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L’Université de Montréal (l’UdeM) est une université Canadienne francophone située dans la province du Québec. Montréalaise par ses racines, internationale par vocation, l’Université de Montréal compte parmi les meilleures universités dans le monde.

Stratégiquement positionné en plein cœur du Mont-Royal, poumon de Montréal, le campus de l’UdeM offre un cadre de vie urbain idéal en plein cœur de la ville où règne une ambiance studieuse et festive, à l’image d’un véritable campus à l’américaine mais francophone. Matchs de sport, cafés étudiants, vie associative et culturelle, toutes les conditions sont réunies pour vivre la parfaite expérience étudiante ! La communauté UdeM est multiculturelle, polyglotte et inclusive : un étudiant sur quatre vient de l’international.

Que ce soit pour les logements, la santé, pour réhausser l’expérience étudiante, pour l’aide aux financements des études, avec la panoplie de services offerts aux étudiants sur le campus, l’Université de Montréal fait figure de petite cité dans une grande ville.

Le Sport à Montréal au 19e Siècle: Les Racines Anglaises

Le sport naît en Angleterre au xviie siècle. L'aristocratie et la bourgeoisie anglaises, qui possèdent le temps et l'argent, s'adonnent à la pratique des courses de chevaux, de la course à pied, de la boxe, du cricket, etc., et peu à peu codifient des pratiques corporelles, publient des règles et créent des clubs. Elles développent une culture sportive. Pour ces classes aisées, le sport doit être une activité amusante, pratiquée selon des règles écrites en vue d'un enjeu, selon un esprit particulier, l'esprit sportif, fait d'équité, de désir de vaincre et de loyauté.

Aussi, il n'est pas étonnant que les officiers militaires et les administrateurs, recrutés souvent dans l'aristocratie, associés aux marchands, qui débarquent sur les rives du Saint-Laurent après 1760, reproduisent au Québec leurs institutions et leur mode de vie. Ils amènent avec eux leur goût du sport et, dès la fin du xviiie siècle, apparaissent dans la ville de Québec, puis à Montréal, les premières manifestations sportives. Ces notables apprécient davantage la sociabilité que le club sportif permet, que la compétition.

L'industrialisation et l'urbanisation qui s'amorcent à Montréal au milieu du xixe siècle, le développement de nouveaux moyens de communication - chemin de fer, télégraphe, téléphone - introduisent de nouvelles formes d'organisation et conduisent de nouvelles classes sociales, particulièrement la petite bourgeoisie anglophone, à investir le champ sportif. Ces nouveaux acteurs sociaux sont plus attirés par l'aspect compétitif que par l'aspect social des activités sportives.

Les courses de raquettes, parrainées par le Montreal Snow Shoes Club entre 1843 et 1860, participent à ce nouvel esprit. En 1860, un membre du club regrette le bon vieux temps et déplore qu'il faille maintenant "s'astreindre à un entraînement harassant au niveau professionnel". À cette époque les clubs se multiplient ; les sports d'équipe se développent et prennent la vedette.

Les années 1870-1890 voient naître "la forme moderne du sport : les limites spatiales et temporelles, les règlements codifiés, l'équipement spécialisé et les premiers organismes nationaux". Durant cette période, le phénomène le plus chargé d'avenir est le développement du sport-spectacle, la multiplication des équipes de crosse, de base-ball, de football, de hockey, et la formation de ligues.

Apparaissent ensuite les associations regroupant plusieurs disciplines sportives. La Montreal Amateur Athletic Association (la fameuse M.A.A.A.) est la première du genre à voir le jour en 1881. Pendant longtemps elle sera la plus importante institution du genre au Canada. Riche et puissante, elle servira de modèle à de nombreuses associations. Les dirigeants des associations sportives pancanadiennes sont presque tous issus de ses rangs.

Tous anglophones, ceux qui siègent au conseil d’administration de la M.A.A.A. ou des autres associations de sport amateur pancanadiennes créées dans les années 1880 proviennent de la grande et petite bourgeoisie.

