La chasse en battue de grand gibier est, depuis la fin des années 1990, la chasse la plus pratiquée en France. Pour beaucoup de chasseurs, c’est un mode de chasse auquel ils se consacrent totalement.
Pour répondre à la demande croissante des pratiquants de ce mode de chasse collectif, les fabricants proposent de plus en plus de produits pouvant répondre à toutes les formes de battues, selon les territoires et les méthodes de chasse employées. Le tout premier des critères pour choisir une carabine de chasse pour la battue découle du type de gibier chassé. En effet, c’est le gibier qui détermine le calibre dans lequel sera chambrée la carabine.
Pour chasser tous nos grands gibiers en battue, un chasseur pourra très bien se contenter d’une carabine chambrée dans des calibres standards courants n’excédant par le groupe des 7 mm. Bien que la gamme des 7 mm puisse fort bien convenir au tir du sanglier en battue et du cerf élaphe, certains chasseurs lui préfèreront le groupe de calibres des 8 mm et 9 mm, voir au-delà. Les calibres dits “Magnum”, bien que la plupart n’aient pas été conçus pour le tir en battue dans nos contrées, sont nombreux à être représentés au poste.
Les calibres : 7 Remington Magnum, 300 Winchester Magnum, 300 Weatherby Magnum, 338 Winchester Magnum, 338 Lapua Magnum ou 375 Holland & Holland, peuvent en effet être utilisés à condition de bien poser l’équation comprenant des paramètres comme la longueur du canon et la sélection de munitions idoines. On rencontre également des calibres qui, sans avoir un âge canonique, sont un peu passés de mode, bien qu’ils conservent leurs clubs d'aficionados. Soulignons qu’un (large) choix de calibres ne pourra se faire que sur des armes d’occasions.
Depuis, une dizaine d’années, la plupart des carabines neuves ne sont plus proposées de nos jours que dans les calibres : 30-06 Springlfield, 308 Winchester et 300 Winchester Magnum, du moins à leur lancement. Cela afin que la production armurière européenne soit plus “américano” compatible. La célèbre firme allemande Blaser propose de nombreuses variantes de série pour sa R8 Battue ou sa R8 Success avec 44 calibres disponibles, par exemple. Il reste évidemment le second marché et de belles occasions pour trouver la perle rare… Il va de soi que vous aurez du mal à trouver une carabine double express Keiler de Bettinsoli neuve en calibre 9,3x53 R.
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Avant de balayer les différentes typologies de carabines, qu’il nous soit permis, en manière de préambule, de dire au lecteur qu’il existe des carabines qu’on pourrait qualifier de spécialisées. Elles sont généralement proposées par les fabricants suivis de l’épithète “battue”. Leurs critères distinctifs résident généralement, au-delà de leurs mécanismes, dans un canon aux dimensions réduites, des éléments purement décoratifs (crosse blaze/orange, gravures sanglier ou grand gibier), les organes de visée, la capacité du chargeur et, parfois, une sélection de calibres élargie. Exemple, un calibre couramment utilisés dans certains pays, comme le 9,3x62 pour la France, concernant le mode de chasse qui nous intéresse.
Parmi les différents modèles de carabines qu’il vous sera possible de choisir pour la pratique de la chasse en battue, on retrouve les carabines semi-automatiques. Ce modèle vous permet de tirer 3 munitions, sans avoir à recharger la carabine. L’une de ces cartouches est logée dans la chambre de la carabine, tandis que les deux autres sont présentes dans le chargeur, permettant de gagner en rapidité dans les tirs.
La plus célèbre de ses armes est sans doute la BAR de Browning depuis la première version à la MK2, l’entreprise belge a fait évoluer son Browning Automatic Rifle pour la chasse avec la MK3 et ses diverses versions proposant une arme à crosse composite : Composite HC ou avec finitions haut de gamme : Zenith Reflex Wood HC. Dans le haut de gamme de cette catégorie se classe aussi la Sauer 303. Plus connue pour ses carabines à verrou, cette vieille maison allemande propriété de Blaser group, propose une semi-auto avec une canonnerie de bonne facture qui peut largement permettre de tirer au delà des 50 mètres avec précision, ainsi qu’un armeur séparé et même une crosse trou de pouce avec busc élastomère pour le modèle 303 Synchro XT.
