Les fusils de chasse sont spécialement conçus pour la chasse du petit gibier. En effet, ce sont des armes à canon lisse qui permettent de tirer des gerbes de plomb, d’acier ou autre alliage pour chasser le gibier d’eau par exemple. Quelquefois, on retrouve des fusils de chasse pour chasser le grand gibier. Il est possible de tirer des balles pour canon lisse afin de chasser le sanglier ou autre grand gibier. Toutefois, la précision ainsi que l’efficacité sera moindre qu’avec une carabine de chasse.
Actuellement dans le monde de la chasse, le fusil superposé représente la plus grosse partie des armes vendues pour la chasse du petit gibier. Arrivé en 1925 avec le célèbre Browning B25, le fusil superposé est aujourd'hui utilisé par la majeure partie des chasseurs. Conçu avec deux canons positionnés l’un sur l’autre, on retrouve un point de mire sur le bout du canon du haut. Le fusil superposé permet ainsi aux chasseurs d’avoir un champ de vision moins obstrué et de gagner en agilité, praticité et précision pour tirer un gibier en mouvement. D’autres avantages sont également à noter. Le superposé est construit de sorte à ce que les chasseurs puissent chasser plus longtemps. En effet, le poids de l’arme est uniformément réparti, ce qui permet de moins subir le poids du fusil et d’être moins fatigué de porter son arme durant toute une journée de chasse.
Voici le premier fusil de chasse qui a été confectionné : le fusil à canon juxtaposé. Comme son nom l’indique, il est composé de 2 canons qui sont positionnés l’un à côté de l’autre de manière horizontale. Le point de mire se trouve à la jonction des 2 canons sur le bout de l’arme. Principalement utilisé avant l’arrivée du superposé et surtout par les chasseurs avant les années 2000, il est encore aujourd’hui un fusil de collection car de très grandes manufactures ont fait de très jolies armes sur la base de fusils juxtaposés. Les quelques chasseurs utilsant encore des fusils juxtaposés sont souvent des amoureux des belles armes ou bien ont une valeur sentimentale (fusil de famille). A l’époque, une très grande partie des fusils juxtaposés sont composés de 2 détentes. Cette caractéristique permettait d’avoir 2 cartouches différentes et de choisir laquelle tirer en fonction du gibier levé.
Aujourd’hui dans le monde de la chasse, il est rare de croiser un chasseur avec un fusil monocoup. D'une part car il y avait peu d'utilisateurs et d’autre part car la production de ce type de fusil chez les manufacturiers n'était pas importante. Mais pour autant, ce n’était pas un mauvais fusil, loin de là ! Il était souvent doté d’un très bon canon offrant de grandes performances de tir.
Voici le plus moderne après le superposé : le fusil semi-automatique. Ce type d’arme permet de tirer 3 cartouches successivement avec une culasse qui éjecte la cartouche précédente et fait monter la suivante dans l’arme après le premier tir. Le fusil semi-automatique connaît un grand succès surtout dans le sud de la France.
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Le mixte est un fusil de chasse que l’on retrouve surtout dans le rabat. Il se compose d’un canon lisse et d’un canon rayé. Ainsi, il permet d’avoir un canon pour chasser le petit gibier et également un canon pour chasser le grand gibier.
Très similaire au mixte, le fusil drieling se compose de 3 canons. Le plus souvent, on retrouve 2 canons lisses juxtaposés, accompagnés d’un canon rayé en dessous. Toutefois, il est possible également de trouver l’inverse, c’est-à-dire 2 canons rayés juxtaposés avec un canon lisse en dessous. Toujours composé de 2 détentes, il est ainsi possible de tirer 2 coups en choisissant quel canon vous souhaitez tirer. C’est une arme que l’on retrouve très souvent dans les mains des rabatteurs lors des battues afin d’avoir à disposition du plomb pour le petit gibier et des balles pour le grand gibier. Seul gros point noir de cette arme, c’est son poids.
