Les armureries en France ont une longue histoire qui remonte à plusieurs siècles. Initialement, les armuriers étaient des artisans spécialisés dans la fabrication d’armures pour les chevaliers et les soldats. Aujourd’hui, il existe environ 15 000 armureries en France. Elles se trouvent dans toutes les régions du pays et peuvent être grandes ou petites, indépendantes ou liées à des chaînes nationales.
Si vous cherchez à trouver un bon armurier, il est important de bien faire vos recherches. Vous pouvez demander des recommandations à des amis ou à des membres de votre famille qui utilisent des armes à feu, ou consulter des forums en ligne dédiés à ce sujet. Il est également possible de rechercher des avis en ligne sur les armureries.
Il existe plusieurs raisons pour lesquelles il peut être avantageux d’aller chez un armurier. Tout d’abord, les armuriers sont des experts en matière d’armes à feu et peuvent vous aider à choisir le bon équipement pour vos besoins. Enfin, les armuriers peuvent également offrir des services tels que des réparations et des personnalisations, ce qui peut être très utile pour les propriétaires d’armes de chasse.
Si vous souhaitez vous adresser à d’autres armureries et connaître leurs nombres, les avis, etc., et si vous ne trouvez pas d’armureries qui répondent à vos besoins, n’hésitez pas à nous contacter.
Un des emblèmes du Pays Basque est le makhila. Il s'agit d'un bâton de néflier, dont la partie inférieure est munie d'une douille plombée et dont la poignée constituée d'un tube gainé de cuir renferme un aiguillon. Il porte un fer cruciforme à la base et les ferrures sont décorées de sentences en Basque.
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À ma connaissance, il ne reste au Pays Basque que 2 artisans qui fabriquent encore des makhilas, ANCIART BERGARRA à Laressorre et un autre à Bayonne même dont j'ai oublié le nom.
Le makhila est un baton ferré aux deux extremités, plombé en bas, et de plus muni d'une pointe acérée et dissimulée. Pour ce que j'en sais, le makila est un baton que l'on offre, pour remercier un proche d'une action qui mérite d'être récompensée.
La maxime gravée sur le manche est choisie par celui qui commande le baton à l'intention de celui à qui il va offrir le truc. Beaucoup de symboles, ce qui n'est pas pour me déplaire.
Au niveau de la fabrication : le baton de néflier est scarifié (son écorce) avec un petit couteau special (le tranchant est formé au motif de la scarification) pendant sa croissance (les "coins" à néfliers sont gardés jalousement secrets !) et est ceuilli à maturité. S'ensuit un long moment de séchage, les batons sont alors sélectionnés sans pitié, le moindre défaut et hop, à la poubelle. Il faut après retirer l'écorce, ça se fait à la chaleur d'un feu, avec, vous vous en doutez, beaucoup de soins. Les différentes pièces sont réalisées à la main (laiton ou cuivre jaune) ainsi que les gravures (beaucoup d'emporte-pièces) aux motifs et volutes typiquement basques.
Si tu vas te balader à San Sebastian tu peux trouver de beaux modèles de makhilas artisanaux. Même au Col d'Ibardin, dans quelques ventas, parmis des makhilas pour touristes, j'ai eu la surprise de manipuler de trés beaux spécimens fait main à des prix trés interressants.
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La Guipuscoa se trouve à la frontière avec la France et s'étend jusqu'à la mer Cantabrique et les Pyrénées. Le climat y est tempéré, avec des températures douces tout au long de l'année, rarement au-dessus de 30°C l'été et presque toujours positives en hiver. Cette douceur climatique est due à la proximité de l'océan Atlantique, du golfe de Gascogne et de l'influence du Gulf Stream.
San Sebastián, à une vingtaine de minutes de voiture de la frontière, est un pôle touristique majeur de la région. Les rues principales de San Sebastián voient souvent des surfeurs, planche à la main, se diriger vers les vagues. La ville abrite des monuments notables tels que la cathédrale du Bon-pasteur, le palais de Miramar ou encore la basilique Sainte-Marie, qui se mêlent harmonieusement à des constructions plus modernes, comme le palais des congrès Kursaal.
San Sebastián se distingue également par son excellence gastronomique, avec de nombreux restaurants distingués par le guide Michelin. La ville est l'hôte de grands événements internationaux, tels que le festival international du film en septembre et un festival de jazz en juillet. Pour les amateurs de randonnée et de VTT, la Sierra de Aralar offre un terrain de jeu idéal.
La Biscaye, bordée par la Guipuscoa à l'est, l'Alava au sud, la mer Cantabrique au nord et la Cantabrie à l'ouest, charme les visiteurs avec son littoral découpé et ses hautes falaises, évoquant les paysages de la Bretagne. Bilbao, la capitale, s'élève le long de l'estuaire du Nervion et est célèbre pour son musée Guggenheim, une merveille d'art moderne au design avant-gardiste.
Ce monument architectural tend à éclipser d'autres trésors de la ville, tels que la cathédrale de Santiago et les édifices de la Belle Epoque, à l'instar du palais Chávarri et du théâtre Arriaga. Pour les passionnés de nature, la réserve de la biosphère d'Urdaibai et le parc naturel de la vallée d'Arriata offrent des paysages à couper le souffle. Guernica, ville détruite par des bombardements pendant la guerre civile espagnole et immortalisée par Picasso, constitue un poignant témoignage historique.
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Alava se distingue de ses voisines Guipuscoa et Biscaye par son absence de littoral sur la mer Cantabrique. Vitoria-Gasteiz, avec son coeur historique médiéval, dévoile une atmosphère paisible et une qualité de vie notable. Lors d'une visite dans cette région espagnole du Pays basque, on ressent aisément le bien-être de ses habitants. Le palais d’Ajuria Enea à Vitoria abrite le gouvernement basque.
La ville est également riche en institutions culturelles, avec des musées tels que l'Artium, dédié à l'art contemporain basque, ainsi que des musées consacrés à l'armurerie, aux sciences naturelles et aux cartes à jouer. Au sud de la province, les vignobles jalonnent le paysage, offrant un cadre idéal pour une échappée champêtre.
Dès que juillet pointe le bout de son nez, la ville de Pampelune s'anime intensément à l'occasion des fêtes de San Fermín, un événement relayé par les médias internationaux. Cette effervescence annuelle rappelle la richesse historique et les traditions ancrées du Pays basque.
Après une journée à explorer ces panoramas, rien de tel que de s'installer dans un restaurant local pour déguster un agneau rôti ou apprécier la chistorra accompagnée de fromages régionaux.
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