Chez les fabricants italiens, Benelli, fabricant reconnu pour la grande qualité de ses armes et ses innovations, propose sa carabine semi-automatique Argo qui a sa sortie en 2002 et s’est affirmée comme la première “automatique” capable de faire un jeu égal avec une légende comme la Browning BAR. Moins martiale que la carabine belge, son design séduisant et ses lignes oblongues la différencie et lui donne une identité unique dans cette catégorie. Côté efficacité, elle n’a pas à rougir de ces prestations et, aux défauts de jeunesse des premiers modèles, ont succédé des versions redoutables telle l’Argo E Pro.
Depuis l’action Mauser 98, le mécanisme qui nous intéresse ici à fait ses preuves et, bien qu’il nécessite un réarmement manuel entre chaque coup, bien utilisé, il sera tout aussi rapide qu’un mécanisme linéaire, qu’on se le dise ! Dans le même style mais en Autriche cette fois, le fabricant Röwa propose une version trou de pouce de sa Titan 6 avec un excellent profil de crosse et un super équilibre pour des tirs avec une inertie parfaite en battue. De plus en plus de modèles sont proposés avec de véritables sécurités, autrement appelées armeurs séparés car le percuteur est mis hors-tension, toutefois le prix s’avère parfois élevé mais certains dérogent à la règle ! Parmi ceux-là on peut citer la Zoli AZ Game ou la Zoli Taïga accessible à un prix contenu.
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Ces carabines sont devenues en peu de temps les reines autoproclamées de nos battues. Il est vrai que le réarmement linéaire de ces carabines confère l’avantage, pour la plupart des modèles, de rester en ligne lors du tir et de ne pas désepauler… sauf si l’on tire très avancé, voire couché sur sa carabine. Bien qu’elle n’est pas la primauté sur la naissance de cette action, loin s’en faut (le fusil Ross MK III des troupes canadiennes usaient déjà d’un mécanisme linéaire lors de la Première Guerre mondiale) l’industriel allemand Blaser prend la pole position !
La Blaser R8 est un best-seller européen à partir de laquelle la firme d’Isny a produit de nombreuses déclinaisons avec des matériaux, des formes et des accessoires toujours plus avant-gardistes : R8 Ultimate, R8 Pro Camo, R8 Classic Sporter et R8 Ultimate X. Avec la Merkel RX Hélix, impossible de prendre la culasse dans le nez ! Après le succès de sa carabine modulaire RX Hélix (2013) dont l’originalité réside dans un mécanisme emboité ultra-court (course de 6,5 cm), la firme d’Isny a fait naître plusieurs versions de sa Take-Down passant de crosse classiques en bois et de levier de culasse en cuiller, à des carabines aux profils composites et ajustables.
Le groupe Haenel s’est aussi mis à la page en proposant, en partenariat avec Merkel une linéaire accessible aux finitions soignées, j’ai nommé : Jaeger NXT, dotée notamment d’une culasse armeur. Elle partage cette similitude avec la Heym SR 30 et sa tête de culasse si particulière à billes servant de tenons de verrouillage. Cette carabine à la mécanique robuste et fiable est disponible dans une version très moderne : la Ultra Light Carbon. Une des dernières arrivées sur ce marché est la BRX1 Beretta, qui avec ces différentes versions : OD Green, crosses bois et son placement milieu de gamme en dessous de 2000 euros (!), a déjà fait grand bruit, et rebattue les cartes du marché, offrant qui de plus à l’utilisateur un produit à la pointe de la modularité avec une culasse ambidextre, les gauchers ne seront pas déçus !