Ce fusil canardouze Luger Triple canon est une révolution dans l'univers des fusils destinés à la chasse à la hutte. Luger propose le premier canardouze triple, équipé de 3 canons, appelé Luger 312 Gabion Unlimited. Véritable canardouze, il permet de tirer les deux canons parallèles simultanément et offre un troisième canon qui permettra de tirer instantanément une troisième cartouche. Ainsi, il combine les avantages du canardouze en pouvant tirer en doublé et les avantages du semi-automatique en pouvant tirer 3 cartouches à la suite.
Ce nouveau canardouze est équipé d’un sélecteur prévu pour être utilisé dans le noir tout en sachant sur quelle position on se trouve. Tout comme les autres canardouzes de la famille Luger, le 312 est mono-détente ce qui évite de s’abîmer le doigt en tirant des doublés contrairement aux fusils à deux détentes. Son poids de 6,500 kg limite le recul avec un système exclusif de lestage qui permet de rajouter 6 contrepoids à l'intérieur de la crosse pour une amélioration du poids de 400 grammes. Son canon est équipé de manière inédite de deux bandes pleines de 10 mm une sur le dessus et une sur le dessous entre les deux canons parallèles.
Ce fusil canardouze Luger 12/89 camo est livré avec ses 5 chokes interchangeables et leur clé. (3 chokes 1/2 et 2 chokes full) Il est possible de démonter le support de grenadière du canon afin d'éviter que celui-ci bute contre la guignette au moment du tir. Lorsque le sélecteur est positionné en bas, la sécurité est enclenchée, lorsqu'il sur la position 2, le tir est au coup par coup des 3 canons et quand il est en position 3, ce sont les deux coups en même temps qui partent puis le dernier coup. Prévu pour durer dans le temps, ce fusil est doté d’une crosse synthétique incassable.
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Cette crosse synthétique et le canon sont recouverts du camouflage roseau Max-5 Bronzage mat anti-reflet, idéal pour la chasse par soir de lune. Ses canons mesurent 81 cm et possèdent une réglette de 11 mm permettant le montage d'une lunette. Ce canardouze Gabion Unlimited est garanti 2 ans.
Les fusils à triple canon ne sont pas une nouveauté. Dénommés « Schrott Drillinge » par nos voisins d’outre-Rhin, ils étaient déjà disponibles au début du XXème siècle. Le troisième canon était en général placé sous les deux autres tubes. Ces fusils étaient conçus pour une chasse généraliste. Certains possédaient trois détentes et un sélecteur. Ils ont disparu avec l’arrivée des semi-automatiques fiables.
AKKAR est une entreprise turque, fondée en 1985, qui se consacrait à la sous-traitance de pièces pour l’industrie automobile et armurière dans une usine ultra moderne. En 1992, AKKAR se lance dans les armes, avec des fusils à pompe et des semi-automatiques vendus sous la marque ALTAY. AKKAR va s’associer à d’autres fabricants occidentaux en produisant pour eux différents modèles de juxtaposés ou superposés sous la marque CHURCHILL. L’apparition des fusils à trois canons Mammut 300 consacre définitivement le succès pour AKKAR. L’intérêt pour les triples canon existe en France dans le milieu des chasseurs à la hutte, car il combinerait les avantages du canardouze avec un troisième coup immédiatement disponible.
À l’instigation de Matthieu VITAL, chef de produits chez RIVOLIER et passionné de hutte, en partenariat avec GABION UNLIMITED, le développement du 312 est lancé chez AKKAR sous la marque LUGER. La gestation durera plus de deux ans. Les canons doivent être rallongés à 81 cm pour assurer des tirs à grande distance, et le poids doit être augmenté pour rendre le recul supportable. La sécurité pour le tireur est de première importance : le système de percussion doit empêcher de façon 100% fiable le départ simultané des 3 tubes. De même, pour réduire les blessures au doigt du tireur, il est impératif de conserver la mono détente.
