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Beretta, fondée par Bartolomeo Beretta en 1526, est l'une des marques d'armes à feu les plus anciennes et respectées au monde. Le début du XXe siècle constitue un moment charnière dans l'histoire de l'Entreprise. C'est dans ces années que Pietro Beretta (1870-1957) marqua un tournant dans la modernité : Fabbrica d'Armi, qui comptait à l'époque 130 employés, changea de visage grâce à l'introduction des techniques de production les plus modernes ; il y eut une forte impulsion pour le brevetage de nombreux mécanismes, dispositifs et technologies de construction qui firent de Beretta non seulement la plus importante fabrique d'armes, mais aussi l'une des entreprises les plus modernes et efficaces du monde. Le nombre d'employés s'élève à 1 500.

Intelligent, intuitif et charismatique, Pietro Beretta lança la production du premier pistolet semi-automatique, le 1915 de calibre 9 mm Glisenti, adopté par l’Armée royale ; l'une des toutes premières mitrailleuses, le « mousqueton automatique 1918 » ; puis le célèbre 1938 MAB (Mousqueton Automatique Beretta). En 1923, le poète Gabriele D'annunzio inventa la devise « dare in brocca », qui signifie atteindre la cible, représentée dans le symbole des trois flèches atteignant autant de cercles. C’est le 20 décembre 1949 qu’il devint le logo officiel de Beretta.

En 1933, le projet de la Série SO est achevé, le premier fusil superposé italien pour la chasse et le tir sportif : une arme destinée à devenir une référence dans le monde des fusils de chasse de luxe entièrement fabriqués à la main. Ses fils Giuseppe (1906-1993) et Carlo (1908-1984) poursuivent l'œuvre de modernisation du père, développant le caractère multinational grâce à la conquête de nouveaux marchés ainsi qu’au lancement d'activités commerciales et de production dans d'autres pays, dont l'Amérique. Et les marchés ont vite récompensé cette vision courageuse. Ces années ont vu l'arrivée de nouveaux produits tels que le fusil d'assaut BM59 adopté par l'armée italienne ou le pistolet mitrailleur PM12.

Impossible de ne pas mentionner la création, au milieu des années 1950, de ce qui allait devenir pendant plus de deux décennies le fusil de référence de tous les chasseurs : le Beretta S55 et le semi-automatique A300. Le choix de son fusil de chasse est déterminant pour la pratique de votre passion. Un fusil, c’est plus qu’un outil, c’est le prolongement de vos bras, c’est un véritable compagnon de chasse. Il n’existe pas de modèle de fusil universel qui conviendra à tout le monde : il faut le choisir en fonction de vous. Votre pratique de la chasse, vos méthodes de tir et vos préférences.

Le fusil est une arme adaptée à la chasse au petit gibier. En effet, les fusils de chasse sont des armes à projectile multiple et conçues pour tirer des cibles en mouvement à courte distance. Il est certain que la chasse au petit gibier est une chasse active : on parcourt beaucoup de kilomètres et on tire peu.

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Caractéristiques et Types de Fusils de Chasse

Le fusil juxtaposé est une arme à canons basculants : pour recharger une cartouche, le canon bascule vers l’avant. Le fusil à canon superposé est un fusil dont les deux canons sont l’un au-dessus de l’autre. Ce fusil fait aussi partie des armes à canons basculants au même titre que le fusil juxtaposé.

Un fusil semi-automatique tire 3 coups. D’abord, le chargement de la première munition est manuel. Puis, pour les 2 coups suivants, les munitions sont chambrées automatiquement dans le canon grâce à l’énergie produite au tir précédent via un système à inertie ou emprunt à gaz. À chaque pression de la détente, un nouveau coup part. Les fusils semi-automatiques ont en général des finitions peu raffinées et moins élaborées que les armes basculantes.

Chaque élément du fusil de chasse lui confère une particularité.

