Valence, comme de nombreuses villes de taille moyenne, connaît régulièrement des violences liées au trafic de drogue.
Le procureur de la République de Valence confirme qu'un homme est mort à la suite de coups de feu, rue Albert-Varnet à Valence. Ce sont les seuls éléments que Laurent de Caigny peut donner avec certitude à ce stade.
Vers 21h30, un homme a succombé à des coups de feu dans une petite rue au bout de l'avenue Victor-Hugo à Valence. Le ou les tireurs sont en fuite.
L’enquête a été confiée aux policiers de la DCOS, la division contre le crime organisé, l’ex-PJ.
L'homme était connu des services de police. Dans un communiqué, le cabinet du maire de Valence évoque un "règlement de comptes entre bandes rivales sur fond de narcotrafic".
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D'après nos informations, les secours ont été appelés vers 21h30. Des témoins parlent d’une rafale d’arme automatique de type kalachnikov.
La victime, âgée d'une trentaine d'années, se trouvait dans l'ascenseur d'un immeuble dans ce qui est une petite rue tranquille située près de l'avenue Victor-Hugo, à l'arrière de plusieurs commerces comme Picard ou Toustocks. On est loin des quartiers sensibles de la ville.
« Le R », un rappeur local de Valence, âgé d’une trentaine d’années, a été tué par balle dans un hall d’immeuble, jeudi 19 décembre dans la soirée dans cette ville de la Drôme, ont fait savoir des sources concordantes au Parisien.
Selon un témoin, trois individus sont arrivés à bord d’un Renault Clio et ont tiré à plusieurs reprises avec une arme à feu sur le trentenaire, qui se trouvait dans un ascenseur au rez-de-chaussée d’un immeuble, avant de prendre la fuite en voiture.
L’homme, touché par plusieurs impacts de balle, a succombé à ses blessures sans que les secours ne puissent le réanimer, ont précisé les pompiers à l’AFP.
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Selon la mairie de Valence, il s’agit d’un probable « règlement de comptes de bandes rivales sur fond de narcotrafic ».
L’auteur ou les auteurs des tirs sont toujours en fuite, a indiqué une source au Parisien. Sur place, les policiers ont découvert des douilles de calibre 45, une arme longue.
Le 22 décembre, des coups de feu ont été tirés sur la porte d'un appartement de Bourg-de-Péage (Drôme). À Valence, d'autres tirs ont touché la porte du logement d'une septuagénaire vers 5h30. De nouveaux tirs ont ensuite été entendus près du stade Jean Perdrix vers 17h30.
Les pompiers ont été appelés un peu avant 21 heures dans le quartier du Plan à Valence, samedi 28 décembre 2024. Deux hommes de 27 et 30 ans ont été blessés par balle.
Dans la rue Albert Einstein, vers 20H45, une fusillade a éclaté. Une voiture avec un ou plusieurs tireurs a surgi dans cette rue.
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Deux hommes de 27 et 30 ans ont été blessés par balles, un à la jambe, l'autre à la joue. Ils ont été transportés vers l'hôpital de Valence en urgence relative.
Une fusillade devant une discothèque près de Valence (Ardèche) a fait trois blessés, dans la nuit de jeudi à vendredi. Le pronostic vital de l'un d'entre d'eux, un homme âgé de 22 ans, est engagé.
Trois personnes ont été blessées par balles, dont une grièvement atteinte à la tête, lors d'une fusillade devant une discothèque près de Valence, dans la nuit de jeudi à vendredi, a appris l'AFP de source policière.
La fusillade, qui serait liée au trafic de stupéfiants, a éclaté vers 02h30 sur le parking d'une discothèque à Saint-Péray (Ardèche), à l'ouest de Valence, selon cette source.
Un jeune homme de 22 ans, a été grièvement atteint d'une balle dans la tête et transporté en urgence absolue au centre hospitalier de Valence. Son pronostic vital est engagé, selon la source policière.
Les deux autres, plus légèrement atteints, sont une femme de 24 ans, touchée à une jambe, et un homme de 22 ans qui a reçu des éclats, selon France Bleu Drôme Ardèche.
L’homme de 22 ans qui avait été grièvement blessé après avoir été touché à la tête par un tir de balle, dans la nuit du 31 octobre, devant une boîte de nuit près de Valence, est décédé.
Deux hommes, dont l'un se présentant comme tueur à gage de la DZ mafia, ont été mis en examen et écroués pour le meurtre d'un jeune homme de 19 ans à Valence le 1er novembre dernier, a appris ce mardi l’AFP, de source policière.
La victime, défavorablement connue des services de police, avait été tuée par balles dans le quartier du Polygone en milieu d'après-midi par un tireur se déplaçant à trottinette et muni d’une kalachnikov.
L'enquête des policiers de la Division de la criminalité organisée et spécialisée de Drôme-Ardèche (DCOS 26-07) a mené à l'interpellation le 10 février d'un homme de 29 ans à Roubaix (Nord), par la brigade de recherche et d'intervention (BRI) de Lille, et d'un homme de 41 ans à Valence.
Lors de sa garde à vue, le premier a assuré être à la solde de la DZ Mafia, un des principaux groupes criminels marseillais, et avoir tué le jeune homme dans le cadre d'un contrat à 30 000 euros.
Le second, connu pour être une « nourrice » (chargée de stocker la drogue), a reconnu s'être fait voler des stupéfiants par la victime quelques temps avant les faits et avoir transmis une arme longue au tueur à gage.
Présentés à un magistrat instructeur de la juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Lyon, les deux hommes ont été mis en examen pour meurtre en bande organisée et participation à une association de malfaiteurs. Ils ont été placés en détention provisoire.
Un militaire a ouvert le feu sur une voiture qui lui fonçait dessus près de la mosquée de Valence. Trois blessés.
Un homme a foncé en voiture sur quatre militaires postés devant la grande mosquée de Valence dans la Drôme, les contraignant à riposter par des tirs de défense qui ont blessé grièvement le conducteur.
Vers 15h00, l'homme a dirigé délibérément sa Peugeot 307 break rouge sur des militaires de l'opération Sentinelle, qui ont riposté à l'aide de leur arme, le touchant à un bras et à une jambe.
Une balle perdue a blessé un passant de 71 ans, un fidèle de la mosquée qui a été touché au mollet et transporté à l'hôpital. Un des militaires a été touché par le véhicule et blessé au genou et au tibia.
Selon la préfecture, la grande mosquée de Valence est un lieu très calme, "où le culte se passe de manière apaisée".
L'homme au volant, qui est également le propriétaire de la voiture, a 29 ans. A ce stade de l'enquête, ses motivations sont inconnues mais selon nos informations, il aurait justifié son geste en disant que "les militaires tuent des innocents", donc il voulait tuer des militaires.
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