Le pistolet d'alarme est une copie d'une arme réelle, modifiée pour être incapable de tirer une vraie balle. Le canon est spécialement conçu pour empêcher le passage de munitions réelles.
Bien qu'incapable de tirer des projectiles réels, le pistolet d'alarme a une utilité dissuasive. Il est souvent utilisé dans le cinéma pour imiter une vraie arme à la perfection. En situation de défense, il peut faire fuir ou neutraliser un agresseur potentiel.
Le pistolet d'alarme ressemble à une arme réelle et produit un bruit de détonation identique à celui d'une arme normale lorsqu'il est utilisé. De plus, il peut être équipé d'accessoires pour utiliser d'autres types de projectiles.
Le pistolet d'alarme peut être transformé en Gomme Cogne, une arme capable de tirer des projectiles en plastique dur pour neutraliser un agresseur. Les balles en caoutchouc de gros calibre sont insérées dans un embout vissé au bout du canon, et la puissance de la balle à blanc projette la balle en caoutchouc.
Une balle à blanc contient de la poudre compressée comme une balle réelle, mais sans ogive métallique. Il est possible de mélanger les balles à blanc avec des balles au gaz ou au poivre.
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Il existe différents noms pour ces accessoires : embout balle caoutchouc, adaptateur balle caoutchouc, adaptateur Self-Gomm, embout lance fusée. Les termes "adaptateur balle caoutchouc" et "embout balle caoutchouc" sont synonymes.
Cependant, il y a une différence entre "adaptateur balle caoutchouc" et "adaptateur Self-Gomm". Les deux embouts offrent le même résultat, mais le Self-Gomm est fabriqué par la société SAPL, tandis que l'adaptateur balle caoutchouc est fabriqué par une autre société.
L’adaptateur balle caoutchouc sans marque est moins cher à l’achat, y compris ses propres billes, et est plus performant. Il offre une polyvalence accrue à l'arme de défense à blanc, permettant la détonation, la propulsion de munitions irritantes en poudre et la propulsion de fusées.
L’embout balle de caoutchouc permet de convertir votre arme en arme à balle caoutchouc à moindre frais. La bille est projetée à une vitesse de 100 m/s et plus, selon le calibre de la munition à blanc et la longueur du canon. Avec une bille de 4g, il est possible de dépasser les 20 joules, atteignant même 21.5 joules avec un Bruni Police, ce qui en fait l’arme de défense en vente libre la plus puissante.
Depuis le 1er juillet 2024, les pistolets d’alarme sont classés en catégorie C°12. Il est crucial de connaître et respecter la législation en vigueur.
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Ce type de pistolet utilise une cartouche de gaz CO2 pour propulser les projectiles. Lors du tir, une quantité de gaz est libérée dans le canon pour expulser la balle en caoutchouc. Ce système équipe de nombreux modèles comme le TR50, TR68 ou HDS68 de la gamme T4E, le Vesta defense PDW50 ou encore le LTL Bravo. Ils tirent des munitions en calibre .43, .50 ou .68, et offrent une puissance variant de 7 à 20 joules.
Les pistolets CO2 sont souvent utilisés pour l'auto-défense, le tir récréatif ou l'entraînement. Leur entretien est simple, et ils sont disponibles en vente libre pour les personnes majeures.
Ces modèles fonctionnent à l’aide de cartouches à blanc insérées dans des pistolets ou revolvers d’alarme, associés à un embout lance-balles vissé au canon. Ce dispositif, appelé "Self-Gomm", permet de tirer une balle en caoutchouc de 18 mm à forte puissance. Le tir s’effectue uniquement en coup par coup.
Ces armes nécessitent une inscription au SIA (Système d’Information sur les Armes) et un certificat médical de moins de 15 jours. Elles sont idéales pour une défense plus percutante, tout en restant dans la légalité.
Les modèles les plus puissants tirent des cartouches de calibre 12/50 spécialement conçues pour contenir un ou plusieurs projectiles en caoutchouc. Ces pistolets, comme les GC27 ou GC54 de SAPL ou le célèbre Flash-Ball, sont utilisés par les forces de l’ordre mais sont également accessibles aux civils disposant des autorisations nécessaires.
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Ils atteignent des puissances allant jusqu’à 120 joules, offrant un pouvoir d’arrêt très élevé, tout en restant classés comme armes non létales (catégorie C).
Les projectiles sont insérés dans un barillet ou un chargeur selon le modèle. En appuyant sur la détente, un mécanisme active la propulsion (gaz ou poudre), ce qui expulse la balle en caoutchouc à grande vitesse. La trajectoire, la précision et la puissance dépendent du type de propulsion, de la qualité de fabrication de l’arme et du calibre utilisé.
Ces armes de défense sont utilisées dans divers contextes : auto-défense, sécurisation de domicile, entraînement, maintien de l’ordre, ou activités récréatives. Elles doivent être manipulées avec précaution.
Pour garantir le bon fonctionnement et la longévité de votre pistolet à balles caoutchouc, un entretien régulier est indispensable :
Chaque arme ayant ses spécificités, il est important de se référer au manuel fourni par le fabricant.
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Tous les produits sont conformes à la réglementation française.
Mis au point par SAPL, cet embout Self Gomm lance-balles de protection (diamètre 8x100) se visse facilement à l'extrémité du canon de votre pistolet ou revolver d'alarme, transformant ainsi votre arme en une redoutable solution de défense de type "gomme cogne". Conçu pour utiliser des projectiles en caoutchouc ultra-dur, cet embout permet de délivrer un impact puissant et neutralisant qui stoppe immédiatement l'agresseur.