Le base-ball, importé des États-Unis et d'esprit plus démocratique, échappera à cette mainmise de la bourgeoisie anglo-protestante sur le sport. Le 19 août 1869, le journal Montréalais The Gazette rapport que ce sport "is gradually getting to be very popular amongst our young men, and the Montreal Club, which is composed of a hardy and athletic set of fellows and making great efforts to bring it more before the public". Le base-ball deviendra rapidement populaire parmi la classe ouvrière et, contrairement à la majorité des autres sports, il ne restera pas confiné aux seuls grands centres urbains, mais essaimera dans de petites localités. Il touchera même le monde rural.

On peut affirmer que dans les années 1870-1890 le sport imprègne de plus en plus la société montréalaise. Il s'intègre au mode de vie de nombreux citadins qui participent comme joueurs ou spectateurs à différentes activités sportives. Mais, malgré la présence de plus en plus importante de Canadiens français dans les clubs sportifs, le sport, et surtout le sport organisé, demeure l'apanage de la grande et petite bourgeoisies anglophones.

Le Sport chez les Canadiens Français avant 1890: Un Phénomène Marginal

Avant les années 1890, le phénomène sportif est marginal dans la société francophone. Entre 1800 et 1890, ce sont généralement des Anglais et des Écossais, issus de l'aristocratie et de la bourgeoisie, qui créent, organisent et administrent les clubs et les associations sportives. Cette réalité est encore plus évidente dans le cas des associations pancanadiennes créées à compter de l'année 1867.

La présence de délégués francophones provenant des clubs de raquettes à neige Le Trappeur et Le Canadien assistant aux réunions de la Canadian Amateur Athletic Association de 1884 à 1887 est une exception qui confirme la règle. Cependant, avant les années 1890, une minorité de francophones partage avec ses concitoyens de langue anglaise le goût du sport. Donald Guay nous dit que dès la première moitié du xixe siècle "le peuple accepte facilement cet aspect du mode de vie des Anglais" malgré l'opposition des élites et que ces mêmes élites en viennent, après l'échec des Rébellions de 1837-1838, "à admettre le sport, car il faut bien que le peuple s'amuse" et qu'il peut, par le sport, "extérioriser sa réussite socio-économique".

Les courses de chevaux semblent le vecteur qui a inoculé le goût du sport dans le tissu de la société canadienne-française, aidé en cela par les autorités britanniques. Dès le début du xixe siècle, le gouverneur Craig, voulant encourager l'amélioration des chevaux canadiens, organise des courses et offre des bourses. Rapidement le phénomène se développe et touche plusieurs villes et villages du Québec.

Alors que les francophones sont pratiquement absents du sport organisé, les organisateurs de courses de chevaux sont souvent des Canadiens français.

Comment expliquer cette forte représentation des Canadiens français dans l'organisation des courses de chevaux ? Premièrement, dès l'époque de la Nouvelle-France, plusieurs commentateurs soulignent le goût prononcé des Canadiens pour les chevaux. Au début du xixe siècle, nous venons de le voir, les autorités britanniques encouragent les courses chez leurs nouveaux sujets, et jusqu'à la Confédération, en 1867, le gouverneur de la colonie cautionne par sa présence de très nombreuses courses. Par la suite, les autorités provinciales soutiennent ce genre de manifestations. Cette unanimité oblige l'Eglise catholique à tolérer ces événements très populaires. Enfin, la disponibilité d'un groupe d'hommes pouvant investir dans l'aménagement de pistes et l'organisation de courses vient concrétiser l'engouement des Canadiens français pour le sport équestre. Il s'agit dans la majorité des cas d'hôteliers qui y encaissent d'excellents profits.