Chez les français, les maisons de la Loire se sont aussi mis aux actions linéaires. Verney-Carron, dont on connaissait la IMPACT LA propose aussi la très efficace carabine Linergie, disponible en version bois et Karbon, qui permet de rester remarquablement bien en ligne en battue lorsqu’il s’agit de tripler voir de quadrupler le tir, et ce sans désepauler ! Outre Quiévrain, la marque reine de la battue avec sa légendaire carabine Browning BAR, aujourd’hui disponible en 4e génération (BAR 4X), s’en même mis au linéaire pour compléter son offre avec la désormais reconnue Browning Maral ! La carabine linéaire RX Hélix de Merkel avec son mécanisme emboîté à course extrêmement courte et son busc amovible, rapidité et confort au tir ne font plus qu'un !
Cocorico, honneur aux maisons françaises ! Reconnue comme étant le numéro 1 français de la carabine double express, Chapuis propose nombre de références pour les passionnés de belles armes. Les amateurs de superposé pourront s’orienter vers un Chapuis Orion C10, il a l’avantage de posséder une bascule acier, des éjecteurs et que dire de sa bascule menue et élégamment décorée ; une carabine d’esthète. Pour ceux qui préfèrent les juxtaposés l’Express juxtaposé X4 est mécaniquement réglable en convergence ! Pour les fanatiques des canons superposés le Chapuis S12 propose aussi un système de réglage à cale accessible entre les canons.
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D’autres spécialistes de l’arme lisse se sont aussi essayés, avec succès, aux carabines basculantes particulièrement en Italie. Comme Franchi avec son modèle à bascule jaspée Xpress des plus élégants à un excellent rapport qualité/prix. Certaines amateurs de belles armes et de mécanisme complexe sont amateurs d’une carabine mixte typiquement germanique : le “Bockdrilling”. Il se compose d'une carabine superposée mixte, lisse en haut, rayée en bas, à laquelle on s’ajoute un deuxième canon rayé latéral de petit calibre comme sur le Blaser BD14 par exemple. Le BD14 de la marque allemande Blaser permet toutes les combinaisons possibles : cal 7x65 R, cal 5,56x50 R Mag, cal 20 etc.
Sécurisantes et à réarmement manuel, ces carabines plébiscitées dans la traque permettent d’avoir une capacité de munitions intéressante et une cadence de tir rapide. A ce jeu, la Verney-Carron Impact LA - pour linéaire avant - n’est pas mal placée ! Leur mécanisme est un poème à lui seul. Avec une “lever action” en main, le maire d’un paisible village du Calvados aurait tôt fait de se prendre pour un Marshall de l’état du Missouri et ce même posté en plein bocage dans le pays d’Auge… Plus sérieusement, les carabines à levier de sous-garde, peuvent être aussi efficaces en traque qu’au poste. Petit inconvénient : le chargement et le déchargement quelque peu fastidieux.
Plusieurs questions à se poser lorsqu’on choisit une carabine à levier de sous-garde, celle des munitions à sélectionner pour tirer un animal à la course et celle des organes de visée. Aujourd’hui, la plupart des armes neuves sont dotées d’embases pour monter une optique. Pour les amateurs, le tir en visée ouverte reste possible, comme sur la rustique R95 Bronze de Rossi en calibre 30-30 Win mais aussi dans le plus pêchu 45-70 Gov ou encore la Marlin 1894 avec sa visée Buckhorn en calibre 44 Remington Magnum.
L’industriel américain Marlin (groupe Ruger) propose aussi de nombreux modèles pouvant accueillir point rouges et lunettes : 336WBL de Marlin, 1895 SBL Marlin, Marlin 336 Dark Series. La carabine Speedline de Verney-Carron est un peu un ovni dans cette sélection. Le principal avantage de cette carabine est le fait qu’elle puisse être rechargée par l’action du pouce via un levier ; c'est donc une arme à réarmement manuel sous ses aspects "automatiques"...
De plus en plus de fabricants font de la modularité le maître mot de l’argument commercial pour leurs carabines. Les organes de visée n'échappent pas à cette règle, et c’est heureux, cela permet aux chasseurs voulant tout faire avec une carabine de s’adapter à tous les cas de figures selon le mode de chasse du jour. Dernier conseil, comme la décision n’appartient qu’à vous, nous vous conseillons avant de vous jeter à l’eau, de tester différents modèles et d’effecteur une prise en main, les salons sont un lieu idéal pour ce faire, on peut même parfois effectuer des tirs en stand .
