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Qui ne se souvient pas de Manufrance ? Fondée durant la seconde moitié du 19e siècle, cette entreprise appartient à notre patrimoine industriel au même titre que Michelin, Saint-Gobain, Le Creusot ou encore Schneider. Manufrance est une entreprise emblématique dans le domaine des fusils de chasse, dont la renommée perdure jusqu'à aujourd'hui. Cette manufacture française d'armes a révolutionné la vente par correspondance en proposant des produits de premier choix fabriqués en France.

Son histoire débute en 1885 lorsqu'Étienne Mimard, un industriel stéphanois, décide de diversifier ses activités en créant une société spécialisée dans la fabrication d'armes de chasse. Très vite, les célèbres catalogues Manufrance attirent l'attention des chasseurs de tous les horizons. En 1900, l'enseigne s'installe dans le quartier de Cours Fauriel à Saint-Étienne, devenant ainsi le symbole de l'industrie stéphanoise. Jacques Tavitian, le directeur de l'enseigne, décide également de moderniser les outils de production pour répondre aux demandes croissantes des clients.

L'Ascension et l'Âge d'Or de Manufrance

Elle connaît une expansion rapide puisqu’elle emploie 1000 salariés en 1898 et s’appelle depuis 1892, la « Manufacture Française d’Armes et de Cycles de Saint-Étienne ». A la mort de Pierre Blachon en 1914, il devient le seul maître à bord et entretient avec son personnel une relation très forte de type paternaliste qui le pousse à envisager de céder la moitié de ses parts à ses salariés à sa mort. En 1970, Manufrance fabrique plus de 70 % des armes de chasse françaises.

L'entreprise dispose de 125 000 m² d'usines à Saint-Étienne. Elle expédie chaque année 20 000 tonnes de marchandises en France et dans le monde entier. 48 magasins sont répartis dans toute la France. En 1973, à son apogée, Manufrance dispose de 64 magasins dans toute la France, 30 000 références sont présentes dans le catalogue, 30 000 machines à coudre Omnia sont livrées. Le Chasseur Français est vendu à plus de 815 000 exemplaires.

Pourquoi Opter pour les Armes de Chasse Manufrance ?

Manufrance est un label renommé pour la performance et la fiabilité de ses produits. Ses armes de chasse sont conçues avec un savoir-faire artisanal et une expertise technique qui assurent une expérience de chasse optimale. Que vous soyez un chasseur expérimenté ou débutant, elles se présentent ainsi comme un choix judicieux.Le savoir-faire de Manufrance repose sur une longue tradition de fabrication d'armes de chasse. En effet, l'entreprise a su préserver les gestes et les techniques de ses artisans pour proposer des produits d'exception.

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Réputées pour leur durabilité, les armes à feu Manufrance sont élaborées dans des matériaux haute qualité et soumises à des tests rigoureux avant d'être commercialisées. En outre, les canons sont travaillés avec soin pour garantir une trajectoire parfaite des balles. Les systèmes de visée garantissent également une grande précision de tir. De plus, les modèles proposés sont variés, allant des fusils de chasse aux pistolets, en passant par les carabines pour s'adapter à tous les besoins.

Les Modèles de Collection Très Prisés

Les armes à feu Manufrance sont très prisées par les collectionneurs du monde entier. Buffalo St-Étienne, Rafale 14 mm Take down, Buffalo Lebel, Velodog Manufrance, Buffalo Eurêka ou encore Flobert font partie des modèles les plus recherchés. Les passionnés de chasse sont nombreux à rechercher des pièces rares pour enrichir leur collection.

Comment Choisir Ses Armes à Feu ?

Voici les critères à prendre en compte pour choisir l'équipement adapté à vos exigences. Le choix du fusil de chasse dépendra du type de gibier que vous chassez et de l'environnement dans lequel vous chassez. Pour la chasse aux oiseaux en vol, vous aurez besoin d'un fusil léger et maniable avec une ouverture de choke appropriée pour une portée efficace. Pour la chasse au gros gibier, il faudra une arme plus puissante avec une portée plus longue.

Si vous chassez dans des environnements boisés, un fusil à canon court est plus adapté pour une meilleure maniabilité. Il est également important de prendre en compte votre niveau d'expérience puisqu'un fusil complexe peut être difficile à utiliser pour les débutants. Le calibre est un élément clé à prendre en compte lors du choix d'une arme à feu de chasse. Il s'agit de la taille du projectile tiré par l'arme. Ainsi, il varie en fonction de la taille de l'animal ciblé. Pour les petits animaux comme les oiseaux, un calibre plus petit est généralement utilisé. Pour les gros animaux, comme les cerfs, un calibre plus grand est nécessaire.

