Le mot "pistolet" est un terme courant, que ce soit dans le langage courant ou dans des contextes plus spécifiques comme les jeux de mots. Cet article se propose d'explorer la signification du mot "pistolet", de découvrir ses synonymes, en particulier ceux composés de six lettres, et d'examiner ses diverses utilisations et acceptions.
Un pistolet est défini comme une arme à feu courte, conçue pour être tenue et utilisée d'une seule main. C'est une arme de poing dont le fonctionnement repose sur le recul du canon, permettant ainsi des tirs successifs. Le terme peut également désigner la personne qui utilise cette arme, c'est-à-dire un tireur.
Par extension de sens, le mot "pistolet" peut aussi désigner un instrument ou un jouet qui imite la forme d'un pistolet. On l'utilise aussi dans des expressions imagées.
La recherche de synonymes permet d'enrichir le vocabulaire et d'éviter les répétitions. Voici une liste de synonymes de "pistolet" classés par nombre de lettres, basée sur les informations fournies :
Ainsi, pour un synonyme de "pistolet" en 6 lettres, le terme "flingue" est une option appropriée.
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Outre les synonymes classés par nombre de lettres, il est pertinent de considérer d'autres termes associés à "pistolet", tels que :
Le mot "pistolet" est fréquemment utilisé dans les jeux de mots fléchés. Sa définition simple et sa longueur variable en font une solution idéale pour de nombreuses grilles.
Les apaches parisiens, de Belleville plus exactement, apparaissent en 1900. Faute d’éléments, il invente de toutes pièces une histoire épouvantable. L’article est publié le 30 juin 1900. La légende est née et elle a un retentissement considérable dans la presse comme dans la pègre parisienne qui n’hésite pas à reprendre le modus operandi à son propre compte.
Pendant quelques semaines, au début de l’hebdomadaire Détective, paraissent des mots croisés en forme de menottes, de masque de criminel ou d’armes. Qu’est-ce que justifie cette publication, et comment expliquer qu’elle s’interrompt au bout de huit grilles ? Pour répondre à ces questions, il convient de reprendre l’histoire de ce jeu, et d’en montrer les sources françaises et littéraires.
L’article retrace la progressive élaboration des grilles modernes dans la longue histoire de l’énigme graphique dans la presse. On voit ainsi se composer « l’espace des possibles » qui permet de comprendre et la forme des grilles de Détective et les raisons de leur disparition rapide.
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For a few weeks, in the first issues of the the review Detective, there appeared crosswords in the form of handcuffs, criminal mask or weapons. What is the reason for this publication, and how can it be explained that it stops after 8 grids? To answer these questions, it is necessary to take up the history of this game, and to show its French and literary sources. The article traces the progressive elaboration of modern crosswords in the long history of the graphic enigma in the press.
Seule la dernière est signée A. Bengué. Ce patronyme n’apparaît plus dans le journal ensuite, pas plus d’ailleurs que d’autres mots croisés, et il n’est ni le nom d’un cruciverbiste identifiable, ni l’anagramme d’un personnage connu.
Dans l’état actuel des connaissances, il est impossible de déterminer qui était l’auteur de ces grilles. Mais d’autres questions surgissent, qui tiennent à l’originalité de la forme choisie, et à l’histoire de ce jeu. En les publiant, Détective fait-il preuve du sens de l’innovation qui caractérise sa formule initiale, ou se range-t-il à une pratique commune dans la presse du temps ? Faut-il y voir une rubrique occupationnelle, ou la manifestation du positionnement singulier d’un journal de faits divers sensationnaliste rédigé par une équipe d’écrivains ?
Quelles que soient les sources que l’on consulte, la naissance des mots croisés est rapportée comme une genèse ex nihilo en deux temps ancrée dans le xxe siècle. Le journaliste et violoniste anglais Arthur Wynne (1871-1945) aurait inventé les crosswords, les mots en croix, dont la première grille fut publiée le 21 décembre 1913 dans le supplément du New York World, The Fun. Il s’agit d’une sorte de losange percé sans cases noires nommé Word-Cross Puzzle. Un système de chiffres permettait de lier les séries de cases contiguës aux définitions présentées en dessous de la grille.
L’idée est reprise onze ans plus tard en Angleterre par Morley Adams, un spécialiste des jeux pour enfants. Le 2 novembre 1924, la première grille de mots croisés britannique est publiée dans le Sunday Express. L’invention des cases noires permet au jeu de se développer pleinement, grâce à la dissymétrie entre lignes et colonnes. Elle multiplie à l'infini les combinaisons (formes variées des grilles, croisements multiples, mots de longueurs différentes, présence possible de plusieurs mots par ligne ou par colonne…). L’éditeur américain Simon et Schuster profite de la vogue du jeu pour publier dès la même année le premier recueil vendu séparément. De format presque carré, il était vendu avec un crayon.
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Très rapidement, en Angleterre, les mots croisés évoluent vers un jeu littéraire, en particulier sous l’influence d’Edward Powys Mathers (1892-1939) Né dans le milieu du journalisme, traducteur et poète, il est un des premiers auteurs qui réalise les innombrables possibilités du jeu pour l’imagination, et qui lui apporte la dose d’humour et de connaissance linguistique indispensable. Il signe Torquemada les mots croisés qu’il publie dans The Observer depuis 1926 jusqu’à sa mort en 1939. Sous ce pseudonyme, il écrit aussi des récits policiers (detective stories) entre 1934 et 1939. Un recueil a été publié chez Pushkin Press en 1942, sous le titre 112 Best Crossword Puzzles. En France, la première grille a été publiée le 9 novembre 1924 par l’hebdomadaire Dimanche-Illustré.
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