Avec toutes ces informations, il ne vous reste plus qu’à faire votre choix concernant votre nouvelle carabine de chasse ! Pour rappel, avec la garantie Heureux ou Remboursé, vous bénéficiez de 30 jours pour vous faire intégralement rembourser par NaturaBuy si le produit ne convient pas. Vous pouvez donc acheter le produit et le tester sur le terrain.
L’hiver est une saison exigeante pour les chasseurs. Froid piquant, humidité persistante, vent tranchant… Pour continuer à pratiquer dans les meilleures conditions, il est essentiel de choisir les vêtements de chasse les plus adaptés. Et tout commence par le choix des matières. Entre tradition et innovations textiles, voici les tissus à privilégier pour rester au chaud sans compromettre votre liberté de mouvement.
La laine mérinos provient de moutons élevés principalement en Nouvelle-Zélande et en Australie. Elle se distingue par ses fibres très fines et ondulées, bien plus douces que la laine classique. Cette matière naturelle est largement utilisée dans les sous-vêtements techniques de chasse pour sa chaleur et sa capacité à réguler l’humidité.
La laine mérinos est idéale comme première couche thermique pour les longues journées de chasse hivernale. Parfaite pour les affûts statiques ou les battues froides, elle offre une chaleur constante tout en gérant efficacement l’humidité corporelle. Elle se porte sous une polaire ou une softshell, mais ne remplace pas une couche coupe-vent ou imperméable.
Lavez vos vêtements de chasse en laine mérinos à basse température (30 °C maximum) avec un programme laine ou délicat. Utilisez une lessive douce sans adoucissant. Séchez à plat à l’air libre pour éviter le rétrécissement. Évitez le sèche-linge.
La polaire est une fibre synthétique (généralement en polyester) conçue pour imiter les propriétés isolantes de la laine, tout en étant plus légère. Elle est très courante comme couche intermédiaire dans les vêtements de chasse hivernaux.
La polaire convient parfaitement comme couche intermédiaire isolante, entre un sous-vêtement technique et une veste extérieure. Elle est très utile pour les chasses en poste, les battues ou les approches en temps sec et froid. Facile à enfiler ou à retirer selon l’intensité de l’activité, elle assure un bon compromis entre chaleur et légèreté.
La polaire se lave facilement en machine à 30 ou 40 °C. Évitez l’adoucissant qui diminue la respirabilité. Séchage à l’air libre recommandé, mais le sèche-linge est possible à basse température. Ne pas repasser.
Les membranes techniques comme le Gore-Tex ou le Deer-Tex sont des tissus multicouches avec un film microporeux intégré. Elles permettent d’assurer une protection imperméable tout en restant respirantes. Idéales pour les vestes et pantalons extérieurs.
Les membranes techniques comme Gore-Tex ou Deer-Tex sont incontournables pour les vestes et pantalons de protection lors de chasses en conditions humides, venteuses ou neigeuses. Elles sont à privilégier en couche externe pour les chasseurs qui restent exposés longtemps, notamment à l’affût ou en battue. Leur imperméabilité fait la différence sous la pluie soutenue ou dans les zones marécageuses.
Lavez en machine à 30-40 °C avec une lessive liquide sans assouplissant ni javel. Rincez bien. Pour réactiver la déperlance, un passage bref au sèche-linge à basse température est conseillé. Pensez à réimperméabiliser régulièrement.
Le coton ciré ou huilé est un tissu naturel rendu déperlant par un traitement à la cire ou à l’huile. Très apprécié pour son look traditionnel et sa robustesse, on le retrouve souvent sur les vestes de chasse classique ou les pantalons renforcés.
A privilégier pour les vestes de chasse ou les pantalons.