Il existe de nombreux modèles d'armes à feu de chasse sur le marché. Tout d'abord, vous devez prendre en compte le type de canon de l'arme à feu lors de votre choix. Les canons lisses sont les plus courants et sont utilisés pour la chasse aux oiseaux ainsi qu'aux petits gibiers. Les canons rayés, quant à eux, s'adressent aux chasseurs de gros gibiers tels que les cerfs et les sangliers. Ils présentent des rainures à l'intérieur pour stabiliser la balle ou la chevrotine lorsqu'elle est tirée.

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Ensuite, la taille et le poids de l'arme à feu sont également des facteurs importants à prendre en compte. Une arme à feu plus légère et plus maniable sera facile à transporter. Toutefois, elle est difficile à contrôler lors du tir.

Les Armes Emblématiques de Manufrance

Outre la carabine Reina, Manufrance a produit une variété d'armes qui ont marqué leur époque :

  • Le fusil « Idéal » à pontet à lunettes : une arme raffinée et d’un fonctionnement sûr, qui participa au succès commercial fulgurant de la Manufacture d’Armes et Cycles de Saint-Étienne.
  • Le fusil de chasse « Robust » : Ce fusil juxtaposé, est certes moins luxueux que l’Idéal, mais jouit d’une solidité qui justifie bien son nom. Sa « robustesse » et le prix très accessible des versions de base le rendirent extrêmement populaire dans notre pays.
  • Le fusil de chasse « Simplex » : Ce fusil de chasse à un coup fut utilisé par beaucoup de chasseurs à leurs débuts.
  • Le fusil de chasse « Falcor » : Dernière tentative de Manufrance pour tenter de reconquérir une clientèle qui se tournait de plus en plus vers d’autres fournisseurs, ce fusil superposé apparut au catalogue en 1970.
  • Le fusil de chasse semi-automatique « Perfex » : Étant doté d’origine d’un magasin de 3 cartouches sans possibilité d’allonger le tube magasin, ce modèle est en catégorie C1°§a).
  • Le fusil de chasse à répétition commandée « Rapid » : Ce fusil est ce que nous appelons couramment un « fusil à pompe », ce qui lui vaut aujourd’hui d’être stupidement classé en catégorie B.

Le Perfex Manufrance 12-70

Le Perfex Manufrance 12-70 représente un chapitre majeur dans l'histoire de l'armurerie française. La marque Manufrance s'est établie comme un pilier de l'industrie française. L'entreprise s'est forgée une réputation solide grâce à son expertise dans la fabrication d'armes de qualité. Le Perfex 12-70 marque une avancée technique notable dans la gamme Manufrance. Ce fusil semi-automatique chambré en calibre 12-70 se distingue par ses caractéristiques techniques abouties : un canon de 68 cm, une crosse en bois soigneusement travaillée, et un poids maîtrisé de 2,89 kg.

Le Perfex 12-70 se distingue par son canon lisse de 68 centimètres, parfaitement adapté au tir de chasse. Son poids de 2,89 kg assure une excellente maniabilité sur le terrain. La capacité de chargement s'établit à 2+1 cartouches, tandis que sa longueur totale de 123 cm garantit un équilibre optimal. Les utilisateurs attribuent une note moyenne de 4,48/5, basée sur 234 évaluations, dont 70% avec 5 étoiles.

La conception du Perfex 12-70 s'harmonise avec plusieurs pratiques de chasse. Le canon lisse de 710 mm offre une excellente précision pour le tir. La crosse en bois assure une prise en main naturelle lors des actions de chasse. Les retours d'expérience démontrent la fiabilité du Perfex 12-70, comme l'attestent les évaluations des utilisateurs avec une note moyenne de 4,48/5 basée sur 234 avis. La robustesse de sa fabrication française se reflète dans sa longévité. Son prix accessible de 289,60€ et sa disponibilité sur le marché de l'occasion en font une option intéressante pour les chasseurs.

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Acquisition et Réglementation

L'acquisition d'un Perfex 12-70 nécessite la vérification de plusieurs éléments essentiels. Le futur propriétaire doit s'assurer de la conformité administrative en préparant une pièce d'identité, un permis de chasse ou une licence de tir sportif. La déclaration en préfecture reste obligatoire. Sur le plan technique, il faut examiner le canon lisse de 710 mm, le système semi-automatique et la capacité de 2+1 cartouches.

L'acquisition d'un fusil Perfex Manufrance 12-70, classé en catégorie C, nécessite le respect d'un cadre réglementaire spécifique. Pour acquérir un Perfex Manufrance 12-70, la présentation de documents officiels est obligatoire. Le futur propriétaire doit fournir une pièce d'identité valide ainsi qu'un permis de chasse ou une licence de tir sportif en cours de validité. L'enregistrement du Perfex Manufrance 12-70 auprès de la préfecture constitue une étape administrative indispensable.