  • Le poids : plus un fusil est léger, plus sa prise en main et la réactivité lors du tir est facile.
  • La crosse : pour un tir optimal, il faut faire le choix d’une crosse qui vous permettra d’épauler l’arme de façon intuitive.
  • Le canon : un canon court facilite la maniabilité et le tir de proximité, tandis qu’un canon long facilite la visée et le tir longue distance.
  • La finesse de la longuesse : plus elle sera adaptée à votre préhension, et plus vous serez à l’aise pour exécuter votre tir.

La mise en conformité est le réglage sur-mesure de l’arme au tireur. Elle est faite chez un armurier.

Beretta 486 Parallelo

Lorsque nous avons testé le juxtaposé 486 Parallelo, en calibre 12, il nous semblait qu'il lui manquait un "petit quelque chose". Le Beretta 486 Parallelo en calibre 12 nous est apparu, lors de notre essai en 2013, comme un fusil tout à fait agréable à regarder et à utiliser, et très efficace en action. Incapable cependant de déclencher un véritable enthousiasme... Le 486 dans ce calibre fin préserve l'ensemble des atouts dont il disposait déjà en 12. Esthétiques tout d'abord.

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Ses canons au joli profil plongeant, entre lesquels s'étire la bande de visée dont la largeur se réduit progressivement de 8 à 5 mm, afin d'accentuer encore son effet de longueur, en font une arme très élégante. Avec également une splendide bascule à entaillage courbe et relime ronde, rehaussée d'une gravure au laser de style anglais remarquablement réussie, malgré la présence maladroite d'une tête de vis mal intégrée sur son côté droit. Avec toujours une crosse anglaise d'une sobriété parfaite, minutieusement quadrillée à la main et poncée-satinée à l'huile avec un soin exceptionnel.

Arguments visuels que rejoignent des caractéristiques techniques et d'usage tout autant convaincantes. Tels les canons montés « sur table », c'est-à-dire sur une pièce mécanisée d'un seul bloc avec les crochets afin d'éliminer tout filet de soudure à la sortie des chambres. Telle aussi la percussion confiée à des ressorts à lame d'une vigueur impressionnante. Tels enfin les chokes interchangeables intérieurs longs qui produisent des gerbes d'une formidable régularité.

Tout cela se retrouve à l'identique sur le 486 en calibre 20. Mais le plus récent chef-d'oeuvre de Beretta y ajoute, outre sa ligne affinée, une efficience de prise en main, un équilibre, une vitesse de montée à l'épaule, une conduite de la visée, une rapidité de projection vers la cible, une stabilité lors du tir et un confort de recul fulgurants. Nous avons naturellement cherché à détecter les défauts de notre exemplaire de test ; doté de canons de 71 cm, qui semblent constituer le meilleur compromis pour ce modèle, proposé également avec des tubes de 66 et de 76 cm.

Nous pensions d'entrée avoir identifié un poids excessif, le fusil affichant 2,870 kg sur la bascule. Soit plutôt une masse de superposé calibre 12 que de juxtaposé en 20. En action, il nous a fallu reconnaître que ce poids se fait totalement oublier... et qu'il contribue même à l'efficacité du tir par la stabilité des tubes et le confort de recul qu'il induit. Nous avons regardé avec attention les ajustages bois-métal, de facture très « industrielle » sur le 12. De nouveau, nous avons dû « battre en retraite ». Ils sont devenus irréprochables sur le 20... et peut-être aussi désormais sur le 12, probablement corrigé de ses imperfections de première jeunesse. Il ne subsiste que la détente dotée d'une course un peu longue et « grattant » légèrement pour sauver notre honneur de critique !

Son prix, qui ne le place pourtant pas à la portée de tous, en devient tout à fait raisonnable et même franchement attractif. Mais ce qui ressort avant tout de notre test, c'est l'extraordinaire plaisir que le possesseur du 486 en calibre 20 éprouve à l'utiliser. Il offre une « accroche » d'une véritable sensualité sur la fine poignée pistolet de sa crosse comme sur son devant ; une sensation digne des plus somptueuses réalisations artisanales.

