5,5 mm (.22) Il est confectionné en acier et mesure environ 50 cm de longueur et 1,5 cm de diamètre.
Il s’est beaucoup affiné et réduit pas rapport à la version que nous vous avions présenté ici qui mesurait 60 cm de longueur et 2,2 cm de diamètre. Il est bien sur rayé afin d’assurer la stabilité en vol des diabolos. Ce canon reçoit un traitement de surface noir et comporte un filetage au pas de ½’’ UNF-20 à son extrémité.
Un frein de bouche est fixé d’origine sur ce filetage. Il permet une meilleure sortie des gaz au moment du tir ce qui doit accroitre la précision. Il n’y en a pas ! Ni hausse, ni guidon. Il faut donc installer une lunette de visée sur cette Reign. J’ai positionné une lunette de tir et de chasse Geco Gold.
Il existe des modèles vraiment destinés à l’air gun avec une grosse roue de commande permettant de faire varier rapidement la hauteur du point d’impact, très utile lorsque l’on varie entre les distances de tirs. Le pontage de la lunette sur le long rail Picatinny ne pose pas de problème. Il faut installer une lunette pour plus de précision.
La carabine est munie d’un chargeur rotatif très facile à alimenter et assez facile à installer dans son logement prévu dans la crosse de l’arme. Il est rotatif, il suffit de glisser les diabolos dans le bon sens dans l’orifice libre et de tourner pour alimenter le trou suivant.
Toujours pour rendre cette carabine ambidextre, il est possible de passer le levier de rechargement sur le flanc droit ou gauche de la carabine Reign. C’est un système d’alimentation linéaire qui équipe cette carabine Reign de Walther. Le long levier très ergonomique et articulé permet de reculer une tige située à l’arrière de la crosse et du chargeur rotatif.
En actionnant ce levier on recule cette tige, on provoque la rotation du chargeur et en repoussant le levier vers l’avant la tige vient pousser le diabolo dans la chambre. Ils sont excellents, sortis de boite et peuvent être réglés manuellement. En séparant la crosse en deux, en déposant les vis, il est alors possible d’accéder au système de réglage de la longueur de la course de la queue de détente et du poids des départs.
Sortie d’usine les poids de départs mesurés étaient de 320 g en moyenne sur dix tests. Umarex France m’a également livré leur tout nouveau compresseur, destiné à remplir très facilement ce type de carabine PCP. L’appareil fonctionne très bien et permet de comprimer l’air assez rapidement dans la bouteille et atteindre les 200 bars. Il faut environ 7 mn pour cela.
Gros avantages, il n’y a pas besoin d’un seau d’eau à côté comme sur certains modèles de compresseurs. Là c’est un refroidissement à air. Le calcul avec ces deux moyennes de vitesse pour les diabolos cités donne une puissance de 18,44 joules pour le premier et 19,45 joules pour les Power Ton. Cela vous a déjà été précisé lors du test d’autres carabines à air comprime sur ce site, il est très important de tester différents diabolos dans les armes à air, surtout lorsqu’elles sont puissantes.
A 20 m, les Mosquito qui ont pourtant un profil de type Match n’offrent pas un groupement extra, au moins 4 cm de diamètre. Les Power Ton m’ont donné d’excellents groupements à 15 m, c’est du trou dans trou ! Les Power Dominator passent très bien dans mon modèle de test ! A 30 m les dix diabolos se touchent avec un groupement de 1,7 cm. J’aurai largement pu pousser les tirs à plus de 50 m !
Compacte, visuellement moderne et envoutante cette Reign M2 d’Umarex a brillamment passé le test ! Elle est fluide, le levier de culasse est vraiment agréable à manipuler, il est long et bien ergonomique. Le chargeur est un modèle du genre, il est super facile à alimenter contrairement à celui de certaines marques concurrentes.
La lunette se fixe aisément sur le long rail Picatinny, les tirs s’enchainent avec facilité. Heureusement qu’Umarex m’avait prêté le compresseur avec la carabine car vu le nombre de diabolos tirés si j’avais du recharger la bouteille d’air pressurisé avec une pompe manuelle cela aurait été plus fatiguant ! Carabine moderne et performante. Très facile à utiliser. Précision excellente avec des plombs choisis.
Il va sans dire que les armes de poing à cartouche de CO2 envahissent le marché des armes à air comprimé. Le Walther PPQ existe en plusieurs versions. Côté caractéristique, ce pistolet est fait de métal et d'un très beau polymère. Ici, le réalisme est poussé au maximum.
La culasse métallique est blowback avec un bruit similaire aux originaux. Le système de sûreté latéral est composé d’un bouton switch avec un indicateur de couleur rouge quand l’arme est sur la position « S ». Les organes de visée sont colorés de points orange afin d’accroître la précision.
Sur le côté gauche, vous trouverez le bouton-poussoir de libération du chargeur. À noter que ce bouton peut être inversé afin de faciliter les tireurs gauchers. La spécificité de ce modèle provient principalement du chargeur. Il est composé d’une chaîne rotative de 21 coups ! C’est assez impressionnant quand on sait que la majorité des modèles à plomb du marché ont une capacité de tir de 8 coups.
Nous avons testé ce produit sur une distance de 10 mètres après quelques tir d’entraînement pour comprendre le comportement du pistolet. Les organes de visée n’ont pas été réglés. Les plombs utilisés sont les Match Light de H&N Sport. Ce sont des plombs de bonne qualité.
Nous remarquons un groupement concentré en hauteur et dérivant sur la droite. Les sensations de tir sont assez bonnes avec un recul de la culasse bien prononcé. C’est certainement pour cette raison que les impacts sont hauts. Nous avons ici un modèle qui a la particularité de tirer des plombs au lieu des billes aciers. Il s'agit d'un atout majeur qui distingue le pistolet Walther PPQ M2 de ses concurents.
Le seul inconvénient de ce bel article est le temps de chargement qui est plutôt long. En effet son principal atout est son autonomie de tir sur un chargeur à défaut du temps de chargement.
Le Walther P22 est un pistolet .22lr équipé d’une platine double action/simple action plutôt agréable et d’une hausse 3 points réglable en dérive uniquement. Comme le Glock 19 Gen4, le P22 est livré avec un dos de poignée interchangeable en fonction de la taille de votre main.
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