La Seconde Guerre Mondiale (1939-1945) fut un conflit planétaire extrêmement meurtrier. L'un des faits marquants de la Seconde Guerre Mondiale a été l'utilisation d'armes à feu, notamment des armes de poing et des armes longues, qui ont joué un rôle déterminant dans le dénouement des affrontements.
Le Sturmgewehr 44, souvent abrégé en StG 44, est un fusil d'assaut allemand qui a marqué une étape importante dans l'histoire de l'armement. Il est considéré comme le premier fusil d'assaut véritable de l'histoire.
L'une des spécificités du StG44 et des fusils d’assaut modernes est l’utilisation de ce qu’on appelle une munition intermédiaire. Une munition moins puissante que les cartouches en services dans les fusils de l’époque mais avec une efficacité balistique bien supérieure à des munitions de pistolets.
Vers la fin des années 30, le concepteur Hugo Schmeisser commença à travailler sur un fusil automatique qui utiliserait une cartouche de court-cas, soit avec une douille plus courte. Les essais avaient prouvé que la cartouche normale de fusil était trop puissante pour un fusil automatique, rendant l’arme trop difficile à contrôler quand on ouvrait le feu. L’utilisation de la cartouche de court-cas était donc obligatoire.
En 1939, le bureau central allemand lance un programme pour une « Maschinen Karabiner » MKb aménagée pour la nouvelle cartouche 7.92×33 Kurz. Deux entreprises vont alors proposer leurs prototypes: Haenel avec le MKb 42 (H) et Walther avec le MKb 42 (W). À l’issue de ces tests, on préférera la version développée par Haenel grâce à une meilleure fiabilité.
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Malgré le manque d’intérêt du Führer, les développements vont se poursuivre pour améliorer l’arme notamment en la modifiant pour qu’elle tire avec une culasse fermée. Et l’arme va devenir le MP43. En 1944, sa désignation fut changée pour MP 44 ; plus tard cette année là, elle fut de nouveau modifiée pour Sturmgewehr (fusil d’assaut) 44, créant ainsi une nouvelle catégorie d’arme à feu (le nom avait alors été choisi pour des raisons de propagande). Environ 500 000 Stg 44 furent livrés aux troupes allemandes combattant sur le front de l’Ouest. Ses utilisateurs en étaient très satisfaits, mais elle arriva trop tard et en trop faibles quantités pour influencer le cours de la guerre.
Le StG 44 a été produit en moins de 426 000 exemplaires, dont environ 300 000 ont été effectivement utilisés au combat entre 1943 et 1945. Les 130 000 autres ont été capturés essentiellement par les russes avant même leur envoi en ligne.
Un fusil d’assaut, c’est d’abord une arme compacte (moins d’un mètre), portable par un seul homme avec son stock de munitions suffisant pour un combat standard, fonctionnant en mode semi-automatique et automatique, et qui reste contrôlable en mode rafale.
Le StG 44 est souvent comparé à l'AK-47, bien qu'il existe des différences significatives entre les deux armes. Le StG 44 utilise une complexe culasse à coin basculant contre une culasse rotative dans la AK47.
Le StG 44 utilise un piston à tige fixe et non solidaire de la culasse. Ce piston, indépendant de la culasse, frappe une tige de transmission qui pousse le bloc culasse vers l’arrière. Le mécanisme du StG44 est in fine plus proche de certains fusils semi-auto comme …le SKS 45 du russe Simonov que le l’AK47!
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Kalashnikov est un génie de la mécanique pure. Dans le STG 44, le boîtier est segmenté en sous-ensembles distincts, chacun ayant son propre logement: la culasse est guidée dans des rails séparés, le ressort récupérateur est logé dans un tube séparé, la partie supérieure et inférieure du boîtier forment deux pièces bien distinctes assemblées ensemble.
Dans le AK47, la philosophie de conception est radicalement différente. Le boîtier de culasse en tôle emboutie (ou même usiné selon les versions) est structuralement intégré à l’arme. Il sert, lui même et directement, de support à plusieurs composants internes. Il assure le guidage du piston et du bloc culasse, le logement du ressort récupérateur, l’ancrage du système de détente.
