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Le pistolet de cowboy est un symbole incontournable du Far West, une époque qui continue de fasciner et d'inspirer. L'univers du Far West et des cowboys est vaste et plaît à de nombreux fans, pour autant, ludiquement, il reste sous représenté.

L'Inspiration du Far West dans les Jeux Vidéo

Les westerns et les jeux vidéo ont toujours fait bon ménage. Il a fait, et continuera longtemps de faire les beaux jours du cinéma avec nombre d’œuvres cultes, mais l’univers du Far West a également inspiré les développeurs de jeu vidéo. Ancré dans l’inconscient collectif grâce à la pléthore de films et de séries sur le thème, le western a su offrir aux jeux vidéo un matériau assez puissant pour en tirer de vraies mines d’or.

En 1974 sort l’une des adaptations les plus célèbres et efficaces : Wild Gunman, signé du japonais Nintendo. D’abord en jeu d’arcade, puisqu’il nécessitait l’utilisation d’un pistolet détectant les « impacts » lumineux à l’écran. C’est un héritier de ce que l’on appelait les jeux électromécaniques des fêtes foraines, où toute la partie physique (cibles, mouvements) était remplacée par des pixels. Wild Gunman a également été adapté sur console Nintendo Nes, nécessitant alors le fameux pistolet en accessoire, rentabilisé plus tard par un titre de chasse, Duck Hunt.

Par la suite, d’autres éditeurs, là encore essentiellement japonais, se sont lancés à la conquête de l’Ouest. Western Gun de Taito propose, en 1975, à deux joueurs de s’affronter armes à la main sur l’écran. C’est à la fois la toute première représentation de la mort d’un homme, mais aussi d’un affrontement entre deux joueurs humains en jeu vidéo. Le succès en arcade, tant au Japon qu’aux États-Unis sous un nom différent (Gun Fight), est immédiat, promettant ce genre d’interactions au bel avenir qu’on lui connaît aujourd’hui, tous univers confondus.

Après quelques sorties moins tapageuses durant la fin des années 1980, le western profite une nouvelle fois des avancées technologiques du média. L’arrivée du Laser Disc (l’ancêtre du DVD et du Blu-ray) permet en effet aux machines d’arcade de proposer des séquences vidéo interactives. Deux titres s’en feront les étendards : le méconnu Badlands, dès 1984 chez Konami, mais surtout le légendaire Mad Dog McCree d’American Laser Games en 1990. Ses séquences vidéo « live » avec de véritables acteurs sont restées dans les mémoires de tous ceux ayant approché la borne à l’époque.

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Cantonné encore de longues années à des jeux d’arcade, adaptés sur consoles et micro-ordinateurs, le western reste très présent. Sunset Riders de Konami (1991) permet de parcourir quelques scènes d’action classiques du genre, jusqu’à quatre joueurs simultanément. En 1994, Wild Guns de Natsume sur Super Famicom (la Super Nintendo version japonaise) joue un peu plus les aventuriers, avec un western futuriste aux accents steam-punk et à la réalisation très soignée.

Le début des années 2000 marque une rupture dans cette longue tradition de jeux de tirs, d’arcade, finalement simplistes même si parfois d’une redoutable efficacité. D’abord avec la sortie d’un jeu de stratégie, Desperados: Wanted Dead or Alive (Infogrames), pendant western du mythique Commandos (Eidos). Ici, plus question de tirer dans tous les sens, il faut gérer son équipe aux talents divers pour mener à bien des missions variées. Le cerveau prend enfin le dessus sur ce fameux doigt, toujours rivé sur la gâchette.