Dans les autres disciplines sportives, la présence des Canadiens français est beaucoup plus discrète. Cependant, quelques-uns pratiquent divers sports bien avant les années 1890. Ordinairement, ces individus ne représentent qu'eux-mêmes. Ils ne fondent pas de clubs sportifs et ne siègent pas à leur bureau de direction. Le monde du sport organisé demeure le fief des anglophones, surtout des Écossais et Anglais, auxquels se joignent les Irlandais après la Confédération.

Dès 1842, un petit groupe de francophones adhère au Montreal Olympic Club. Très minoritaires, 24 membres sur les 241 que regroupe le club, ils proviennent en majorité des professions libérales. Parmi eux, Charles-Joseph Coursol, avocat, homme politique (il sera maire de Montréal de 1871 à 1873) et homme d'affaires fort à l'aise. Il est l'un des organisateurs des courses annuelles de raquettes parrainées par le Montreal Snow Shoes Club Dans les années 1850, il soutint le développement du jeu de crosse. On signale sa générosité envers les différents clubs sportifs de Montréal, auxquels il distribue régulièrement des prix. Il siège au conseil d'administration de la "Compagnie du Haras National" qui importe au Québec des chevaux de race.

À la même époque les frères Edouard et Auguste Lamontagne gagnent plusieurs épreuves de piste et pelouse. Charles Lamothe s'illustre en remportant des courses sur patins. Il joue également à la crosse et il est l'un des rares Canadiens français à faire partie d'un club de hockey. De 1860 à 1878, les frères Cyrille et Joseph Dion "soulèvent la fierté des Canadiens français" en exerçant une véritable suprématie au billard. Ils triomphent des meilleurs joueurs canadiens et américains et remportent des championnats même en Europe. Pendant l'éphémère fièvre vélocipèdique qui s'empara de certains sportifs à la fin des années 1860, Joseph Paquette est proclamé champion de plusieurs courses.

On pourrait ainsi citer encore quelques exemples. Mais, dans les années 1870, alors que le sport gagne de plus en plus d'adeptes parmi la bourgeoisie anglophone montréalaise, les francophones sont relativement peu touchés par le phénomène. Le journaliste Uldéric Beauregard le déplore en 1872 :

Depuis bien longtemps et à diverses reprises, écrit-il, nos journaux français ont signalé l'apathie qui existe parmi la jeunesse canadienne-française pour tous les exercices du corps (...). Le nombre de Canadiens-Français dont nous rencontrons les noms dans les rapports que nous donnent les journaux anglais de tous ces amusements est bien petit comparé à celui des Anglais".

En 1889, le baron Pierre de Coubertin, le père des Jeux olympiques modernes, en visite à Montréal, confirme la modeste participation des francophones au monde du sport organisé. Remarquant les nombreux clubs et associations sportives que se sont donnés les anglophones, il commente : "Dans toutes ces associations, les quelques Canadiens français qui aiment les exercices physiques et le plein air trouvent généralement un accueil très sympathique, mais on n'y parle qu'anglais et tout ce qui est anglais domine".

Les quelques clubs sportifs francophones qui naissent dans les années 1870 (crosse, base-ball et football) ont une existence éphémère. Seuls les clubs de base-ball, implantés dans plusieurs collèges classiques de la région de Montréal par des étudiants américains, peuvent se vanter de vivre plus d'une année ou deux. Contrairement à ce qui se passe chez les anglophones, les clubs sportifs francophones de cette époque n'adhèrent à aucune ligue. Il n'y a pas de régularité entre les parties, encore moins de calendrier. Les équipes ne sont identifiées à aucun lieu précis. Elles jouent au rythme des défis lancés. Tous ces facteurs ne favorisent pas la création d'un bassin de spectateurs qui contribuerait à la permanence des meilleurs clubs.

Les clubs de raquette à neige échappent à ces règles. Ainsi le club Le Canadien, créé en 1878, et le club Le Trappeur, créé en 1883, ont un avenir devant eux. Mais dans ces clubs on délaisse les compétitions sportives au profit de soirées dramatiques, de danses, de banquets, de promenades. Le caractère social est dominant.