Au début de 1945, apparurent aux mains des combattants Allemands du Volkssturm, (unité combattante constituée de vieillards et de gamins armés en hâte pour essayer d’endiguer l’avancée des Anglo-américains à l’ouest et du rouleau compresseur soviétique à l’est) toute une série d’armes dites « de nécessité ».
Un des responsables de Gustloff, l’ingénieur Karl Barnitzke avait mis au point durant la Deuxième Guerre mondiale un fusil d’assaut simplifié tirant la mythique cartouche de 7,92×33 Kurz dévolue au Sturmgewehr : le MP507. En novembre 1944 son arme fut soumise à l’approbation d’Adolf Hitler qui, voulant tout contrôler, s’empressa de la rejeter car faisant double emploi avec le Sturmgewehr 44.
Il fallut attendre Janvier 1945 pour que la production de l’arme soit relancée en version simplifiée (dépourvue du mécanisme de tir en rafale) pour doter le Volkssturm.
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Lorsque la situation se dégrada encore vers le début de 1945 chaque Gauleiter (responsable local équivalant à un préfet) fut doté de pouvoirs accrus, et chargé d’organiser les fabrications de moyens de défense à l’échelle locale. Ainsi, Fritz Sauckel utilisa au mieux les ressources de son Gau (province) de Thuringe en faisant fabriquer chez Gustloff environ 10 000 exemplaires du modèle.
Le numéro de série « Th. 3984 » que nous observons sur notre exemplaire est en très bon état. Il n’est seulement frappé que sur le côté gauche de la crosse qui est constituée d’une simple planche découpée et rivetée à la carcasse. Les lettres préfixes « Th. » identifient le « Gau » de Thuringe.
Aucun poinçon de contrôleur, d’épreuve ou de fabricant n’est porté sur l’arme : ceci accrédite ainsi la thèse d’une fabrication d’urgence dans les dernières semaines de la guerre. Le seul marquage à part le numéro de série sont les lettres « S » et « F » au niveau du levier de sûreté.
Le concepteur a ainsi tablé sur un retard à l’ouverture de la culasse tout d’abord induit par son importante masse puis assisté par le prélèvement des gaz pour contrecarrer le recul initié par le départ du coup. Dans ce mouvement arrière, la culasse se trouve également amortie par un puissant ressort récupérateur.
La construction de l’arme recourt autant que possible à la tôle emboutie, au rivetage et à la soudure. Ainsi, la carcasse et le système de mise à feu font massivement recours à ces technologies.
À quelques centimètres de la bouche, le canon est percé de 4 évents d’emprunt de gaz périphériques disposé à 90° les uns des autres. Lorsque, poussé par les gaz issus de la combustion de la poudre, la balle dépasse ces évents, les gaz envahissent la chambre constituée par le manchon qui entoure le canon.
La pression de ces derniers contribue à ralentir le mouvement arrière de culasse en prenant appui sur la partie avant du manchon. Sous doute mis au point à force de mathématique et d’expérimentation, le placement des 4 évents doit correspondre à l’endroit permettant le meilleur «timing» quant à l’ouverture de la culasse de cette importante masse.
Outre le StG 44, l'Allemagne a développé et utilisé une variété d'armes pendant la Seconde Guerre mondiale, chacune ayant ses propres caractéristiques et utilisations.
Quand l’armée allemande va faire l’acquisition de la MG34, elle va rapidement se rendre compte que malgré son efficacité et sa fiabilité, l’arme est complexe et coûteuse à fabriquer. L’Allemagne met donc en place une sorte de concours pour que les entreprises du Reich proposent un nouveau prototype pour une mitrailleuse universelle efficace, fiable, simple et moins onéreuse.
En 1937, les autorités militaires vont sélectionner le prototype de l’entreprise Grossfuss Metall und Lackier-Warenfabrik qui comme son nom l’identique n’est pas une entreprise de l’armement mais un spécialiste des métaux et de la peinture. En 1938, la mitrailleuse est améliorée grâce à l’implémentation d’un système de changement de canon extrêmement rapide et simple. S’en suit une période d’essai et de tests dans l’armée à partir de 1939.
