La production de céramique historiciste surge à Alger à la fin du XIXe siècle, de la main de l’architecture orientaliste mais associée également aux transformations des grands palais ottomans des faubourgs d’Alger.
L’architecture néo-mauresque et la transformation des grandes demeures suburbaines d’époque ottomane à Alger, donne naissance, à la fin des années 1880, à une production de céramique historiciste, qui décline à partir des années 1920.
Il est question ici du milieu algérien - collectionneurs, architectes, industriels, historien - qui, revendiquant la tradition, permet l’essor de cette nouvelle industrie d’art.
Elle est étroitement liée à un cercle de collectionneurs, d'architectes, d'industriels et d'historiens locaux qui, en invoquant la tradition, ont contribué à l'essor de ce nouvel artisanat d'art.
Towards the end of the nineteenth century, ceramicists in Algiers began producing tile in a historicist style derived from neo-Moorish architecture and from the renovations of the grand Ottoman dwellings on the outskirts of Algiers.
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The style is strongly tied to Algiers collectors, architects, businessmen, and historians.
Claiming to revive a tradition, they promoted a new craft industry, which flourished.
Voici quelques figures clés et leurs contributions :
Plusieurs villas et palais d'Alger témoignent de cette époque, notamment :
Cette production de céramique historiciste est également liée à des collectionneurs et des institutions :
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En conclusion, l'architecture néo-mauresque et la production de céramique historiciste à Alger sont le fruit d'un contexte historique et culturel particulier, marqué par la rencontre entre les traditions locales et les influences européennes.
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