Afin d’optimiser le rendement lors du tir simultané des deux canons, ces derniers sont montés de façon parfaitement parallèle, sans convergence, ce qui garantit une couverture importante à l’arrivée de la gerbe, particulièrement appréciée lors du tir d’un groupe de canards posés à grande distance. Le troisième canon permet « d’assurer », le cas échant, sur un ou des oiseaux blessés. Le tir sur cible à plus de 50 mètres valide le concept. Les canons sont éprouvés pour tout type de grenailles de substitution. Chambrés en 12/89, ils sont équipés d’embouts interchangeables. Le Luger 312 est livré avec 6 chokes : 3 demi et 3 full.
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Comparé au Mammut 335, destiné au tir au vol et ne pesant que 3,95 kg, il a fallu alourdir le 312 pour protéger l’arme et, surtout, le tireur lors du tir simultané de charges lourdes (50 g et plus ). AKKAR a soudé deux bandes pleines de 10 mm, une sur le dessus et une sous les deux tubes parallèles. Ces bandes, lourdes et épaisses, combinées à la crosse en matériau synthétique presque indestructible et les 6 contrepoids de 66 g logés dans cette dernière portent le poids du Luger 312 à un bon 6,5 kg.
Ce n’est pas tout, le 312 est équipé d’un amortisseur de recul. La plaque de couche en élastomère est efficace. Au niveau du tonnerre, la bande supérieure reçoit un rail en acier de 11mm pour le montage de la lunette de gabion.
L’originalité du Luger 312 triple canon réside dans son système de commande de la percussion. Cette partie a été difficile à mettre au point pour une utilisation de longue durée, fiable et sure. L’intégration de la commande des départs simultanés au système qui interdit le départ des 3 canons ensemble, tout en gardant la mono détente sélective fut un véritable casse-tête, qui a exigé une longue mise au point. Les ingénieurs turcs pensaient ne pas y arriver lors de la réception du cahier des charges. La mise au point a demandé beaucoup de travail et d’essais.
La chasse étant fermée lors des essais du Luger 312, je me suis contenté de le tirer en stand, en appui sur un sac un peu comme dans une hutte, mais aussi au vol sur plateaux. Lors de la prise en main du jouet, j’ai tiré deux WINCHESTER XX Super Magnum de 63 g, le fusil étant imparfaitement tenu de façon volontaire. Le recul est brutal, déstabilisant, mais la gerbe arrive où il faut. En revanche, ce genre de tir répété vous laissera des séquelles. Lorsque le 312 est bien épaulé, même sans le poids supplémentaire d’une lunette, le recul reste parfaitement gérable. Le stand n’offrant qu’une soixantaine de mètres, j’ai tiré sur un plateau posé à 50 m sur une palette, les 126 g de grenaille numéro 4 pulvérisant le plateau et détruisant la palette. La densité est bien là, tout comme la surface importante couverte par la gerbe. Au vol, le poids se fait sentir mais c’est jouable, si on n’essaie pas de faire une planche de 25.
Après cette avant-première, je n’ai pu récupérer le fusil que pour une petite semaine en juin. Je l’ai fait essayer à mon ami Fabrice, huttier passionné habitué au canardouze et au BROWNING Maxus. Nous avons testé le Luger sur des gongs d’acier à 50 et 75 m. Pendant qu’un tirait, l’autre observait les cibles pour évaluer la gerbe et sa consistance, ou essayait de prendre l’impact en photos. À 75 m, la densité de billes de gros diamètre touchant le gong de plus de 10 kg est suffisante pour le faire remuer. Le troisième canon porte quasiment au centre de la gerbe des deux premiers. Malgré la forte chaleur et les tirs en succession rapide, plus proches du ball-trap que de la chasse à la hutte, nous n’avons pas eu à souffrir d’un seul problème. Percussion, extraction et tenue des groupements furent parfaites.