La MG42 est une des armes les plus emblématiques de la Deuxième Guerre mondiale grâce à sa fiabilité, son ergonomie notamment grâce à son changement rapide du canon et de sa relative simplicité. D’ailleurs l’arme a eu un important impact sur le développement des mitrailleuses et fusils mitrailleurs.
La MG 34 était une des plus grandes innovations dans l’histoire des armes. Cependant, la conception et la main d’œuvre exigées pour la fabrication étaient respectivement longue et coûteuse. Avec de telles exigences, l’arme s’était vite retrouvée hors des chaînes de production. À la fin de 1940, les Allemands réalisèrent qu’ils devaient remplacer la MG 34 par un substitut mieux adapté à la production à grande échelle. Ainsi fut développée la MG 42. L’arme était refroidie à l’air, le mécanisme de recul basé sur une conception nouvellement inventée d’une culasse avec des rouleaux. Les munitions ceinturées de calibre 7,92 mm alimentaient l’arme par la gauche.
MP40 mitrailleuse, 9mm, Allemagne 1940 (Seconde Guerre mondiale). Le MP40 (Maschinenpistole 40) était une mitraillette automatique largement utilisée par l'Allemagne nazie (généralement par des officiers et des parachutistes) pendant la Seconde Guerre mondiale. Conçu par Heinrich Vollmer d'Erin, pour équiper les soldats d'une arme d'assaut, principalement des unités d'infanterie mécanisée et des parachutistes, il fut fabriqué jusqu'à la fin du conflit. Excellente arme pour les combats de courte portée (zones urbaines, forêts, etc.), elle était cependant inefficace dans les combats en terrain ouvert en raison de sa faible portée.
Le MP40 ou Maschinenpistole 40 est un pistolet mitrailleur allemand chambré en calibre 9 mm. Produit dans les années 1930, le MP40 disposait d'un chargeur d'une capacité de 32 cartouches qu'il pouvait tirer à une cadence de 600 coups/minute. Grâce à sa crosse pliable, son format compact et son poids léger, le pistolet mitrailleur MP40 était facile à transporter. Il équipa principalement les troupes d'assaut allemandes, notamment les parachutistes et les unités de reconnaissance. Particulièrement efficace dans les combats urbains, le MP40 fût massivement utilisé lors de la bataille de Stalingrad.
Du tout puissant pistolet-mitrailleur allemand MP40 à l'emblématique fusil américain M1 Garand, les armes employées lors de la Seconde Guerre Mondiale étaient disparates et novatrices, caractérisant la pointe de la technologie militaire de l'époque.
Le pistolet Colt 1911 est une arme de poing semi-automatique qui fût massivement employée par les troupes américaines lors de la Seconde Guerre Mondiale. Mis au point par John Browing vers les années 1900, le pistolet Colt 1911 était très apprécié pour sa puissance, sa fiabilité, sa prise en main confortable et sa grande polyvalence. Chambré en calibre .45, le pistolet Colt 1911 était utilisé comme arme de poing par les officiers, comme arme de secours pour les mitrailleurs et comme arme de base pour les forces spéciales. Par la suite, le pistolet Colt 1911 a connu de nombreuses variantes, ce qui en a fait l'arme de poing la plus célèbre dans le monde entier.
Le pistolet Luger P08 est une arme de poing semi-automatique mise en service en 1908 et qui allait devenir l'une des armes les plus symboliques de la Seconde Guerre Mondiale. Produit par Georg Luger, un fabricant allemand d'armes à feu, le pistolet Luger P08 était l'arme de poing en dotation dans l'armée allemande jusqu'à la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Ce pistolet chambré en calibre 9x19 mm Parabellum et d'une capacité de 8 coups, utilise un mécanisme de verouillage à bascule qui lui offre une excellente précision. Son aspect distinctif avec sa forme ergonomique en fait une arme de poing largement reconnaissable.
Le Walther P38 est un pistolet semi-automatique employé par l'armée allemande lors de la Seconde Guerre Mondiale. Cette arme de poing à été produite en 1938 par Carl Walther GmbH afin de renouveler le Luger P08 sur le déclin. Chambré en calibre 9 mm et doté d'un cargeur de 8 cartouches, le pistolet Walther P38 était réputé pour sa précision et sa grande facilité d'utilisation. Son mécanisme de verouillage à culasse basculante en a fait une arme de poing très appréciée des militaires ainsi que par les tireurs civils.
