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L'histoire de l'armurerie Sanseigne à Pontarlier est bien plus qu'un simple récit commercial ; c'est une saga familiale enracinée dans le cœur de la Franche-Comté, une région fière de ses traditions et de son savoir-faire. De Georges à Aurélien, en passant par Sylvain et Jean-François, les Sanseigne ont cultivé une passion pour la chasse, le tir sportif, le biathlon et la pêche, transmettant leur expertise de génération en génération.

Une Continuité Familiale

L'armurerie Sanseigne incarne la continuité et la transmission. L'histoire de cette entreprise est intimement liée à l'histoire de la famille Sanseigne, où chaque génération a apporté sa pierre à l'édifice. Cet héritage familial est un atout majeur, car il garantit un savoir-faire authentique et une passion pour le métier.

Un Savoir-Faire Diversifié

L'armurerie Sanseigne ne se limite pas à la vente d'armes ; elle offre une gamme complète de services et de produits pour les passionnés de chasse, de tir sportif, de biathlon et de pêche. Cette diversification témoigne de la capacité de l'entreprise à s'adapter aux évolutions du marché et aux besoins de sa clientèle. Les activités qui n’ont pas de secret pour eux : Chasse, tir en club, ball trap, biathlon, pêche.

L'Attachement à la Franche-Comté

L'armurerie Sanseigne est fièrement implantée en Franche-Comté, une région riche en traditions et en savoir-faire. Cet ancrage territorial est un élément essentiel de l'identité de l'entreprise, qui contribue activement à la vie économique et sociale de la région.

La Reconversion de Simon : Un Nouveau Départ Réussi

Après plus de dix ans au plus haut niveau, Simon a décidé de mettre un terme à sa carrière de biathlète pour se consacrer à de nouveaux projets. Cette décision, mûrement réfléchie, est motivée par un désir de découvrir d'autres aspects de la vie et de se consacrer à sa famille.

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La transition entre la vie de sportif de haut niveau et la vie civile s'est bien déroulée pour Simon, grâce à un projet de reconversion bien préparé. Avec sa femme, Célia Aymonier, également ancienne biathlète, il travaille à la rénovation d'une maison de famille dans le Doubs, avec le projet d'y ouvrir une auberge. Il garde beaucoup leur petit parce qu’ils n’ont pas le choix de le garder plus que le standard.

Simon profite également de cette nouvelle vie pour se consacrer à des activités qu'il avait dû délaisser pendant sa carrière sportive. Il a même l'intention de participer à la TransJu, une course de ski de fond populaire dans le Jura.

L'armée accompagne Simon pendant quelques mois, ce qui est hyper important, on en parle assez peu quand on attaque une carrière, de ces aides à la reconversion qui sont super importantes à un moment où l’on n’a plus de revenus, ou en tout cas plus de statut social. Donc ça permet, grâce à l’armée, de pouvoir se retourner, de faire des formations pour préparer la suite.

L'Impact de la Famille sur la Carrière Sportive

L'arrivée de son fils Jules, le 30 juin 2021, a eu un impact important sur la vie de Simon. Les premiers mois ont été délicats, nécessitant une adaptation et une réorganisation du quotidien. Simon souligne l'importance du repos pour un sportif de haut niveau et se demande comment certains athlètes parviennent à gérer une famille nombreuse en parallèle de leur carrière. Il plaisante en disant qu'ils ne doivent pas gérer grand-chose.

Il se rappellera toujours le premier stage où il est retourné avec l’équipe : les petits problèmes de chacun, ça fait rire et ça fait prendre du recul en se disant « mais il y a d’autres choses dans la vie plus importantes que ce qu’ils ont mangé à midi » ou je ne sais quoi !

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Les Souvenirs Marquants de la Carrière de Simon

Interrogé sur le plus beau moment de sa carrière, Simon évoque sans hésitation la médaille d'or remportée aux Jeux olympiques de 2018 en relais mixte. Il souligne l'intensité des émotions ressenties à ce moment-là et l'impact positif que cette victoire a eu sur la suite de sa carrière.

Il se souvient également avec émotion du jour où il a porté pour la première fois le dossard jaune, lors du sprint d'Ostersund le 2 décembre 2021. Même si la course n'a pas été à la hauteur de ses espérances, il garde un souvenir précieux de ce moment unique.

L'Évolution Technique du Biathlon

Simon partage son point de vue sur l'évolution technique du biathlon. Il estime que le sport a atteint certaines limites et que l'on observe même un certain recul, notamment avec l'arrêt du fluor dans le fartage.

L'Avenir de Simon : Entraîneur ou Passionné ?

Simon envisage de rester impliqué dans le monde du biathlon, mais il hésite encore sur la forme que prendra son engagement. Il se verrait bien encadrer les jeunes ou travailler dans les clubs, afin de transmettre sa passion et son expérience. Il n'exclut pas la possibilité de devenir entraîneur de haut niveau, mais il souhaite d'abord se faire la main auprès des plus jeunes.

Il croit qu’il aime de plus en plus le côté tir. Il y a pleins de choses à apporter alors que le côté physique c’est globalement souvent la même chose. On peut évoluer mais on ne peut pas toujours tout révolutionner. Alors qu’au tir on peut revoir beaucoup de choses. Il y a le côté mental qui est hyper important et intéressant il trouve. Il y a beaucoup de choses à faire évoluer chez les personnes.

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L'Avenir du Biathlon vu par Simon

Simon, figure emblématique du biathlon, partage son regard sur l'avenir de ce sport. Il exprime une certaine inquiétude face aux défis posés par le changement climatique, qui rendent de plus en plus difficile de garantir des conditions de neige optimales. Malgré ces préoccupations, Simon reste passionné par le biathlon et continue de le suivre attentivement. Il estime que ce sport a beaucoup de qualités, mais qu'il pourrait bénéficier de quelques ajustements, notamment en ce qui concerne certains formats de course.

Le Bilan d'Éric : Une Saison en Montagnes Russes

Éric, le frère de Simon, revient sur sa saison, qu'il qualifie de montagnes russes. Il reconnaît avoir connu des moments difficiles, mais il souligne également les bons rebondissements et les résultats positifs obtenus en fin de saison.

Il explique avoir construit sa saison avec des objectifs précis, mais avoir été déçu par son début de saison. Il avait envie d'aller titiller les plus grands et de s'installer plus durablement dans l'équipe, notamment dans les relais.

Éric évoque également sa rétrogradation en Coupe du Monde, qu'il a acceptée avec philosophie. Il estime que cette décision était méritée et qu'elle lui a permis de se recentrer sur son ski et son tir, afin de rebondir par la suite.

La Force du Collectif

Éric souligne l'importance de l'esprit d'équipe dans le biathlon.

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