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Grâce à la fantastique concentration de ses masses autour de son point d'équilibre, il fuse à l'épaule à une vitesse fulgurante, s'y place spontanément en position impeccable, et projette avec la même maestria l'extrémité de ses canons vers le gibier visé. Bien qu'ignorant tout de la main de l'homme, la ciselure de la bascule semble issue d'une échoppe italienne héritière des plus grands artistes de la Renaissance. Nous ne sommes plus là dans le talent des ingénieurs, mais dans la magie des sorciers !

Pour la première fois de son histoire, Beretta est parvenu à concevoir un juxtaposé industriel capable de rivaliser avec les réalisations semi-artisanales les plus abouties, et même les productions artisanales de très bon niveau. Ce n'est pas un mince compliment. D'autant qu'il est le seul fabricant au monde, hormis peut-être son compatriote de dimension beaucoup plus modeste, Battista Rizzini, à proposer un modèle de ce niveau de gamme aussi raffiné dans son aspect, élaboré dans sa conception et peaufiné dans sa réalisation.

Beretta 92 et 92X

Réputée pour ses pistolets semi-automatiques et ses fusils de chasse, Beretta a marqué l'histoire à travers des modèles emblématiques comme le Beretta 92 et le Beretta 92X, utilisés à la fois par les forces de l'ordre et les tireurs sportifs. Ce pistolet 9mm, rendu célèbre par des films cultes tels que L'Arme fatale, Die Hard, Matrix et les films de John Woo comme Chasse à l'homme, incarne l'alliance parfaite entre tradition et innovation.

Le Beretta 92, l'un des pistolets les plus célèbres de la marque, est particulièrement connu pour sa fiabilité et sa précision, le rendant idéal pour les forces de l'ordre et les tireurs sportifs. Ce modèle, ainsi que son évolution, le Beretta 92X, a été utilisé par des héros du grand écran dans des films comme Matrix, Die Hard et L'Arme fatale, renforçant encore davantage son statut légendaire.

Les fusils de chasse Beretta sont également reconnus pour leur qualité et leur durabilité, offrant des performances exceptionnelles sur le terrain. La marque a su combiner des siècles de savoir-faire artisanal avec des technologies modernes pour produire des armes adaptées à toutes les disciplines de tir et à la chasse. Les amateurs de cinéma d'action apprécieront de voir ces armes en action dans les œuvres de John Woo, où leur précision et leur élégance sont mises en avant.

Pourquoi le Beretta 92 est-il si populaire dans les films et les forces de l'ordre ?

Le Beretta 92 est devenu une icône à la fois dans le monde du cinéma et au sein des forces de l'ordre pour plusieurs raisons. D'abord, sa conception robuste et sa fiabilité sont des qualités essentielles pour les utilisateurs professionnels. Le mécanisme de verrouillage de la culasse et le système de recul du Beretta 92 garantissent des performances fluides et une précision constante, même dans des conditions difficiles.

Dans le monde du cinéma, le Beretta 92 s'est imposé comme l'arme emblématique grâce à son design élégant et reconnaissable. Il est souvent utilisé dans des scènes d'action intenses, apparaissant dans des films cultes tels que Die Hard, où il est manié par John McClane, ou encore dans L'Arme fatale avec le personnage de Martin Riggs.

L'association du Beretta 92 à des personnages emblématiques et à des films légendaires a créé une image durable de cette arme comme étant non seulement un outil fiable et précis, mais aussi un symbole de puissance et de style. Cette visibilité dans des blockbusters tels que Matrix et d'autres films d'action lui a permis de gagner une place spéciale dans l'imaginaire collectif, en faisant l'une des armes les plus reconnaissables et les plus admirées, aussi bien par les amateurs d'armes que par les fans de cinéma.

Quels sont les atouts du Beretta 92X pour le tir sportif ?