Le M1 Garand est un fusil semi-automatique employé par l'armée des Etats Unis lors de la Seconde Guerre Mondiale, ainsi que pendant la guerre de Corée. Produit dans les années 1930 par John Garand, cette mythique arme longue à été officialisée comme arme princiaple des forces armées américaines dès 1936. Le fusil M1 Garand était très populaire grâce à sa précision, sa robustesse et sa puissante cartouche de calibre Springfield 30.06. Pendant la Seconde Guerre Mondiale, le M1 Garand était plébiscité parmi les troupes d'infanterie US.
Le Mosin Nagant est un fusil à verrou employé par l'armée soviétique lors de la Seconde Guerre Mondiale. Ce fusil qui à été produit en 1891 par les ingénieurs Sergei Mosin et Léon Nagant, tirait des munitions de calibre 7,62 x 54 mm R. Le Mosin Nagant à connu différentes variantes telles que le modèle 1930 ou le modèle 1944. Cette légendaire arme longue était très appréciée des troupes soviétiques en raison de sa grande robustesse et de sa très bonne précision à longue portée. De nos jours de nombreux tireurs sportifs et collectionneurs d'armes anciennes lui portent une grande considération.
Le Karabiner 98K, aussi connu sous le nom de K98K ou Mauser K98, est un fusil à verrou employé par l'armée allemande lors de la Seconde Gerre Mondiale. Cette arme longue d'infanterie en dotation dans les troupes allemandes et chambrée en calibre 7,92 x 57 mm était réputée pour sa puissance, sa grande précision et sa robustesse. Le Karabiner 98K à été fabriqué en millions d'exemplaires et demeure aujourd'hui une arme emblématique de la Seconde Guerre Mondiale. Il est de nos jours toujours utilisé parmi les tireurs sportifs passionnés d'armes anciennes.
Le pistolet mitrailleur Thompson, aussi connu sous le nom de Tommy Gun, est une arme automatique employée par les soldats américains lors de la Seconde Guerre Mondiale. Produit au début des années 1920 par John Thompson et finalement mis en dotation dans l'armée US dès 1938. Le pistolet mitrailleur Thompson est chambré en calibre .45 ACP et était très apprécié grâce à sa forte cadence de tir, ce qui en faisait à l'époque une arme redoutable dans les combats rapprochés. Son utilisation par des organisations criminelles a contribué à sa popularité.
Le pistolet mitrailleur Sten MKIV est une arme automatique employée par les forces britanniques et du Commonwealth lors de la Seconde Guerre Mondiale. Mis au point en 1941, le pistolet mitrailleur Sten tirait en rafale des munitions de calibre 9 mm et disposait d'un chargeur de 32 coups. Cette arme de guerre était connue pour sa simplicité de fabrication, son faible coût et son design compact. Malgré quelques problèmes de fiabilité, le pistolet mitrailleur Sten équipa la totalité des soldats britanniques ainsi que quelques résistants français et polonais.
La carabine USM1, ou M1 Carbine en anglais, est fréquemment assimilée au M1 Garand, tout en étant une arme différente et tirant des munitions moins puissantes. Produite dans les années 1940 dans les usines Winchester ainsi que dans d'autres firmes américaines, et chambrée en calibre 7,62 x 33 mm, la carabine USM1 était principalement employée par les parachutistes américains ainsi que par les soldats US dont le rôle les empêchait de posséder une arme de guerre longue de taille standard.
La grenade à fragmentation MK2, qui remplaca la grenade MKI qui avait été utilisée lors de la Première Guerre Mondiale, est équipée d'un détonateur temporisé avec un délai d'environ 5 secondes. Le boitier de la grenade MK2 est en fonte et dotée d'une surface rainurée de 40 boutons échelonnés sur cinq rangées et huit colonnes. Cette grenade à main était très efficace dans les situations de combat, dans un rayon de 30 mètres environ.