Le coton ciré s’utilise surtout pour des vestes traditionnelles longues, capes ou pantalons robustes. Il est bien adapté aux chasses en forêt, dans les milieux broussailleux ou lors de battues où la résistance à l’abrasion est primordiale. À privilégier par temps sec ou modérément humide, il apporte un confort rustique apprécié des chasseurs de grand gibier.
Ne pas laver en machine. Nettoyez à l’aide d’un chiffon humide ou d’une brosse douce. Évitez toute source de chaleur directe. Réappliquez de la cire imperméabilisante spécifique une à deux fois par an pour maintenir les propriétés déperlantes.
Le softshell est un tissu technique composé généralement de plusieurs couches : une couche extérieure résistante et déperlante, une membrane respirante au centre, et un intérieur doux et isolant. Il est pensé pour les chasseurs actifs qui recherchent un bon compromis entre protection et liberté de mouvement.
Le softshell est principalement utilisé pour confectionner des vestes de chasse légères, pantalons souples, gilets techniques ou encore des blousons coupe-vent silencieux. Il convient parfaitement aux tenues portées en couche intermédiaire ou externe pour les chasses dynamiques, notamment à l’approche ou en terrain accidenté.
Le softshell est idéal pour les chasses actives en conditions froides et sèches : approche, traque, chasse en plaine ou en montagne. Grâce à sa souplesse et son silence, il convient parfaitement aux situations nécessitant mobilité et discrétion. En revanche, il est à éviter sous pluie soutenue sans couche imperméable complémentaire.
Privilégiez un lavage en machine à 30 °C avec une lessive douce. Évitez l’adoucissant qui bouche les membranes. Séchage à l’air libre conseillé. Si besoin, repassez à basse température pour raviver la déperlance.
Ce système permet d’adapter facilement votre tenue aux changements de température ou d’activité.
Pour les amateurs de tir sportif, l'acquisition d'une Winchester peut être motivée par des raisons sentimentales et une passion pour cette marque mythique. Le modèle 1892 Short Rifle en .44 Magnum, fabriqué au Japon par Miroku, est souvent cité pour sa qualité, bien que son prix soit d'environ 1230 €. Cependant, plusieurs aspects doivent être pris en compte avant de faire ce choix.
Pour un tireur sportif débutant, il est important de considérer le type de munitions utilisées. Le .44 Magnum, bien que puissant, peut être inconfortable à tirer dans une Winchester 1892 légère, surtout avec la plaque de couche "crescent" typique des modèles Rifle et Short Rifle. Ces plaques de couche, conçues pour une époque où l'on appuyait la crosse sur le haut du bras, peuvent être désagréables en tirant avec des cartouches puissantes. Si le tireur ne recharge pas ses propres munitions, il peut être préférable d'opter pour des calibres plus doux comme le .44-40 WCF ou le .45 Colt.
Il existe plusieurs types de Winchester 1892, chacun ayant ses propres avantages et inconvénients pour le tir sportif :
La plaque de couche "crescent" est souvent critiquée pour son inconfort. Bien qu'esthétique, elle n'est pas idéale pour le tir prolongé, surtout avec des calibres puissants. Il est possible de remplacer cette plaque par une plaque de couche "carbine" ou "chasse", plus adaptées au tir sportif. Une autre option est d'ajouter un sabot de crosse en cuir pour améliorer le confort.
Si le tireur souhaite utiliser le calibre .44 Magnum, il peut opter pour des charges plus douces, comme les cartouches "cowboy", qui sont moins puissantes. Il est également possible de tirer du .44 Special, bien que ce calibre soit en catégorie B et plus difficile à trouver. Cependant, il est essentiel d'essayer différentes configurations avant de faire un choix final, afin de déterminer ce qui convient le mieux au tireur.
Une autre option pour les amateurs de Winchester est la 9422 en .22 LR. Bien qu'elle n'offre pas les sensations du gros calibre, elle est douce, précise, et peu coûteuse à utiliser. De plus, elle conserve une bonne valeur de revente et est considérée comme un classique par les collectionneurs.
En suivant ces conseils, les tireurs sportifs pourront choisir une Winchester adaptée à leurs besoins et profiter pleinement de leur passion pour cette marque emblématique.
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