Entretien et Durabilité

La longévité du fusil semi-automatique Manufrance Perfex 12-70 dépend directement de son entretien régulier. Cette arme de chasse, classée en catégorie C, nécessite une attention particulière pour maintenir ses performances optimales. Le nettoyage du Perfex 12-70 s'effectue après chaque séance de tir. La procédure commence par le démontage de l'arme dans un environnement adapté. Le canon de 68 cm requiert un nettoyage minutieux pour éliminer les résidus de poudre. La crosse en bois bénéficie d'un traitement spécifique pour préserver son état. Une lubrification appropriée des pièces mobiles garantit le bon fonctionnement du mécanisme semi-automatique.

La Communauté des Utilisateurs

Le Perfex Manufrance 12-70 rassemble une communauté active d'utilisateurs passionnés. Ce fusil semi-automatique, fruit du savoir-faire français, séduit par ses caractéristiques techniques remarquables : un canon de 68 cm, une crosse en bois soignée et un poids maîtrisé de 2,89 kg. Les évaluations des utilisateurs témoignent de la grande satisfaction envers le Perfex 12-70. Avec une note moyenne exceptionnelle de 4,48/5 basée sur 234 avis, dont 70% attribuent la note maximale, ce fusil prouve sa valeur. La communauté du Perfex 12-70 s'organise autour d'armureries spécialisées, comme l'Armurerie de la Gare de l'Est à Paris, établie depuis 1959. Ces lieux deviennent des points de rencontre où les passionnés peuvent échanger leurs expériences, obtenir des conseils d'experts et découvrir les accessoires adaptés.

Le Robust : Un Fusil de Chasse Populaire

Sorti en 1913, soit presque 20 ans après son frère de luxe, l’Idéal, le Robust a été fabriqué à plus de 800.000 exemplaires jusqu’à la fin des années 70… Une très longue histoire pour un modèle qui a évolué au fil des décennies, puisqu’on compte des dizaines de versions commercialisées, sans renier pour autant les fondamentaux qui ont fait son succès dès l’origine. La bascule en acier trempé nickel chrome bien dimensionnée accueille un triple verrouillage actionné par la clé sur le col de crosse. On trouve ainsi un verrou classique transversal en arrière de la tranche de la bascule, épaulé par deux verrous supérieurs prenant dans le prolongement de la bande à l’instar du verrouillage Greener. Cette spécificité du Robust lui assure sa robustesse légendaire.

Les canons sont frettés, para-chromés à l’intérieur, avec une qualité de polissage et une tenue en pression qui varie selon les versions avec la fameuse dénomination « HERCULE », accompagné de 1 à 4 lauriers… Les modèles plus luxueux étaient aussi gravés et munis d’éjecteurs automatiques, mais la fameuse bretelle automatique, intégrée à la crosse, a été montée de série sur tous les modèles à partir de 1949… Année qui voit aussi la généralisation du poussoir sur l’avant de la longuesse.

Consciente du fossé budgétaire séparant ses deux modèles Robust et Idéal, la Manufacture développa une version « mixte », le « Robust-Ideal » (n°268 et 274) dès la fin des années 30. Ils furent suivis des n° 280, 286 et 292 jusqu’en 1961. En fait ce modèle utilisait le verrouillage de l’Ideal, avec sa fameuse clé en arrière du pontet, mais en version triple au lieu de quadruple verrous, et les canons restés frettés, alors qu’ils sont forgés en demi-bloc sur l’Ideal. Ces modèles mixtes, à la diffusion plus restreinte, sont hélas rares sur le marché de l’occasion…

Depuis sa sortie, le Robust a toujours été référencé par numéro progressif, mais pas forcément suivi (explication des numéros manquants), ce qui permet déjà une datation approximative quand on croise une occasion. Beaucoup de numéros proches, donc produits sur la même période, ne diffèrent que par des finitions et options différentes, mais sont issus de la même base. Il est relativement aisé de trouver un Robust d’occasion en armurerie, du moins parmi la production de masse des années d’après-guerre… Les anciens modèles (n° à 2 chiffres), les versions luxe (avec éjecteurs et gravures) et Robust-Idéal sont déjà plus rares et donc plus cotés.

Le Déclin et la Tentative de Renaissance

Elle est amenée progressivement à prendre des décisions stratégiques qui, on ne le sait pas encore, vont provoquer inéluctablement la descente aux enfers d’un groupe qu’on croyait pourtant à l’abri des retournements de conjonctures. En effet, les années soixante continuent à être, au moins officiellement, florissante. Nous sommes dans les années 70. Le premier et second choc pétrolier ont frappé de plein fouet Manufrance confronté à une baisse de la consommation et au remboursement d’emprunts pour des investissements structurels colossaux décidés par la mairie propriétaire de l’entreprise. Elle doit en outre faire face à de nouveaux concurrents qui lui grignotent année après année des parts de marchés conséquentes dans ses métiers de prédilection.

