Dans la plus pure tradition horlogère suisse, RAYMOND WEIL innove en créant un nouveau mouvement en collaboration avec la maison Sellita. Raymond Weil ne fait pas partie de ces maisons horlogères bientôt bicentenaires où les plus vieilles archives sont en noir et blanc et ne parlent que de montres à gousset. Sa création remonte à 1976, mais le chemin parcouru depuis est remarquable. Cela fait maintenant 45 ans que la marque poursuit un objectif clair : rendre le luxe abordable.
RAYMOND WEIL signe un modèle au design très affirmé, présentant notamment un cadran à large ouverture qui révèle l’organe réglant à 6 heures. L’assemblage balancier et ressort, soutenu par un unique pont, dévoile une fabrication aussi admirable que celle des plus beaux régulateurs à tourbillon. Développé en partenariat avec le fabricant de mouvement Sellita, il est le tout premier calibre manufacture Raymond Weil.
La Freelancer Calibre RW1212 est un modèle de montre à deux aiguilles misant sur la sobriété. Son boîtier de 42mm, légèrement surdimensionné, vous permettra de savourer pleinement le spectacle. Celui-ci est coiffé d’une lunette en bronze lisse, un choix osé pour un résultat réussi. Protégé par un verre saphir au traitement anti-reflet, son cadran squelette offre une vue plongeante sur son mécanisme maison.
Il est apparu comme le symbole de la liberté totale de la marque, qui l’a alors nommé 1212, pour une référence poétique au code postal de son adresse, au Grand-Lancy en Suisse. Reconnaissable par son balancier disposé à 6 heures, il affiche des caractéristiques relativement basiques, avec une précision de -5/+20 et une réserve de marche de 38 heures. Mais son point fort réside dans son niveau de finition irréprochable, ici pleinement visible grâce aux ouvertures sur les deux faces.
Muni d’un rotor squeletté, il a également été redécoré pour l’occasion. Le mouvement a été conçu de manière à offrir à la vue la beauté de son mécanisme côté cadran. Les organes stratégiquement positionnés au-dessus de la platine et la symétrie des ponts accentuent le caractère architectural de ce modèle élégant et superbement équilibré.
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Raymond Weil nous propose ici une nouveauté des plus cohérentes, un mariage efficace entre bronze et transparence. Cette montre automatique vous permettra, pour 2,750€, d’acquérir une pièce horlogère à mi-chemin entre classique et modernité, propulsée par un mouvement manufacture finement décoré. Gage de qualité, le label horloger suisse n’est pas aussi inaccessible qu’il n’y paraît.
C’est un fait: en une décennie, la hausse significative des tarifs pratiquée par les grandes manufactures horlogères a pu donner l’impression que s’offrir une belle montre bénéficiant de la mention Swiss Made n’était plus à la portée de toutes les bourses. Entre savoir-faire et optimisation des coûts de production, certaines marques de renom proposent encore des modèles très désirables dans une fourchette de prix raisonnable.
Ainsi, les nouvelles variations dans la gamme PRX de Tissot attirent l’attention avec leurs cadrans colorés ou leur boîtier en carbone forgé. Puisque le bracelet est aussi un atout de style, Baume & Mercier décline pour son emblématique modèle Clifton plusieurs patines raffinées sur ses attaches en cuir de veau lisse aux surpiqûres ton sur ton. Les amateurs de montres sportives seront attirés par la nouvelle Diver Date d’Oris.
Gardant l’inspiration stylistique de la Divers Sixty-Five de 1956, cette plongeuse augmente son efficacité, avec une étanchéité qui passe de 100 à 200 mètres, et peaufine son style avec trois couleurs de cadran (noir, beige ou bleu). Mido joue aussi la carte de la puissance avec sa nouvelle Multifort TV Big Date au boîtier et au bracelet en acier traité PVD noir et au cadran noir rehaussé de détails orangés. De son côté, Victorinox propose une alternative en termes de matériaux avec les nouvelles versions de son I.N.O.X. Automatic, avec un boîtier en acier ou en carbone et une déclinaison de couleurs variées pour les cadrans décorés du motif Alox rappelant les finitions des couteaux de poche.
Le Freelancer Bronze 7780 est le fruit d’une collaboration entre la maison horlogère suisse et l’atelier Meister Engeneering, spécialisé dans la transformation et la personnalisation de motos. Véritable pointure dans son domaine, l’atelier a spécialement imaginé et produit un deux-roues à l’image et aux couleurs de Raymond Weil.
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Cette nouvelle édition est pourvue d’un boîtier en bronze de 43,5mm de diamètre pour 13,7mm d’épaisseur. Rien de surprenant pour un chronographe automatique, mais de quoi tout même en imposer une fois au poignet. Il est coiffé d’une lunette, en bronze également, équipée d’un insert en céramique noire, gradué d’une échelle tachymétrique.
L’une des spécificités de ce chronographe Freelancer est l’ajout d’une deuxième échelle, un pulsomètre, sur son rehaut doré. Ce dernier plonge vers un cadran noir fumé jonché d’index bâtons, soutenus par un chemin de fer original en éclair, le tout relevé par deux sous-compteurs dorés.
De l’autre côté du boîtier, son fond ouvert vous permettra d’apprécier les détails de son mouvement automatique. Il s’agit plus précisément du calibre RW5030, conçu à partir d’une base Sellita SW510.
Cette montre à la fois élégante et décontractée grâce à ses touches colorées qui cohabitent avec un bracelet en cuir véritable est équipée d’un boitier de 42 mm de diamètre en acier inoxydable. La cadran noir de cette Freelancer se voit éclairer par des index en acier et les aiguilles jaunes du chronographe qui donnent au cadran toute sa personnalité.
Des utilisateurs ont exprimé des opinions variées sur la marque Raymond Weil et ses mouvements. Certains se demandent si le mouvement RW1212, développé en partenariat avec Sellita, est fiable et bien conçu.
Lire aussi: Raymond Weil Freelancer : Test détaillé
Un utilisateur sur un forum a partagé son expérience :
Connaissez-vous ce mouvement Raymond Weil/Sellita? D’après votre expérience, est-il fiable et bien né ? Je demande parce que j’ai vu (sur le net uniquement) une Raymond Weil Freelancer Skeleton black que je trouve jolie mais je ne sais pas quoi en penser. D’une manière générale que pensez-vous de la marque?
Un autre membre du forum a répondu :
C'est un mouvement sellita dans sa version squeletté, Sellita commence à se retrouver dans beaucoup de marques depuis que Swatch Group a coupé les vannes dans la fourniture de ETA à ses concurrents ou petits emboiteurs, donc oui, sellita sait faire des mouvements, ça fait le job... Concernant la marque Raymond Weil, c'est une marque suisse comme tant d'autre qui sont loin des projecteurs braqué sur les marques actuelles, comme tant d'autre ils font des bonnes montres, mais il ne faudra pas espérer la revendre, la perte sèche serait trop importante, maintenant, si c'est pour la garder, on a là une jolie squelette, à essayer de négocier une petite ristourne cependant si c'est un achat boutique (AD)
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