Réplique ne tirant pas, pour la décoration uniquement de l'arme de la Wermarcht. Toutes pièces mobiles fonctionnelles. Fabrication fidèle et de qualité, bois et métal. Reproduction très proche de la réalité, entièrement démontable et remontable.
La réplique factice Denix du pistolet Colt 1911 est disponible en 3 différents coloris. Comme le modèle d'origine, le pistolet décoratif M1911-A1 de chez Denix est entièrement fonctionnel et démontable, mais ne peut tirer des munitions pour des raisons de sécurité. Le poids et les dimensions sont reproduits à l'identique afin d'offrir une réplique factice la plus fidèle et la plus réaliste possible.
La réplique factice Denix du pistolet Luger P08 fonctionne exactement comme la véritable arme à feu. Tous les mécanismes sont opérationnels tels que la culasse et le détente mobiles, le chargeur amovible, mais ne peuvent tirer de projectiles. Le pistolet Luger P08 décoratif de chez Denix est tellement réaliste que même un expert en armes anciennes aurait des difficultés à le différencier de l'original.
A l'instar de l'original, la réplique factice Denix du pistolet Walther P38 possède une culasse mobile en métal et des plaquettes de crosse striées en bakélite. Les mécanismes sont fonctionnels mais ne peuvent faire feu pour des raisons de sécurité. Le pistolet décoratif Walther P38 de chez Denix est conforme en terme de poids, dimensions et volume de surface.
De qualité musée, la réplique factice Denix du fusil M1 Garand est très souvent présente dans les reconstitutions historiques sur la Seconde Guerre Mondiale. Rarement une reproduction d'arme n'à été aussi bien réalisée : tous les mécanismes sont fonctionnels mais ne peuvent tirer de projectiles pour des raisons de sécurité. Le fusil décoratif M1 Garand de chez Denix est l'une des pièces les plus recherchées par les collectionneurs d'armes anciennes.
Fabriquée tout en authentique bois et métal, la réplique factice Denix du fusil Karabiner 98K présente les mêmes caractéristiques que la véritable arme de guerre. Le poids, les dimensions, le volume de surface, tout à été reproduit à l'identique. Le fusil décoratif Karabiner 98K de chez Denix offre un réalisme plus vrai que nature.
Il n'est pas rare de retrouver la réplique factice Denix du pistolet mitrailleur Thompson M1A1 dans des reconstitutions historiques de la Seconde Guerre Mondiale ou du Débarquement en Normandie. Cette quasi-arme présente absolument les mêmes caractéristiques que le modèle d'origine. Le pistolet mitrailleur décoratif Thompson de chez Denix est intégralement démontable, encore une fois comme l'original.
La réplique factice Denix du pistolet mitrailleur Sten est produite tout en métal et dotée de mécanismes fonctionnels comme le levier d'armement et la détente mobiles ainsi que le chargeur amovible. Extrêmement réaliste en terme de détail et de finition, le pistolet mitrailleur Sten de chez Denix est couramment utilisé dans des films, pièces de théâtre ou reconstitutions historiques.
La réplique factice Denix du pistolet mitrailleur MP40 est criante de vérité, à tel point que même un expert balistique spécialisé dans les armes historiques aurait des difficultés à différencier la reproduction de la véritable arme de guerre. tous les mécanismes sont fonctionnels mais ne peuvent tirer pour des raisons de sécurité. Le pistolet mitrailleur décoratif MP40 de chez Denix est très demandé pour la collection, l'exposition ou la décoration.
La réplique factice Denix de la carabine USM1 est reproduite à comparable au modèle d'origine sur tous les points : crosse en véritable bois, oeilleton de visée, levier d'armement coulissant et chargeur amovible. Le poids et les dimensions sont rigoureusement similaires. La carabine décorative USM1 de chez Denix est une splendide pièce de collection et de décoration pour tous les amoureux et frénétiques du D-Day, le 6 juin 1944 ou les G.I.'s américains débarquèrent pour sauver tout un contient.
La réplique factice Denix de la grenade MK2 est fabriquée selon le modèle d'origine. Le corps de forme cylindrique est en métal lourd et doté d'une levier de sécurité et d'une fausse goupille métallique. Le poids et les dimensions sont strictement les mêmes que la véritable arme de guerre.
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