En effet, les différentes directions qui se sont succédés au chevet de l’entreprise de plus en plus malade ont toujours été imprégnées de cette vision paternaliste de leur encombrant ancêtre, Etienne Mimard. Un exemple parmi tant d’autres. Alors que l’informatique commence à s’implanter dans l’univers industriel, Manufrance s’y intéresse à reculons. Conséquence inévitable : la société ne peut plus faire face à ses échéances et demande l’aide des banques pour renflouer les caisses. Ces dernières reculent devant cette municipalité communiste qui fait peur.

Résultat : en 1979, Manufrance, en tant que société anonyme, est mise en liquidation judiciaire. Bernard Tapie tente bien de proposer un plan de restructuration mais c’est surtout pour lui un formidable coup de publicité à moindre coût afin de se faire connaître du grand public en profitant d’une situation et d’une exposition médiatique sans commune valeur avec la solution qu’il préconise : ni plus ni moins que le démantèlement des différentes entités afin officiellement de se débarrasser des secteurs déficitaires pour repartir sur de bonnes bases mais officieusement, il s’agit purement et simplement de revendre avec profit les activités rentables et de fermer les autres.

Après deux ans d’une lutte acharnée, la CGT, aidée des derniers irréductibles qui lui abandonnent leurs primes de licenciement pour un montant total de 9 millions de francs, crée en 1981 la Société de Coopérative Ouvrière de Production et Distribution (SOCPD) pour sauver ce qui peut l’être. Que s’est-il passé exactement pendant cette période trouble ? Difficile de le dire encore aujourd’hui. Tout juste peut-on croire que la CGT a fait de son mieux pour sauver l’entreprise et d’un autre côté, on sait également qu’elle a caché tout un stock, notamment des armes pour officiellement les substituer à la dilapidation inévitable du patrimoine de l’entreprise.

Le mot fin peut alors être apposé sur un des plus beaux joyaux de l’industrie stéphanoise. Qui ne se souvient pas de Manufrance ? Fondée durant la seconde moitié du 19e siècle, cette entreprise appartient à notre patrimoine industriel au même titre que Michelin, Saint-Gobain, Le Creusot ou encore Schneider.

En effet, la notoriété et l’image de marque de MANUFRANCE sont telles que la marque est une véritable institution liée à l’histoire et au savoir-faire local. Des industriels régionaux participent à l’élaboration de produits manufacturés avec le concours des techniciens du nouveau groupe MANUFRANCE reconstitué. En effet, le savoir-faire MANUFRANCE qui a fait sa réputation de qualité sera perpétuée. De nombreux clients communiquent leurs encouragements et leur soutien à la renaissance de MANUFRANCE. Ces encouragements viennent non seulement de France mais aussi des cinq continents.

Six années de travail sont nécessaires pour implanter des structures industrielles et pour reconstituer les produits phares de la Manufacture.

Chronologie des Événements Clés

Voici une chronologie des événements clés de l'histoire de Manufrance :

Année Événement
1885 Création de la Manufacture Française d'Armes et de Tir par Étienne Mimard et Pierre Blachon
1887 Achat de la « Manufacture Française d’Armes et de Tir » de Monsieur Martinier-Collin
1892 Ouverture du premier magasin de vente à Paris au 42 rue du Louvre et l'entreprise est rebaptisée Manufacture française d'armes de Saint-Étienne"
1893 Début de la construction des bâtiments du cours Fauriel à Saint-Etienne.
1911 La Manufacture française d'armes et cycles de Saint-Étienne prend le nom de Manufrance et devient une société anonyme
1913 Lancement du fusil Robust
1914 Pierre Blachon décède et lègue la majorité des actions aux Hospices civils de Saint-Etienne
1944 Décès du fondateur, Étienne Mimard
1958 Création du fusil Rapid, fusil de chasse à pompe
1970 Manufrance fabrique plus de 70 % des armes de chasse françaises
1979 Mise en règlement judiciaire
1980 Le tribunal de commerce de Saint-Étienne annonce le dépôt de bilan

Hommage et Préservation de la Mémoire de Manufrance

Tout d’abord, le musée d'art moderne de Saint-Étienne accueille du 14 mai 2011 au 27 février 2012 une exposition intitulée C’était Manufrance, un siècle d’innovation : 1885-1985. Celle-ci présente selon un plan chronologique, près de 450 objets et accessoires issus de la production ou de la vie de la Manufacture. Un travail d’entretiens oraux, réalisé pour la période suivant la Seconde Guerre mondiale, complète les photographies et autres films d’époque. L’accent est mis sur le caractère précurseur de cette entreprise dans la mise en application des principes du taylorisme, de la vente par correspondance, de la publicité ainsi que sur le développement et la commercialisation constante des innovations techniques.

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