L'Institutionnalisation du Sport chez les Canadiens Français: Les Précurseurs, 1890-1894

Dans les années 1890, l'urbanisation et l'industrialisation de Montréal s'accélèrent. Sa population et celle de sa banlieue sont multipliées par deux entre 1871 et 1891, passant de 126 314 à 250 165 habitants. Une bourgeoisie canadienne-française se développe. Ce groupe social exerce généralement un pouvoir local, c'est-à-dire à la dimension du village, de la paroisse et du quartier. Il se compose de membres des professions libérales, de petits commerçants, de spéculateurs fonciers et d'entrepreneurs. L'exode rural et l'annexion par Montréal de municipalités à majorité française qui débute en 1 883, puis prend de l'ampleur, fournissent à cette bourgeoisie une base démographique au nom de laquelle elle revendique plus de pouvoir.

Pour défendre ses intérêts, elle crée ses propres organisations ou relance d'anciennes institutions. "Je pense, entre autres, nous dit Annick Germain, au renouveau de l'Association Saint-Jean-Baptiste et à la création de la Chambre de Commerce du district de Montréal en 1887". La fondation des premières associations omnisports par des Canadiens français s'inscrit dans ce mouvement de "différenciation ethnique des réseaux institutionnels" que connaît Montréal dans les dernières décennies du xixe siècle. La consolidation de cette bourgeoisie fournira le terreau nécessaire à la naissance d'associations sportives pouvant revendiquer une certaine permanence. Mais attention ! La bourgeoisie francophone, cantonnée dans les petites et moyennes entreprises, ne possède pas les moyens financiers de la grande bourgeoisie anglophone impliquée depuis près d'un siècle dans l'organisation de clubs sportifs. Les organisations sportives francophones souffrent souvent de fragilité et leurs budgets révèlent leurs modestes moyens.

Ainsi, dans la première moitié des années 1890, l'intérêt pour le sport se développe chez les francophones de Montréal. Des associations omnisports tentent, péniblement, de s'organiser. De nouveaux clubs sportifs se créent. Un journalisme sportif émerge lentement et publicise ces nouvelles activités.

L'Académie d'Escrime et de Gymnastique du Professeur Legault

En 1890 existe à Montréal l'Académie d'Escrime et de Gymnastique du professeur David Legault. Née en 1882, cette institution, qui connaît des débuts modestes, enseigne avant tout l'escrime. Cependant, elle accorde une place grandissante à la gymnastique, s'implante dans les institutions d'enseignement, participe aux activités de certains clubs sportifs et dirige l'entraînement de membres de la milice. Dans un article intitulé "La gymnastique au Canada", signé du pseudonyme Jean D'Acier, l'auteur qui déplore l'apathie des Canadiens français face à "l'art de la gymnastique", se félicite des succès du professeur Legault qui a vu "ses méthodes simples et rationnelles adoptées par les collèges de Montréal et de Saint-Laurent". Chose encore plus surprenante pour l'époque, il a rejoint les institutions d'enseignement de jeunes filles. L'Académie apprend aux militaires les rudiments de la boxe, de la lutte gréco-romaine, du combat au fleuret, au sabre et à l'épée.

La Société Nationale de Gymnastique de Montréal

La création de la Société Nationale de Gymnastique de Montréal, même si elle n'atteint pas ses objectifs, demeure la première tentative sérieuse de fédérer les quelques clubs sportifs francophones de Montréal et de leur fournir une base permanente sur laquelle ils pourront asseoir leur développement.

Son fondateur, Joseph-Xavier Perrault, veut "faire comprendre aux autres nationalités que nous sommes quelque chose et quelqu'un. Il faut montrer aux autres que comme peuple industrieux et intelligent nous sommes non leurs égaux mais leurs supérieurs". Admirateur de la société moderne et du progrès qui en découle.