Voici un fusil qui va sans aucun doute faire couler beaucoup d'encre ! C'est un fusil à trois canons de calibre 12/89 et dont les deux coups du bas, juxtaposés peuvent être tirés en même temps. Rivolier et son chef de produit Matthieu Vital ne sont pas peu fiers de présenter ce nouveau fusil de chasse à trois canons après 2 années de développement. C'est donc un mélange de juxtaposé et de superposé avec un sélecteur de tir très innovant. Il pèse 6,5 kg et il est équipé d'une crosse en polymère revêtue d'un camouflage Max 5 qui lui donne un look très sympa.
Avantage de la crosse polymère sur un canardouze est la garantie qu'elle ne casse pas après plusieurs années à tirer des doublés en 12/89. Ce fusil possède donc la particularité d'avoir trois canons. Les deux du bas, juxtaposés, sont parallèles. Le but est d'offrir une couverture de gerbe plus large lors du tir simultané de ces deux coups. Il est chambré en 12/89, ce qui permet d'envoyer deux super magnum, donc jusqu'à 140 g de grenaille pour les munitions les plus chargées ! Le troisième canon est réglé pour tirer au milieu des deux gerbes du doublé. Pour avoir testé en stand le tir de deux cartouches simultanément, heureusement que le fusil pèse 6,5 kg car le recul est tout de même très viril. Mais les sauvaginiers sont ainsi assurés de pouvoir ramasser des oiseaux même à longue portée !
Le canon est équipé de manière inédite de deux bandes pleines de 10 mm une en haut et une en bas afin de l'alourdir. Le sélecteur de tir, placé sur le col de la poignée pistolet permet de tirer en coup par coup ou en simultané suivant sa position. Le fusil est livré avec une réglette de 11mm pour poser une lunette de hutte.
Les armes, dites d’épaule, rassemblent la totalité des armes qui sont épaulables lors du tir. Comme armes d’épaule, on peut, par exemple, citer les fusils de chasse et les fusils d’assaut. Les armes d'épaule se scindent notamment en deux grandes catégories :
Il est aussi à noter qu’il existe des fusils de chasse qui possèdent trois ou quatre canons et des fusils de chasse mixtes.
En ce qui concerne le canon rayé, sa conception a pour but de donner une certaine rotation à un projectile. Celle-ci va permettre au projectile d’avoir une stabilité gyroscopique au cours de son vol. Le projectile sera ainsi plus insensible aux conditions externes (pluie, vent...) qui sont susceptibles de pouvoir modifier sa trajectoire. La réalisation des rayures se fait durant la fabrication du canon. Les rayures se gravent notamment à l’intérieur du canon sur toute la longueur de ce dernier.
Vient ensuite le célèbre 'Drilling' qui combine deux canons lisses à un seul rayé et dont la version contraire à un seul tube lisse et deux rayés se nomme 'Express Drilling'. Les choses pourraient demeurer simples sans le génie de maîtres armuriers qui ont assemblé deux canons lisses à deux canons rayés, donnant naissance aux 'Vierling'. Évidemment tout reste possible dans ce domaine et l'une des armes combinées les plus sophistiquées reste le fameux 'Bergstutzen' qui allie un canon rayé de calibre moyen à un second canon de petit calibre, l'arme, comme l'indique son nom, étant destinée à la chasse en montagne où l'on peut tirer un ongulé comme un grand coq, un chamois ou une marmotte, un chevreuil et un lièvre… en Autriche, bien sûr !
Il ne suffit pas d'assembler un faisceau de canons de types et de calibres différents pour obtenir une arme combinée. En effet c'est l'astreinte la plus élevée qui s'impose et s'il y a par exemple un canon calibre 7x65R dans l'assemblage, il conviendra de construire une bascule apte à supporter les contraintes de ce calibre. C'est pourquoi, même s'il s'agit d'armes tirant surtout des cartouches lisses, elles doivent d'abord être considérées comme des carabines, en avoir les attributs et surtout la résistance.