La balle sphérique en caoutchouc de 18 mm de diamètre, fabriquée en caoutchouc haute résistance, crée un choc considérable lors de l'impact. Ce choc est suffisamment fort pour dissuader l'assaillant de poursuivre son agression et pour l'arrêter net. Ce projectile non perforant, avec une puissance d'arrêt impressionnante, est particulièrement efficace dans les situations de défense personnelle, qu'il s'agisse de protection à domicile ou lors de déplacements.
En raison de la force de l'impact de ce projectile, il est recommandé de l'utiliser à une distance supérieure à 3 mètres afin d'éviter toute blessure grave.
Le Bruni Police est proposé à un tarif en de dessous de 50€! Point de vue rechargement en gaz, le système n’a pas changé, il faut insérer la cartouche de CO2 de 12g dans la poignée, remettre le bouchon avec bec perceur incorporé et frapper le bouton (Push Emergency ) contre une surface dure pour percuter la valve.
La plupart du temps l’acquisition de ces armes de défense, nécessite d’être majeur et disposer d’une licence de tir valide de l’année en cours ou permis de chasse + la validation de l’année ou dernier choix si vous n’êtes ni tireur, ni chasseur, il faudra demander un certificat médical à votre médecin.
Du fait que la propulsion pyrotechnique (amorce + poudre), comme une cartouche ou munition hormis le projectile en caoutchouc qui ne perfore pas, il est conçu pour s’écraser sur la cible (enfin l’agresseur). D’un point de vue défense, son look est assez agressif, la détonation émise par le gaz qui sert à la propulsion de la bille est assez bruyante pour une arme de défense à balle caoutchouc CO2, je pense que même un agresseur averti (ces gens là aussi se renseignent malheureusement) par ce modèle risque de faire demi-tour, par la puissance d’arrêt à 5 mètres, rien qu’en tirant dans les jambes ou les parties génitales, souvent l’agresseur ou cambrioleur dispose d’un uniforme type Jogging (qui sont des vêtements assez souple) qui ne freinent quasiment pas ou très peu le projectile mais ne dispose pas de protection heureusement.
Alors qu’un pistolet à plombs ayant pour but le tir de loisir, utilise des projectiles en plombs , le plombs diabolo peut pénétrer la peau profondément donc blessé lourdement et même être létale donc mortel .
La matraque télescopique est une arme de defense contondante très appréciée des professionnels de la sécurité, des forces de l’ordre, et des particuliers prévoyants. En effet, les différentes sections d’une matraque télescopique viennent se verrouiller « en force » lors de l’ouverture, par friction les unes avec les autres. Plus le coup de poignet du déploiement est violent, plus ce verrouillage sera solide. La bonne méthode pour refermer une matraque télescopique est donc de la maintenir à la verticale (« tête en bas »), et d’asséner un coup violent au sol. Par ailleurs, le choc avec le sol doit être assez puissant pour libérer les différentes sections de la matraque télescopique.
Beaucoup d’armes de défense à balle caoutchouc existent en catégorie C, et nous les évoquons souvent sur ce blog. Mais un fusil à pompe tirant des cartouches à létalité atténuée ne les surpasserait-il pas toutes ? Dans une situation de défense, le paramètre le plus important est sans aucun doute la puissance vulnérante de la munition. On parle là de munitions dites Gomm Cogn, et par extension de tous les projectiles monolithiques en élastomère proposés par Spartan, Jocker ou Fiocchi. Cette force de frappe sera bien supérieure à ce que pourrait produire un pistolet d’alarme doté d’un lanceur de balles en caoutchouc ou un revolver Safegom.
En effet, si un policier armé d’un Flash-Ball peut se retrancher derrière ses collègues une fois ses deux coups tirés, ce ne sera pas votre cas. Il est donc nécessaire de pouvoir faire face à des assaillants multiples ou à une échauffourée se prolongeant. Ajoutons à cela un point à ne pas négliger en cas de confrontation : la force de dissuasion de votre arme de défense. De fait trop de lanceurs à balles caoutchouc (efficaces au demeurant) adoptent des formes renseignant immédiatement l’assaillant sur leur statut d’arme non létale.
En matière de bombes de défense, on trouve d’une part le CS (chlorobenzylidène malonitrile) et d’autre part les différents dérivés de piment. L’OC (Oléorésin Capsicum) est donc une substance huileuse tirant sur la couleur rouge issu de la capsaïcine. La capsaïcine elle, prend la forme d’une poudre blanche quand elle est pure et se voit extraite à l’origine du capsicum, un piment rouge particulièrement puissant. Il est amusant de noter que l’Olérorésin Capsicum contenue dans la plupart des bombes de défense haut de gamme du marché reste encore aujourd’hui raffinée à partir de capsaïcine végétal, et de donc de véritables piments capsicum.
Pour mesurer l’intensité des différents composés chimiques issus des piments, on utilise l’échelle de Scoville, s’exprimant en SHU. Les bombes de défense très efficaces seront à considérer comme produisant une brûlure entre 1 500 000 et 3 000 000 SHU, un gain conséquent par rapport au fruit originel lui-même qui allant de 2 500 SHU (Piment d’Espelette) à 2 000 000 SHU (Trinidad Moruga Scorpion).
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