En mars 2002, un titre produit par le japonais Capcom et réalisé par un studio américain Angel Studios se présente timidement. Son nom : Red Dead Revolver. Le projet finit par être racheté par Take Two, laissant un certain Dan Houser (Grand Theft Auto) reprendre en main le concept. À sa sortie en 2004, le jeu de la nouvelle entité créée sur les ruines d’Angel Studios, Rockstar San Diego, porte les stigmates de sa gestation difficile. Pourtant, il en émane quelque chose de spécial, comme avec ce concept de tir verrouillé baptisé Dead Eye, qui permet de viser un ennemi plusieurs fois au ralenti.

Impossible de ne pas citer l’improbable Oddworld : la fureur de l’étranger, sorti en 2005 sur Xbox. Lord Lanning, génie à l’origine des aventures du pauvre Abe d’Oddworld, adapte ses créatures bizarroïdes et autres étrangetés extraterrestres aux codes du western. Les munitions deviennent des créatures vivantes aux effets variés, et le chasseur de prime que l’on incarne se déplace dans un monde presque ouvert.

La même année, Gun de Neversoft (Tony Hawk’s Pro Skater) propose un jeu d’action-aventure lui aussi dans un monde presque ouvert, avec une liberté plus marquée que dans les anciens westerns de pixels. Quêtes annexes, chasse à l’homme, élevage de bétail ou parties de poker ponctuent une aventure riche en action et en situations, mais manquant d’un peu de charisme. Toujours en 2005, un certain Darkwatch chez Ubisoft mêle cowboys et vampires, pour un festival d’action en vue FPS.

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La vraie révolution va se construire sur les bases fragiles d’un Red Dead Revolver un peu bancal, mais surtout sur la formidable expérience de scénarisation de jeu en monde ouvert acquise par Rockstar Games. Avec une suite baptisée Red Dead Redemption en 2010, le développeur de Grand Theft Auto embrasse le western dans ses moindres détails. John Marston, le héros, est un hors-la-loi fatigué, rêvant de retrouver femme et enfant, mais contraint de chasser ses ex-partenaires.

En 2018, Red Dead Redemption 2 fait encore mieux que son prédécesseur. Les progrès techniques aidant, toutes les qualités du jeu précédent sont comme sublimées. L’écriture n’est pas oubliée et, comme dans la première aventure de Marston, on remarquera notamment une belle mise en valeur de personnages féminins notoires, de natifs ou d’Afro-Américains qui ne sont plus cantonnés à des rôles de cibles.

Répliques d'Armes du Far West : Denix et Kolser

Le pistolet de cowboy est un véritable incontournable pour les passionnés du genre. Ces pistolets apportent une réelle touche d’authenticité à vos collections personnelles ou des reconstitutions historiques. Il y a certainement le Colt et Pistolet que vous recherchez. Les répliques de pistolets de cowboy comme le Colt Thunderer ou le Colt 1849 Pocket offrent une précision et un design impressionnants. Ces répliques ne sont pas seulement des objets de collection, elles sont aussi des pièces de décoration uniques pour les passionnés.

En premier lieu, la société Denix, fabrique des reproductions d’armes depuis 1967. Principalement exportatrice, elle travaille dans plus de 40 pays. Dans la mouvance d’un solide réseau de distributeurs officiels.

Ensuite Kolser, entreprise Espagnole créée en 1965, fabrique dans la reproduction d’armes anciennes. Kolser crée en 1970 les répliques d’armes à feu Western avec un mécanisme de tir simulé.

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Les répliques de pistolet de cowboy sont idéales pour les amateurs de western qui souhaitent posséder un morceau d’histoire. Ces pistolets sont conçus pour capturer l’essence du Far West.

Pour commencer, Kolser sort le fameux colt Thunderer avec sa crosse en forme de tête d’oiseau. Plusieurs design de crosses s’offrent à vous, nacre, noire ou marron. Ensuite le Colt 1849 Pocket, le revolver de Wells Fargo conçu par S. Les pistolets de cowboy proposés sont l’incarnation de l’histoire du Far West.

Vous pouvez aussi utiliser ces répliques lors de vos spectacles de reconstitutions, ou vos soirées à thèmes.

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