Un second point qui souvent échappe à l'amateur est l'exigence de la convergence. Régler plusieurs canons de calibres différents de manière à ce que leur tir corresponde à une visée unique relève de la gageure. Passe encore lorsqu'il s'agit d'un drilling basique exploité à la grenaille de plomb et dont le tube rayé est parcimonieusement utilisé, à la lunette le plus souvent, mais lorsqu'il faut faire converger deux canons rayés, qui plus est, tirant deux calibres aux performances distinctes et à des distances divergentes n un calibre moyen comme le 6,5 x 57R réglé à 170 m et un petit calibre comme le 22 Hornet réglé à 100 m n le problème rejoint vite celui de la quadrature du cercle…
On voit donc qu'ajouter à la complexité nuit à la fiabilité.
Si l'équilibre d'un mixte reste proche de celui d'un fusil conventionnel, pour peu que les canons aient été réduits en longueur, celui d'un drilling présente une balance en avant due au surpoids des canons. Sur une production standard, c'est la longueur qui en fait les frais et la majorité de ces armes possède des canons qui n'excèdent pas 65 cm, le plus souvent fortement restreints aux chokes.
Sur les productions artisanales plus fines, l'emploi d'aciers spéciaux à très haute résistance comme le Böhler 'Super Blitz' permet, en réduisant l'épaisseur des parois, de maintenir des poids et des équilibres raisonnables.
De fait le fusil mixte Chiappa M6 peut servir à tout ou presque. A la chasse par exemple, on couvrira un large spectre allant de l’écureuil (grâce au .22 LR) jusqu’au sanglier (avec une bonne slug). Le Chiappa M6 pourra aussi assurer la protection de son détenteur contre les prédateurs pouvant surgir avec l’isolement. Si le canon rayé de la M6 reste en .22 LR, son canon lisse peut être en calibre 12 ou en calibre 20. Dans le premier cas vous profiterez d’une munition plus répandue mais plus violente.
Le Chiappa M6 reprend le vieux système du double canon superposé basculant, permettant un accès immédiat et simultané aux deux chambres. Le large pontet fait à la fois office de clé de déverrouillage et de levier d’armement. Quand il est poussé vers le bas, il met la batterie en position armée, qu’on en profite pour basculer les canons ou non. On notera que ce levier est bien plus facile à manœuvrer que la clef supérieure d’un fusil traditionnel. En outre il sera suffisamment large pour une main gantée ou bandée. Le décollement de la douille est assuré par un extracteur central. Sur le Chiappa M6, les éléments mécaniques cruciaux sont en acier bronzé pour garantir à l’arme une robustesse sans faille.
De façon ingénieuse, cette crosse présente des logements intégrés permettant de garder à portée de la main deux cartouches pour le canon lisse, et 5 cartouches de .22 LR. On notera aussi une alvéole supplémentaire occupée par un cordon de nettoyage et des écouvillons .22 LR. Sur le dos de poignée de la M6, on trouve un bouton de sûreté facile utiliser avec le pouce.
Pour l’ajout d’une optique ou d’accessoires d’aide à la visée (lampe, laser…), le fusil mixte Chiappa M6 jouit de 3 rails picatinny à 12, 3 et 9 heures. Chacun fait environ 9 cm. Les deux canons font 47 cm de long. Si cette longueur est parfaite pour le .22 LR, on considère pour du 12 ou du 20 qu’il s’agit d’un canon "court". Afin de gagner en portée, le tube lisse se voit donc équipé d’un choke amovible de restriction ½.
Côté transport, lorsqu’ils sont déverrouillés, les canons peuvent être rabattus très loin sur la crosse. L’arme forme alors un triangle rectangle de hauteur 26 cm et de base 48 cm (environ), facile à glisser dans un sac à dos.
Type de Fusil | Nombre de Canons | Disposition des Canons | Utilisation Principale |
---|---|---|---|
Superposé | 2 | Verticale | Chasse du petit gibier |
Juxtaposé | 2 | Horizontale | Collection, chasse traditionnelle |
Monocoup | 1 | - | Rare, performances de tir |
Semi-automatique | 1 | - | Tir rapide, chasse au sud de la France |
Mixte | 2 | Variable | Chasse du petit et grand gibier |
Drieling | 3 | Variable | Chasse polyvalente, rabatteurs |
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