Le Beretta 92X est une version améliorée du classique Beretta 92, offrant une meilleure ergonomie et une précision accrue, parfaite pour les compétitions de tir.

Le Superposé : Une Alternative Populaire

Il n’est qu’à observer des chasseurs pour remarquer que le superposé est très majoritaire dans leurs rangs. Quant aux tireurs de Ball-Trap, ils n’ont recours qu’à ce type de fusil. Le choix des arquebusiers de disposer verticalement les canons n’est pas une affaire récente. Dès le XVIème siècle, les arquebuses à rouets fonctionnaient correctement avec ce type d’architecture.

À cette époque, au tout début du XXème siècle, l’artisanat anglais avait déjà tout inventé des principes du fonctionnement du fusil de chasse juxtaposé. L’avènement du superposé devait permettre aux grands armuriers d’enrichir leurs catalogues. Ce sera le cas de WOODWARD, aujourd’hui propriété de PURDEY, ou encore de BOSS et bien d’autres. Leur bascule utilise le basculage sur tourillons inventé vers 1885 par PIDAULT à Auxerre.

Parallèlement à l’artisanat, au début du siècle dernier, l’industrialisation permit aussi la fabrication de fusils. En 1905, l’Allemand MERKEL créa le premier superposé moderne de l’ère industrielle. Une vingtaine d’années plus tard, le génial J.-M. Le superposé BROWNING B25 partage avec le MERKEL sa bascule haute, conséquence de son axe de basculage situé sous le canon.

C’est sans conteste le tir sportif qui fit le succès commercial du superposé, comme le remplacement du traditionnel calibre 16 par le 12. Dans les années 1930, bousculés par La Grande Dépression, débarquent en Europe deux tireurs américains inconnus : RENFRO et WARREN.

Précisons d’abord qu’en terme de qualité balistique, c’est-à-dire groupement et pénétration, les performances du superposé sont équivalentes à celle du juxtaposé. En revanche, les 2 bandes latérales des canons du superposé « influencent favorablement le réglage de son tir en hauteur », constatait Ferdinand COURALLY. Le régime vibratoire de ses canons fait, en effet, porter naturellement leur charge un peu plus haut.

L’architecture des canons « over and under », comme les anglais l’appellent, aide aussi grandement au pointage et à la visée en masquant moins la cible. Si, à calibre égal, le fusil juxtaposé est un peu moins lourd que le superposé, celui-ci possède un centre de gravité un peu plus en arrière. Avantage non négligeable, il s’accommodera de canons plus longs sans piquer exagérément du nez, ce qui peut se révéler fatiguant à cadence élevée.

Lors du tir, le départ du premier coup, normalement le canon du bas, le tireur ressent un recul moins traumatisant pour sa pommette qu’avec un juxtaposé. En cas de doublé, cela lui permettra de mieux conserver la visée en vue du tir du second coup.

Le Fusil Beretta ASE

Le fusil superposé Beretta ASE ( Anson Sovrapposto Ejector ) est une arme crée dans l'ombre des fusils Beretta superposés à platines, la gamme des SO. Beretta a produit pendant une courte durée quelques petites séries d'armes de chasse et de tir Anson à ressort à lame : des armes peu connues, réellement exceptionnelles qui méritent d'être reconnues. Aucun fusil Beretta ne laisse indifférent et les pratiquants ne pourraient jamais faire d'unanimité autour d'un modèle.

La fabrique Italienne d'armes de Pietro Beretta, l'une des plus ancienne fabrique d'armes au monde à depuis toujours fait le pari de satisfaire l'ensemble des utilisateurs, qu'ils soient chasseurs, tireurs sportif, de ball trap ou de cibles mais aussi militaire, vous trouverez un Beretta qui correspond a votre désir. C'est au milieu de modèles internationalement connus que l'on retrouve une exception dans la gamme dont seuls les initiés de la marque vous en dirons plus.