Les Carabins et le Ski: Une Histoire Surprenante

L’université de Montréal est l’une des deux universités francophones ayant leur pavillon principal dans la métropole québécoise. Son campus est situé sur le flanc nord du Mont-Royal et, ce, en bordure du quartier montréalais de Côte-des-Neiges. Le mandat principal est d’offrir un enseignement universitaire en Français dans le cadre de très nombreux programmes de formation.

« À la demande des étudiants, l’Association générale des diplômés de l’Université de Montréal présente, en 1943, un projet d’installation et d’exploitation d’un monte-pente sur les terrains de l’UdeM. Le monte-pente, considéré comme une des plus belles installations sportives de l’Université, fait fureur. Il est écrit dans le journal que le monte-pente a l’avantage sur ceux utilisés dans les Laurentides, «qu’il est rapide et que, de fait, il exige moins d’effort musculaire. En s’accrochant à notre câble l’on risque moins d’effort musculaire.» La pente de ski est principalement réservée aux étudiants, aux diplômés, aux membres du personnel ainsi qu’à leurs amis et conjoints.

«Amies, fiancées, épouses sont priées, une fois rendues au haut du monte-pente, de redescendre par les pistes qui sont à leur droite. Le centre de ski n’est plus en fonction depuis de nombreuses années et la nature a repris ses droits, avec un peu d’aide. En effet, grâce aux Amis de la montagne, «depuis 1998, près de 5500 arbres et arbustes ont été plantés sur les terrains publics et privés de la montagne», dont sur les anciennes pistes de ski.

En plus de l'aménagement de la piste de ski alpin, une colline munie d'un tremplin avait été érigée, afin de permettre la pratique du saut à ski qui était très en vogue au Québec, à cette époque. Cette installation rendait possible la tenue de séances d'entraînement au sein du site de l'université. Le ski de soirée ou de nuit y était offert grâce à la présence d’une ligne de lampadaires, située en bordure de celle du téléski, et qui étaient montés de lampes de phares ou de projecteur halogènes.

Bien que cette piste soit à l’abandon depuis 1985, le site demeure l’hôte de nombreuses activités, en été tout comme en hiver. En effet, nombreux sont les skieurs et planchistes qui s’y rendent le temps de quelques descentes au milieu de la ville et, ce, à quelques pas du métro. C’est ce qui explique pourquoi la nature prend un tel temps à y reprende ses droits, après autant d’années d’inactivité. Il faut prendre en note que ces activités sont informelles et dont l’université s’en dissocie. Il faut dire que cette dernière déploie surtout de l’énergie à reboiser le site, mais cet ouvrage est ralenti par les nombreux adeptes de cette piste historique et de proximité.

Le téléski double est venu en remplacement de l’ancien «rope-tow» qui avait été aménagé lors de l’ouverture de al pente en 1944. Selon la morphologie de ce «T-Bar», Hall Lifts il semble dater du tout début des années 1960. Ce dernier permettait de remonter un dénivelé de 55 mètres sur une longueur de 280 mètres, ces données nous permettent de constater qu’il gravissait une pente soutenue.

Ce téléski est désaffecté depuis 1985, en lien avec la baisse de popularité du ski alpin urbain et la difficulté à enneiger correctement cette pente, l’Université de Montréal, désirant diminuer ses dépenses, a mis fin à la pratique de cette activité hivernale à son complexe sportif le CEPSUM.

Finalement, avec le réaménagement du terrain de football (football américain) de l’équipe universitaire les Carabins de Montréal, la gare aval a été démolie pour faire place à un plus grand terrain de jeu. Le même sort a été réservé à la gare amont pour des raisons esthétiques au sommet, la station de retour rouillé a fait place à un aménagement paysager. Aujourd’hui, il ne demeure donc que la ligne de pylônes qui disparaît tranquillement au travers le feuillage des arbustes plantés. Le ski alpin sur le Mont Royal n’étant plus qu’un souvenir.

La station de retour du sommet a été entièrement démontée et a été remplacée par une terrasse de pierre servant de belvédère, ainsi que d’un aménagement paysager.

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