Le fusil superposé Beretta ASE conçu en 1947 à eu pour vocation de rendre plus accessible les fusils à platines tout en offrant des caractéristiques assez proches. Ses départs francs grâce aux ressorts à lame et non à boudins et son ajustage parfait vous assure un chargement sans accrocs et une sensation de douceur lors de la fermeture. Sa durabilité est devenue légendaire dans le cercle des tireurs de douilles et même sans entretien ( ce qui est une péché ) il ne vous laissera jamais tombé.

Le Beretta ASE sera le fusil mis sur le marché afin de concurrencer le pionnier en la matière des indestructibles, j'entends par là le Browning B25. L'ingénieur en chef de chez Beretta qui a conçu beaucoup des fers de lance de la marque, Mr Marengoni, n'était pas admiratif du Browning B25, trop rustique et lourd à son goût. Les armes Italiennes se devaient d'être racées, élégantes et pratiques.

C'est ainsi que naquit l'ASE, version Anson du SO qui reprend la bascule à tourillon ainsi que le verrouillage de type kersten. Les canons quand à eux sont identiques aux SO, en aciers de haute qualité et d'une teneur en chromeij élevée pour garantir une résistance à la corrosion inégalable.

L’ASE, dès sa sortie est proposé en trois versions : l’ASE, l’ASEL et l’ASEELL, qui se différencient uniquement par l’esthétique de leurs gravures et du grade de leurs bois. Ce fusil est d’une vivacité incroyable. Avec sa bascule basse et entaillée, une finition d’un niveau particulièrement élevé et bien d’autres détails raffinés, l’ASE est réellement une très belle arme, une arme d'exception.

Le Beretta ASE rencontre vite le succès et, au fil d’améliorations successives, sa production se poursuit plus de dix-sept ans, jusqu’en 1964, année où il est remplacé par la série S5 ( S55,S56,S57 ). Sa production sera arrêté car son prix important du à une fabrication artisanale ne lui permis pas de trouver sa place face à la novatrice série S5.

Le Fusil Coach 500

Le fusil Coach 500 est une arme à canon juxtaposé conçue pour combiner le charme des fusils de diligence du XIXe siècle avec les exigences modernes en matière de sécurité, de performance et de polyvalence. Ce fusil calibre 12/76 est une solution idéale pour la chasse, le tir sportif ou la défense à domicile. Sa conception compacte et robuste, associée à des caractéristiques techniques actuelles, le rend particulièrement maniable et performant à courte portée.

Doté d’un canon court de 18 pouces, le fusil Coach 500 offre une prise en main rapide et une grande réactivité. Ce format est particulièrement apprécié en battue, pour le tir rapide lors des reconstitutions historiques ou dans des contextes de défense rapprochée. Le double canon juxtaposé permet une précision instinctive et une utilisation fluide, grâce à la double détente qui donne au tireur un contrôle individualisé de chaque coup.

Le Coach 500 est livré avec cinq chokes interchangeables (full, 3/4, 1/2, 1/4, lisse) et une clé de chokes, permettant d’adapter le tir selon la distance ou le type de munitions utilisées. Il est compatible avec les filetages Beretta/Benelli Mobil, ce qui offre un large éventail d’options en matière d’accessoires et de personnalisation. Les canons sont éprouvés billes d’acier, ce qui garantit une sécurité optimale lors de l’utilisation de munitions modernes.

Le système d’ouverture break open du fusil facilite un rechargement rapide et intuitif, tandis que les extracteurs automatiques simplifient l’éjection des douilles. Il est équipé de deux systèmes de sécurité, manuel et automatique, afin d’offrir une manipulation fiable et sécurisée dans toutes les conditions. Les organes de visée en laiton assurent une acquisition rapide et naturelle de la cible, même en situation de stress ou de faible luminosité.

Le Coach 500 s’adresse autant aux amateurs d’armes à feu classiques qu’aux passionnés de tir western ou de Cowboy Action Shooting. Il conviendra également aux chasseurs traqueurs et aux tireurs de loisir en quête d’une arme originale, fiable et efficace.

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